-
Compteur de contenus
19 413 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
19
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par Doïna
-
Personnellement, je ne trouve pas le programme de Hamon utopiste. Je le trouve même supérieur à celui de Mélenchon en ce qu'il ne nous place pas en risque de frexit. Le frexit, que personne n'aille s'imaginer que ce serait facile et que ce serait un bien pour notre économie.
-
N'empêche, avec eux nous avons eu le rmi et personne n'a rien eu à dire, même pas que c'était utopiste !
-
Si Mitterrand était encore de ce monde, Valls aurait passé un sale quart d'heure, et à juste titre. Valls n'est plus qu'une courtisane, sans le maquillage et sans les dentelles, certes, mais une courtisane quand même !
-
Hamon de la gauche radicale ou Hamon socialiste tout simplement ? Valls se barre tellement à droite qu'il n'entend plus rien au langage des socialistes*, à tel point que quand il entend Hamon il trouve qu'il se radicalise. C'est Valls qui s'est radicalisé à droite, surtout ! Non mais, les principes de Valls, puisque tu en parles, c'est quoi ? De ne pas en avoir ? Depuis Sarkozy on nous rebat les oreilles avec la même histoire : il y a une dette alors il faut que les Français fassent des sacrifices. En vrai, le grand patronat et les grands actionnaires font plus de bénéfices que jamais, seulement ils veulent garder le magot. Ils veulent réhabituer les nouvelles générations aux injustices : souffrir au travail, c'est normal ; avoir de longues journées de travail, c'est normal ; travailler le dimanche, c'est normal ; que le patron soit libre de débaucher sans se justifier ou de sous-payer, c'est normal ; travailler plus pour gagner moins, c'est normal ; que le travail abîme la santé, c'est normal ; polluer l'environnement et les organismes, c'est normal, etc. Faudrait accepter tout ça, se plier à revenir en arrière au prétexte de la dette et parce qu'une élite aurait besoin d'en avoir extrêmement plus que les autres. Le discours de politiques comme Hamon ou Mélenchon diffère en ce qu'une partie des bénéfices doit rembourser la dette et que les patrons ont le droit de profiter de leurs gains, mais sans nuire aux salariés et sans réduire la partie qui revient au bien-être social. * Quand je dis "les socialistes" je parle du socialisme français, celui hérité de Léon Blum, pas celui de l'URSS, pas celui du XIX° siècle. Le socialisme français vise à réduire les inégalités, pas à supprimer les classes. Je dis ça en repensant à ton précédent message...
-
Si en 2012, Hollande avait annoncé la couleur sur la loi El Khomri, aurait-il été élu ? Est-ce que c'est pour ça qu'une majorité en a fait le président de la République à la place de Sarkozy ? Est-ce qu'en votant pour lui, ces électeurs pouvaient se douter qu'un jour une loi contre laquelle une majorité s'élèverait serait imposée malgré tout ? Après, c'est facile de balancer : les frondeurs se sont conduits comme des gamins mal élevés, irresponsables, mais non : ces frondeurs ont une conscience et ils étaient en droit de ne pas accepter.
-
A part ça, puisque tu te moques du socialisme, tu peux me dire, morfou, ce qu'il y a de républicain dans le parti du même nom ? Républicain, de république, du latin res publica = la chose publique, Etat dans lequel la souveraineté appartient au peuple par l'intermédiaire de représentants élus. Concernant ce parti, il s'agirait plutôt des Médefiens parce qu'en dehors du grand patronat actionnaire du cac 40, le restant du peuple ils n'en ont rien à cirer. Les cacarantiens (de cac40), ou Fillon et les cac40 voleurs, ou encore le PDFR -le Parti Du Fric Roi- lui irait mieux. Ou alors : les Ripouxblicains, tout simplement !
-
C'est toi qui comprend queue dalle justement puisqu'il a été question de la fronde au sein du parti socialiste, une fronde s'élevant justement pour défendre ces valeurs de gauche mises à mal par des carriéristes comme Valls et d'autres se réclamant pourtant du ps, mais sans convictions profondes. Valls peut toujours plaider sa cause en affirmant que c'est pour lutter contre le fn : Marine Le Pen a bien le dos large depuis quelques temps ! En vrai, il se tire chez Macron parce que le râtelier y est bien ravitaillé. De toute façon, il ne manquera pas aux vrais socialistes et Macron n'a pas l'intention de partager son foin avec lui.
-
Moi je te prends un article dans un journal neutre, et voilà ce que ça donne : Hollande prend deux fois moins de vacances que Sarkozy et Chirac Trop facile de prendre des articles dans des journaux politiquement orientés pour critiquer. Pour que ce soit fiable, il faut que le journal soit neutre, ou du moins ne publie pas d'articles pour faire plaisir à tel ou tel ensemble d'électeurs mais rapporte ce qu'il en est vraiment.
-
Encore un article de Contrepoints, journal orienté à droite qui s'est fait un fond de commerce en tapant sur la gauche. Mauvaise source, donc. Et puis comme le dit si bien Jacky, un président se déplace. Du reste, Hamon était frondeur en Hollandie, donc qu'est-ce qu'une telle info vient faire sur le tapis ?
-
Toi morfou, mets-toi à la place de Hamon : tu t'engages dans un parti ou un mouvement qui répond à ce à quoi tu aspires, qui correspond à tes valeurs, et puis une fois que c'est fait voilà que les chefs de ce parti ou les meneurs du mouvement se mettent à faire tout autre chose, des trucs qui n'ont plus rien à voir avec ce qui t'avais motivé à les rejoindre, qui te font horreur même parce que heurtant tes convictions. Qu'est-ce que tu choisis : suivre et obéir comme un mouton, ou bien te rebeller comme un humain ?
-
La justice sociale, l'égalité, la fraternité, le partage des richesses, la protection des plus faibles contre les forts, etc.
-
Dixit une partisane LR qui n'entend rien aux valeurs du socialisme. Car le socialisme représente des valeurs, et Hamon en a conscience depuis le début. Valls a été socialiste en surface jusqu'au pouvoir, après quoi il a levé le masque. C'est Valls qui a trahi le socialisme en faisant passer en force la loi travail. A compter de là, les frondeurs n'ont pas agi comme des traitres au gouvernement, mais comme des résistants contre une collaboration honteuse de faux-socialistes avec le médef.
-
C'est tout à son honneur. Hollande n'a pas été élu pour que Valls fasse passer en force une loi indigne de la gauche socialiste ; ce sont des agissements qui ont choqué les socialistes sincères, d'où une fronde bien méritée : on a des convictions ou on en a pas. Avoir une famille politique, certains savent ce que cela signifie et implique, Hamon est de ceux-là. On devrait faire un mur des traitres pour afficher sur un même panneau la gueule de tous ces faux-socialistes qui vendent leur âme au diable : mollards à volonté ! Valls n'est qu'un félon, un parjure, un minable, comme tous les carriéristes intéressés du ps qui ont continué à rejoindre Macron après qu'il ait craché dans la soupe en 2016, après qu'il les ait traité de boulets plus récemment. J'espère que Valls se retrouvera bien bas dans le parti d'En marche, que Bayrou lui marchera dessus tous les matins pour s'essuyer les pieds et que Macron le traitera comme une merde.
-
Quand elle se retrouvera avec des francs dans son portefeuille et que les prix auront grimpé en flèche, elle en reparlera (si elle est encore en vie). Peut-être même que tout sera devenu si cher que Marine Le Pen aura fait battre son cœur... pour la dernière fois.
-
L'Humanité n'est qu'un journal, et un journal ne peut représenter tous les électeurs de gauche. Hamon et Mélenchon ne sont pas des personnalités compatibles ; le parti socialiste et la France insoumise, ce n'est pas pareil : le premier est un parti qui se veut modéré, le second ne connaît pas la modération. Si les deux s'alliaient ce serait-là, vraiment, que le parti socialiste ne ressemblerait plus à rien. Pour l'instant le parti socialiste a chuté, le peuple est en colère : il se tourne vers l'extrême. Cela ne signifie pas que le parti socialiste est mort. Au contraire, avec les anciens frondeurs qui se sont élevés contre le libéralisme d'un Valls, d'une El Khomri, d'un Hollande et d'autres, il est redevenu ce qu'il aurait dû rester, il est redevenu le parti pour lequel une majorité a voté en 2012 sans se douter de la tournure antisociale que cela prendrait. Tous ses traitres s'en sont allés rejoindre Macron, tant mieux. Si le parti socialiste assaini de tous ces carriéristes ne passe pas en 2017, il a encore de beaux jours devant lui et repart maintenant sur de bonnes bases. S'il faut se farcir Macron pendant cinq ans, tant pis, ça sera toujours moins grave qu'un Fillon ou une Marine Le Pen qui veut nous sortir de l'Europe. Demain, Hamon rencontrera Angela Merkel, on verra bien. Lui saura faire preuve de diplomatie, fera tout pour convaincre sans heurts. Ce sera mieux qu'un Mélenchon déboulant avec ses "On en a gros !" qui vont mettre la chancelière allemande en boule plutôt qu'autre chose.
-
Dans le seul but de grossir son auditoire en vue de gagner des voix, il s'est assis sur les consignes de sécurité : c'est une faute ! Mélenchon fait passer sa campagne avant la sécurité des gens, il vient par conséquent de prouver une fois de plus qu'il était trop caractériel pour se voir confier le destin de la France ! De plus, quand lui a pris le caprice de faire installer cet écran (ce qui a foutu le bordel dans le quartier où un cirque a même dû retarder son spectacle) pas un de son équipe ne lui a fait remarquer qu'il ferait prendre des risques à ceux qui se trouvaient dehors, preuve que ce candidat s'entoure de moutons prêts à tout pour lui complaire : cet homme est dangereux, c'est un danger public !
-
Mise en cause par Mélenchon, la ville de Rennes contre-attaque Mélenchon assume l’installation d’un écran géant à l'extérieur du Liberté, à Rennes, pour son meeting, alors que les organisateurs n’en avaient pas l’autorisation. La ville, par la voix du premier adjoint Sébastien Sémeril, réplique et renvoie le candidat de la France insoumise à ses responsabilités. "Je présente mes excuses à tous ceux qui sont dehors. Pour une raison que je ne m’explique pas, on ne m’a pas donné l’autorisation d’installer l’écran qu’on a quand même installé. C’est la première fois que ça arrive. Dans toutes les villes, d’habitude, il y a une tradition de courtoisie républicaine qui fait qu’on accueille ceux qui viennent. Et puis, c’est la règle dans une grande démocratie, non ? On écoute tout le monde. Ma foi, des fois, on grommelle, mais c’est comme ça. Eh bien, pas ici. Tant pis. Alors, je suppose que vous ne le savez pas les gens qui sont dehors, bah vous n’aviez pas le droit d’être là ! Mais qu’est-ce que j’y peux moi ? Y en a autant dehors que dedans." Telles ont été les paroles de Mélenchon à la tribune. Rappelant les raisons du refus de la ville (demande tardive, présence d’un cirque et montage d’une opération sécurité routière sur l’esplanade de Gaulle) et le dialogue qui a précédé, Sébastien Sémeril, premier adjoint à la maire de Rennes, monte au créneau : "Les organisateurs du meeting ont décidé, sans autorisation et au mépris des risques pour la sécurité des personnes, d’installer malgré tout un écran et une sonorisation dans un espace dédié aux accès secours et aux flux piétonniers. Jean-Luc Mélenchon a beau jeu de présenter ses excuses aux personnes qui n’ont pu pénétrer à l’intérieur de la salle. En tant qu’organisateur, il est responsable du bon déroulement de son meeting. Il ne pouvait ignorer que la jauge de la salle est limitée à 5 000 personnes. Dans un discours démagogique, le candidat a accusé la Ville de Rennes d’avoir refusé d’installer un écran géant sur l’esplanade, alors même que son équipe de campagne savait que cela n’était pas possible. Rennes a toujours été attachée à la qualité du débat démocratique et au bon déroulement des campagnes électorales. Mais cela ne saurait exonérer quiconque du respect des règles communes." ********************************************************************************************************* Agressivité, irrévérence, démagogie, orgueil... tous les ingrédients de la tyrannie réunis dans un seul homme !
-
Je viens d'écrire à l'auteur de ce topic que je n'y participais plus -voir mon message ci-dessus- dont acte.
-
Le point sur la dette grecque est arrivée comme ça, au fil de la conversation, et je ne vois pas ce qu'il y a de mal à en parler puisque les problèmes liés à l'euro sont évoqués depuis longtemps dans les discours politiques, ceux de Mélenchon inclus. Alors c'est d'accord : pour moi, à partir de là, c'est bouche cousue, je ne participerai plus jamais à tes sujets, ne te lirai plus et ne te répondrai plus. Pour ta gouverne, tu devrais au contraire te sentir honoré que tant de forumeurs participent à ce qui devrait se vouloir un débat, mais n'est en fait qu'un message publicitaire au profit de Mélenchon, comme tous tes topics d'ailleurs. On aura compris que ce que tu attendais, c'était un concert de louanges en l'honneur de Mélenchon, pas que l'on vienne faire part de son avis, faire émerger des pour et des contres, du bon et du mauvais, enrichir la conversation par des comparaisons, des sources et des informations, comme cela se fait dans un débat entre gens civilisés. Pour ma part, je quitterai celui-ci sans avoir été convaincue par Mélenchon, même si j'accorde du bon à son programme, par la faute des comme toi, les allergiques au dialogue, les fanatiques extrémistes, les suppôts de l'autoritarisme. Car c'est un fait chaque fois qu'on a affaire à des individus d'extrême-gauche : sur cinq, on va en avoir quatre qui ne savent pas s'exprimer autrement que par l'emploi de paroles péremptoires, d'un ton condescendant, voire de rejet ou d'insulte, ce qui est purement anti-démocratique. C'est une mentalité prédominante chez beaucoup de ton parti et cela rebute. Quand on veut partager une idéologie, il faut savoir faire preuve d'une certaine amplitude d'esprit et ne pas se fermer aux contradictions. Je vais d'ailleurs te signaler parce que tes pratiques sont indignes de ce forum qui n'est pas ton blog.
-
Sauf que pour une fois, ce ne sont pas des promesses alléchantes mais des promesses rebutantes, on pourrait dire des menaces. Si on votait pour lui, par la suite il pourrait très bien les appliquer au prétexte que nous savions ce qui nous attendait, que c'était par conséquent ce qu'on voulait. Il n'y a pas de raison qu'il ne les applique pas, d'ailleurs, s'il est élu, puisque cela vise à enrichir ceux qu'il aspire à élever au rang d'élite : les grands patrons actionnaires, lui, ses pairs en politique, sans oublier Pénélope ! Du moment qu'ils s'en foutent plein les fouilles, qu'est-ce qu'ils en ont à cirer, ces gens-là, si l'existence des Français se résume à un sacrifice : bosser plus pour gagner moins, payer ses soins de sa poche, être à la merci de son patron et même du propriétaire de son logement, acheter ses produits plus cher, vivre dans un monde pollué... Ou alors c'est un nouveau concept : les anciens faisaient des promesses alléchantes, lui vient d'inventer la menace pour gagner des voix... Il nous prend pour des sado-masos, sans doute.
-
Trop facile d'accuser les Grecs à la légère. La valeur de la monnaie grecque était des plus faibles en Europe, et le passage à l'euro, monnaie forte, a été un choc dès le départ, qui a ébranlé son économie en profondeur, contrairement à des pays comme le Danemark ou l'Allemagne qui avaient déjà des monnaies fortes. C'est un problème de la zone euro : on est passé trop vite de la monnaie de départ à l'euro dans les pays où la monnaie ne faisait pas le poids. Il aurait fallu y aller progressivement, en créant par exemple un euro à la valeur qu'on connaît pour les pays qui pouvaient le supporter et un autre à valeur plus faible pour des pays comme le Portugal, l'Espagne, la Grèce... la France, tiens, pourquoi pas ! Ce passage à l'euro s'est de plus effectué dans un ensemble d'Etats membre sans harmonisation fiscale, salariale, etc. Certains pays ont même préféré conserver leur monnaie (comme la Grande-Bretagne, ce qui facilitera le Brexit, et la Roumanie). En tout cas, il eût fallu s'y prendre autrement !
-
Ce n'est pas un avis que je me suis fait à la légère mais qui s'est construit en lisant le programme de Fillon.
-
Le plan Fillon ne va pas créer d'emplois, il ne va faire qu'appauvrir davantage ceux qui le sont déjà, et enrichir davantage ceux qui le sont déjà.
-
Pour ça que le programme de Hamon est favorables aux énergies propres et aux productions locales. Il ne vise pas à endetter le peuple. Les robots, évidemment qu'on ne peut plus passer à côté, qu'il y en aura toujours plus, mais la population allant croissant c'est pour cela qu'il est important de créer une taxe sur les robots qui remplacent l'humain pour financer le ru et des formations valorisantes dont bénéficieraient les chômeurs, dont bon nombre sont lésés par la robotisation.