-
Compteur de contenus
48 051 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par Jedino
-
Morphee, oui, on échangeait pas mal de MP, mais si j'devais citer tout le monde, ce serait plus interview, mais un roman :D D'ailleurs, si tu veux renouveler ça Et vous savez tout, au contraire
-
Charles Aznavour :D
-
D'où vient le fait qu'il existe des lois régissant la nature ?
Jedino a répondu à un(e) sujet de Frelser dans Philosophie
On m'a mal compris. J'ai pas l'art d'être toujours très clair. Je disais, en complexifiant inutilement la chose, que les lois que nous voyons ne sont qu'une interprétation simpliste, et quelque peu imposé par nos sens, de la réalité. Les lois sont essentiels à la compréhension entre humain. Je ne vois pas pourquoi elles seraient nécessaires à l'univers. Finalement, je rejoins pas mal Frelser dans ses propos, proposant tout cela comme une illusion. Je le généraliserais seulement. J'y ajouterais une troisième possibilité, ma foi évidente en vue de ce que j'ai pu dire, mais ma position n'a pas l'air de faire l’unanimité :D Par contre, je ne saisis pas en quoi l'univers est impossible sans lois. Et encore moins parce que nous sommes là pour en parler. -
D'où vient le fait qu'il existe des lois régissant la nature ?
Jedino a répondu à un(e) sujet de Frelser dans Philosophie
La question est : pourquoi faudrait-il un commencement? Ou même un ordre? Les lois semblent permettre cela, de cette manière. Ce qui n'empêche en rien de les faire fonctionner autrement, et d'y trouver de l'ordre, ou du désordre, finalement. Car, il n'y a aucune raison (non?) pour que l'ordre "domine" le désordre? Tu parles de domination d'une loi. Une loi étant une constatation "logique" humaine, il me paraît évident que, pour un être cherchant au maximum la logique et l'ordre, l'univers soit déterminé de cette manière. D'autre part, une loi ne naît pas, tout comme elle ne subsiste ou ne meurt pas. A mon avis, nous avons simplement cette fâcheuse tendance à vouloir expliquer ce qui, dans les faits, n'a pas à l'être. Nous vivons dans un "ordre" apparent, ce qui ne rend pas cet "ordre" réel. En simplifiant par des observations ce qui nous entourent, on ne peut que simplifier, également, l'interprétation faîte. Les lois sont ainsi permises. -
On me disait de ne plus lui parler. De l'abandonner. Parce qu'elle me ferait souffrir. Elle ne pourrait faire que ça. On me disait que j'avais tort de continuer à m'accrocher. A y croire. Ces personnes là avaient raison, en partie. L'an passé, j'allais mal. J'avais difficulté à l'assumer. Mais, je n'ai rien laissé tomber. Cela aurait été lâche. Cela aurait été une erreur. Peut-être souffrait-elle. Beaucoup. Peut-être est-ce le cas, encore. Seulement, je sens un certain espoir. J'y vois la naissance d'une volonté. Celle d'avancer. Cela aura pris une bonne année. Et je suis convaincu qu'elle finira par y parvenir. A accepter. A retrouver. A ressentir. A aimer. Je ne vous cacherai pas non plus que cette histoire m'aura apporté. J'aurais appris des choses, je pourrais me dire que j'aurais fait ce qu'il fallait pour tenter de l'y aider. Elle a un sens de l'écoute que j'ai rarement retrouvé chez quelqu'un d'autre. En quelque sorte, elle m'aura aidé aussi à sortir de l'année passée. Maintenant, je dois continuer. C'est bien là mon rôle. Un rôle que j'ai finis par revêtir. Et échanger, récemment. Je l'aime bien. Elle est gentille. Bien loin de ce que moi je peux être : cruel et méchant. Parfois délirant. Mais, ne refusant jamais, comme elle, d'écouter. Car, savez-vous que le manque d'écoute est l'un des maux premiers de ce monde déjanté?
-
On vire les cigarettes du marché, on met en manque la moitié de la populasse, dont la minorité deviendra dinguo. Ces dinguos supprimeront les autres, les vieux de préférence, et comme ça on règle plusieurs problèmes à la fois. A chaque problème, sa solution. J'ai toujours su que j'étais fait pour la politique.
-
La vérité nous tue Qu'on soit riche, pauvre, grand, petit, jeune, vieux, une caricature, un rebelle, nous avons, dans la globalité, un point commun : la peur de voir les choses en face. Que ce soit en amitié, en amour, ou par rapport à des sujets plus "sérieux" comme l'environnement, la politique. Nul part il n'est question de la réalité. Bien entendu, il y a là une généralisation superficielle de ma part. On trouve toujours quelqu'un qui saura accepter cela. Mais cela ne se limitera qu'à un domaine particulier, bien malheureusement. Que le but soit de se faire accepter ou de donner consistance à ce qu'on dit pour contredire le parti qui s'oppose à nous, il y a cette volonté, certes inconsciente, de s'illusionner, de mentir, de s'imaginer. Pourquoi remarque-t-on de telles difficultés dans les relations amoureuses? Pourquoi ce côté si éphémère dans le domaine sentimental? Parce que nous sommes, au fond de nous-mêmes, détestables. Bien assez pour justifier le fait de se créer un personnage, cet être qui nous ressemble un peu, mais qui n'est pas nous. C'est le mince voile déposé sur notre visage. Celui qu'on finira par faire tomber par mégarde un jour, ou l'autre. Là, ce sera la fin. Et si seulement cela se limitait à notre personnalité. Il faut que nos idées soient aussi infestées de ce comportement exécrable. Bien entendu, nous savons tous à quel point nous mettons à mal notre belle planète avec notre pollution, notre déforestation. Hypocrite est celui qui dénonce ces actions sans nuancer son propos. Il est une chose de dire que c'est mal, une autre d'assumer sa responsabilité. Si nous tenons tant à préserver notre écosystème, ça n'a jamais été pour la planète, mais pour nous, et uniquement pour nous. Qu'une espèce meurt, on s'en moque bien. Le souci est qu'elle peut avoir son importance, et, à terme, nous causer du tort. Le rejet de gaz à effet de serre serait sans importance s'il n'impliquait pas une catastrophe au niveau humain. Rassurez-vous, dans l'histoire, vous êtes les méchants. Car s'il est beau de dénoncer les firmes, les Etats, et tout ce que vous souhaitez diaboliser, vous oubliez que les forêts sont rasées pour notre papier, que les usines tournent pour notre confort, et que l'écologie n'a pas de véritable sens actuellement. Quand le cataclysme arrivera, la réaction suivra. Pas avant. Avant, notre petite vie bien sereine primera. Elle primera parce que nous voulons croire à notre réalité fictive. Elle primera parce que nous sommes des êtres ivres de fausseté. Elle primera parce qu'il doit en être ainsi.
-
Pourquoi? Pourquoi si peu? Je m'énerve pour des détails, des futilités. Des choses qui n'avaient aucune importance il y a encore peu! C'est pitoyable. Et pourtant, cela me gonfle. De ne pas l'avoir remarqué, plus que tout. Mais, tout de même! Ca me plombe le moral. Savoir que je vais perdre au moins six points sur ma note pour une simple erreur de signe. Ca me met hors de moi. Mes parents pensent que je réfléchis trop vite. Que je manque d'entraînement. Alors que je sais. J'aurais pu avoir une bonne note. Mais non. Puis, comment ne pas apprécier le reproche immédiat visant mon dossier à venir? Comme si mon souhait avait été de me gourer sur ce foutu signe. Pourquoi cette erreur? Ce doit être dans l'élan qu'avait déjà pris la journée. Une impossibilité de passer à la cantine pour pouvoir arriver à l'heure au contrôle, amenant à ne pas manger. Avoir le ventre vide n'aide pas à se concentrer et à réfléchir justement. Peut-être y a-t-il aussi une part de pression constante à l'attente qu'on a de moi. Comme si être le meilleur et avoir une note correcte, au dessus des quatorze points, sont essentiels. Surtout en mathématiques, l'obsession pas possible de mes parents. Enfin, il y a une raison plus floue encore, plus obscure, et moins avérée. Il me semble avoir pensé simultanément à la méthode, et à la méthode contraire. Je me suis mis à utiliser la bonne méthode, mais je me suis servi du signe de l'autre méthode, formant un mélange qui a induit l'erreur à suivre. Je savais d'ailleurs qu'il y en avait une, sans trouver le pourquoi au moment opportun. Peut-être est-ce là un rappel : celui qui veut que vouloir toujours plus de réussite et de résultat n'offre pas nécessairement les meilleures conditions pour y parvenir.
-
Pas tout à fait. Ma mère écoute certaine chanson tranquille, et la musique baroque qu'elle écoute ne me dérange pas. Mon père est plutôt orienté rock/heavy metal, et apprécie de fait la musique industrielle et le nu metal actuel quand ça reste gentillet. Disons que la musique que j'écoute est violente, oui. Suffisamment pour que je sois assez seul là où je suis à apprécier ce type là de musique. Parce que la chanson que j'ai mise est assez loin de la musique extrême. M'enfin, je n'écoute pas que ça. J'écoute "n'importe quoi", pour citer mon frère Et peut-être que oui, c'est ainsi qu'on l'exprime. Quand tu voies les paroles de chansons, tu trouves fréquemment des paroles sombres, pessimistes, ou virulentes.
-
Parfois, on tombe sur des chansons qui nous semblent inconnues. Et pourtant, elles nous tracassent. Une impression de déjà entendue nous envahit. "Cette chanson me parle, mais je n'arrive pas à savoir pourquoi." Alors, on l'écoute, la réécoute, jusqu'à ce que le souvenir reprenne doucement le chemin de la surface. Depuis, j'ai trouvé solution à mon impression. La croix rouge au fond, je l'ai déjà vu. J'ai dû tenter une approche quand j'étais plus jeune encore que maintenant, sans toutefois accrocher. Actuellement, je la mets pour la sixième fois. C'est un exemple de la manière dont on peut évoluer en un laps de temps assez court. Il faut dire que la violence musicale n'est plus une barrière. Et puis, je trouve, tout simplement, que cette chanson en envoie plein la face. Ca rappelle un peu l'ambiance de Manson. "'cause I am!"
-
Oups. Je me suis trompé. Alors je vais citer un texte pas mis ici. Quelque chose de plutôt ancien déjà. Hier, j'attendais le lendemain. Mais le lendemain n'est pas arrivé, Et au moment de le rencontrer, Il m'a échappé des mains. Impuissant face à leurs coeurs, Je ne sais comment les toucher, Comment vivre de leurs idées. Je sens que le mond m'échoeure. Hier, j'attendais le lendemain, Sans savoir que dès le départ Tout est déjà perdu, bien trop tard. J'ai mon propre sang sur les mains.
-
Je suis dans ce cocon que j'ai tissé, et qui m'emprisonne chaque jour un peu plus. J'étouffe. Il n'est pas de soie. Il n'est pas doux au toucher. Il est de pierre. Il est froid, solide, impénétrable. Cela me fait une armure contre les agressions. Seulement, je ne peux pas bouger, m'en aller, vagabonder. Il est maître de mes actes. Mes forces ne suffisent pas à le briser. Le papillon, fébrile et rêveur, ne pourra pas s'envoler. Mais est-ce autre chose que sa faute? C'est bien lui qui l'a bâti. C'est bien lui qui l'a protégé quand il était petit. Ce serait injuste de l'abandonner maintenant. Dilemme. Si, de votre vivant, vous voyez un papillon souffrant de ne pas savoir comment prendre son envol, ne restez pas indifférent : il serait dommage qu'il meurt de ne pas avoir su décoller. Prenez la pioche, et martelez son monde hermétique. Il vous remerciera de lui offrir cette courte journée qu'il attendait, blotti dans son univers si réduit. Offrez-lui de voir le visage tel qu'il est : vaste, beau, et ravagé.
-
Toi, mon fils, vient là. Ecoute-moi. Toute ta vie, tu combattras. Que ce soit tes démons ou ceux des autres, tu vaincras. Ne laisse pas l'obscurité te pervertir. Ne perd pas ton temps à aider ceux qui cherchent à se noyer. Tu vaux mieux que ça. Tu es meilleur que ça. Tu es la clef d'un trésor inestimable. Tu es un cadeau pour les personnes avec qui tu seras charitable. Mais ne te fais pas emporter dans la candeur par des êtres mauvais. Car tu en rencontreras, de ces gens qui voudront ton malheur. Tu en croiseras, de ces monstres qui te hanteront jusqu'au tréfonds de tes convictions. Pourtant, je te le demande, en ce jour, en cet instant : ne faillis pas. Sauve ce que je n'ai pas su aider. Corrige ce que je ne sais pas su mener. Oui, tu es la clef. Cette même clef qui ouvrira ce que nul ne perçoit encore. Tu es l'avenir.
-
Regardez-le, cet homme sans rien. Oui, regardez-le tenter de trouver du pain. Est-ce là toute notre dignité? Sommes-nous ces êtres effrénés? Non, il n'y a pas d'avenir pour les égoïstes. Ne trouvez-vous pas ça triste? Le souci, lorsqu'on est jeune et inconscient, C'est qu'on croit encore à aider les gens. Bientôt, l'argent nous pourrira la chair, Nous volera la bonté du bout de nos viscères. Dès lors, notre tolérance sera nulle Notre espoir n'ira plus que vers le pécule. Alors, avant que je ne devienne ce que je hais, Laissez-moi croire en un monde parfait. Laissez-moi vous dire de le regarder une fois, Une fois encore, cet homme qui perd la foi.
-
La société doit-elle payer pour les "légumes"?
Jedino a répondu à un(e) sujet de economic dream dans Société
Tu crois que t'auras plus parce que tu débranches deux personnes dans le coma, ou parce que tu feras l'égoïste avec trois handicapés? Tu m'fais bien rire. J'espère que tu ne feras jamais d'accident qui te mettrait dans un tel état. J'aimerais pas payer pour qu'on te maintienne dans un état de "légume". -
:D J'adore le masculin du seul
-
Faisons ce pourquoi nous sommes ici. Mais quel est ce but? Vivre? Comprendre? Apprendre? Détruire? Évoluer? Faire évoluer? Aider? Créer? Tant de possibilités. Tant de directions. Vers où devons-nous donc aller? Là où nous mènera notre destinée. Ou nos choix, selon ce qu'on peut penser. La différence est minime : l'un force à assumer, l'autre à accepter. Qu'importe, finalement. L'idéal est de savoir trouver. Trouver quoi? Tout dépend où vous en êtes. L'amour, l'argent, les autres, la bonté, la méchanceté, etc. De nombreuses possibilités à en avoir le vertige. En principe, on prend conscience à chaque étape passée, soit la déception de l'un de ces artefacts de notre cheminement. Car il n'y a que dans la souffrance qu'on remarque notre erreur. Et on monte une marche. Où se situe la dernière de ces marches, à franchir? Je pourrais vous la citer, ce qui ne vous aiderait pas pour autant. Cette marche, elle est tout là haut, prêt du sommet, sans toutefois le toucher. Et sa nature dépend de l'escalier que vous avez emprunté.
