Enchantant

Difficile de ne pas en convenir avec vous !

P'taing c'est vrai...on va tous mourir !

Et depuis cette expérience vous aimez beaucoup les enfants, notamment les tous petits pour la tendresse de leur viande ? Ou bien j'interprète mal ?

Là ce n'est pas normal !

Béaba de l’économie pour les nuls… Tout producteur est bien obligé d’augmenter ses tarifs pour répercuter sur son client les hausses des matières premières qu’il subit lui-même, sinon de fermer ses portes pour faillite à brève échéance, s’il ne s’y résout pas. Or la hausse des matières premières est à la racine des augmentations des prix, non seulement dans la production et le traitement des matières qui entre dans la composition d’un produit vendus, mais également dans son transport et sa distribution. La réaction en chaine de ces augmentations est que le producteur subit la pression également des syndicats qui exigent que les pertes de salaires se traduisent par une perte de pouvoir d’achat, par une augmentation des salaires, ce qui est observé à chaque fois. Les employés de la fonction publique sont prompts à faire grève car il s’imaginent bêtement que pour l’état la hausse des salaires des fonctionnaires est indolores, alors que la planche à billet est réactivée, les banques prêteuses de capitaux à l’international se défient de la monnaie et augmentent à leur tour les taux d’intérêts, ayant pour effet d’augmenter la dette des états et l'accès au crédit plus cher. Les employés du secteur privés sont moins arrogant car ils pressentent que leur revendication salariale peut éventuellement avoir une incidence sur la pérennité de leur emploi avec le risque du chômage pour eux. Bref vous l’aurez compris je pense, l’économie et l’augmentation des prix se comporte exactement comme une foule agglutinée en panique ou chacun repousse l’autre pour obtenir un peu plus d’air pour éviter d’être laminé à son tour. Les grandes crises économiques et sociales du passé poursuivent imperturbablement ce schéma turbulent et désordonné. Les crise du moment n’ont rien à envier à celle d'hier, et ce n'est jamais simple à vivre pour quiconque ces moments là.

C’est tout à fait votre droit de vous imaginez que la vie d’autrefois était plus enviable que la nôtre aujourd’hui. De mon point de vue, votre ressentiment est du domaine du rêve et de l’utopie, les humains d’hier n’étaient guère différent de ceux d’aujourd’hui, selon la perception que je m'en fais. Pour connaitre une époque il faut l’avoir vécu, vous comme moi, n’avons pas vécu dans ces temps reculés, excepté virtuellement au moyen de la lecture et du cinéma, cela fait toute la différence avec le réel. Imaginer son existence et la vivre ce n'est pas dans le même chapitre, mais personne n'est autorisé à vous en dissuader. Quoiqu'à la réflexion c'est ce je suis en train de faire !

Mon père me disait : "On est riche de ce dont on peut se passer" Coluche disait humoristiquement la même chose quelques décennies plus tard en évoquant les discours des politiciens : "Dites moi de quoi vous avez besoin, je vous expliquerais comment vous en passer" Mes collègues de travail me charriait en me surnommaient le philosophe, je crois bien que c'était à cause de mes parents finalement ?

Je peux comprendre que vous ayez des ressentis, des sentiments spécifiques à formuler, mais être enfermé dans le système cela dépasse mon entendement ? Auriez vous préféré vivre dans une autre époque que la nôtre ? Quand je me réfère à ce qu’on vécu nos grands-parents, nos parents, il n’y a pas photo, virtuellement parlant !

Non non lysiev, je suis entièrement d'accord avec vous, plus intelligent, moins intelligent, cela ne veut pas dire grand chose, chacun (une) possède quelques domaines d'excellence, des formes d'adaptation particulières à son environnement, sportif, artistique, manuel, intellectuel, aucun d'entre nous ne possède toutes ces qualités à la fois. En quelques mots : "Il n'y a point de sot métier, n'existe que des sottes gens."

J’ai du mal à comprendre ce que vous voulez exprimer avec votre sentiment d’être enfermée dans le système, écrivez-vous ? En fait, je ne comprends pas du tout !

Bien d’accord avec vous sur ce point-là, d’ailleurs avons-nous le choix de faire autrement ? Quand au virtuel, la photo, l’image, le forum, l’informatique, ses applications et ses programmes, je suis le premier à en utiliser toutes les ressources pour me distraire, communiquer, mais de convenir que je ne suis pas le seul à ce petit jeu-là. Que certains (es) (jeunes en général) ne sachent plus trop définir la limite entre le virtuel et la réalité, c’est sans doute inquiétant collectivement, mais c’est le réel qui a toujours le dernier mot au final.

Là c’est une illusion absolue, ceux qui sont riches en termes de possessions de biens ou d’argent, leur caractéristique première est de savoir compter, justement. A l’inverse, ceux qui ne compte pas ou peu, sont capable de dilapider des fortunes à l’insu de leur plein gré et de s'appauvrir eux-mêmes mais aussi leur proche. Le rêve c'est d'un autre domaine !

Reprenant sous une autre forme une phrase du général De Gaulle disant bien avant Alain Juppé: "Des chercheurs qui cherchent on en trouve, des chercheurs qui trouvent on en cherche"

Souvenirs...souvenirs...

Eh oui, suffit pas de remettre une pièce dans le Jukebox pour que la machine redémarre à la demande !

Affirme doctement celui qui à 45 ans cherche éternellement et toujours sa moitié ! Pour baiser tous les jours, j'admets qu'il faut-être un homme exceptionnel !

1) En toute modestie, évidemment ! 2) Cela ne fait aucun doute, évidemment ! 3) C'est ma nature d'être supérieur, évidemment ! Avec des chevilles enflées comme les vôtres, et l'impossibilité de frapper une femme, j'en déduis que vous êtes manchot et qu'en plus vous vous déplacer sur une chaise roulante ?

Tout à fait et c'est une demoiselle noire qui vous l'écrit !

Se répondre à soi-même cela fait toujours un, pas deux !

Moi non plus, je n'ai jamais bien compris… attachant qui fait des taches…détachant qui les enlèvent… bref ce n’est pas clair du tout !

Quand je lis la prose ampoulée du moyen-âge de Hubert, cela m’évoque à chaque fois Jacqouille la fripouille, essayant péniblement de ressembler à son chef Godeffroy de Montmirail, dans le film les visiteurs. Etrange cette façon de se croire autre que ce que l’on est réellement à longueur de fil, si un psychiatre peut nous donner des explications sur cette pathologie particulière, cela m’intéresse !

Rien ne fonctionne sans financement, il faut bien comprendre cela… Les associations humanitaires, pour justifier de leur utilité et de leur présence sur les lieux de tragédie, sont précisément là, pour obtenir des subsides des états, faire parler d’elles et utilisent les moyens publicitaires à leur disposition que sont les télévisions et les réseaux. Quand un bateau humanitaire se propose de récupérer tous les naufragés de la méditerranée, il tient surtout à le faire savoir. Mais ce faisant, ils deviennent complice et associés des passeurs qui racket ces pauvres gens qui s’imaginent que tout sera mieux pour eux, une fois la frontière franchie.

Je peux comprendre que mes propos puissent heurter une personne qui vit en France et qui n’est pas d’origine européenne. Votre réaction me fait supposer que c’est peut-être votre cas ? Cela dit je ne tiens pas à vexer personne, seulement dire ce que je pense sur le sujet. De Gaulle avait une image très significative, prenez une bouteille d’huile et une bouteille de vinaigre, secouer puis observer le phénomène, vous constaterez que l’huile et le vinaigre se sont séparé, certes c’est pour une raison physique de différence de densité de liquide, mais l’exemple est tout à fait applicable aux groupes humains, sur la durée, la culture équivalente ayant la fonction de variation de densité de liquide. Qu'on me comprenne bien, il ne s'agit pas ici de désigner les bons d'un côté et les méchants de l'autre !

C'est exactement ce que j'ai observé lorsque j'étais envoyé en mission au Moyen-Orient et en Afrique, le besoin de se regrouper entre personnes de même langue, de même culture, c'est instinctif et naturel. Le général De Gaulle, qui n'étais pas réputé pour dire des choses non réfléchis et insensés disait déjà en 1945 : «Sur le plan ethnique, il convient de limiter l'afflux des Méditerranéens et des Orientaux qui ont, depuis un demi-siècle, profondément modifié la composition de la population française. Il est souhaitable que la priorité soit accordée aux naturalisations nordiques : Belges, Allemands, Luxembourgeois, Suisses, Anglais, Danois, etc.» (Ukrainiens)

Nous savons comment cela va se passer… Aux USA, au Brésil aussi, une grande partie des américains sont absolument convaincu que la guerre civile leur pend au nez dans quelques décennies, justement à cause de la multitude des communautés diverses et variées en présence concurrentielle. Les humains, indépendamment de leur couleur de peau et du lieu ou ils vivent, partagent ceci en commun, c’est qu’ils se regroupent instinctivement en quartier, en clan, en tribu, les USA sont un bel exemple naturel de ce phénomène de ségrégation social. En France à Paris, nous observons le même phénomène, le quartier chinois Porte d’Italie, le quartier noirs et magrébins dans le quartier de la gare SNCF du nord. Nous avons tous instinctivement ce besoin de nous identifier au groupe auquel on appartient, et nous ferons facilement confiance à priori à ceux qui nous ressemblent le plus et plus instinctivement d’exprimer notre défiance envers ceux qui sont différents. Pour les moralistes, pour les utopistes de tout poil, les donneurs de leçons, il va de soi que mes propos sont absolument insupportables. Mais les faits et la réalité sociale sont têtue et ce n’est pas une exclusivité française, contrairement à ce que certains prétendent pour se justifier.