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Doïna

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Tout ce qui a été posté par Doïna

  1. Evidemment, mais il y a tout un monde entre celui qui a été élu pour décider, ou encore celui qui décide pour l'entreprise qui est son bien propre, et celui qui décide pour sa femme et sa fille parce qu'il est né homme, ce qui est une injustice sans nom. L'avis de la femme ou de la fille ne compte pas, ou du moins ne peut prévaloir sur le sien même s'il est plus sensé. C'est inhumain, parce que les femmes sont des êtres humains dotés d'une volonté, de sentiments, d'opinions et qui aspirent au libre arbitre. En Corse on n'en est plus non plus à l'époque où le père choisissait le mari de sa fille et où son destin était de rester au foyer. Je pense que si les femmes corses étaient du jour au lendemain privées du droit de vote, d'avoir un compte en banque, de faire des études, etc. bref d'être réduites à la condition d'éternelles adolescentes, je doute qu'elles aimeraient ça. En Iran beaucoup de femmes sont pétries de religion, ce qui en fait des cul-bénies de première, et qui représentent autant de boulets pour les Iraniennes qui aimeraient bien n'être plus astreintes au port du voile par exemple.
  2. C'est là où le bas blesse avec le patriarcat : le père décide pour les autres, or tous les hommes ne sont pas aptes à décider. En outre, c'est profondément injuste de confier à un seul le droit de choisir ce qui est bon ou pas pour les autres, surtout en matière de sentiment. Le patriarcat implique la domination de la moitié de la population sur l'autre moitié, comme si cette dernière était incapable de décider pour elle-même, et cela entraîne bien des malheurs et des souffrances. Cela entraîne, de fait, des "relations perverses" entre hommes et femmes. On aurait aimé, à part ça, que tu nous cites d'autres raisons, ou du moins que tu développes et illustres par des exemples celles invoquées dans ton dernier post, puisque celle du patriarcat ne te semble pas correcte.
  3. En fait, quand je parlais d'avoir conscience de l'appartenance du corps, je ne pensais même pas à l'IVG.
  4. Non ce n'est pas du discours préfabriqué, c'est une réflexion (ce qui implique d'y réfléchir) ! Tu prends n'importe quelle relation malheureuse entre un homme et une femme, que ce soit une histoire fictive (de la littérature, du cinéma, du théâtre, peu importe) ou réelle (actualités) tu constates que le patriarcat est derrière, tandis que dans les relations heureuses (idem : fictives ou réelles) entre hommes et femmes, le patriarcat n'y est pas, soi parce qu'il est absent de l'environnement (exemple : Le Lagon bleu) soi parce que refusé par le couple. Et je parle bien de patriarcat, pas de paternité n'est-ce pas ! Pour le reste, ce sont d'autres débats, et le droit à l'IVG ne tient pas qu'au fait que la femme soit maîtresse de son corps, d'autres raisons son impliquées. Mais ça c'est hors-sujet. Idem concernant le rôle imposé par la société du XXI° siècle : sur ce point les deux sexes sont égaux puisqu'on attend des deux qu'ils consomment et travaillent (dans la mesure du possible). Hors-sujet donc. Ici on est sensé parler des relations hommes/femmes, pas des relations salariés/entreprises ou du producteur au consommateur.
  5. En vrai, c'est le patriarcat qui rend les relations hommes/femmes intrinsèquement perverses. Sans patriarcat, la femme reprend conscience que son corps n'appartient qu'à elle et l'homme ne s'enferme plus dans un rôle imposé par la société. À partir de là, les relations entre les deux sexes n'ont plus de raisons d'être "intrinsèquement perverses".
  6. Quand je me sens triste, je pratique un sport qui me défoule : punching ball ou footing, ou je regarde la trilogie du seigneur des anneaux, ou je lis des psaumes.
  7. Bayer ils se sont fait la main sur les Juifs pendant la guerre : Pendant la Seconde Guerre mondiale, Bayer se livre au trafic d'êtres humains en achetant des déportés du camp d’Auschwitz pour servir de cobayes dans le cadre d'expérimentations à prétention médicale et de caractère confidentiel. Cinq lettres signées par les responsables de Bayer et destinées aux dirigeants du camp d'Auschwitz, rédigées en avril et mai 1943, ont été découvertes par un régiment de l'Armée soviétique lors de la libération du camp d’Auschwitz, pour l'achat de « lots de femmes » déportées. La première lettre indique le besoin de femmes déportées, en tant que cobayes pour expérimenter un soporifique. La deuxième stipule que le prix de « 200 marks est exagéré ; nous offrons 170 marks par sujet, nous avons besoin de 150 femmes. » La troisième demande : « Veuillez donc faire préparer un lot de 150 femmes saines. » La quatrième indique : « Nous sommes en possession du lot de 150 femmes. Votre choix est satisfaisant, quoique les sujets soient très amaigris et affaiblis. Nous vous tiendrons au courant des résultats des expériences. » Enfin, la cinquième et dernière lettre retrouvée mentionne : « Les expériences n'ont pas été concluantes. Les sujets sont morts. Nous vous écrirons prochainement pour vous demander de préparer un autre lot. » Après la guerre, lors des procès de Nuremberg, l'une des douze séances concerne directement le Procès IG Farben où plusieurs dirigeants d'IG Farben - dont Bayer était une filiale - sont condamnés pour crimes de guerre, entre 6 mois et 6 ans de prison. Bayer n'a pas fait l'objet de poursuites mais son personnel dirigeant a été limogé et IG Farben démantelé. (Source Wikipédia)
  8. Une mère de famille traîne Monsanto en justice : Sabine accuse le glyphosate, pesticide commercialisé sous la marque Roundup, d'avoir entraîné des malformations chez son fils de 10 ans. Le petit Théo vit avec une trachéotomie et va bientôt subir sa 52e opération. Pour Sabine, le glyphosate qu'elle a utilisé quand elle était enceinte est responsable des malformations de son fils. "J'ai eu vraiment une exposition très importante, exactement au moment où se formaient les organes qui ont été mal formés après", explique t-elle. Celle-ci utilisait du désherbant sur sa carrière d'équitation, soit 700 mètres carrés à traiter, deux fois par an, début juillet et fin août. "Aujourd'hui Theo respire grâce à un trou fait à la base de son cou et par lequel l'air passe. Toute la partie du larynx qui est au-dessus de ce trou est malformé, resserré, donc l'air ne passe pas" (...) Article entier
  9. Dans la Provence : les deux victimes étaient des cousines, âgées de 20 et 21 ans, l'une étudiante à Marseille, l'autre à Lyon. Cette dernière rentrait d'un agréable week-end dans la cité phocéenne. Jeunes, heureuses, respirant la réussite... belles aussi sans doute ; tout ce qu'il faut pour faire pisser du vinaigre à un paumé, un connard, un misogyne.
  10. Les victimes avaient 17 et 20 ans : elles avaient toute la vie devant elles !
  11. Comme c'est moche ! Vraiment triste deux femmes qui ne demandent rien et se font tuer de la sorte dans un lieu aussi banal qu'une gare, un beau jour de week-end. Toutes les personnalités politiques y ont déjà été de leurs tweets les plus bateau. François Hollande a pour sa part twitté "Toutes mes pensées et ma solidarité pour les deux victimes de l'attaque à Marseille. Notre vigilance doit rester maximale." Va pour tes pensées, Flamby, mais ta solidarité c'est plutôt superflu vu que les victimes sont décédées ! Quant à la vigilance, t'inquiète pas : nous autres gens du peuple qui n'avons pas d'escorte pour nous défendre comme dans votre sphère politique, ont fait gaffe !
  12. Il y a de grosses entreprises que ces taxes n'empêchent pas de faire du profit (j'ai cité plus haut Bernard Arnault de LVMH, un exemple parmi tant d'autres) mais qui délocalisent malgré tout pour profiter encore plus, pour complaire aux actionnaires que seul le profit intéresse, sans égard pour les employés qui vont se retrouver sur la paille. C'est surtout la prédominance de la cupidité sur l'humanité qui pousse à délocaliser. Or, quand un patron prend la décision de délocaliser non pas parce que son entreprise rame, mais par cupidité, pour se gaver encore plus alors qu'il ne sait déjà plus quoi faire de tous ses millions (ou milliards), c'est pathologique c'est de la folie obsessionnelle. Il faudrait à la rigueur l'interner pendant quelques temps pour qu'il soit aux bons soins d'un psychiatre qui le ramènera à la raison avec un traitement approprié.
  13. D'accord pour le droit à la propriété : on a le droit d'avoir sa maison, d'avoir son jardin, d'avoir sa voiture, etc. pour soi tout seul, mais quand avec la propriété, on a le destin de plusieurs personnes -les employés- en main, cela change tout : délocaliser, cela revient à jeter toutes ces vies qui dépendent de votre entreprise comme des mouchoirs en papier. C'est cela qui devrait être interdit.
  14. Doïna

    Affaire Grégory

    Affaire d'honneur pourquoi ? Parce que Thérèse, la mère de Laroche, avait pécho avec Albert, le père de JMV ? Et que Laroche ça lui restait en travers de la gorge d'être un fils de cocu ? Si une femme ne peut plus disposer de ses miches sans que ça génère une vendetta monstre, alors !
  15. Mais la vie était quand même moins chère que maintenant, ne serait-ce que le prix de l'essence. En plus, à l'époque, il n'y avait pas de tva je crois ? Enfin, moi j'ai gardé le souvenir d'un couple dans les années 70 : lui ouvrier, elle couturière. Ils ne manquaient de rien, avaient la voiture, partaient en vacances. Je connais un couple aujourd'hui : les deux travaillent, lui manutentionnaire à la sncf, elle femme de ménage. Ils ont la voiture aussi mais rognent sur tout et ne peuvent partir en vacances. De nos jours, les moyens de communication courante : mobile, internet, génèrent des factures en plus, cela dit. On n'avait pas ce problème-là dans les années 70.
  16. Il est vrai que mes aînés vivaient dans une zone à forte concentration industrielle, avec de nombreuses fabriques (auto, électro-ménager, raffinerie de pétrole, etc.) donc du travail, ils pouvaient en trouver sans tomber sur des patrons trop regardants. Cela dit, c'est indéniable qu'il y avait plus de travail avant les années 70.
  17. La bourse on pourrait difficilement passer à côté, mais quand des grands patrons exigent trop, qu'ils menacent de délocaliser une boîte juste pour faire plaisir à des actionnaires alors qu'elle se porte bien, il faudrait que l'Etat s'autorise à la nationaliser. Aussi, ne pas remettre en cause l'isf : après tout, quand on gagne quinze millions ou plus par an et qu'on possède des milliards en placements, ce n'est pas cet impôt qui va vous mettre sur la paille. Et puis continuer à lutter contre les placements off-shore de type Panama papers. Exemple : un type comme Bernard Arnault qui fout à la porte ses employés du site Ecce de Poix-du-Nord pour délocaliser dans un pays de l'Est, ce serait normal que l'Etat intervienne et lui dise "Non, non, tu délocalises rien du tout ou alors c'est l'appropriation".
  18. Personnellement, j'ai toujours entendu mes aînés dire qu'en leur temps, quand ils en avaient marre de leur patron, ils pouvaient lui dire d'aller se faire cuire un œuf et trouver un autre boulot ailleurs avant la fin de la journée. Ils n'avaient même pas besoin d'agence comme pôle emploi puisque pouvant trouver assez vite en faisant du porte-à-porte ou par le bouche à oreille. Jusqu'au choc pétrolier des 70's ils n'avaient pas cette pression de craindre leur emploi à tout moment et cette crainte du chômage. Maintenant cela a bien changé : on ne se fait plus vraiment d'amis sur son lieu de travail, chacun étant prêt à bouffer l'autre pour conserver sa place.
  19. Vade retro Monsanto ! Le refus de Monsanto de venir répondre aux questions des eurodéputés lui a coûté son droit d’entrée au Parlement européen. Les lobbyistes de Monsanto vont trouver porte close au Parlement européen jusqu’à nouvel ordre. La conférence des présidents – qui rassemble les chefs de file des différents groupes politiques de l’institution – a décidé de retirer à l’entreprise américaine son droit d’accès à l’enceinte parlementaire. « Nous venons de refuser officiellement l’accès au Parlement aux lobbyistes MONSANTO. Cette décision a été prise en conférence des Présidents le 28 septembre » a expliqué Marc Tarabella, chef de délégation PS au Parlement dans un communiqué. La décision du Parlement fait suite au refus du géant des pesticides de se rendre à une audition organisée par les commissions parlementaires à l’agriculture et à l’environnement le 11 octobre sur les Monsantopapers et le glysophate. Les eurodéputés comptaient demander des explications à la firme sur les révélations des Monsanto Papers, ces 250 pages de documents confidentiels déclassifiés par la justice fédérale américaine en mars derniers, révélant les inquiétudes exprimées par Monsanto au sujet du potentiel mutagène du glyphosate dès 1999. Article entier
  20. Doïna

    Affaire Grégory

    Au départ, c'était les grands-parents Villemin qui étaient visés, puis cela s'est dirigé vers le fils préféré du grand-père Villemin, Jean-Marie : l'un visé, puis la personne qui lui semble la plus chère, et ainsi de suite puisqu'à la fin c'est l'enfant de JMV qui a été assassiné. En somme, le corbeau accable l'un, puis voyant que cela ne suffit pas à le faire ployer il s'en prend à la personne qui compte le plus pour lui. Il avait d'ailleurs testé JMV au téléphone, disant qu'il s'en prendrait à sa femme Christine d'abord, puis constatant que JMV ne perdait pas son aplomb avait dit ensuite que c'est à son fils qu'il s'en prendrait. Concernant le "cadavre dans le placard", JMV l'a dit lui-même que le corbeau était au courant de secrets de famille que lui-même ignorait. Des secrets que les grands-parents Villemin connaissaient, eux, et avaient tus jusqu'à ce que le corbeau balance. Pour finir, pourquoi un deuxième "bâtard" a été évoqué ? On sait que Jacky était le demi-frère de JMV. Le corbeau a-t-il voulu faire peur aux autres de la fratrie en leur faisant se poser des questions, ou bien y a-t-il eu réellement un autre fils qui n'était pas d'Albert Villemin ? Cela ne pourrait être Jean-Marie, qui ressemble beaucoup physiquement à son père. Alors Michel ? Ou alors, par "bâtard" le corbeau sous-entendait quelqu'un qu'il ne respectait pas, ou quelqu'un d'assez vil pour rapporter tout ce qu'il savait à Laroche (encore Michel). Les Jacob ont toujours été de simples ouvriers, et de savoir que JMV avait été promu contremaître bien que très jeune, ça n'en finissait plus de leur faire pisser du vinaigre, tout comme Laroche d'ailleurs, jaloux de son emploi, jaloux de sa jolie femme, jaloux de son fils en excellente santé.
  21. Je me suis intéressée à la biographie de Marcel Dassault, grand patron et milliardaire : élevé à la dignité de Grand-Croix de la Légion d'honneur -plus haute distinction française- en 1956, il n'a cessé de créer de l'emploi, a aidé des artistes qu'il admirait (Chantal Goya, Le Luron), a distribué ses bienfaits au pays. Des rues, des lycées, un parc, une promotion portent son nom... Sans commun avec les grands patrons actuels, qui ne pensent qu'à leur gueule, sont grossiers, ingrats, ne font rien pour leur pays, pire : se fichent de leur pays où ils sont prêts à foutre des employés à la rue pour délocaliser dans un seul et vil but de profit, eux qui profitent déjà tellement. Aucun apport à la culture avec cela, fini les mécènes bienveillants. Le sport peut-être, surtout le foot qui rend plus bête. J'imagine mal un lycée ou un parc portant le nom de Pierre Gattaz ou un autre du même acabit.
  22. On peut prendre le problème autrement. On peut reconnaître que les élus en place ont tout intérêt à ce qu'un parent isolé ne bosse pas parce que ça obligerait à débloquer des fonds supplémentaires pour ouvrir des crèches, garderies, centres aérés, plus le personnel à embaucher, les charges à payer, etc. Ce qui fait qu'au bout du compte, le parent isolé qui ne travaille pas coûte moins cher à la société que celui qui veut à tout prix le faire, à moins que ça se passe comme dans certains pays : pendant que le parent isolé bosse, le gamin traine dans la rue sans surveillance, à ses risques et périls.
  23. Non parce qu'il faudrait néanmoins prouver le besoin avant d'avoir droit à l'aide concernée. Il y aurait toujours des méthodes antifraudes. En outre, si on commence à s'inquiéter des fraudes potentielles on n'avance plus, parce que des fraudeurs, voleurs, malhonnêtes, il y en aura toujours et partout, tant que l'humanité sera. Les pires fraudeurs demeurant ceux du haut de l'échelle qui s'approprient de grosses sommes au réel détriment de la société, c'est sans comparaison avec le petit fraudeur qui resquille quelques miettes par-ci, par-là.
  24. Ce ne sont pas tous les entrepreneurs qui sont dans le viseur. Les patrons de petites ou moyennes entreprises ne sont pas concernés, ce sont les grands patrons du cac40 qui sont visés parce qu'ils mangent trop mais en réclament toujours plus. Quand Hollande a été élu ils ont réclamé -c'est la période où Gattaz s'affichait avec le badge 1 millions d'emplois- mais il n'y a pas eu de contrepartie, promesses non tenues donc. Ce sont encore ces grands patrons du cac40 qui délocalisent des entreprises non pas parce qu'elles ne rapportent pas, mais pour faire plaisir à leurs actionnaires ou tout simplement pour aller se gaver un peu plus ailleurs. C'est le grand patronat qui enfume, au départ. Et ce sont surtout des politiques de droite qui se rangent de leur côté, question d'intérêts, d'où des discours présentant les "assistés" comme responsables d'une crise dont ils sont les premières victimes en réalité. Les autres -salariés et patrons de petites ou moyennes entreprises- subissent aussi le poids de l'avidité du grand patronat. Pas la peine, donc, d'accabler les "assistés" : ils n'y sont pour rien, ce n'est pas de leur faute si le système dépend trop du grand patronat et de l'actionnariat qui va de pair. Ou alors, si on veut à tout prix ignorer la faute du grand patronat tout en trouvant des boucs émissaires, eh bien pendant qu'on y est on a qu'à pointer du doigt le secteur tertiaire tout entier, qui ne produit rien hormis des services. On a qu'à dire "ils produisent du vent alors ils sont responsables". On n'a qu'à pointer du doigt aussi les retraités en décidant qu'ils vivent trop longtemps, et puis les fonctionnaires, et ainsi de suite. C'est facile de trouver des coupables !
  25. Hier l'avocate des De Araujo a parlé de dédoublement de la personnalité du suspect, qui joue un rôle : brave gars avec ses proches directs (frère, mère), il est connu comme odieux et instable, capable de devenir violent (ainsi l'ont décrit ses anciennes petites amies, ses anciens employeurs...). Le syndrome du docteur Jekyll/mister Hyde. Reste à espérer que si sa propre mère s'adresse à lui, elle saura trouver les mots pour rassembler les deux. En fait, c'est un gros malade.
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