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Tout ce qui a été posté par Doïna
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ça c'est faut, évidemment que ça existe ! ça peut arriver à n'importe quel blanc qui n'a jamais fait de mal à une mouche et n'est coupable de rien.
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La paume d'une seule main ne fait pas de bruit. (proverbe chinois).
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100 % d'accord avec toi, Pampille !
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Une alternative : les abeilles solitaires (abeilles sauvages) Adoptez des abeilles sauvages et faites un geste pour la biodiversité : Les abeilles sauvages sont les reines de la pollinisation. On sait aujourd’hui qu’elles fécondent près de 70% des plantes à fleurs, et sont indispensables à la production d’innombrables cultures agricoles. Ce service naturel, vital pour notre avenir, est menacé. Aidez les abeilles de votre jardin ! A part l’abeille domestique et les bourdons, la plupart des abeilles sauvages sont invisibles pour les non-spécialistes. Elles ne vivent pas en essaim ; elles ne produisent pas de miel en rayons ; elles n’ont pas de ruche… mais aménagent des sortes de nids dans le sol, dans les trous des murs, dans les tiges séchées et les brindilles creuses – voire même, dans une coquille d’escargot… Autant dire qu’il faut avoir l’œil pour repérer l’évolution de leurs populations ! Et pourtant : Ces abeilles sauvages, dont il existe plus de 900 espèces recensées en France – et plus de 20 000 espèces à travers le monde ! – assurent à elles seules la pollinisation et la reproduction de près de 80 % des plantes à fleurs et permettent la production et la qualité d’innombrables récoltes à travers le monde. Les scientifiques pensent que ce service incalculable de pollinisation, offert depuis 140 millions d’années environ par les insectes pollinisateurs, est aujourd’hui menacé.<br class="manualbr">Une enquête menée par Jacobus Biesmeijer et William Kunin (université de Leeds, au Royaume-Uni) et une équipe de chercheurs britanniques, allemands et néerlandais a confirmé que la menace était sérieuse (1). En étudiant différentes zones en Grande-Bretagne et aux Pays-Bas, les scientifiques ont constaté que les abeilles sauvages paient le plus lourd tribut, avec une baisse de 52 % de leur diversité dans le premier cas et de 67 % dans le second, par rapport à la situation précédant les années 1980. Les chercheurs ont constaté, après 1980, une chute de la diversité des abeilles dans 52% des zones étudiées au Royaume Unis, et dans 67% des zones étudiées aux Pays-Bas ! Et en parallèle, un fort déclin de la diversité des plantes pollinisées par ces abeilles. Les scientifiques sont inquiets. L’étude suggère fortement que le déclin de quelques espèces peut déclencher une cascade d’extinctions locales parmi d’autres espèces associées. Pour Bernard Vaissière, de l’INRA, qui étudie les abeilles sauvages et la pollinisation depuis 30 ans, les raisons de ce déclin observable un peu partout en Europe et à travers le monde, sont multiples. (2) Pour les abeilles sauvages, il s’agit essentiellement d’une conséquence du remembrement et de la fragmentation des habitats naturels de ces abeilles ( Steffan-Dewenter et Tschantke 1999 ; Steffan-Dewenter et al. 2002). Et pour l’ensemble des espèces, c’est-à-dire pour les abeilles domestiques, les bourdons et les abeilles sauvages : il faut incriminer les changements de rotation – la réduction des surfaces de légumineuses fourragères par exemple – l’intensification des pratiques agricoles (Banaszak 1995), et les applications de plus en plus fréquentes et nocives de pesticides (Keven 1977 ; O’Toole, 1993). Bernard Vaissière demande depuis plusieurs années déjà que les tests nécessaires pour obtenir l’homologation des pesticides au niveau européen soient adaptés aux abeilles et pollinisateurs sauvages. Pollinis prépare une grande campagne de sensibilisation sur ce thème. Mais en attendant... Comment aider les abeilles sauvages dans votre jardin ? Pour aider toutes les abeilles – les centaines d’espèces d’abeilles solitaires, qui peuvent potentiellement peupler votre jardin, votre verger, votre potager ou vos champs, vous pouvez, vous à votre niveau, 1- Augmenter les sources de nectar et de pollen – plantez des fleurs natives, des herbes et des variétés traditionnelles. En les groupant (un mètre carré minimum), vous pourrez faire profiter les abeilles d’un véritable festin, et vous leur donnerez une bonne raison de rester dans les parages. 2- Ne stérilisez pas votre jardin : laissez un coin du jardin sauvage ; retardez le moment où vous allez tondre votre pelouse au printemps, pour leur laisser savourer les fleurs de trèfles, les boutons d’or, et toute les petites fleurs qui poussent en abondance d’un bout à l’autre du pays. La floraison des mauvaises herbes, avant l’ouverture des arbres fruitiers, est une précieuse source de nourriture pour elles ; ensemencez des fleurs sauvages. 3- Réduire ou éviter l’utilisation des pesticides (insecticides, herbicides et fongicides) autour des plantes en floraison. Et donnez un toit aux abeilles solitaires « hors-sol » ! Proposez un habitat qui leur convienne pour les encourager à s’y installer et à y faire leur nid. Les abeilles solitaires, de la famille des Megachilidae, cherchent des cavités hors-sol. Leurs nichoirs sont très basiques : il s’agit uniquement d’une série de tunnels, costauds, solides, parfaitement protégés pour résister à la pluie et aux changements de températures extrêmes. Vous pouvez fabriquer vous-même votre abri, ou l’achetez directement sur Internet. Dans un cas comme dans l’autre, Pollinis vous conseille d’aller explorer le site www.abeillessauvages.com pour vous faire une idée. Pour réussir à maintenir une belle population d’abeilles sauvages dans votre jardin, il y a des détails à ne surtout pas négliger. Les petits refuges à abeilles sauvages de Monsieur Betts Paul Betts étudie les abeilles solitaires depuis près de 10 ans, au fond de son jardin en Picardie. Ce passionné, biochimiste et féru de nature, fabrique des abris à abeilles sauvages qu’il teste chez ses voisins agriculteurs et maraîchers, et dans son réseau d’arboriculteurs du sud de la France avec qui il développe des techniques pour « repeupler » la France en abeilles locales. C’est un projet très ambitieux. « Je me suis demandé s’il était possible d’augmenter méthodiquement la population des abeilles sauvages ; de faire comme les apiculteurs, d’encourager leur reproduction, leur « enracinement » sur un terrain, en leur proposant des sortes de nichoirs spécialement adaptés à leurs besoins. Pendant des années, il va alors observer, bricoler, expérimenter, tester différentes conceptions de nichoirs et de tunnels, de matériaux et de structures différentes, pour comprendre les besoins de ces précieux insectes, et arriver aujourd’hui à fabriquer différents « refuges » et « châlets » à abeilles sauvages, parfaitement adaptés. Il entretient aujourd’hui une populations de 2500 « cocons » d’abeilles sauvages et solitaires sur son terrain. Et obtient des résultats tout aussi impressionnant chez les arboriculteurs qui ont adopté sa méthode et ses conseils, et qui ont compris l’intérêt de soigner les super pollinisateurs présents à l’état naturel sur leurs terrains. L’enjeu est de taille : 250 à 600 osmies (abeilles maçonnes) par hectare d’arbres fruitiers seraient capable d’accomplir le même travail de pollinisation que deux ruches d’abeilles contenant plus de 40 000 abeilles au plus fort de la saison ! N’hésitez plus : amis horticulteurs, maraîchers, amoureuses et amoureux des jardins et de la nature, adoptez des abeilles sauvages et favorisez la biodiversité en installant chez vous un chalet qui corresponde au mieux à leurs attentes ! Les refuges à abeilles sauvages de Paul Betts :<br class="manualbr">www.abeillessauvages.com Pour en savoir plus : (1) - Parallel Declines in Pollinators and Insect-Pollinated Plants in Britain and the Netherlands<br class="manualbr">J. C. Biesmeijer1, S. P. M. Roberts, M. Reemer, R. Ohlemüller, M. Edwards, T. Peeters, A. P. Schaffers, S. G. Potts, R. Kleukers, C. D. Thomas, J. Settele, W. E. Kunin (2) - Voir l’article "Abeilles, pollinisation et biodiversité", paru dans la revue "Abeilles et Cie" en 2005, et signé par Bernard Vaissière, Nicolas Morison et Gabriel Carré.
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Quels pays étrangers avez-vous déjà visité ?
Doïna a répondu à un(e) sujet de latin-boy30 dans Voyages
'lut, Française vivant en France : -Espagne, -Italie, -Suisse, -Bohème tchèque, -Allemagne, -Autriche, -Hongrie, -Iles Canaries, -Grande-Bretagne, -Jersey, -Belgique, -Thaïlande, -Malaysia, -Turquie, -Oman. -
Ah mais, il ne se plaint pas de son corps, c'est seulement qu'il aurait des "cheveux de merde", pour reprendre ses dires. Comment peut-on se laisser emmerder par ses cheveux avec toutes ces marques de teintures qui existent, tous ces gadgets pour se lisser ou se boucler les cheveux, tous ces produits miracle contre les pellicules, les fourches, etc.. Des problèmes de cheveux, ça peut toujours s'arranger, donc pas d'excuse petit !
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Change de club !
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D'accord pour le pognon, mais pour ce qui est de l'humour irrésistible et la belle gueule, euh, non ! Faut pas exagérer non plus.
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Si c'est à ce point-là, Blas, il va falloir que tu apprennes à t'aimer d'abord. Commence par prendre soin de ta personne : remets-toi aux bons soins d'un coiffeur-visagiste, essaie-toi dans différents habits pour trouver ce qui te va le mieux, fait du sport pour améliorer ta silhouette, etc.. Donne-toi six mois maximum pour monter la barre quelques crans plus haut. Après, ça ira mieux.
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Oui, il faut fréquenter des lieux où tu peux discuter avec des filles de ton âge, genre un club de sport mixte, un club de théâtre (mixte aussi, ça va de soi)... Et, bien entendu, chaque fois que tu t'y rends, te faire le plus présentable possible : sois classe, distingue-toi. Seulement, quand une fille t'accorde un brin de conversation, surtout l'inviter d'abord à un café, ne pas lui proposer de sortir avec de suite.
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ça t'arrive jamais de discuter avec une fille, et puis de lui dire "Tiens, j'aime bien discuter avec toi" et de l'inviter à prendre un café ou manger un morceau, pour amorcer une relation?
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La France est-elle un pays latin ? Partiellement ? Pas vraiment ... ?
Doïna a répondu à un(e) sujet de latin-boy30 dans France
Non, ce n'est pas dans le bon ordre. Il y a eu les gallo-romains avant les invasions germaniques. Et après c'est devenu un territoire franc, les Francs étant un peuple germain. Le mot "franc" vient d'ailleurs d'un terme germanique signifiant "tournoyant", peut-être à cause d'un rituel chamanique consistant à atteindre l'état de transe en menant une danse tournoyante, ou bien alors c'était un rituel guerrier pour impressionner l'ennemi avant le combat. Enfin bref, ce n'est pas la question. Pour ce qui est des influences : le latin a pris le pas sur la langue celtique, puis a survécu aux Germains. Le français est donc une langue latine fortement influencée par le gaulois, les langues germaniques, et plus tard sont venus s'y ajouter des termes italiens, espagnols, arabes, etc. en général par le biais du commerce. -
Est-ce que tu dragues, au moins ?
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Faut pas parler comme ça : dire "les gens sont cons parce qu'ils votent ceci ou cela", ça les désuni encore plus, et ça fait le jeu du pouvoir évidemment, qui se sent plus fort en régnant sur un peuple désuni. Il vaudrait mieux employer des termes rassembleurs, qui ne frustrent pas les uns pour intensifier la haine des autres... Enfin, c'est assez compliqué à expliquer. De toute façon, il va sans dire que l'inquiétude, la peur de l'avenir, le désespoir face au chômage, etc., ne peut pas rendre les gens meilleurs ou même réfléchis. "Un homme désespéré est un homme mauvais" dit un proverbe turc.Mais, peut-être que le destin du jeune Charlou est de réconcilier les gens ? D'être de ceux qui réconcilient ? Qui sait ?
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Lu dans un journal ce matin : Les Femens n'ont pas l'intention d'aller manifester seins nus devant une synagogue. Des Juifs crient à l'antisémitisme.
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Mais, que voulez-vous, il y a des gens qui bouffent grâce au racisme. Regardez Harlem Désir, il en a même fait son fond de commerce, il aurait même tendance à l'attiser pour se remplir les fouilles encore plus. Que serait devenu Harlem Désir sans le racisme ? Clochard, sans doute.
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Voilà bien un discours de jeune ! Moi aussi, quand j'étais jeune, je disais des choses comme ça : que j'avais honte d'être française, que la France était un pays de merde, etc.. J'étais de tous les défilés contre le racisme, je signais toutes les pétitions de SOS racisme, j'avais même la main "touche pas à mon pote" sur mon sac US pour aller à l'école. Il faut dire qu'à l'école, on nous bourrait bien le mou avec toutes ces histoires de racisme. Je n'avais jamais vraiment voyagé alors, et étais persuadée que l'herbe pouvait décidemment n'être que plus verte ailleurs. Cependant, le destin, las de m'entendre, a fini par combler mes vœux en m'envoyant bourlinguer de par le monde entier. Des odyssées qui ont achevé de m'ouvrir les yeux. J'ai donc appris que l'herbe n'était pas plus verte ailleurs, que les humains n'étaient pas meilleurs ni plus courtois qu'en France dans les autres pays... Et je peux te dire qu'en tant qu'étrangère dans de lointaines contrées où c'était moi qui n'étais plus de la même couleur que la majorité, j'ai subi le racisme, au même titre que n'importe quel black ou beur, ou jaune, pourrait le subir en Europe. De la misogynie pour couronner le tout, parce que dans certains pays, ce n'est pas un défaut, d'être misogyne, c'est même la normale. Aussi, puisque tu parles du FN, tu remarqueras que les pointes de ce parti dans les suffrages ont toujours fait suite à des attentas monstrueux : Le Pen père en 2002, quelques mois après le WTC, et Le Pen fille dernièrement, alors que la France entière ne se remettait toujours pas des évènements de Toulouse. Partant, j'aurais plutôt tendance à y voir, à travers ces scores du FN, de la panique, de la peur, du désespoir, de la colère, plutôt que du racisme. Donc, pour dire vrai, avoir honte d'être français ne signifie rien. Un Français n'est jamais qu'un être humain comme les autres.
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François Hollande confond la plaque d'égout avec le cercueil !
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Reprise d'une chanson d'Alice Cooper par Tori Amos :
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Moi, je veux bien prendre sa place, si vous êtes d'accord.
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Celle-là aussi :
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Salut Pako ! Ce que tu viens d'écrire me rappelle un conseil de Napoléon, qui disait "Pour devenir un grand homme, il ne faut avoir ni cœur, ni couilles".