Doïna

Il leur manque plus que trois plumes dans le cul, aux couleurs de l'équipe si possible, tant qu'à faire !

C'est difficile à croire : en dehors des périodes où il est au violon, un dealer a les moyens de mener la grande vie, il a largement de quoi se payer l'hôtel et ne passe pas sa nuit dehors sur un banc. Et puis après ils vont avancer quoi, à l'ump, pour se justifier : que ces SDF étaient des violeurs, des assassins, des jeteurs de sorts ?

Ah oui mais toi tu viens de le retirer dans ton post, ça se voit : "ce message a été modifié par Tequila Moor, aujourd'hui 12.34", tu peux plus te défiler, nanère ! :cool:

Une faute dans le titre, qué une faute dans le titre ? Ya pas d'fautes dans ce titre ! :p

Attention, comme dit précédemment, tous les SDF ne sont pas d'un seul et unique modèle, chacun d'eux est différent et serait à traiter au cas par cas. Quant à ceux qui ont refusé ton offre, peut-être sont-ils trop démolis et dégoûtés, ou trop enfoncés dans cette drogue qu'est l'alcool, en d'autres mots vidés de leur volonté de remonter la pente, ou trop atteints psychologiquement, ce n'est pas une raison pour les mépriser. Maintenant, la cellule familiale a tendance a ne conserver que ceux qui s'en sortent bien professionnellement parlant, et gagnent par conséquent très bien leur vie, les autres étant laissés au rebut, qui sont ceux qu'on n'invite pas aux fêtes, dont on ne prend jamais de nouvelles, dont on ne souhaite pas garder les enfants quand il y a une grève de cantine... Enfin, j'espère tout de même que ça ne se passe pas ainsi dans toutes les familles, mais je le constate hélas souvent. Cela dit, j'ignore comment cela se passait dans les cellules familiales d'autrefois : qui peut le savoir, nous n'étions pas nés ?

Tu parles de ces gens comme si c'était des salauds, des ordures, des moins-que-rien parce qu'ils sont alcooliques et turbulents, mais t'es tu posé la question de savoir par quoi ils ont dû passer avant de devenir ce qu'ils sont devenus ? Toute la désillusion, tous les déboires, la brutalité de cette société qui est la nôtre et qu'ils se sont pris de plein fouet, en as-tu une moindre idée ? Tu sais, à l'heure qu'il est, se retrouver à la rue, ça peut arriver à n'importe qui, et une fois que tu y es la descente dans l'enfer de l'alcool est rapide. Pour ma part je rejoins ceux qui expliquent que l'Etat ne joue pas son rôle, et loger des SDF ne suffirait d'ailleurs même pas, un suivi pour les aider à remonter la pente psychologiquement serait nécessaire en parallèle.

Pour ma part, je n'en pense pas tant. Je trouve intéressant d'envisager à quoi aurait ressemblé la carte de l'Afrique en respectant mieux les territoires des différentes ethnies pour y établir des frontières, sans plus.

Bonjour, La mairie d'Angoulême fait grillager des bancs pour en éloigner les SDF : Neuf bancs publics d'Angoulême (Charente) ont été entourés d'une cage ce mercredi. L'initiative de la municipalité UMP, qui vise à décourager l'installation de sans domicile fixe alcoolisés, a surpris de nombreux habitants. La mairie a expliqué avoir pris l'initiative en concertation avec les commerçants car les bancs en question étaient «utilisés quasi-exclusivement par des personnes qui se livrent à une alcoolisation récurrente, tous les jours. (suite) C'est bizarre, de plus en plus j'ai l'impression de vivre dans un pays où des gens sont en train de couler, victimes pour la plupart du chômage, et qu'au lieu de les aider on les cache par tous moyens de la vue des autres pendant qu'ils se noient...

Bonjour, Ci-dessous, la carte de l'Afrique si les Européens n'avaient jamais colonisé ce continent : l'artiste suédois Nikolaj Cyon a réalisé une carte alternative de l'Afrique au milieu du 19ème siècle. Cette carte illustre Alkebu-Lan ("Terre des Noirs" en arabe), un continent dominé par les Etats islamiques. Tous partagent les mêmes bases historiques, linguistiques ou ethnographiques et leurs frontières ne ressemblent en rien à celles imposées par l'Europe lors de la conférence de Berlin de 1884-1885. Afin d'éviter une vision euro centriste, l'artiste a retourné la carte :le sud se trouve en haut. Pour lire l'article en entier

Il fut une époque où la gauche, c'était la gauche : défense des ouvriers, lutte contre la précarité, les injustices sociales, etc. Maintenant la gauche, c'est ça aussi, mais seulement pendant la campagne électorale. Après l'élection, si c'est la gauche qu'a gagné, on assiste à des chasses aux chômeurs, des hausses de prix, etc. pareil que si ça avait été la droite. Disons que la gauche d'aujourd'hui se différencie entre l'avant et l'après élection.

La soupe chinoise, avec ses nouilles fumantes qu'on sort du bouillon savoureux pour les avaler. La sieste. Le thé bien chaud. Le petit café à la gare. Le bon film sur les chaînes du câble. La chaleur du foyer quand il fait froid, la fraîcheur du foyer quand il fait chaud. Les retrouvailles avec les enfants de retour de l'école. Les jeux de société avec les enfants. La musique qu'on aime. Le quart d'heure de surfing sur le web...

Sauf que les bénéficiaires du RSA qui occupent leur temps libre autrement qu'en consacrant leur temps à des jeux vidéos ne sont pas une minorité, ce serait plutôt l'inverse. Il doit y avoir un paquet de ces bénéficiaires qui se sentent insultés en te lisant, monsieur le donneur de leçons.

Là, on assiste à une stigmatisation des bénéficiaires du RSA et c'est malsain, ou alors si tu veux traiter des bénéficiaires du RSA qui s'enferment dans une addiction, il faut parler à côté de ceux qui profitent qu'ils sont au chômage pour se consacrer à des activités bienfaisantes, telles que se perfectionner dans une matière, remettre à neuf son logement, se consacrer davantage à ses enfants, peindre, écrire, etc.

Je veux bien vous croire quand vous dites que des bénéficiaires du RSA souffrent d'une addiction, peu importe que ce soit aux jeux vidéos, à l'alcool ou autres, mais il s'agit bien d'un cliché parce que, d'une part, ce n'est pas le cas de tous les bénéficiaires du RSA et, d'une autre, ces addictions concernent tout autant les individus qui travaillent. Ce qui m'amène à dire que ces bénéficiaires du RSA accros aux jeux dont vous parlez continueraient à coup sûr d'y être accros s'ils trouvaient un emploi. Alors évidemment, j'en entends de là rouspéter "oui mais aux bénéficiaires du RSA ch'est nous qui payons leurs jeux !", ce qui me paraît un peu neuneu puisque cela ne change rien pour eux que le bénéficiaire en question utilise son maigre pécule comme ceci ou comme cela. Qui plus est, le RSA ne garantit pas qu'une sécurité à tous ceux qui ne trouvent pas de boulot, il garantit également une sécurité des plus appréciables à ceux qui en ont, du boulot, leur évitant de se faire agresser en permanence par des affamés prêts à voler argent et nourriture pour survivre. Gardez toujours à l'esprit que la faim fait sortir les loups du bois.

Pourquoi tant de gens continuent de s'en prendre à ceux qui perçoivent le RSA ? Il n'y a pas assez d'emplois pour toutes les personnes en âge de travailler de toute façon ! D'où la justification de l'existence d'un revenu minimum. Quand même, vous voudriez quoi ? Qu'on fasse disparaître tous ces chômeurs en les abandonnant à la faim, ou quelque chose de pire ? Et vous croyez qu'ils se laisseraient faire ? Ah, mais, cela va de soi : si on supprimait le RSA et que ces misérables se livraient au pillage, la police serait là pour leur tirer dessus, il faut bien protéger les richesses, n'est-ce pas ? Franchement, quand je constate l'acharnement de certains à l'encontre des chômeurs, qu'ils qualifient de parasites et j'en passe, je me demande s'ils ne se porteraient pas volontaires pour les exterminer. Par un tel comportement culpabilisateur, ils rendent un sacré service aux vrais responsables qui, pendant ce temps, là-haut, à l'Elysée, à l'assemblée ou ailleurs, gavent leurs comptes en banque sur votre dos et se roulent sans honte dans des privilèges indus.

UP !

LAISSEZ LES CHÔMEURS TRANQUILLES ! et cliquez plutôt sur ce lien.

Et en plus, il en réclame !

Cette manie de vouloir psychanalyser tous ceux, et en particulier toutes celles qui sont différent(e)s de toi, relève à coup sûr de la psychanalyse, également, d'autant plus qu'avec ça je parie que tu n'es pas plus psychiatre que psychanalyste, ce qui signifie que tu joues à l'apprenti sorcier avec ces matières qui, pour le bien de tous, ne doivent être manipulées que par des diplômés. Parce qu'en partant de ton principe, alors tout le monde est fou : les boxeurs le sont parce que le sport qu'ils ont choisi consiste à se mettre des pains dans la tronche et parce que ça leur casse le nez, ceux qui font du saut à ski aussi, et puis ceux qui font de l'alpinisme, etc. Sauf qu'il faut avoir un minimum d'amplitude d'esprit pour comprendre tous ces gens qui aiment les sports extrêmes : c'est le goût du dépassement de soi, de ses limites, ce qui est parfaitement humain quand on sait que depuis la nuit des temps, les humains veulent se surpasser, et c'est d'ailleurs ainsi qu'ils ont conquis toute la planète, et entament désormais la conquête de l'espace. En fait, Savonarol, toi tu considères que ces femmes sont des malades de la tête parce qu'elles vivent comme elles l'entendent elles mais pas comme tu entends toi qu'elles devraient vivre. Tu considères les femmes comme les choses des hommes, pas comme des êtres humains en pleine possession de leur libre-arbitre, et tu en fais d'ailleurs une telle obsession que tes sujets ramènent huit fois sur dix à ça. Attention : quand obsession il y a, le délire n'est plus très loin, on t'aura prévenu.

Les femmes culturistes, au moins, ne se font pas agresser partout où elles vont quand elles sortent. Moi, monsieur Savonarol, voyez-vous, certains jours je me dis que je devrais peut-être m'y mettre, au culturisme, et activement, pour ne plus être emmerdée par des connards dans les bus, les métros, les rer, les files de caisse, etc. jusque chez moi puisqu'il y a toujours une grosse merde de voisin pour repérer les femmes seules et sans défense à faire chier.

Deux places handicapés pour un parking d'une cinquantaine de places, ce n'est vraiment pas de trop. En outre, ces places sont normalement à proximité de l'entrée de l'établissement de façon à limiter le trajet de l'intéressé handicapé, il ne faut donc pas s'y garer si on est capable de marcher. Enfin, je ne vois pas de quel genre de société vous rêvez, une sans doute où chacun se piétine la gueule et où il n'y a que les bien-portants qui s'en sortent, parce qu'il ne faudrait surtout pas verser dans cette solidarité, ce respect de son prochain que vous percevez comme de la "victimisation" ?

Donc, si j'ai bien tout compris, au FN tout le monde n'est pas contre les homos, il y en a qui sont tout contre ?

En ce moment, on peut profiter des brassins de noël. Je ne sais pas vous, mais moi je considère que c'est la période des meilleures bières de l'année.