Aller au contenu

Passiflore

Membre
  • Compteur de contenus

    22 906
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    15

Tout ce qui a été posté par Passiflore

  1. Bien que l'on puisse comprendre leur inquiétude quant à la qualité du sang de la transfusion, il est question là de vie ou de mort, l'opération devant être faite en urgence pour sauver la vie de leur bébé. Que vaut-il mieux ? Risquer de perdre son bébé ou lui sauver la vie coûte que coûte ? La maman que je suis sait ce qu'elle aurait fait et ce, quelles que soient mes convictions.
  2. Il ne te reste plus qu'à t'armer de patience mais bon, fixe-toi quand même une limite à ton attente.
  3. En principe ça ne sent pas bon, si l'autre dit qu'il a besoin de réfléchir ou de faire un break mais bon. A toi de voir si tu veux être patiente (au risque d'attendre pour rien) ou pas.
  4. Laisse-lui la semaine et après dis-lui que tu as besoin d'une réponse claire.
  5. A présent on sait la raison de l'inertie de la femme lors d'un viol. Ce n'est en aucune façon une acceptation d'aucune sorte, c'est juste un réflexe de survie, à plus forte raison quand le violeur menace avec une arme blanche; le cerveau seul réagit.
  6. Vu le smiley que tu as mis, sa réponse ne te plaît pas ?
  7. J'avais vu une émission fort intéressante il y a quelques années expliquant très bien ce qui se passait lors d'un viol. On ne comprenait pas et même il était reproché aux femmes ayant été victimes d'un viol, leur absence totale d'attitude défensive; inertes elles s'abandonnaient à leur violeur, ne réagissaient plus, ne se défendaient pas. En fait il était expliqué que pour éviter une sorte de "surchauffe" au cerveau due à la douleur et à la peur étant à leur paroxysme et pouvant provoquer la mort (cette surchauffe au cerveau), une sorte de clapet se déclenchait quelque part dans le cerveau (un croquis explicatif était montré) et la personne devenait alors totalement passive, inerte. C'est tout simplement dû à une réaction de défense du cerveau. On le sait à présent; on l'ignorait autrefois.
  8. Certains violeurs n'auront que ce type de femmes comme victimes; celles étant tirées à quatre épingles. Evidemment oui, ça relève de la volonté de détruire "quelque chose", la femme violée étant chosifiée.
  9. Il paraît que certains violeurs violent toujours le même type de femmes; pour certains leurs victimes ne sont QUE des jeunes femmes blondes OU brunes OU rousses, pour d'autres ce sont uniquement des prostituées et pour d'autres encore tel ou tel autre type de femmes. Ils ne violent pas au hasard. Il en est de même concernant certains tueurs en série ayant toujours le même mode opératoire et dont les victimes ont des points communs (âge, apparence, etc...).
  10. Absolument et ce, quelle que soit la tenue vestimentaire de la personne.
  11. Pas faux, il peut y avoir de cela; le côté "écorché vif" ou en tout cas ayant certaines blessures, souffrances et autres meurtrissures; d'où les émotions versifiées, ce qui a un indéniable côté exutoire.
  12. Oh je n'ai pas dit que je m'en fichais éperdument !! J'imagine bien que pour certaines en tout cas (toutes on ne sait pas, on aimerait bien !) le sentiment de culpabilité - ah tiens, je parlerai de cette culpabilité-là dans la rubrique philo où le sujet est actuellement abordé; excellent exemple qui parlera (peut-être mais c'est pas gagné, vu ce que j'ai lu !) à ceux qui réfutent le sentiment de culpabilité, affirmant qu'il abaisse et qu'il découle d'une morale sclérosante ! - doit être très éprouvant à vivre, affreux même, je n'en disconviens pas et je n'aurais pas aimé du tout être à leur place et vivre de telles affres....
  13. Merci, je me rassérénerai avec ce que tu as écrit là.
  14. Le fait que je me soucie davantage de l'enfant ? La mère s'en remettra de ce déni de grossesse mais l'enfant, s'en remettra-t-il, lui ? Quelles séquelles psychologiques se trimballera-t-il tout au long de sa vie ? Voilà la nature de mon inquiétude. Ayant porté plusieurs enfants, j'ai le plus grand mal à comprendre comme est possible un déni de grossesse (mais soit, admettons l'existence de ce syndrome) mais surtout, comment est-il possible qu'un foetus soit inerte au point que sa mère ne le sente pas bouger en elle ?? Le foetus resterait donc 9 mois sans bouger ?? Sans bouger du tout ?? Comment est-il possible qu'il "sente", qu'il "perçoive" qu'il ne faut surtout pas qu'il bouge, qu'il ne faut surtout pas qu'il manifeste sa présence à sa mère ??? Ahlàlà ça coince pour moi dont les bébés bougeaient beaucoup et étaient déjà vifs et tellement pleins de vie !!...
  15. Je me soucie davantage de l'enfant ayant connu une pareille vie intra-utérine sans aucune interaction affective avec sa mère et se faisant littéralement oublier par son inertie (je ne comprends pas ce point-là du syndrome) en une sorte... d' "accord tacite" (???) que de la femme ayant fait un déni de grossesse.
  16. Dans le cas du syndrome dit "déni de grossesse", rien n'est visible: le ventre ne s'arrondit pas et comme si le foetus "comprenait", il reste sans bouger dans le fond, le long de la colonne vertébrale du corps maternel, il se fait oublier et ce point-là, je le trouve particulièrement affreux; cela voudrait-il dire que lors de sa vie intra-utérine, le foetus percevrait qu'il n'est pas voulu, qu'il n' "existe" tout simplement pas pour sa mère et qu'il ne doit surtout pas manifester sa présence ?? Tout porte à le croire puisqu'il reste immobile durant les 9 mois de la grossesse alors que du fait du "déni" de sa mère, il n'y a aucune interaction mère/enfant. Syndrome du déni de la part de la femme soit, admettons mais pourquoi le foetus se développant dans le corps maternel ne se manifeste-il pas ??? C'est cela que je ne parviens pas à comprendre... le déni de grossesse de la femme est une chose, l'inertie du foetus tout le long de la grossesse en est une autre. Comment l'enfant parviendra-t-il à se construire avec de tels "souvenirs" de rejet maternel (exprimé par l'absence totale d'interactions mère/enfant) demeurant gravés dans son inconscient ??
  17. Inconcevable selon ma propre sensibilité de femme et de mère........ il y a forcément de brefs instants de lucidité, pas possible qu'il en soit autrement. Elle prend un truc dans le congélateur sans que la vision du "paquet" ne lui provoque quoi que ce soit ?? Une indifférence et un oubli absolus ??
  18. Le déni de grossesse soit, admettons (j'ai le plus grand mal, étant mère) j'essaie de comprendre... Donc déni de grossesse, puis vient le moment de la naissance. La femme voit le nouveau-né, le touche... y'a pas de déni possible, là ! Ça ne tient plus, l'excuse du soi-disant "déni". Elle tue le nouveau-né et... le met dans le congélateur... L'horreur post-naissance est faite en toute conscience, c'est un infanticide pensé, voulu. Celle qui vient de tuer son enfant le tient dans ses mains, l'enveloppe dans quelque chose, va dans la cuisine direct vers le réfrigérateur, ouvre la porte du congélateur, met le "paquet" dedans, referme la porte et s'en va vaquer à ses occupations... J"au beau faire, il m'est impossible de comprendre ce genre de fait...
  19. Intéressante réflexion car c'est un fait: ce sont des femmes qui procèdent de cette façon...
  20. Actuellement j'ai 12° dans ma chambre, c'est en fait une question d'habitude. Comme tu dis, une fois sous la couette... !!
  21. Pour lui c'est pareil, ça l'a grave refroidi.
  22. Rebelote, ma cadette qui travaille dans un labo médical lyonnais doit faire acte de présence au labo mais sans travailler; demain matin samedi également. Oh elle est payée alors de ce côté-là elle s'en fiche (ça nous permet de jouer ensemble au scrabble sur notre téléphone ! ) mais elle trouve saumâtre de devoir se lever à 5h30 du mat' pour juste faire acte de présence !
  23. Nnnnnnnnon, je ne vois pas les choses ainsi. Ce sont au contraire les émotions ressenties qui donnent l'envie de les versifier lorsque l'on a l'âme poète.
×