Doïna

Peut-être qu'il s'est rendu compte que ni l'une ni l'autre de ces deux femmes ne correspondaient à ses attentes, et qu'il s'est trouvé gêné d'avoir à leur dire à toutes les deux. C'est maladroit d'avoir gâché l'anniversaire c'est sûr, mais en tout cas la bonne femme (= cinquante berges !) s'est franchement conduite en immature, à pleurnicher comme une enfant gâtée. Le Thierry (rougeaud-superstar !) vraiment un enfoiré, la Bénédicte il l'a vraiment salie, mais pourquoi elle reste aussi, elle est complètement conne ou quoi ?

Il a fait quoi le Thierry au juste quand il a passé la nuit avec Bénédicte, il a juste dormi à côté d'elle ou il l'a pécho pour de bon ?

Mais quand-même, c'était sympa de sa part de penser à nous avertir, un être humain aurait pensé à sa peau d'abord et il aurait pris la fuite sans prévenir qui que ce soit.

Hussard : T'as bien raison.

C'est sûr qu'il doit s'en passer de belles ! :smile2: Mais : chut, faut pas parler.

Perso je crois plutôt que les chats noirs portent bonheur, parce qu'un m'a sauvé la vie. C'était une petite chatte noire recueillie dans les bas-fonds de Paris, très farouche, et qui avait du être maltraîtée car elle était méfiante et ne se laissait pas caresser facilement. Une fois, on l'entend gratter à la porte frénétiquement, avec des cris rauques. On ouvre, et voilà qu'elle se met à monter et descendre sans arrêt l'escalier en nous regardant d'un air affolé, comme pour nous dire : "Montez, vite !". De fait, ça sentait le gaz. Nous l'avons donc suivie, et dans l'appartement au dernier étage, on a trouvé la grand-mère endormie à côté de sa gazinière, et le gaz qui s'échappait. Si la chatte ne nous avait pas allertés on serait tous morts dans une explosion. Toute la rue avec, qui sait, comme il n'y avait que des vieilles baraques branlantes dans le coin. Conclusion : les chats noirs portent bonheur !

Cela dépend des pays : dans certaines régions d'Italie le chat noir porte bonheur s'il passe devant vous de gauche à droite, et malheur seulement dans le sens inverse. C'est le clergé qui a commencé par taxer le chat de "diabolique" pour sa nature indépendante (contrairement au chien fidèle et obéissant), nocturne, ses yeux qui s'allument dans la nuit tels deux tisons, sa sexualité tapageuse, ses miaous mielleux pour parvenir à ses fins... L'église en a fait un modèle de traîtrise, a répandu l'idée que les sorcières se transformaient en chats noirs, le noir étant la couleur des ténèbres et du mal. Mais l'église au Moyen-Âge était l'ennemie de bien des animaux, de nature diabolique selon elle : les pies, les corbeaux, les corneilles, les geais, les bergeronnettes, les écureuils, les loups, les renards, les ours, etc. etc. (la liste est longue) mais de tous c'est le chat qui aura sans doute le plus morflé avec le loup (ce dernier ayant été carrément éradiqué).

Personne n'est en train de dire que le droit de vote aurait à voir avec la religion, mais qu'il faut se soucier de la religion avant d'accorder le droit de vote à tout va, nuances ! De toute manière, en quel honneur accorderait-on le droit de vote à des gens qui ne sont pas intéressés par la nationalité en premier lieu ? D'abord on fait l'effort de gagner la nationalité (si, si, c'est possible !) et après on a le droit de vote.

Où ai-je dit que les musulmans étaient une ethnie ? C'est une religion, nous sommes bien d'accord, mais une religion assez prenante pour mener les décisions de ses croyants. Je sais bien qu'il y a des musulmans gentils, je ne dis pas qu'il faut les éliminer ou même les accabler, seulement faire en sorte qu'ils apprennent à ce que leur obédience se limite au seuil de leur maison. Nous avons bien su le faire pour le clergé, et nous ne nous en portons pas plus mal. Aussi, vous pensez bien que parmi ces étrangers dont il est question, qui sont pour la plupart musulmans, la grande majorité va voter pour le parti qui leur promettra des mosquées et autres. Un autre topic a été consacré sur ce forum, dénonçant les insultes faites aux femmes non-voilées dans certains quartiers de Bruxelles, évidemment que des individus capables d'insulter des femmes parce qu'elles ne sont pas voilées vont voter pour le parti qui fermera le plus les yeux sur les débordements de l'islam, et lui donner le maximum de chances de prendre de l'ampleur. Et la partie de la population qui devrait le plus s'en soucier est bien la gent féminine d'ailleurs, parce que quand on commence à considérer les femmes comme des petits champs fertiles qu'il faut protéger des grapilleurs, ou des sanctuaires, ça craint !

Je suis d'accord avec Chimeria, et pour illustrer ce que je vais dire, vous fait part de cet article, car vous n'êtes pas sans savoir que ces étrangers qui obtiendraient le droit de vote sont, dans leur grande majorité, de religion musulmane, ce qui n'est pas anodin. Vous savez qu'à notre époque, le monde subit une sorte de guerre froide entre l'ensemble des pays islamiques et les autres, que ces dernières décennies ont été marquées par le terrorisme religieux, que les pays musulmans ont tendance à se refermer sur eux-mêmes et à se détourner du restant de la planète, et que dans tous les pays d'Occident où l'islam a fait son apparition, sont apparus par la même occasion des frictions entre cette communauté et les autres. Par conséquent, est-ce bien le moment d'accorder le droit de vote aux étrangers ? Ne vaut-il pas mieux, au contraire, persister à ne l'accorder qu'à ceux qui se sont donné la peine d'acquérir la nationalité de leur pays d'accueil, prouvant ainsi leur souhait d'adhérer à ses valeurs démocratiques et républicaines ? Pour finir, c'est vrai que ce serait plutôt louche de la part de Hollande et de son gouvernement quand on sait qu'ils sont les grands favoris de la majorité des musulmans en France.

Tiens, en plus ça me fait remonter des souvenirs : En classe, l'instituteur avait le droit de frapper les élèves. Ceux-ci recevaient des coups de règles sur les doigts, et ils pouvaient être punis à demeurer plusieurs heures à genoux sur une règle triangulaire qui s'enfonçait peu à peu dans les chairs. Une cousine polynésienne avait un curé français pour maître de classe. C'était interdit de parler tahitien, les enfants surpris à le faire étaient punis à rester à genoux sur des morceaux de corail jusqu'à ce qu'ils soient en sang. Aucun cour sur la culture polynésienne : la fameuse leçon "Nos ancêtres les Gaulois" faisait partie du programme des écoles de Papeete et ses alentours. Etait-ce moral ? Entre nous... Régulièrement, des filles et des femmes se retrouvaient à la rue en France, pour cause de misère, fuyant un mari violent, ou bien parce qu'engrossées par un séducteur avant d'être abandonnées, et comme il n'y avait aucune aide sociale elles se retrouvaient dans une maison close, et tout le monde trouvait que c'était normal, il n'y avait donc pas de main tendue, surtout envers les "filles-mères" méprisées au plus haut point par cette société quelque peu barbare. Etait-ce moral ? Des hommes se sont retrouvés dans l'enfer du bagne pour un crime qu'ils n'avaient pas commis, ou pour un délit qui ne méritait pas le bagne. La guillotine allait bon train, des innocents ont du y passer suite à quelque bavure sans que nul ne s'en soucie, et même les "faiseuses d'anges" y avaient droit en ces temps où l'avortement était interdit. Les enfants à problème aussi avaient leur justice, qui se retrouvaient dans des maisons de correction où on les battait régulièrement, de pauvres petits périssaient sous les coups. Etait-ce moral ? Et on pourrait en parler pendant des heures de la moralité du "bon temps d'avant"...

Salut ! Donc, beaucoup de choses justes ont été dites, mais comme ton topic m'intéresse, c'est plus fort que moi, qui écoutais beaucoup les aînés dans mon enfance, d'où ma conclusion que leur temps n'était pas plus moral que le nôtre sur pratiquement tout, en plus de toute son hypocrisie : 1) Concernant l'adultère : en leur temps, une épouse infidèle à son époux était très mal vue, quand bien même elle n'était pas dans son tord, si bien que la loi a autorisé les maris cocus à tuer leur femme prise sur le fait jusqu'en 1971. Par contre, du temps de mes grands parents, les bordels existaient, et c'était tout à fait normal pour un homme -marié ou pas- d'y aller. On considérait que l'homme avait droit à une sexualité épanouie, avec d'un côté une épouse fidèle et soumise pour assurer sa descendance et s'occuper de son foyer, et de l'autre des putains sacrifiées au plaisir masculin, ou des maîtresses. 2) Le mensonge : la société d'autrefois baignait dans le mensonge. Parmi ses gens les plus respectés, les notables, le clergé et autres, on ne trouvait pas que des saints, voire pas du tout, et je peux te dire que DSK à l'époque n'aurait jamais été inquiété comme il l'a été pour une accusation de viol, parce que ça ne se serait jamais su. Pareil avec les prêtres pédophiles, évidemment qu'il y en avait, tout comme il y avait des pères incestueux, des instituteurs qui abusaient des enfants, mais pour l'équilibre de la société personne n'en parlait, même pas le docteur. 3) Pour le reste, la drogue, l'alcool, oui des gens tombaient dedans, et les milieux mafieux se portaient bien dans les grandes villes et les ports : Marseille, Paris, Lyon, Le Havre. 4) La violence : les élèves dans les écoles pouvaient être très violents, et il n'était pas une classe d'école qui n'eût sa tête de Turc. Bon, je m'arrête là mais je reconnais que les gens d'autrefois étaient plus sociables, qu'ils avaient la mémoire du coeur, et que la bonne éducation polissait les rapports entre les gens, ce qui évitait bien des conflits.

Les idées de gauche sont-elles plus proches de la raison que celles de la droite ? Cela dépend du contexte, de la situation... Léon Blum était un grand président socialiste, mais qui parfois a eu des volontés que l'on pourrait qualifier de droite, parce que la situation l'exigeait selon lui. Giscard d'Estaing, clairement président de droite, a quelquefois agi comme un homme de gauche, puisque de nouvelles aides sociales ont vu le jour sous son gouvernement (dont faisait partie Simone Weil, qui a lutté pour le droit à l'avortement).

C'est typiquement français : celui qui pense pas comme moi est forcément un con.

Le champ est une parcelle de terre cultivée, le pré sert à la pâture des bêtes.

Attention j'ai pas dit non plus que les gens qui avaient souvent le sourire étaient forcément de mauvais aloi, mais tu l'as compris je pense (je parlais pour certains, pas pour l'ensemble).

Paillette a raison, il y a des gens qui sourient peu parce qu'ils en ont bavé dans la vie, mais ça ne les empêche pas d'avoir un grand coeur et d'être sincère, tandis qu'il existe des enc qui ont toujours le sourire, mais évidemment à l'intérieur, c'est que de la m .

Pascaline qu'en avez-vous pensé ? Vous savez, la retraîtée de l'Armée de l'air (c'est celle qui s'est pris un boeing en pleine tronche en sortant d'un nuage...).

Comme moi Grenadine, moi j'ai surtout hâte de revoir le gros rougeaud -Thierry- !

Salut ! pour moi une seule manière d'être nolife : les pieds devant tout droit dans le trou, à moins qu'on ait choisi de se faire incinérer... Non mais, trêve de plaisanterie, cela dépend de chacun : ce qui est nolife pour l'un ne l'est pas pour tous, et vice-versa.

Madonna : encore une qu'aurait pas volé sa tarte à la crème en pleine face ! Le Gloupier où es-tu ?

J'aurais opté pour Prince of Persia mais dans ce jeu ya pas de saucissons dans les boucheries (ok, je sors, en courant)...:D

Les propose de Justine, la parigote, au sujet de Thierry : Après s’en être prise à sa rivale, Caroline, et Bertrand, largué depuis par un simple sms quelques semaines après la fin du tournage, l’apprentie comédienne se lâche sur Thierry, qui est la véritable attraction de cette émission à succès de « M6 », présentée par Karine Le Marchand. «Thierry a une fille ! Mais quelle femme à pu coucher avec ?!!!!! », balance-t-elle, avant d’aller encore plus dans ses propos, ciblant cette fois la famille de l’éleveur de vaches. «La famille de Thierry un grand moment ! Des échappés d un zoo et d un hôpital psy ! ». Et Justine, certainement la candidate la plus critiquée de l’Amour est dans le pré d’oser des comparaisons douteuses : « Thierry c est le frère d Émile Louis ? », s’interroge-t-elle. Pour celles et ceux qui l’ignorent, Émile Louis étant un tueur en série français. En 2000, il avait avoué avoir assassiné sept jeunes filles disparues dans les années 1970. Enfin bref, des propos plutôt méchant, et plutôt prétentieux... On n'en attendait pas moins de cette Justine, une pimbêche complètement imbue de sa fade personne, et qui en vérité a un total mépris de la gent rurale.