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latin-boy30

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Tout ce qui a été posté par latin-boy30

  1. Personne n'est obligé d'avoir la télé ou de lire les journaux, c'est d'une mauvaise foi ignoble. Si pour vivre tu dois exister dans le besoin,tu n'est pas libre ,l'argent fut créer il y a longtemps pour gérer la rareté ,ors,de nos jours,il n'y a plus de rareté ,dès lors,l'argent ne sert plus à palier à la répartition des ressources mais à maintenir la raréfaction pour des motifs égoïste et cupide .. Si tu supprimes l'argent, tu seras obligé de partager avec tous les autres. En ce qui me concerne, non merci !
  2. Supprimes-nous l'ordinateur et les consoles (je n'en ai pas de console, mais je suis quand même plus ou moins un "nolife"), et on se contentera des DVD, des livres sur papier ...
  3. Le racisme ne vient pas forcément des blancs. En montrant le racisme uniquement par le prisme du "méchant blanc", on n'est pas crédible.
  4. Si on ne paye pas, c'est forcément les autres qui payent pour nous ou les autres qui satisfont gratuitement à nos demandes, et là nous empiétons sur leur liberté ! Dire qu'il n'y a pas de liberté car il faut payer, cela revient à dire qu'il n'y a pas de liberté car mon voisin refuse de m'aider gratuitement. Les détracteurs les plus radicaux de l'argent et du capital préfèreraient imposer l'entraide collective. Le premier pourrait ne faire qu'une bouchée du deuxième.
  5. Si je préfère passer une soirée devant l'ordinateur plutôt qu'une soirée dans un bar, c'est peut-être parce-que j'ai de bonnes raisons. Si je passe une soirée devant l'ordinateur plutôt qu'une soirée chez des gens, c'est peut-être parce-qu'une partie de la réalité me l'impose. (J'arrête là le confessionnal, j'espère que c'est assez clair!)
  6. ce qu'il veut ou peut * j'avais oublié Juger les gens comme ça sans les connaître, c'est plus que bas...
  7. On m'a déjà dit que si un jeune issu de la diversité insultait un blanc de façon apparemment raciste, c'était parce-qu'en fait il prenait le blanc pour une personne riche, au contraire de lui qui est peut-être pauvre ....
  8. L'usage excessif des -1 était je pense de nature à influencer négativement le jugement du lecteur, sur des bases trop subjectives. Quant au +1, je compare cela avec les J'aime de Facebook.
  9. En France, la liberté est objectivement, assez respectée. La liberté ne dépend pas seulement de ce qu'autorise ou n'autorise pas la Loi ou l’État. Elle dépend aussi des citoyens eux-mêmes. Un pays avec une insécurité permanente voit sa liberté considérablement diminuée. Si des voyous menacent les honnêtes gens en permanence, l’État a le devoir d'envoyer la police pour la sauvegarde les libertés publiques.
  10. On ne compare pas les anticapitalistes de 2012 avec les antifascistes de 1940, c'est d'une impertinence imbuvable et honteuse.
  11. Boouuuhhhh je sens qu'un de ces quatre je vais les regarder tes deux documentaires et ensuite je m'occuperai de démonter leurs arguments point par point
  12. Chacun fait ce qu'il veut... moi j'suis assez nolife et alors ??
  13. Je n'ai que faire de ce genre de trouble-fait ...
  14. C'est un des défauts que j'exècre dans la mentalité française. Et je suis très fier de ne pas avoir intégré ce défaut à la mienne. Ceci dit, il faut distinguer celui qui a réussi sa vie et celui qui se croit supérieur aux autres, ce n'est pas pareil.
  15. Il n'est pas nécessaire d'aller mettre sa vie en danger sur une île déserte pour s'isoler de la société. La Lozère, la Creuse, l'Ariège, l'Ardèche... ça devrait suffire. Une fois j'avais vu un reportage où dans les Cévennes un homme vit dans une yourte de type ouzbek, et je crois qu'il ne bouge pas vraiment, il ne paie pas d'impôts puisque ce genre de maison n'est pas reconnu et pour manger il se démerde... Personnellement, je pense que travailler "normalement" est moins pire que la moins pire expérience utopiste (ou dystopiste) que l'on pourrait imaginer ... Au début tu topic, tu parlais de consommation, mais je ne pense pas que quiconque t'oblige à consommer. La consommation n'est pas, dans notre société, une obligation despotique. Alors évidemment, on nous incite à consommer, tout le temps. Mais notre esprit critique doit limiter les ardeurs du consumérisme. Et puis consommer, si tu consommes de façon pertinente, ce n'est pas "si mal" de consommer parfois. A tous ceux qui rêvent d'utopies sur des îles désertes, je vous conseille un truc mille fois moins dangereux, mille fois moins coûteux.... mais en contrepartie, il faut aimer un minimum la religion et faire des concessions. Si vous voulez échapper au train de vie habituel du citoyen lambda, allez vivre dans un monastère !! Il y a des monastères où les moines (ou les soeurs, oui un bémol : hommes et femmes sont séparés...) cultivent leur propre jardin, vivent en autarcie et sont écartés du stress.
  16. De toute facon aucun système en occident n'est une démocratie. A partir du moment ou il y a une election, on est dans une aristocratie. http://www.youtube.com/watch?v=M2ADw7hZiT0 Mettre en place le tirage au sort, la hasardocratie !! :D On peut constater qu'Israël ne lésine pas en tout cas.
  17. Attaquer une religion dans son ensemble c'est de l'intolérance. Attaquer une idéologie est une opinion qui a tout de même bien plus de légitimité morale, réfléchie ou non.
  18. La religion désigne la relation entre l'humanité et Dieu ou autre croyance à caractère spirituel. Une idéologie, se rapprochant d'une doctrine, est un système d'idées et d'opinions formant un ensemble. (Plus ou moins cohérent....) Pas du tout pareil. Attaquer une personne sur sa religion est grave. Attaquer une personne sur son idéologie jugée dangereuse est assez normal.
  19. Ils étaient arrivés à Munich vers vingt heures, dans la soirée. Il faisait nettement plus chaud qu'à Copenhague. L'Italie n'était qu'à une centaine de kilomètres à vol d'oiseau. Leur dilemme de la soirée serait de trouver un train de nuit avec de quoi dormir à l'intérieur, en espérant que le pilote soit bien réveillé et ne les envoie pas dans le décor. Les accidents s'étaient faits plus fréquents depuis la révolution, les leaders estimant que la sécurité ferroviaire n'était pas éloignée du "luxe petit bourgeois". Hans et Lars auraient souhaité voir le pilote, afin de le connaître un minimum pour se faire une idée. Ils ne sortirent point de la gare. Après avoir quitté le transgermanique Hambourg-Munich, ils partirent directement pour le quai où une vieille rame de corail international les attendait. -Guten abend meine herren, les accueillit un grand dadais au fort accent oriental, souriant, dans un vieux costume des services ferroviaires allemands d'Ancien Système. -Bonsoir, répondirent simultanément les deux danois. Vous parlez anglais ? On est danois. Le grand turc passa à l'anglais. -Je suis Khemal, dit-il. Si vous prenez le train pour Istanbul, je serai votre pilote au cours de cette nuit. Allez-vous jusqu'en Turquie ? -En effet, répondit Lars. A quelle heure arrivons-nous à Istanbul ? -Dans vingt quatre heures environ, je ne connais pas l'heure précise mais c'est demain soir, répondit Khemal en grillant une cigarette. Il leur en proposa, ils acceptèrent volontiers. -Il y a à manger dans le train ? demanda Lars. -Oui, ne vous inquiétez pas, répondit Khemal. Le voyage sera long, mais il se déroulera sans encombres. Je conduirai toute la nuit, puis aux aurores mon collègue me remplacera. Je reprendrai un peu avant l'arrivée. Ne vous en faites pas, je serai assez alerte durant la nuit, si c'est cela qui vous préoccupe. Il leur indiqua les couchettes les plus tranquilles du train à quai juste devant eux. Ils remercièrent le pilote et s'installèrent à bord. Ils mangèrent des sandwiches au moment où le train s'en allait vers sa prochaine étape : Salzbourg, en Autriche. Avant de s'endormir, ils décidaient de jouer à la bataille navale sur leurs WorkPods respectifs. Le WorkPod était apparu dans les années 2030, et avait révolutionné l'informatique. Ni vraiment un ordinateur portable, ni vraiment une tablette, c'était un peu entre les deux, très fin et aisément maniable. Il possédait un écran à résolution excellente, non altérable aux chocs violents. De forme rectangulaire, il comprenait l'écran dans l'essentiel de sa superficie. Au bas de l'écran, une fente diffusait un laser très élaboré qui diffusait devant l'écran la projection d'un clavier sensible. Il n'y avait pas physiquement de clavier, mais la lumière formait des touches rouges et si par exemple, vous promeniez le doigt dans la zone lumineuse du "A", et bien une lettre "A" pouvait apparaître en traitement de texte à l'écran. La sensibilité pouvait être réglée par une application intégrée. Pour que l'utilisation soit assez fiable et optimale, l'utilisateur devait faire en sorte que le clavier de lumière soit disposé sur une surface plane devant lui. Un socle de type chevalet était réglable au dos du WorkPod. Ils jouèrent à la bataille navale jusqu'à Linz. Les paysages autrichiens étaient charmants. Au moins, les révolutionnaires n'avaient pas trop maltraité la nature. Bien au contraire, la révolution était aussi écologique. En 2041, un nouvel accident dans une centrale nucléaire en Afrique du Sud avait définitivement monté l'humanité contre le nucléaire. Ils dormirent huit heures, se réveillèrent peu après Budapest. Quittant leurs couchettes, ils regagnèrent leurs places près des fenêtres, parmi les sièges réguliers. Vers onze heures, le train passa en Roumanie. Ils lisaient sur WorkPod pour passer le temps. Ironiquement, ils bénéficiaient d'un avantage de la révolution : les insurgés s'étaient battus pour que tous les livres possibles soient accessibles en ligne, en numérique. Sauf les livres jugés contre-révolutionnaires. Mais les lectures de Hans et Lars n'étaient pas spécialement politiques ou économiques. Hans lisait un vieux livre de Stephen King et Lars terminait un thriller français particulièrement violent, d'un certain Maxime Chattam. Prenant plus de vitesse, le train traçait vers Bucarest. Il y parvint vers dix-sept heures. Peu après, il passa la frontière bulgare. Hans et Lars préférèrent attendre de se trouver dans l'ancienne capitale ottomane pour manger un morceau. Ils en avaient assez des sandwiches du train. Un peu plus d'une heure après un arrêt à Burgas, sur la côte bulgare, le train passa enfin la frontière turque, et donc il sortait de l'espace européen officiel. Vers vingt-et-une heures, ils étaient enfin à Istanbul. Faisant leurs adieux à Khemal, ils descendirent sur le quai et furent fouillés par les douaniers. La révolution n'était pas parvenue à éradiquer totalement les frontières. Après une légère fouille, on les laissa sortir sur le parvis de la gare. Le soir, ils mangèrent dans un troquet en plein centre historique. Révolution oblige, le restaurant était assez auto-géré, il fallait aider le restaurateur et se servir soi-même, c'était devenu comme ça dans tous les restaurants du monde. Deux androïdes se relayaient toutefois pour servir les clients. Même avec la quasi-gratuité du service, je préfère l'ancien système, pensèrent presque télépathiquement les deux voyageurs danois. Ce n'était pas totalement gratuit, il fallait rémunérer le restaurateur un minimum. Hans et Lars lui laissèrent des batteries de rechargement pour les androïdes. Ils leur en restaient de leur vie au Danemark, quand ils avaient brièvement utilisé des synthétiques pour diverses tâches. Mais ils avaient mangé très correctement. Ils dormirent dans un hôtel collectif dans le centre-ville. Après une nuit agitée, ils se levèrent éreintés et partirent à la recherche d'un tramway pour l'aéroport. Une jeune voyageuse anglaise qui allait également en Australie les rencontra. Elle s’appelait Kate, avait trente deux ans. Jolie blonde aux yeux châtains. Tous trois, ils trouvèrent une rame de tramway pas trop bondée pour l'aéroport, à l'autre bout de la ville. Ils étaient montés dans l'avion solaire vers onze heures. Le mastodonte était un des plus grands au monde. Les gros avions de ligne classiques avaient été interdits à la révolution, accusés de trop user de kérosène, alors en catastrophe, les ingénieurs avaient du cogiter des modèles alternatifs. Celui-ci, dans lequel Hans, Lars et Kate étaient montés, pouvait contenir deux cent personnes. Son fuselage était assez étrange, la devanture prenant l'apparence d'un bulbe végétal un peu aplati. Les deux ailes, démesurées, étaient bardées de panneaux photovoltaïques. Au moment où Hans se demandait encore où pouvait être Sainte-Myrtille, une jolie jeune française lui tapota l'épaule dans l'avion. -Hans Sorensen ? demanda-t-elle d'un fort accent du Sud de la France. -Sainte-Myrtille. Je me demandais quand allions-nous te voir. Tu m'as reconnu grâce à la photo que j'ai du laisser filtrer sur Galliam-34, non ? -Tout juste, sourit-elle. Mon financé, Romain, présenta-t-elle à ses côtés. Romain les salua brièvement. Lars et Kate se présentèrent aux deux français. Céline Dumont prit Hans Sorensen à part un moment. -Dis, l'anglaise, elle va sur l'île aussi ? -Je n'en sais strictement rien, peut-être bien ou peut-être pas. Il faudrait la tester un peu sur ses centres d'intérêts et tout ça... Au bout de deux heures, l'avion solaire survolait Antalya et traçait droit vers Jérusalem. Courte escale. Kate avait finalement été identifiée avec sûreté, par une conversation périlleuse en apparence car sujette à trahison éventuelle, comme une potentielle concordianne. Elle voulait aller sur l'île également. Quelques heures après, le pilote passa un message par radio, en turc, en anglais, en hébreu et en arabe. "Nous amorçons notre descente sur Jérusalem, un arrêt de trois quarts d'heure. Puis, nous aurons environ cinq heures de vol jusqu'à Mascate, terminus de cette ligne. Merci de votre attention." Au niveau de la Jordanie, la climatisation interne tomba en panne. La chaleur de la péninsule arabique risquait de faire des siennes au cours du voyage... Par mesure de sécurité, tout pilote d'avion solaire refusait de survoler les grands déserts. Il était préférable d'atterrir en catastrophe ou de se cracher non loin d'une ville ou des eaux qu'en plein désert. Au niveau du Koweït, un androïde put enfin réparer le climatiseur. Plusieurs voyageurs furent rassurés. A suivre...
  20. En effet, et un gênois rendu célèbre pour son voyage en 1492 était d'origine corse également.
  21. La France appartient toujours à ses citoyens nationaux et c'est très bien comme ça !!
  22. Tiens tiens... qui sort des préjugés maintenant ?? Je suis déjà allé dans un village "de pecnots" en Corse, et les gens ne me regardaient pas de travers, il y a même une vieille dame vivant dans le village depuis des décennies qui a pris le temps de me raconter un peu l'histoire de la région... Peut-être que ça t'a échappé... mais venant de toi, c'est décevant.
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