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Mórrígan

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Tout ce qui a été posté par Mórrígan

  1. Ces profils d'hommes existent, c'est vrai, ce qui n'efface pas non plus d'autres profils alors qu'ils sont tout aussi délétères. Le masochisme induit une soumission certaine. Personne ne sait avec certitude de quoi sera fait demain. À nos âges, il est rare de ne pas être en bonne santé. Il ne s'agit pas de se plaindre ou d'être trop exigeante, davantage d'aller vers ce qui est bon pour soi. Nous ne sommes que de passage. Prenez soin de vous.
  2. Quand on manque d'argent, on ne peut pas se permettre de faire la fine bouche. Les salariés ne compensent rien. Et en 2017, 16,5 millions de foyers seulement étaient imposables contre 21,4 millions de foyers non imposables. Le nombre de foyers fiscaux imposé n'a de cesse de décroître depuis 2014. En clair, on demande à moins de la moitié des français de supporter toutes les dépenses de l'État. Nous allons forcément droit dans le mur. C'est beau comme un discours de Mélenchon, cela dites-donc. La Covid a bien évidemment un impact sur la santé de nos entreprises, osez leur dire le contraire.
  3. La circulation n'y est jamais vraiment fluide, peut-être à part à 2h du matin. Les trains c'est pour les sans-dents qui ingurgitent des sandwichs rillettes-cornichon et voyagent parmi les déjections de leurs caniches. Abolissons-les. C'est ce qu'auraient pu penser des automobilistes radins si Macron n'avait pas écarté cette suggestion, ce matin (en plus de deux autres). Il y a une plus grande efficacité sur autoroute, mais aussi une plus grande sûreté. Outre les tracteurs et les véhicules lents, les dépassements parfois dangereux (de ces mêmes véhicules lents), l'état des routes nationales fait souvent peur à voir.
  4. Ce sont pareillement des déchets, blond hollandais. Il est possible de consommer de l'alcool dans les restaurants, dans les bars, en Hollande, comme ailleurs. La consommation de cannabis peut mener à des troubles psychotiques, renforcer une certaine inhibition, une passivité, au repli sur soi, bref au mal-être. Certains en viennent au suicide. Sans compter que l'inhalation de fumées de cannabis serait encore plus cancérigènes que celles de la cigarette. Osef.
  5. Nous sommes alors d'accord. C'est dissuasif pour la masse. La loi fixe un cadre. Restera toujours un kevin pour clamer que les lois sont faites pour être enfreintes et pour joindre le geste à la parole. N'ayons plus peur de le verbaliser. Avec cette première verbalisation donc, je vois un sursaut, une étincelle. Cela fait tant d'années que nous étions démissionnaires, que nous avons également usé de double-discours (test de dépistage du cannabis en vente libre dans les pharmacies, salles de shoot etc...), ce qui a laissé à penser que la consommation de drogues est inoffensive et sans conséquence. Il convient de prendre une position ferme quant à ce fléau qu'est la drogue. Source d'angoisse encore pour les parents : le protoxyde d'azote (ou "proto" ou "gaz hilarant"), très en vogue dans les "free-party", dans les soirées étudiantes, au sortir des lycées... Il se couple à la cocaïne ou à la MDMA afin d'en allonger les effets. Les risques pourraient sembler faibles en regard de ceux causés par d'autres substances, ils sont cependant bien présents (courte perte de connaissance pouvant entraîner une chute, manque d'oxygène en cas d'inhalations répétées, gelure du nez et des cordes vocales, troubles neurologiques observés et pour le moment réversibles...). Vous ne serez pas dans le même état en prenant un verre de vin qu'en fumant un joint, c'est manifeste. Les effets du cannabis auraient tendance aussi à perdurer alors que les effets de l'alcool, quant à eux, se dissipent. Le vin fait partie de la culture française (et la plupart du temps il est consommé raisonnablement), pas la drogue. Je ne crois pas du tout en la discipline des dealers, qui peuvent également s'adonner au rodéo urbain ou quelques autres fameux délits. Une légalisation n'y changerait rien. Les canaux, les tulipes, Van Gogh et Vermeer ne suffisent pas à faire oublier la consommation de drogues, l'odeur, le quartier rouge ou encore les Boobs&Beer (concept ô combien raffiné emprunté aux States), sans compter qu'ils ne sont pas souriants, et qu'ils n'ont aucun goût pour la gastronomie. Épouvantable.
  6. L'homme qui se sert de sa force afin d'asservir une femme (des femmes) n'est en rien en situation de légitime défense. Entre supporter l'intolérable et ne pas verser dans le manichéisme, il y a un fossé, énorme. "On" a toujours le choix. Un homme ça se quitte (je vous l'ai déjà écrit). Eu égard à certaines de vos révélations antérieures, j'aurais davantage tendance à m'inquiéter pour vous. Le nota bene avait toutefois une portée très générale, bien en rapport avec le sujet.
  7. Il est judicieux de verbaliser autant les consommateurs que les dealers. C'est excellent, il faut continuer. Il est plutôt consternant que ce soit la première fois par contre. Ne soyons plus jamais timides. Parce que c'est une vraie daube, que nous devons protéger nos jeunes de ce fléau. Parce qu'avec leur regard dans le vague, leurs yeux qui brillent, leur temps de réaction plus long, les drogués sont des déchets. Personne ne veut les voir déambuler ainsi dans les rues, personne ne veut les voir prendre tranquillement le volant. Parce qu'une légalisation n'empêchera jamais la fraude et de faire du commerce au moyen d'autres drogues, peut-être dures ou encore plus pourries, et d'ailleurs l'interdit galvanise aussi les ventes. Avez-vous déjà été faire un tour à Amsterdam ? Ça ne vaut pas le coup d'oeil.
  8. Laïus bien paradoxal. Vous seriez attachée au bien-être respectif or vous accueillez à bras ouverts les rapports de force, inégalitaires, la souffrance, la persuasion...en bref, la violence. S'il s'agit de se dépasser, d'être victorieux, il y a suffisamment à faire au travers les compétitions sportives ou bien encore les fêtes foraines. En outre, les femmes ne sont pas des prix à remporter (les hommes non plus). Ne pas se servir de sa force afin d'asservir reste admirable. Ces hommes qui usent de violences envers les femmes, sont minuscules, des inférieurs (rien dans le gilet). Ils ne suscitent en rien l'admiration. NB: être soumise ne rend pas inoubliable, plutôt insignifiante.
  9. C'est à dire ? Personne ne dit non à une prime. En ce qui concerne le service public, qui rémunère les soignants, s'il vous plaît ? Vous n'êtes pas timide et vous osez beaucoup, vous. Les économistes les plus pessimistes prévoient plus ou moins dix ans afin de nous remettre de cette crise-ci.
  10. Dans certaines villes, seulement. Paris à 30km/h, ça ne me choquerait pas. Même chose pour un périph' à 50km/h, la vitesse moyenne doit être de l'ordre de 15km/h à tout casser. Quel intérêt de rouler à 110km/h sur autoroute ? Autant prendre les nationales.
  11. Et ça ne suffira cependant pas. La crise économique ne fait que commencer. Le tout tout de suite ça ne fonctionne généralement pas. Si ce gouvernement ne tient pas ses promesses, alors il sera sanctionné, comme ses prédécesseurs. Les élans de solidarité (faire don de chèque vacances au personnel soignant par exemple) ont été approuvés également par le Sénat, me semble t-il. Le personnel soignant est au coeur des discussions du moment, ils ne sont pas laissés de côté (à la différence d'autres corps de métiers de la fonction publique). L'insurrection nous la subissons majoritairement et nous la supportons financièrement aussi (coût des dégradations). Elle ne devrait être.
  12. Des prédateurs sont attirés par des femmes souvent innocentes et douces, parfois fragilisées, sans doute morales, tels des insectes irrésistiblement attirés vers la lumière. Autant de profils de pervers, de sadiques qui grouillent. Autant de violences psychologiques et morales infligées. Une volonté de destruction, pour amener l'autre à qui l'on est. Alors qu'elles succombent finalement, qu'elles sombrent, ces femmes font taire leur déesse intérieure, font mourir leur feu sacré. Se laisser aller, s'oublier ? Pour quoi faire ? Quand il vous est demandé de ne plus penser, de ne plus maîtriser, de vous nier : méfiez-vous, il y a un loup. Le fouet, la cire de bougie, le saucisonnage seraient donc l'alternative au sexe catho ? Le sexe qui fait mal et se sentir mal, un art de vivre ? Au secours... Des livres parfois adaptés en films -des nanars, rassurons-nous- ont mené la ménagère de moins de 50 ans (NDLR celle qui a une sexualité, pauvre, ennuyeuse) à trouver sexy ces pratiques vieilles comme Hérode ou Sade, peut-être. Et puis Réage et Millet... (bref rien de nouveau, manque d'imagination etcétéra etcétéra...). Il est d'autant plus inquiétant, que ces pratiques passent de plus en plus pour ordinaires, notamment dans l'industrie pornographique (Viva la strangulation !). Banalisation de la violence. C'est absolument abominable (non franchement), nombre d'adolescents découvrent aussi le sexe via ces vidéos, non classifiées, consultables très facilement, rapidement depuis un smatphone. Discutez avec vos ados, s'il vous plaît. Il existe heureusement, une sexualité plus solaire, plus coopérative aussi : osez le sexe qui fait du bien !
  13. Faire appel à des citoyens, des profanes, afin de réfléchir à des mesures plus respectueuses pour l'environnement, n'est pas l'idée du siècle. Il y a une profonde différence entre des écologistes (pour les citoyens les plus impliqués) et des écologues (en général, ils ont une formation diplômante). Les seconds étant réellement compétents. Parmi, les propositions d'heureux citoyens : interdire la circulation des voitures de collection... (Bande de jaloux !). Limiter la vitesse sur autoroute ? Pourquoi ne pas encore la limiter dans les villes ?
  14. Ce sont des professions qui n'ont jamais été valorisées. Ce gouvernement (et je ne l'aime pas) n'est pas magicien. Une prime est tout de même prévue pour les soignants (l''État a t-il prévu des primes pour les pompiers, policiers -liste non exhaustive- qui ont également travaillé pendant cette crise sanitaire ?). En outre, il s'agit de fonctionnaires, il ne faut pas s'attendre a une augmentation transcendante, par la suite. Il semblerait que ces professions soient mieux rémunérées dans le privé, la sécurité de l'emploi en moins.
  15. Ce sont des techniques d'immobilisation, qu'il est aussi possible d'apprendre au judo, krav maga, karaté mixte etc... Pour avoir "subi", au cours d'entraînements, ce n'est pas aussi terrible que tu as l'air de le sous-entendre. Je ne défendrai jamais une femme aveuglément en raison de son genre, quand elle outrepasse ses droits de façon aussi hostile et vulgaire, bref quand elle se comporte comme une antifa. Elle ne fait pas semblant de lancer des projectiles sur les forces de l'Ordre et de leur faire des doigts d'honneur. Cette campagne de haine à l'endroit des forces de l'Ordre, par le biais des réseaux sociaux, est juste une horreur. Note : je doute fortement que l'on puisse crier quand on est en manque d'air.
  16. Je n'apprécie pas la prétention lorsqu'elle s'accompagne de rien. Vos gesticulations nerveuses m'ennuient. La conversation -si tant est que l'on puisse dénommer ceci ainsi- est bien close. Il va falloir imprimer maintenant.
  17. Toi lisiblement : En lui cassant le bras...?! C'est la commedia dell'arte ! L'outrage à agent, cela vous parle ?
  18. Vous aurez votre part de responsabilité, comme les autres manifestants et comme toutes ces personnes qui n'ont pas respecté le confinement. Si nous sommes amenés à être confinés à nouveau (c'est ce qui arrive en Chine), il faudra aussi expliquer aux chefs d'entreprise, aux familles, également. Beaucoup auraient aimé travailler. Il faut revaloriser les salaires des soignants, oui, c'est un fait. Il semblerait que le gouvernement s'y soit engagé. Nous sortons tout juste de déconfinement, c'est peut-être un peu tôt pour leur tomber sur le râble. Parcoursup, depuis l'an dernier, a simplifié l'entrée en école d'infirmiers également (suppression de concours payants). Plus de personnel à venir, sûrement. C'est définitivement malaisant, un article qui pourra peut-être vous intéresser : « L’héroïsation du personnel soignant, c’est un narratif commode. » « En temps de guerre, on donne des ordres, en temps de crise sanitaire, on donne des moyens. » « Pourquoi croyez-vous que le gouvernement a choisi le champ lexical de la guerre ? » « Un virus ne fait pas la guerre. Un virus, il vit sa vie de virus. » « Ce qui déclare la guerre à l’humain, c’est le démantèlement de l’hôpital public. » « L’héroïsation, c’est un piège car c’est une dépolitisation. » « On ne veut pas des monuments aux morts, on veut du personnel supplémentaire et de l’argent. » https://positivr.fr/coronavirus-lheroisation-du-personnel-soignant-cest-un-piege-car-cest-une-depolitisation/ Cela met tout autant mal à l'aise que les lettres "anonymes" déposées dans les boîtes aux lettres des soignants, leur intimant de déménager au plus tôt. Toutes ces exacerbations, c'est franchement flippant. Vous travaillez parce que c'est une vocation, parce que vous avez aussi besoin de travailler ou bien parce vous avez besoin de reconnaissance ?
  19. Caillasser les forces de l'Ordre et de faire des fuck, normal quoi : Manifester est un droit, ficher le bordel est indu.
  20. Eh bien, il va vous falloir composer avec le fait que certain(e) ne vous ont lu que récemment (coucou) et encore que votre arrivée en ces lieux n’a pas été des plus marquantes pour tout le monde, Ô Votre Autolâtrie. Quant à être surprise et dépassée, ce n’est pas la première fois que j’ai affaire à ce genre de discours préformé (ce ne sera sans doute pas la dernière non plus). Tout ce qui est excessif, est insignifiant à mes yeux. Bon courage à vous.
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