Passiflore

Ohlala oui, Il en a dit tant et tant !!!

Des fois que t'aurais pas compris !

Pareil avec la chienne berger allemand de l'une de mes amies avec le mot "promenade" ! Vers la fin du repas, elle vient fourrer sa bonne grosse tête sous mon bras, regarde si on a enfin fini et... on n'a pas intérêt à dire ce mot ! On ne le dit qu'au moment de partir en promenade !

Attention attention, tu joues avec le feu !

Ton mari ne t'écoute que d'une oreille et ne prend pas en considération ce que tu lui dis et cela te mine, c'est compréhensible. Tu recherches l'écoute auprès d'autres hommes et ta libido non-assouvie (ou insuffisamment assouvie) te perturbe, il est à craindre que tu finisses par craquer pour tel homme ou tel autre si rien ne change avec ton mari. Ton couple semble en danger, prends garde !

Penses-tu l'aimer encore, ton mari ? Il semblerait que tu ne ressentes du plaisir avec lui que lorsque tu penses à un autre homme, c'est cela ? Si c'est effectivement cela, y'a un problème.

La souffrance accompagnant parfois la mort (en cas de mort violente) me fait peur, j'avoue mais pas la mort en elle-même. J'aimerais mourir pour une noble cause ou bien parce que je serai arrivée à la fin de l'hiver de ma vie mais ça m'ennuirait prodigieusement (c'est con hein, de parler comme ça !) d'avoir une mort idiote (suite à une erreur stupide ou une faute d'inattention ou que sais-je).

Oui car c'est une vie qui s'achève et à part si l'on est accablé de souffrances, personne n'a hâte d'arriver au terme de son voyage existentiel. J'aime l'image de la bougie qui s'éteint et l'expression "rendre son dernier souffle"...

T'as pas compris le sens de mon propos, pas grave.

Merci de m'avoir confié cela. Donc pour toi aussi la mort n'est qu'un "passage" de cette vie à une autre, spirituelle et non plus charnelle.

Tu as su percevoir les mots cachés, lire entre mes lignes, ces mots que je n'ai pas écrits car la rubrique n'est pas appropriée pour. Merci. Et oui il s'agit bien de cela: remettre mon âme à Dieu. C'est pourquoi j'aimerais être parfaitement consciente en cet instant.

Pareil pour moi et de toute façon, ce n'est pas moi qui déciderai. "Advienne que pourra", oui...

Ce n'est pas du tout ainsi que je comprends cette expression. "Vivre sa mort" (en tout cas selon moi) c'est être pleinement conscient que l'on est en train de "partir", on vit l'instant et j'aimerais qu'il en soit ainsi pour moi.

Moi aussi.

Vous vous aimez et c'est cela qui importe, tu verras bien plus tard s'ils changent d'attitude envers toi. Voyant que ton copain reste avec toi et es heureux avec toi, peut-être finiront-ils par t'accepter, sait-on jamais; le rôle de ton copain (ce qu'il leur dira en faisant son possible pour te faire accepter, voire aimer) sera déterminant, en est-il conscient ? Pour le moment ils te rejettent et sont injustes et odieux avec toi (d'après ce que tu relates) alors ne leur rends plus visite, comme tu as l'intention de le faire; il FAUT se préserver des personnes nocives à son bien-être. Es-tu sa première copine ?

Merci zeyas pour ce message gentil tout plein qui met du baume au coeur ! Oh moi ça va, de la zenitude j'en ai à revendre ou plutôt, à donner à qui qu'en a besoin, à qui qu'en veut, ma mienne (ma zenitude) n'est pas oubliée au fond d'un placard ! Elle est là regarde, elle fait partie de moi, alliée fidèle de mes journées venant à la rescousse si nécessaire ! Ce matin j'ai ENFIN réussi à faire sortir une mamie de sa résidence pour la faire marcher un peu au soleil, alors je suis contente !

À ce moment-là c'était lors d'un jeu mais... comment réagira-t-il lors d'un réel désaccord ? Se permettra-t-il ce genre d'insulte à chaque fois qu'il ne sera pas d'accord avec ce que tu fais ou dis ? Tu devrais lui faire part de ton inquiétude à ce sujet et lui exprimer que tu ne tolères pas que l'on te parle de cette façon, que tu l'excuses pour cette fois-ci mais que tu attends de lui que cela ne se reproduise pas.

Tu sembles tout à fait à l'aise sur ce plateau de télévision, bravo ! Cette histoire de processeurs avec des neurones humains m'inquiète un peu, j'avoue...

J'espère néanmoins pour vous que depuis, vous avez eu maintes occasions de sourire et de rire !

En prison évidemment, d'autres chirurgiens se chargeraient alors de sa patientèle et donc aucun patient n'en perdrait la vie. On a dit pareil mais de façon différente !

C'est une méthode pratiquée par certains parents. Pour ma part je préfère la notion de donnant donnant (dans le sens: si tu désobéis, ne t'attends pas à une récompense) et la punition si nécessaire (sans châtiment physique cela va sans dire mais je préfère le préciser). Il faut bien reconnaître que certains adultes ne feraient rien si une "carotte" ne leur était pas tendue. Quant au "bâton", il faudrait de l'autorité, de la fermeté et une justice efficace si l'on voulait vraiment remédier au gravissime problème de l'insécurité et de la violence: si vous commentez tel et tel délit, voici quelle sera la réponse judiciaire qui sera donc en fonction de la gravité de ce que vous commettrez.

On ne peut faire le Mal au nom du Bien; si on agissait en pensant faire ainsi, on n'aurait rien compris au Bien. Quand bien même on lui tendrait le "miroir de lui-même", il n'est pas certain qu'il verrait ce qu'il serait censé voir: le visage du Mal.

On aurait envie qu'un tortionnaire subisse ce qu'il a fait subir à ses victimes, afin qu'il comprenne les atrocités qu'il a faites...

Voilà oui car la vie nous apprend tant et tant de chose du début à la fin, selon son chemin existentiel !

Ah vu comme ça d'accord, les éléments de son bonheur changeront, s'enrichiront ou au contraire s'atténueront au fil de la nouvelle journée... ou pas, tout dépendra de ce que l'on vivra lors de cette journée. L'essentiel étant que quoi qu'il se passe, quoi que l'on vive on ne le perde pas en route, son bonheur... qu'il ne soit pas oublié au bord du chemin.