Enchantant

Les orques de barbarie sont les plus méchantes et les plus voraces parait-il ?

Les suppôts de Poutine sont vraiment à la ramasse, qu'est ce qu'il ne faut pas lire comme conneries de leur part !

Un papillon qui n'est pas encore Papy (sans doute?)

La différence d'arbre qui existe entre un cerisier et un bigarrotier sans doute ?

Tout à fait, même si le prétexte de Phylou est de mentionner qu'il ne vit pas en France ! Le mimosa existe ailleurs qu'en France...

Je partage cette remarque, néanmoins l’astreinte associe un pouvoir de contrôle sur cette catégorie de citoyen, non pas pour ceux qui recherche du travail vraiment, mais ceux qui sont tentés de se la couler douce aux frais du contribuables. Nous savons bien que toutes les généralités formulées sur un groupe d’individu sont absurdes et fausses. Tous les chômeurs ne sont pas fainéants, mais certains parmi eux le sont !

L’Europe c’est d’abord le fruit historique de multiples conflits guerriers entre les nations qui la compose. Conflits guerriers sans interruptions, avec des millions de victimes, des destructions continues et des villes rasées au cours des siècles. Historiquement, chaque conflit, entrainant un désir aboutissant à une revanche prochaine, favorisant une préparation perpétuelle du conflit suivant avec le pays voisin. Devant l’inanité de ce cycle imbécile et meurtriers, la dernière guerre a permis à des hommes politiques, français, belges, luxembourgeois, allemands… d’envisager que nous puissions vivre en Europe de l’Ouest ensemble, bien que l’unité culturelle, linguistique, n’existe pas entièrement entre chacun des pays. L’Union européenne n’est pas le centre d’une unité culturelle, bien qu’il existe entre ces diverses nations, beaucoup d’admiration réciproque pour la culture du pays proche et du pays voisin. Certes, c’est une construction lente et sans doute décevante par sa lenteur, mais nous sommes arrivés à ce tour de force, malgré tout, qu’il est devenu absolument inconcevable aujourd’hui qu’un des pays constituant l’Europe des 27 soit en conflit ouvert avec un autre. De mon point de vue, on ne mesure pas la chance que nous avons depuis 1945 ? L'agression russe de l'Ukraine, l'incertitude démocratique des USA aujourd'hui, vont sans doute accélérer la démarche d'union politique des pays européens. C'est ma lecture du temps présent au regard d'un avenir probable, qui comme chacun le sait, n'est jamais écrit d'avance.

Ce n’est pas toujours possible. Assistant à un spectacle au Puy du Fou, les parkings voitures sont des champs numérotés. J’arrive de jour dans un de ces champs immense et gare mon véhicule à proximité d’un autre. Je repars, le spectacle terminé la nuit, avec juste en mémoire le n° de parking du champs. Heureusement que sur la clé de contact, il existe un bouton qui permet d’allumer brièvement ses phares à distance, autrement il aurait fallu que j’attende que le jour se lève pour retrouver ma bagnole.

En lisant Doïna, je me disais, il n’y a pas à dire, c’est une vraie suffragette du féminisme, mais là, associer la bière à une boisson exclusive d’homme, au prétexte qu’elle n’aime pas ? Je me demande si elle n’associe pas inconsciemment sa haine des hommes à l’amertume de la bière ?

Pour ma part, cela n’a vraiment aucune importance, dés l’instant ou l’on comprend ce que veut dire l’autre ! C’est comme croissant ou chocolatine, peu importe le nom, tout le plaisir est dans la dégustation.

Il est vrai que le mariage de raison était une démarche alimentaire en associant des familles et leurs fortunes ou les propriétés. Ces mariages étaient paradoxalement stables à l’époque de Louis XIV. De nos jours, les mariages prétendument d’amour s’étiolent souvent très vite dans la durée, avec des mères célibataires qui sont obligés d’élever seul leurs enfants. Certes le mariage de raison n’est pas l’idéal, mais le mariage d’amour périssable est il aussi idéal que vous l'idéalisez ?

Du peu que je sais de ton âge, le merle, c’est plutôt le démon de minuit pour nous, celui ou tous les feux s’éteignent petit à petit. Je blague évidemment !

Non pas du tout, mais cela ressemble étrangement à la fable du héron qui négligeait les tanches pour se nourrir, de Jean de La Fontaine justement !

La Fille Jean de La Fontaine Certaine fille un peu trop fière Prétendait trouver un mari Jeune, bien fait et beau, d’agréable manière. Point froid et point jaloux ; notez ces deux points-ci. Cette fille voulait aussi Qu’il eût du bien, de la naissance, De l’esprit, enfin tout. Mais qui peut tout avoir ? Le destin se montra soigneux de la pourvoir : Il vint des partis d’importance. La belle les trouva trop chétifs de moitié. Quoi moi ? quoi ces gens-là ? l’on radote, je pense. A moi les proposer ! hélas ils font pitié. Voyez un peu la belle espèce ! L’un n’avait en l’esprit nulle délicatesse ; L’autre avait le nez fait de cette façon-là ; C’était ceci, c’était cela, C’était tout ; car les précieuses Font dessus tous les dédaigneuses. Après les bons partis, les médiocres gens Vinrent se mettre sur les rangs. Elle de se moquer. Ah vraiment je suis bonne De leur ouvrir la porte : Ils pensent que je suis Fort en peine de ma personne. Grâce à Dieu, je passe les nuits Sans chagrin, quoique en solitude. La belle se sut gré de tous ces sentiments. L’âge la fit déchoir : adieu tous les amants. Un an se passe et deux avec inquiétude. Le chagrin vient ensuite : elle sent chaque jour Déloger quelques Ris, quelques jeux, puis l’amour ; Puis ses traits choquer et déplaire ; Puis cent sortes de fards. Ses soins ne purent faire Qu’elle échappât au temps cet insigne larron : Les ruines d’une maison Se peuvent réparer ; que n’est cet avantage Pour les ruines du visage ! Sa préciosité changea lors de langage. Son miroir lui disait : Prenez vite un mari. Je ne sais quel désir le lui disait aussi ; Le désir peut loger chez une précieuse. Celle-ci fit un choix qu’on n’aurait jamais cru, Se trouvant à la fin tout aise et tout heureuse De rencontrer un malotru. Jean de La Fontaine

Quand on est au fond du trou il est normalement conseillé de s’arrêter de creuser. Certains continue quand même, essayant d’y trouver un peu plus de clairvoyance ? Je ne suis pas certain que cette méthode fonctionne bien ?

Nous vivons l’époque des réseaux sociaux ou conjuguer le verbe paraitre à tous les temps est devenu la norme. Chacun essayant de faire dans le plus outrancier possible pour choquer les spectateurs. La publicité, les médias télévisuels, font la course pour faire parler d’eux à n’importe quel prix, beaucoup de tarés suivent leur exemple et utilisent des recettes analogues, pour un oui ou pour un non. Voila ma lecture de ce que l’on vit de nos jours. Mais lorsqu'on étudie les violences du passé, nos anciens ne faisaient pas dans la dentelle non plus, mais nous le savions pas tous simultanément, contrairement à aujourd'hui !

Bonjour Ximène, Ma dernière petite de 7 ans. Ce n’est plus tout à fait un bébé, mais elle sait bien s’y prendre pour faire son clown et se donner en spectacle ! Voir ma petite vidéo de Noël dernier, captant une récitation apprise à l’école : Le Renard https://drive.google.com/file/d/1w7m5jcZNrTKDNcpPl0hf6JFk54KifuUR/view?usp=sharing

Mon fils ainé en déplacement pour son activité dans ma région, souhaitait rester deux jours chez moi. Cela faisait au moins 5 ans que je n’avais pas mis les pieds dans une salle de cinéma et je lui propose de l’inviter au cinéma. Il me dit j’aimerais bien voir Cocorico avec Clavier et Bourdon, ce que nous avons fait. Il est vrai que c’est un film qui s’apparente plus à une comédie théâtrale qu’une fiction, mais je me suis bien marré pendant tout le film et je n’étais pas le seul spectateur à m’esclaffer. Film sympathique et marrant, je recommande.

J’avoue que je ne regarde jamais si un commentaire quelconque est classé dans l’asile ou un autre chapitre, pour définir si c’est humoristique ou pas ? D’une part prétendre que les femmes n’achètent pas, elles trouvent… c’est une façon comique et maligne de leur part, d’annoncer à leur mari qu’elles ont fait de bonnes affaires. Cela sent le vécu de la vie de couple et c’est cela qui m’a fait rire.

Excellente interrogation, comme les ressources nourricières des humains sur terre n’est pas infini, mourir quand on le souhaite se ferait au détriment des nouveaux arrivants, qui par définition sont sans défenses et à ce titre seraient confrontés à la famine dès la naissance. Surtout pas l’immortalité, car nous serions philosophiquement, dans l’incapacité d’apprécier l’existence, qui comme chacun la sait bien est limité dans sa durée.

De découvrir que vos ailes sont fixées chez vous, à un endroit peu commun ! Qu’est ce qu’on gagne si on a la bonne réponse ?

Il est vrai qu'il n'y a rien à comprendre à ma petite blague, qui n'a absolument rien à voir avec le sujet j'en conviens, mais notre élaboration mentale tient à l'image que nous renvoie les mots, avec leur sens pour nous. La nature = La campagne Les groins du cochon = Evoquant une prise électrique Le fils de l'électricien associant et reliant les deux images. J'admet avec vous, que c'est un peu tiré par les cheveux !

Certes, c’est un simple point de vue de femme, mais cet avis n’en reste pas moins très pertinent !

Je vous partage ma lecture mentale de cette remarque étrange ! Le fils de l’électricien est à la campagne, voyant un cochon pour la première fois, essaie vainement de brancher sa prise dans les groins du porc.

Encore un qui a confondu sexe à pile avec sexe "appeal" sans doute ?