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Doïna

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Tout ce qui a été posté par Doïna

  1. L’un des six hommes condamnés vendredi par la cour d’assises de l’Essonne au procès en appel des viols collectifs de Fontenay s’est pourvu lundi en cassation, a-t-on appris auprès de son avocate. Confirmant une information du Parisien.fr, Me Clarisse Serre a déclaré avoir déposé lundi matin le pourvoi de son client. Elle a évoqué «des problèmes de procédure» et rappelé que les accusés avaient contesté au cours du procès des déclarations retenues en gardes à vue, qui s’étaient à l’époque déroulées sans présence d’avocat. Ce trentenaire, marié et père de deux enfants, a écopé vendredi d’une peine de 5 ans de prison, dont un avec sursis, la justice l’ayant reconnu coupable de viols en réunion dans des cités de Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne) en 1999 sur Nina, une adolescente de 16 ans au moments des faits. En première instance il y a un peu plus d’un an, il avait été condamné à 5 ans de prison, dont 4 ans et demi avec sursis. Immédiatement incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis (Val-de-Marne) après le verdict, comme trois des autres condamnés, il «ne va pas bien du tout», selon son avocate. «Même dans le pire des cas, s’il était reconnu coupable, il ne s’attendait pas» à une telle peine, a affirmé Me Serre, avant de s’interroger : «Quatorze ans après, est-ce que c’est le sens de la justice ?» Elle a précisé ne pas exclure de saisir la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) une fois épuisés les recours nationaux. Les cinq autres condamnés ont jusqu’à mercredi pour décider de se pourvoir ou pas en cassation. Selon leurs avocats contactés par l’AFP, deux d’entre eux ne devraient pas le faire, tandis qu’un troisième n’avait pas encore arrêté sa décision lundi. (...)Suite, Libération
  2. Doïna

    On raconte que...

    Lucrèce Borgia : beaucoup de vilaines rumeurs tournent encore de nos jours autour de ce personnage, qu'on voudrait à tout prix sulfureux. Or, il n'en est rien, car ainsi que l'exigeait son époque, Lucrèce Borgia n'a jamais fait qu'obéir à son père et se soumettre à ses volontés. A l'instar de toutes les femmes nobles, elle n'était donc qu'un outil politique entre ses mains, mais n'a pas été la mangeuse d'hommes à la vie dissolue tel qu'on peut le lire dans certains livres ou le voir dans certains films. C'était tout le contraire en fait, et la politique de son père la rendit plus malheureuse qu'autre chose.
  3. Doïna

    On raconte que...

    Catherine de Médicis ne parvenait pas à donner d'enfants à Henri II, et avait recours aux médecines douteuses, souvent à base de plantes, des guérisseurs et alchimistes de son époque dans l'espoir de tomber enceinte. Cela finit par payer, mais suite à ces efforts une réputation de sorcière adepte de la magie noire lui colla à la peau. Cependant, contrairement à cette légende perpétuée, voire envenimée par Dumas lui-même dans son roman "La Reine Margot", Catherine de Médicis ne pratiqua pas de sacrifices humains et n'ensorcela personne à l'aide de statuettes de cire. On raconte encore qu'à l'aube qui succéda à l'effroyable nuit de la Saint-Barthélemy, Catherine de Médicis, sa petite famille et ses courtisans sortirent du Louvres pour se délecter de la vue des cadavres des protestants. C'est faux. A la révolution française, le dauphin, enfant de Louis XVI et de Marie-Antoinette, fut consigné à l'âge de huit ans au cachot à la tour du Temple. Des rumeurs ont couru, selon lesquelles des partisans à la couronne l'évacuèrent de là, dans un panier de linge sale selon les uns, dans une carriole de foin selon les autres, voire dans un cheval de bois. Plus tard, des imposteurs prirent la balle au bond et se firent passer pour Louis XVII. Pourtant Louis XVII est bien mort à l'âge de dix ans des suites de sa détention dans sa geôle obscure, glaciale et humide.
  4. Doïna

    On raconte que...

    Le masque de fer a fait courir la rumeur comme quoi il cachait le frère jumeau de Louis XIV.
  5. Doïna

    On raconte que...

    Une autre version au sujet de Raspoutine : les gâteaux étaient empoisonnés au cyanure, perdant ses effets toxiques au contact du sucre. D'où la résistance du personnage.
  6. Doïna

    On raconte que...

    S'il est permit de joindre le commandant Cousteau aux personnages historiques, alors je vous parlerai de la légende voulant qu'il fut toujours un fervent écolo défenseur de l'équilibre marin. C'est du moins ainsi qu'il s'autoproclama, mais à la fin des années trente, lui et ses compagnons "mousquemers" déchaînèrent la colère des pêcheurs provençaux. Motif : dingues de pêche sous-marine, ils décimaient les fonds marins à coups de harpons. A tel point que les autorités en vinrent à prendre la résolution de subordonner la pêche sous-marine à l'obtention d'un permis. Dans les années 50, ça continue : le coquin a besoin d'argent pour réaliser ses films. Qu'à cela ne tienne : il signe un contrat avec le pétrolier britannique British Petroleum, et s'engage à repérer pour son compte la présence d'hydrocarbures dans le détroit d'Ormuz avec les plongeurs de la Calypso. Puis, quelques années plus tard, c'est avec le groupe Pechiney qu'il signe un contrat, par lequel il s'engage cette fois à repérer en Méditerranée un site propice à l'enfouissement de déchets minéraux. Au diable les protestations des pêcheurs et des biologistes ! Et pour cautionner parfaitement Pechiney, il ira jusqu'à filmer des espèces vivantes dans des eaux toutes propres à proximité du fameux "dégueuloir" de ses usines, ce que le public prendra pour argent comptant jusqu'en 1993, lorsque les écolos révèleront au grand jour la célèbre "bouillabaisse", des boues rouges au large de Cassis, causées par la présence de 40 millions de tonnes de poussière de bauxite. Encore un mythe qui s'effondre.
  7. Doïna

    On raconte que...

    Le chevalier Bayard, sans peur et sans reproche ? Oui, si on exclut ses actes de barbarie, tel le massacre de la garnison de Caravaggio en 1523. Quant au reste, il passe pour un chaste qui ne se maria jamais, n'empêche qu'on lui connaît au moins un enfant naturel (une fille). Charles IX : lors du massacre de la Saint-Barthélemy, il ne tira pas sur les protestants depuis un balcon du Louvres. Je me souviens à ce sujet d'une plaque qui avait été apposée sous un balcon du Louvres, prétendant cela. Je ne sais pas si elle s'y trouve encore, toujours est-il que ce fameux balcon n'existait pas au temps de Charles IX, pas plus que sous le règne de ses frères par la suite. Il s'agit en vérité d'un balcon bâti seulement sous Napoléon III ! Louis XIV, selon François-Joseph de Lagrange-Chancel dans la préface de Jugurtha, mesurait cinq pieds huit pouces de hauteur, soit un mètre quatre-vingt quatre. Voilà de quoi démentir le quasi-nanisme attribué au Roi Soleil. Une fausse rumeur possiblement partie d'un cadeau empoisonné de la République de Venise : une armure d'un mètre soixante-cinq.
  8. Doïna

    On raconte que...

    L'Histoire foisonne de rumeurs. Celle du collier fut le point de départ de la chute de Marie-Antoinette. La reine Marie-Antoinette à qui on a attribué à tort cette cruelle parole : "Ils veulent du pain, mais qu'ils mangent de la brioche !". Ce qui est faux. La poule au pot d'Henri IV : les pauvres sous son règne n'y ont en réalité jamais eu droit. Ce n'était tout au plus qu'une intention -louable au demeurant- d'Henri IV, mais ce dernier a été assassiné avant d'avoir rien pu faire. Au moment de sa mort, le peuple mourrait de faim et la misère était extrême. La soi-disant tolérance d'Henri IV : Henri IV fut un souverain comme les autres, responsable d'exactions notamment en Franche-Comté, et aussi de chasses aux sorcières dans le pays basque. François 1er : contrairement à ce que même Wikipédia prétend (voir sa liste des personnalités mortes à cause de la syphilis), François 1er ne contracta jamais cette maladie. Il souffrit bien d'une blennorragie. Un mal qu'on ne pouvait soigner correctement à l'époque, et qui entrainait à la longue des complications, comme par exemple des oedèmes au niveau des "génitoires" et autres tumeurs. D'où la fin douloureuse de ce roi.
  9. Deux hommes ont été acquittés et six condamnés jusqu'à 6 ans de prison ferme, ce vendredi 13 décembre dans le procès en appel des viols collectifs de Fontenay-sous-Bois. Ce verdict est plus lourd que celui prononcé en première instance. Ces huit hommes étaient rejugés devant les assises des mineurs de l'Essonne depuis le 26 novembre pour des viols en réunion dans des cités de Fontenay en 1999 et 2001 sur deux adolescentes, Aurélie et Nina, 15 et 16 ans au moment des faits. Seuls les viols sur l'une des filles ont été reconnus La peine la plus lourde, 6 ans de prison ferme, a été prononcée à l'encontre du seul accusé qui ne comparaissait pas libre. Il avait écopé dans une autre affaire de trente ans de réclusion à l'automne 2012 pour le meurtre de son ancienne compagne. Les cinq autres condamnations s'échelonnent entre 5 ans de prison, dont un avec sursis, et 3 ans, dont 2 avec sursis. La cour a également prononcé deux acquittements, dont l'un à l'égard d'un accusé poursuivi uniquement pour les faits dénoncés par Aurélie, qui avait choisi en ouverture du procès en appel de ne plus être partie civile dans le dossier. Comme en première instance, seuls les viols commis sur Nina, présente pour assister au verdict, ont été reconnus par la cour, pas ceux allégués par Aurélie. L'un des hommes condamnés, déjà absent du premier procès, est toujours en fuite, probablement en Amérique latine. (RTL)
  10. Une ex-collègue de travail m'avait raconté que des gens de sa belle-famille se réunissaient de temps en temps dans leur salon, et s'asseyaient autour d'un guéridon pour pratiquer le spiritisme avec un ouija. Une nuit, ce guéridon s'était mis à danser tout seul dans tous les sens, un coup sur un pied, un coup sur l'autre, ce qui les avait grandement impressionnés. Je ne suis pas témoin de cette scène évidemment, mais je crois qu'elle disait vrai.
  11. Doïna

    Le cerveau a un sexe

    Dans l'article, on lit : Donc c'est la femme qui doit commander et l'homme accomplir ? Moi, ça me va.:smile2:
  12. Le problème avec Mélenchon, outre qu'il est trop dirigiste, trop démago, qu'il s'emporte pour un oui pour un non, peut virer à l'agressivité au quart de tour avec ceux qui ne pensent pas comme lui, c'est qu'il est pour l'Union Européenne mais contre les grandes fortunes, ce qui ne va pas ensemble et ne peut pas coller. Il est contre les gros patrons qu'il rêve de plumer, mais il oublie que l'Union Européenne a été conçue par et pour les gros patrons, pour que les riches deviennent encore plus riches et les pauvres encore plus pauvres. Avec Mélenchon au pouvoir, les derniers gros patrons qu'il nous reste, pour ne pas se faire plumer, fuiraient la France, rien de plus facile dans un espace économique ouvert. Ainsi, on se retrouverait définitivement sur le cul, et on n'aurait même pas le droit de se plaindre, parce que Mélenchon ne le supporterait pas.
  13. Doïna

    petit jeu: qui est-ce?

    On te pardonne : la famille c'est sacré !
  14. Doïna

    petit jeu: qui est-ce?

    Nous sommes le dimanche 1er décembre et il est 23h30. Tu nous as posé un lapin ?
  15. Doïna

    Ganglion douloureux sous l'aisselle

    Cela-dit, fait quand même un tour chez le doc, comme te le conseille Noisettes. On ne badine pas avec sa santé.
  16. Doïna

    Ganglion douloureux sous l'aisselle

    Eh bien voilà, c'est peut-être à cause du déodorant à boule. Surtout s'il s'agit d'un déodorant visant à limiter la transpiration. En gros, la transpiration ne pouvant plus s'écouler autant qu'il faudrait à cause du déodorant qui rétrécit les pores, s'accumule et s'épaissit sous la peau en petits kystes.
  17. Doïna

    Ganglion douloureux sous l'aisselle

    Bonjour, Ces ganglions qui apparaissent puis disparaissent, et sont douloureux quand on appuie dessus, pourraient bien résulter de l'usage de déodorants, notamment en spray, lesquels provoquent souvent de petits kystes sous la peau des aisselles. Ce n'est rien, et si tu penses que ça provient de là, utilise plutôt des déodorants PH neutre applicables au roll-on. Ou bien passe-toi de déodorant et quand tu as transpiré, lave-toi sous les aisselles avec un gant et du savon.
  18. Bonjour, Le bateau de l'enfer, la tragédie des esclaves du Zong 29 novembre 1781. Le bateau négrier Zong se dirige vers la Jamaïque, son voyage touche à sa fin. Voilà douze semaines, il a quitté la côte ouest de l'Afrique, et navigue depuis avec à son bord 417 esclaves entassés, ce qui représente une importante surcharge par rapport au nombre d'individus autorisé (plus du double, presque le triple en fait). Les ressources en eau sont en passe de s'épuiser. Pour couronner le tout, survient la maladie : des fièvres, des diarrhées, de la dysenterie et des accès de variole. Dans cette situation, le capitaine du bateau prend une grave décision, en se disant que les esclaves vont mourir de toute manière. En vue de mettre un terme à ses propres pertes, il décide que tous les esclaves malades, si bien ceux sans espoir de guérison que ceux légèrement infectés, seront jetés par-dessus bord. C'est que le voyage est assuré ! Cependant, et le capitaine est le premier à le savoir : l'assurance ne le dédommagera pas pour des esclaves malades ou même morts de maladie. Elle accordera par contre une indemnisation à hauteur de trente livres pour ceux noyés dans le but d'épargner le reste de la cargaison. L'ordre est donné : 54 Africains sont enchaînés ensemble, puis impitoyablement jetés par-dessus bord comme de simples marchandises gâtées. 78 autres sont noyés de la sorte les deux jours qui suivent. Entre temps, le navire a atteint les Caraïbes, et 132 personnes en tout ont été assassinées. De retour en Angleterre, les négriers du Zong vont réclamer leurs indemnités : ils revendiquent une compensation pour la valeur totale de chaque esclave perdu. Une réclamation qui serait honorée si un certain Equiano, un affranchi résident désormais en Angleterre, n'avait eu vent de la tragédie, puis alerté de ses amis abolitionnistes. La cour est instruite de l'affaire. En premier lieu, les jurés plaident en faveur des navigateurs. Considérant que la loi permet de tuer des animaux pour la sécurité d'un bateau, ils concluent qu'il n'y a pas de raison de ne pas faire de même dans cette situation avec des esclaves, qui ne représentent pour eux que des marchandises ordinaires. La compagnie d'assurance fait appel, et l'affaire est rejugée. Cette fois, la cour en décide tout autrement : les Africains à bord sont des êtres humains, ce qui remet tout en cause. ***************************************************************************************************************************************************** Lors d'un autre voyage, sur un autre navire, advint un accident similaire. En 1812, sur La Rodeur, se produisit un accès d'ophtalmie, une infection provoquant un aveuglement provisoire. Esclaves et équipage en furent l'un comme l'autre affligés. Mais le capitaine crut qu'il s'agissait d'une cécité permanente. En se disant que des esclaves aveugles seraient de toute façon invendables, et sans oublier ce que pourrait faire l'assurance pour le dédommager, il envoya sans ciller 39 esclaves à l'eau, les vouant à une mort inévitable. Source (+ Le Point pour quelques détails) Les navires du marché de la honte : Comme il s'agit d'un navire de commerce banal, il n'y a pas de modification particulière à prendre en compte. Pas besoin d'un bateau neuf, on considère même que déjà usagé, il suffira pour l'usage auquel il est destiné. Cela peut même être une fin de carrière pour un navire aux formes offrant une bonne capacité de transport ou offrant une bonne vitesse. Cependant, il faut qu'il puisse entasser dans sa cale les esclaves qu'il entend transporter. Il faut donc avoir un entrepont. Au besoin, il sera nécessaire de le construire, ou de rajouter des gaillards. La cargaison comprend en premier lieu 400 à 450 barriques, nécessaires pour plusieurs centaines de personnes pour une durée de 2 mois de mer au moins. On compte environ 3 litres d'eau par homme et par jour. En admettant un navire de 45 marins et 600 esclaves, c'est un peu plus de 145 000 litres qu'il faut stocker pour 75 jours de mer. On imagine l'importance qu'aura le tonnelier à bord et celle des travaux de manutention journalière. D'autant que l'eau se conserve mal, à bord. Challe le raconte : « ...au bout de 2 mois que cette eau est embarquée… elle devient rousse et tellement puante qu'il faut se boucher le nez. Elle reste 9 à 10 jours dans cet état ; après cela, elle s'éclaircit peu à peu, mais en s'éclaircissant elle conserve un goût très fade qui reste 8 ou 6 jours à se dissiper. Elle reste dans sa nouvelle pureté 3 semaines ou 20 jours. Sa rousseur la reprend, mais moins forte que la première fois. Il s'y engendre pour lors des vers gros comme la plus grosse paille vers la racine du blé. Ces vers sont d'un blanc grisâtre, le nez noir et ont de petites queues longues comme les 2/3 de leur corps, et le tout d'un bon travers de doigt. On passe cette eau et le linge les retient. Cela dure environ 8 jours. Ces vers meurent dans l'eau qui devient blanchâtre, à peu près comme du petit-lait. Cette eau se répure peu à peu, et redevient belle et claire, sans aucune mauvaise odeur ni dégoût que celui d'être remplie de petits vers un peu longs qu'on voit remuer comme des anguilles. Ils sont blancs, extrêmement vifs et si menus et si déliés qu'ils passent à travers tout et ne sont pas retenus par la plus fine mousseline pliés en 8 doubles, c’est-à-dire, 16 lits l'un sur l'autre… Voilà ce que les marins appellent les 3 maladies de l'eau… » Ensuite, c'est 18 mois de biscuits, soit 160 quintaux ; 20 barils de farine. En plus, on chargera 10 barils de bœuf, 10 quarts de lard, huile, beurre, morue, des légumes. Le vin, sur la base de 1,25 litre par marin et par jour, comprendra 2,5 tonneaux pour les officiers et 10 pour les marins. À côté de cela, pour une cargaison de 450 Noirs, on embarquera pour les nourrir 30 tonneaux de fèves, 100 quintaux de riz et 30 quintaux de gruau de Hollande. Selon la taille du navire, on embarquera aussi des animaux vivants, volailles, moutons, voire vaches, principalement destinés, dans l'ordre, aux officiers puis à l'équipage.
  19. Bonjour Le Merle,

    depuis le temps que je viens sur ce forum, toujours aussi enchantée de lire tes posts. Bonne journée à toi, bon week-end.

  20. Pourquoi ne pas la fabriquer toi ? Tu ne la maîtriserais que mieux. Avant de commencer une séance, renseigne-toi, trouve-toi des moyens de défense au cas où ça tournerait mal. Quand c'est un esprit malfaisant qui est attiré, il faut prononcer une prière à voix haute pour l'apaiser et lui demander de s'en aller (en t'excusant de l'avoir fait venir mais que ce n'était pas lui que tu attendais, que tu ne voulais pas le mettre en colère, que tu ne penses pas mériter son châtiment, etc.) puis purifier la pièce en brûlant de la sauge.
  21. Prix financier ? Mais non, ils n'avaient pas fait appel à un vaudou ou autre, ils avaient fait ça eux-mêmes avec l'aide de bouquin du style le Grand Albert, etc.. Et après, ils ont été harcelés par la poisse, comme si un esprit invisible s'acharnait sur eux. Jusqu'à parfois en tomber malade et en mourir.
  22. Dans le passé, j'ai connu 4 personnes qui ont eu recours à la magie noire (en invoquant de mauvais esprits je suppose) pour régler des différends familiaux, se venger de voisins ou autres bêtises. Ces 4 personnes en ont payé le prix, toutes !
  23. Doïna

    petit jeu: qui est-ce?

    Quelle heure t'arrangerait ? (Puisque personne ne répond).
  24. Doïna

    petit jeu: qui est-ce?

    Bonjour Kmille ! On t'attendait comme un messie.:smile2:
  25. Bonjour !

    J'ai lu quelques unes de tes interventions, et te trouve sympathique, d'où mon passage sur ta page.

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