Passiflore

Vous, vous avez un parti pris contre les coqs ! Je vous taquine car en fait je comprends un peu votre exaspération à leur égard. Il y a quelques années de cela, des voisins ont mis exprès (si si, c'est tout à fait leur genre, je n'accuse pas sans raisons !) un coq non loin de nos fenêtres et l'été, il s'égosillait tant et plus et ce, très tôt le matin et j'avoue que ça m'horripilait quelque peu. Eh bien ça n'a pas duré longtemps car exaspérés tout autant que nous sinon plus, leurs fenêtres étant aussi du côté de leur coq, un beau matin grand silence et plus jamais on n'entendit le coq, je ne sus jamais ce qu'il était devenu !

Un jour peut-être, en tout cas je vous le souhaite, sincèrement.

Je crois bien que je préfère encore le chant du coq, si répétitif soit-il !!! Fenêtre de votre chambre fermée, vous l'entendez au point de ne pas pouvoir dormir ??

Ayant un idéal masculin et étant exigeantes quant aux qualités que devra impérativement avoir leur compagnon de vie elles savent attendre, ne se jetant pas sottement sur le premier beau garçon qui passe. Pas faux ; on est en train de créer un monde où les femmes pensent pouvoir se passer des hommes et... je trouve cela bien triste, navrant...

Ah mais je n'exagère pas !! Certains jours d'été je t'assure, le coq de la ferme d'en bas s'égosille toute la journée !! Bon c'est en journée, alors ça ne me dérange pas tant qu'ça.

Oui bien certains coqs s'égosillent toute la journée ; y'en a des comme ça dans ma campagne.

C'est vraiment ce que vous pensez ?? C'est en en étant éloigné que l'homme serait mieux à même de les comprendre ?? Faut reconnaître que votre "logique" ou plus exactement votre mode de pensée, laisse par trop souvent pantois-e. En d'autres termes, cela rejoint mon point de vue.

Pour moi c'était la mode des kilts écossais avec la grosse épingle dorée et le chandail assorti mais j'aimais bien et je me suis toujours sentie et perçue "fille", oh que oui !!

On a été tellement choqué par le crime atroce de sa femme et l'attitude abjecte de Daval lors des faits et suite à son crime que l'on pense, peut-être à tort, qu'il s'agit là d'une affaire similaire... Attendons le résultat de l'enquête criminelle. Plus le temps passe et plus les chances de retrouver cette jeune femme vivante s'amenuisent...

D'après vous, pourquoi les femmes ne s'intéressent pas à vous ? Est-ce purement physique (votre physique peut rebuter) ou est-ce autre chose ? Viennent-elles à vous, intéressées par ce qui émane de vous puis se détournent, déçues, leur intérêt pour vous retombant très vite ? Essayez de nous expliquer, s'il vous plaît et seulement si.

Psssssssstttttt à ta place, j'aurions évité de lui poser cette question-là !!!........

.... spirituelle !! L'élévation spirituelle se doit de passer par cette pénétration-là, sinon pas d'élévation spirituelle possible !! Ainsi parlait Zarathou euh... hell-spawn !!

Mais ouiii mais ouiii mais je vous en prie cher monsieur, ne vous privez surtout pas de ce plaisiiiiir et... grand bien vous faaaasse !! Comme tu dis, riiiire !! Y'en a à qui tu n'risques pas de toucher cet orifice-là !!

A plus forte raison pour ceux pour qui cette pratique serait inconcevable pour eux-mêmes (selon le fameux : "ne fais pas à d'autres ce que tu n'aimerais pas qu'on te fasse à toi-même").

Voilà, tout simplement. Au fur et à mesure que tu avanceras sur ton chemin de vie, des situations et des personnes le jalonneront ; tu auras alors à faire des choix et tu feras ceux te convenant, ceux qui t'apporteront bonheur et joie et qui donneront tout son sens à ta vie.

Contente que vous ayez compris mon point de vue.

Et puis il y a les autres, ceux d'une troisième catégorie, les pas forcément anti vaccins, les juste inquiets qu'on leur inocule un vaccin peu fiable - il y a à peine plus d'un mois, on nous disait qu'il n'y aurait pas de vaccin avant au moins fin 2021 et du jour au lendemain, on nous sort un vaccin dont on nous rebat les oreilles, normal que cet empressement à vacciner en masse inquiète ! - dont on ignore les éventuels effets secondaires et qui préfèrent attendre ; j'ai d'ailleurs questionné à ce sujet mon médecin cette semaine, elle m'a dit qu'il serait mieux d'attendre, au moins jusqu'à l'été 2021. Je fais partie de cette catégorie-là.

C'est ce qui m'est immédiatement venu à l'esprit à moi aussi...

Je préfère effacer, trop personnel...

Peut-être vous accrocherez-vous à la vie avec toute l'énergie du désespoir... comme peut-être moi aussi je ferais en pareil cas. En fait, on ne sait pas comment on réagirait quand on n'y est pas confronté... Là maintenant je vous dirai que non, je ne m'accrocherais pas à la vie mais qu'en sais-je ? La mort en elle-même ne me fait pas peur, elle est passage (selon ma croyance, ce qui n'engage que moi) entre la vie ici-bas et l'après-vie ; c'est la souffrance accompagnant parfois la mort qui me fait peur mais pas la mort-passage.

Pas faux et même très vrai, ce que vous dites là... Dans notre profession nous sommes pleinement conscientes que ce que nous faisons auprès de très vieilles personnes relève d'une forme de "maltraitance", lorsque chaque matin nous venons les aider pour leur toilette et qu'elles manifestent leur agacement face au récurage, comme elles disent : "pourquoi vous me récurez comme ça ?" Notre tâche est de les tenir propres, c'est ainsi et bien souvent ça leur cause du désagrément car elles n'en ressentent pas la nécessité...

Je me souviens d'une dame très âgée m'ayant dit un jour, non sans une lueur de méchanceté dans son regard encore vif : "un matin, c'est vous qui me trouverez morte dans mon lit, à votre arrivée". "Chiche ?" lui ai-je répondu, sur un ton que j'ai tenté de rendre amusé. En fait elle est morte quelques jours plus tard, seule et c'est sa fille qui l'a trouvée ce matin-là...

Oh vous savez, je n'ai rien d'admirable, je fais juste ce que je fais avec mon coeur, avec ma sensibilité.

Cela aussi. Le coup de grâce achevant les vieilles personnes dont je m'occupe, c'est l'impossibilité désormais de conduire leur voiture, le renoncement de la conduite du fait de leur grand âge et par conséquent, la pleine prise de conscience de leur dépendance... Lorsque j'ai commencé dans la profession, la phrase qui m'a le plus glacé le sang est celle-ci, dite par une vieille dame placée dans une résidence pour personnes âgées à qui je proposai d'aller marcher un peu dehors au soleil : "je n'ai plus l'envie..." elle ne m'a pas dit : "je n'ai plus envie de faire ceci ou cela", non, elle m'a dit : "je n'ai plus L'envie..." l'envie de rien, en fait ni de se lever le matin ni de faire sa toilette ni de manger ni d'aller faire une promenade : "je n'ai plus l'envie..."

Et si vous l'appeliez ? Si vous lui rendiez visite ? Est-ce du domaine de l'envisageable ou... pas ? N'avez-vous jamais pensé à être l'élément gai de la famille ? Celui qui apporte la joie autour de lui ? Tristement vrai, ce que vous déplorez là...