cricket

Non j'ai dit qu'il y avait aussi une emprise psychologique, et que la violence physique s'installait de manière insidieuse. Je ne dis pas que les hommes violents sont des pervers narcissiques. Les sadiques n'ont pas le monopole de la violence. Un témoignage c'est un témoignage, c'est toujours à prendre avec des pincettes, j'aurais pu te trouver un témoignage d'un skyblog que ça aurait eu autant de valeur. Ce qui compte c'est de les recouper et voir ce qu'ils ont de communs ou non. Mais tu as raison j'aurais pas dû faire la recherche à ta place. J'espère que tu nous feras un résumé de tes lectures. Il y a toujours des raisons. Ça ne veut pas dire que la raison est sa compagne, ni que sa raison est juste. Si tu as des preuves de maltraitance de cette femme envers cet homme, tu devrais aller les communiquer de suite à la justice. En attendant c'est monsieur qui se retrouve sur le banc des accusés et tout ce qu'il a trouvé à lui reprocher c'est qu'elle ne couchait plus avec depuis un an alors qu'il la bat depuis 10 ans, en résumé : LOL C'est vrai qu'on ne sait pas ce qui se passe dans l'intimité des foyers, peut être est elle une horrible tortionnaire, et une comédienne talentueuse. Et il y aussi des couples où les deux sont effectivement tarés. Sauf que dans le cas qui nous concerne, rien ne nous le laisse penser, mis à part évidemment le préjugé du "elle l'a surement cherché", ou j'ai loupé un détail de l'article? Article qui d'ailleurs ne remet pas en cause la culpabilité de l'accusé mais parle seulement de l’évocation de devoir conjugal lors d'un procès pour violences et menaces. Si on parlait de faux témoignage ou de relations toxiques je comprendrais, mais là on est clairement en train d'extrapoler sur des spéculations hors sujet.

Je me suis contentée de répondre à pourquoi elle est restée, donc le coup de la diabolisation...En général la colère c'est de la frustration mal gérée, que ce soit liée à la relation de couple ou pas. Maintenant s'il faut qu'on te détaille point par point toute l'histoire de quelqu'un pour que tu puisses comprendre ce qui l'amène à être violent ça va être compliqué... Sinon une simple recherche google te permettra aussi de trouver des témoignages d'hommes violents. http://www.frenchtouchseduction.com/je-suis-violent-et-jai-battu-ma-copine.html http://www.onmeda.fr/troubles-psychologiques/etre-un-homme-violent-le-temoignage-d-un-homme-1351-2.html

Alors autant je n'ai jamais lu d'articles qui expliquait pourquoi un homme devenait violent, par contre des articles expliquant pourquoi une femme battue reste il y en a. Il n'y a pas que les violences physiques, il y a une emprise psychologique. Je t'invite à lire des témoignages de femmes battues, c'est beaucoup plus compliqué et insidieux qu'un mari qui du jour au lendemain se mettrait à distribuer des pains. Oui sauf qu'il aurait fallu prononcer le divorce il y a plus de 10 ans, avant qu'il ne la batte. A partir du moment où il y a violence, non on ne va pas juste divorcer et basta. Oui oui, on a compris, elle l'a bien cherché.

C'est un peu facile de dire qu'il faut arrêter de signaler ces différences quand on est du bon coté de la barrière. C'est en somme demander à quelqu'un qui a subi une violence ou une discrimination, de ne surtout pas en parler parce que ça ne ferait que rappeler aux autres sa différence. Avec des raisonnements pareils on ne se bat plus pour aucune cause, vu qu'elles disparaissent comme par magie. ( Désolée ça tombe sur vous, mais je me refuse de répondre aux propos de pep psy directement. Sinon je vais être méchante et il parait que soit disant c'est décrédibilisant. :p) Rouvrir les camps pour les homophobes, rhooo si on peut plus rigoler. Mince j’arrive après la bataille, j'ai tout raté. Bonne nuit.

Vous avez bien fait de faire la citation de jacky, parce que vu l'utilisation à deux reprise du pluriel j'aurais cru que vous parliez d'une levée de bouclier, et non d'une phrase isolée d'une personne à une autre en particulier. J'aurais pu chercher longtemps. Et du coup ça me semble un peu moisi comme argument pour montrer l'intolérance des tolérants, même si c'est vrai ça aurait été dommage de rater l'occasion. Bon allez pour vous faire plaisir " bouh c'est pas bien la violence, rolala, ça ne résout rien, c'est pas des manières, etc..."

Et l'oscar de l’exagération paranoïaque est décernée à ... *roulement de tambour* FORAAAAAVEEEUUUR !! Allez on l'applaudit bien fort ! Je ne sais plus s'il faut en rire où en pleurer, je crois que je vais me contenter d'écarquiller les yeux et de soupirer.

Tout à fait.

Je sais pas, j'ai pas regardé la vidéo et je compte pas la regarder. ^^ Et bien si comme commenté plus haut il lui a effectivement touché les seins sans son consentement et tenté de l'embrasser de force, c'est bien une agression sexuelle, oui. Je sais que la définition te fait mal, vu qu'on a déjà eu cette conversation sur un autre topic mais j'y peux rien si ça s'appelle comme ça. On va quand même pas avoir besoin de te refaire le speech des différents degrés d'agression, si? Je vous laisse disserter pendant des pages pour savoir si c'est une agression ou non, chacun y allant de sa petite définition personnelle, moi je trouve ça un poil malsain. Bisous.

Les gauloiseries c'est quand le harceleur est blanc et que du coup c'est rigolo, sinon ça s'appelle une racaille qui ne pourra pas s'intégrer.

Bon je n'habite ni ne fréquente ce quartier, donc je devrais prendre en compte les deux sons de cloche. Mais ce point de vue me semble plutôt pertinent. Il n'y a qu'à aller jeter un oeil sur des sites de type "paye ta schnek" pour voir que le harcèlement de rue ne se cantonne pas et très loin de là à ce quartier. Mais le plus "amusant" c'est qu'on ne prenne au sérieux le témoignage des femmes que lorsque que les harceleurs sont de potentiels immigrés. Et d'ailleurs il n'y a qu'à voir les commentaires sur les video traitant de harcèlement de rue pour se rendre compte que la plupart des commentaires haineux (qui viennent d'ailleurs quasi exclusivement d'hommes, désolée messieurs) adorent nous sortir cette rengaine du "Et je suppose qu'il ne s'appelait pas Jean-François ! " *clin d'oeil* *coup de coude* Je me doute que c'est plus confortable de supposer que les relous sont les étrangers, ça évite de se remettre en cause, ou de remettre en cause ses potes. Bien entendu lorsqu'on rétorque que ce n'est pas la réalité, là de suite notre témoignage n'a plus aucune valeur, on affabule, on exagère. C'est assez magique à observer vous devriez voir ça.

Même si tu penses que j'ai pris le sujet par le mauvais bout, je trouve que ça en revient au même. Tu veux des astuces pour être heureux en couple, commencer par ne pas être malheureux, ça me semble pas déconnant comme conseil. En général ce qui pèse sur le couple c'est soit des tracas du quotidien, soit un déséquilibre dans la relation et dans les attentes que chacun y place. Ce n'est donc pas hors sujet de dire qu'il faut éviter d'y rajouter de potentiels poids, plutôt que de chercher des astuces qui "allégerait" la situation. C'est juste qu'à la place de dire "laisser à l'autre son jardin secret", je le tourne en "éviter d'envahir l'autre". Je crois que tu as des problèmes de lecture. C’était pourtant très clair ce qu'il a dit.

Oublie mon post et retiens : Du cul, du cul, du cul.

Eviter la dépendance à l'autre quelle qu'elle soit : financière, affective, sociale (en délégant le choix ou la gestion de ses fréquentations à l'autre), pratique (en laissant à l'autre l'exclusivité de certaines taches) voire même sexuelle (en étant exclusif et s'attendant à ce que l'autre nous comble (mais bon ça je crois que c'est surtout moi qui y suis allergique )). Pour moi la dépendance peut rapidement dériver en rapport de force assez malsain lors du couple et mener à une dévalorisation de soi, que ce soit pendant la relation ou pendant des périodes de célibat, où l'on aura en plus de la rupture à gérer la perte de notre béquille. Je suis assez d'accord avec la proposition de ne pas vivre sous le même toit même si techniquement ça ne m'est jamais vraiment arrivé pour une relation longue, à expérimenter pour le/a suivant/e.

T'es en train de nous expliquer que tu refuserais l'achat à un potentiel co-propriétaire en raison de son homosexualité là ou j'ai rêvé ?

Ouais moi aussi j'ai honte.

J'approuve. D'ailleurs en parlant de ce que ça a engendré ses conneries: http://www.lexpress.fr/actualite/medias/romain-benevole-du-refuge-le-jeune-gay-piege-par-hanouna-a-recu-des-menaces_1910619.html C'est rigolo hein.

Oui. En général, tu le juges dangereux, dégoûtant, etc... Sans compter le fait que l’étymologie, c'est bien mais faut pas oublier que les définitions évoluent. L'homophobie c'est pas seulement une peur, mais aussi un rejet, voire une haine. Et donc ceux qui sont blessés d'être pris pour des homosexuels ils sont homophobes aussi alors ? Vu que techniquement ils ont peur d'y être assimilés. Ah mais ça on en a aucun doute...

ÇA, c'est blessant, hein ?! Attends t'es bien en train de faire la comparaison avec une phobie, pour justifier qu'il ne s'agirait pas d'homophobie? Oui, oui. Mais il y a une différence entre ne pas se sentir homosexuel et être blessé qu'on puisse penser qu'on l'est. Comme quoi les hommes n'ont pas le monopole de la connerie, hélas.

Ah ça par contre j'avoue que je me suis déjà posé la question... Oui et non. Le fait que ce soit acquis ne signifie pas forcément qu'il s'agit d'un choix conscient. Que l’orientation sexuelle se joue tôt et est subie, certes, mais ça ne veut pas dire que c'est inné. Je suis à l’écoute d'une autre explication (deuxième tentative)

Mais s'ils sont blessés d'être "pris" pour des homosexuels, c'est bien parce que quelque part ils trouvent ça infamant... l'homophobie n'est donc pas très loin (voire on est pile dedans) A moins que tu trouves une autre explication ?