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Tout ce qui a été posté par ptitepao
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Une video, pour changer, de Aude Danset et Carlos de Carvalho... une saison de retard, ou bien d'avance... Et Anna de Noailles, pour l'accompagner. Plaisir des aubes de l'automne, Où bondissant d'élans naïfs, Le coeur est comme un buisson vif Dont touts les feuilles frissonnent ! A. de Noailles - Les saisons et l'amour Cocteau - La comtesse de Noailles, oui et non
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En quoi le fait que tu ne sois plus un enfant infirme-t-il mon propos ?
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Tu détestes donc tout ce que tu n'es pas ? Tu as bien du temps à perdre, quelle chance tu as !
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incorrigible...
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suis je sale ? crade ? cochonne ?
ptitepao a répondu à un(e) sujet de eclipsepartielle dans Quotidien
J'avoue que j'ai, moi aussi, beaucoup de mal avec ce que je nomme avec la sobriété qui me caractérise la "dictature hygiéniste"... ça n'est pas parce que le gamin va mettre son doigt à la bouche alors qu'il vient de sortir du bac à sable qu'il va risquer sa vie pour autant. De plus, lorsque je bossais avec les enfants, un célèbre pédiatre m'avait confirmé que l'enfant doit être confronté aux "microbes" un minimum afin d'avoir un système immunitaire efficace à l'âge adulte. Alors, de savon comme de tout à part le chocolat, "point trop n'en faut". -
Fort heureusement nous ne sommes pas toutes semblables... en fait il y a peut-être autant d'armes fatales que de femmes, la séduction ne sera jamais une science exacte...
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Si nous sommes déjà amis, ça me va aussi, c'est d"ailleurs pour ça que je laisserai payer Lucy sans problème Mais il me semble que ce topic parle de la galanterie dans le cadre de la séduction et, dans ce cas précis, pour moi, c'est inenvisageable.
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Voilà ! Et si je t'invitais, ce serait dans ma grande cuisine pour partager nos recettes...
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Ca, par contre, j'aime pas trop, chacun paie sa part et personne ne doit rien à personne, c'est ma manière de voir le truc. J'aime pas me sentir redevable...
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Des polémiqueurs et polémiqueuses professionnel(le)s... ou plus exactement, ça ne m'énerve pas, mais je n'en comprends pas l'intérêt...
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Dessus ou pas, sexisme ou pas, j'apprécie toujours autant que l'on me tienne la porte. Pour moi, tout comme le respect et la politesse, la galanterie va de soi.
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ignare. Ah, et "très forte", aussi, ce matin ! M'a manqué, ce topic...
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Ma femme m'a quitté pour une femme... qui a 10 ans de moins
ptitepao a répondu à un(e) sujet de -Mario- dans Amour et Séduction
Waouh ! Si je résume : - machisme primaire (j'allais d'ailleurs écrire "primate"...) - discrimination - homophobie ou, du moins, lesbophobie. - légitimation de la violence conjugale (mais uniquement à l'encontre des femmes, hein, on est prié(e)s de ne pas toucher à ces messieurs) au nom de la religion, de la supériorité masculine et de la préservation d'un pseudo et sacro-saint "équilibre familial". Je passe sur les lacunes, notamment en histoire, dater le féminisme de 1973 c'est méconnaître totalement l'histoire de l'humanité (eh oui, la femme reste un être humain, aussi étonnant cela soit-il...). Bref, merci pour le fou rire -
lointaine.
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[...] Il noircissait des feuilles et des feuilles de dessins bizarres, on aurait dit des machines. Un soir, Hélène lui demanda - Qu'est-ce que c'est ? - Une volière ? - Oui. - Et pour servir à quoi ? Hervé Joncour gardait les yeux fixés sur ces dessins. - Tu la remplis d'oiseaux, le plus que tu peux, et le jour où il t'arrive quelque chose d'heureux, tu ouvres la porte en grand et tu les regardes s'envoler. Baricco - Soie
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Van Dongen - Coquelicot D'abord, c'est une simple présence à ses côtés, puis l'impression se précise : quelqu'un ralentit. Quelqu'un retient sa marche près de Marthe. Une femme. Sur le sol, l'ombre dessine une silhouette en tenue courte et des cheveux qui flottent au vent. La femme hésite. Elle non plus ne semble pas dérangée par le piétinement, l'impatience de la foule. Pourquoi cette femme ne va-t-elle point son chemin ? Pourquoi donc demeure-t-elle dans les pas de Marthe ? La question demeure sans réponse mais le cheminement commun dure. Il dure longtemps. A la longue, Marthe ne déteste pas se sentir à l'unisson de l'inconnue. Cette marche ressemble à un échange, une conversation muette Puis soudain la femme s'arrête, à peine, un très bref instant, celui qui décide Marthe à se tourner vers elle, à la regarder enfin... C'est le rouge qui domine et une étincelante chevelure brune. Mais voilà, il ne s'agit pas de n'importe quel rouge ! C'est le rouge du coquelicot, une couleur que Marthe reconnaît aussitôt. Sa couleur, la couleur fétiche. La couleur interdite. Cinquante années tombent d'un coup. Cinquante années d'un mur de sable gris, car la femme inconnue est vêtue d'un corsage coquelicot, vaporeux, largement échancré sur la gorge, et ce corsage est étrangement semblable à celui que Marthe avait porté tout l'été précédant ses fiançailles avec Edmond, avant qu'il soit banni impitoyablement de sa garde-robe d'adolescente. Inexplicablement, malgré le coeur stupéfait, malgré l'émotion drue, Marthe se sent sourire. Elle sourit à cette inconnue. Elle sourit à sa liberté. Elle l'approuve. Et la femme coquelicot va rendre le sourire, avec une sorte d'acquiescement, comme si elle aussi approuvait quelque chose de Marthe. Leurs chemins se séparent... Qu'était devenu le corsage proscrit ? L'avait-elle jeté, offert à l'une de ses amies d'alors ? Elle l'a oublié. On dit du coquelicot qu'il serait la fleur du désir. Et si c'était le désir qu'elle venait de rencontrer dans la rue, le désir coquelicot ? Noëlle Châtelet - La femme coquelicot Kal Gajoum - Vth avenue
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La fable bidon de la famille RSA qui gagne plus que la famille salariée
ptitepao a répondu à un(e) sujet de PASDEPARANOIA dans Société
Les pauvres tapent sur plus pauvres encore. Triste mais rien de nouveau... -
Je passe juste le dessert, ce titre qui se marie à merveille avec un Chardonnais 98, paraît-il... suave et velouté, comme la voix d'Athur... Au passage, merci à Savanna de m'avoir remémoré les longues heures passées devant un calendrier des postes représentant une reproduction d'Arcimboldo, à essayer d'en capter chaque nuance...
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Imagine, maintenant : un piano. Les touches ont un début. Et les touches ont une fin. Toi, tu sais qu'il y en a quatre-vingt-huit, là-dessus personne peut te rouler. Elles sont pas infinies, elles. Mais toi, tu es infini, et sur ces touches, la musique que tu peux jouer elle est infinie. Elles, elles sont quatre-vingt-huit. Toi, tu es infini. Voilà ce qui me plaît. Ca, c'est quelque chose qu'on peut vivre. Mais si tu/ Mais si je monte sur cette passerelle, et que devant moi/ Mais si je monte sur cette passerelle et que devant moi se déroule un clavier de millions de touches, des millions, des millions et des milliards/ Des millions et des milliards de touches, qui ne finissent jamais, c'est la vérité vraie qu'elles ne finissent jamais, et ce clavier-là, il est infini, alors/ Sur ce clavier-là, il n'y a aucune musique que tu puisses jouer. Tu n'es pas assis sur le bon tabouret : ce piano-là, c'est Dieu qui y joue/ Nom d'un chien, mais tu les as seulement vues, ces rues? Rien qu'en rues, il y en avait des milliers, comment vous faites là-bas pour en choisir une/ Pour choisir une femme/ Une maison, une terre qui soit la vôtre, un paysage à regarder, une manière de mourir/ Tout ce monde, là/ Ce monde collé à toi, et tu ne sais même pas où il finit/ Jusqu'où il y en a/ Vous n'avez pas peur, vous, d'exploser, rien que d'y penser, à toute cette énormité, rien que d'y penser? D'y vivre.../ Moi, j'y suis né, sur ce bateau. Et le monde y passait, mais par deux mille personnes à la fois. Et les désirs, il y en avait aussi, mais pas plus que ce qui pouvait tenir entre la proue et la poupe. Tu jouais ton bonheur, sur un clavier qui n'était pas infini. C'est ça que j'ai appris, moi. La terre, c'est un trop long voyage. Une femme trop belle. Un parfum trop fort. Une musique que je ne sais pas jouer. Pardonnez-moi. Mais je ne descendrai pas. Baricco - Novecento Matheus Lopes Castro A (re) lire accompagné de vin blanc et de Cool Jazz d'Arthur H (pas trouvé en écoute gratuite... ) (j'aime beaucoup Andrée Chedid, merci Lendehors...)
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Zhu Zhu Elle est de ceux qui pensent que personne ne peut se permettre de passer à côté de l'amour. Elle est de ceux qui pensent que personne n'est si nanti qu'il puisse laisser l'amour derrière soi. Rilkka Pulkinen - L'armoire des robes oubliées
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Je suis de celles qui préfèrent résoudre ou combattre plutôt que d'accepter. Rire n'évite rien, bien au contraire, rire donne la force de supporter et d'avancer. Bien plus que les leçons démago-moralisantes. Perso, j'ai tendance à avoir peur des toujours sérieux et "comme il faut", ils ont trop souvent tendance à s'enfoncer dans une dictature moralisante qui me déplaît au plus haut point.
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Le rire est pourtant le remède le plus efficace pour trouver la motivation nécessaire à l'action. Parce que, franchement, les autres qui sont si malheureux, que tu ries ou pas, ils s'en fichent, ce qui leur est/serait utile, c'est que tu les aides à trouver le moyen d'en sortir. Personnellement, quand je suis dans la merde, je préfère de loin la personne qui va se foutre de ma situation en riant à gorge déployée à celle qui m'imposerait sa compassion larmoyante. La première me redonne le peps nécessaire à l'action, la seconde me donne, au pire l'envie de me complaire dans ce malheur si triste, au mieux le besoin irrésistible de lui mettre mon poing dans sa figure de compassé...
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Tout dépend de ton âge et du genre de musique que tu écoutes... Sinon, et c'est une redite, il n'est de meilleur argument que celui qui marque les esprits,l'humour noir fait partie des outils qui le permettent et d'une façon bien agréable, en plus !
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La faute du plastique, on vous dit...