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Tout ce qui a été posté par Jedino
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100 pages! Cela fait beaucoup de messages, et par la force des choses, beaucoup d'histoires ou de parcelles de nos vies. Mais le plus fabuleux, dans tout ça, est surement de se dire qu'il est possible qu'on s'en félicitera encore une fois arrivés à 200 pages, voir davantage. Alors, restons inspirés, restons motivés, et rendez-vous dans quelques nombreuses journées! Car, comme vous le savez, même s'il est bon d'en profiter, il ne faut jamais en abuser :D
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Je ne pense pas qu'on puisse arriver à comprendre qui parle au-dessus, mais bon. En fait, je suis pas mal curieux de voir comment on interprète ce dialogue. Sale gosse.. :D
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Help ! Thème d'acrosport pour le bac
Jedino a répondu à un(e) sujet de Ellana15 dans Sports - Divers
Mais j'sais pas si ça va :D -
- Qu'est-ce qu'on s'emmerde, quand même. - Je n'te l'fais pas dire. - T'as pas d'idée, toi? - A vrai dire, non. On a déjà tout essayé. Et c'en devient ennuyeux. - Réfléchissons. Il doit bien y avoir quelque chose de distrayant à faire. - Je veux bien te croire. Épate-moi, alors. - Qu'en penses-tu? - J'en pense que ça m'inspire. - Alors, va y, amuse-toi! Ne te gêne pas. Ils n'en sauront rien. - En es-tu sûr? Je n'aimerais pas... - Ils seront si persuadés que c'est le cas qu'ils ne le croiront plus. - Tu es vraiment un as, quand il s'agit de s'amuser. - Je sais. - Par quoi commencer? Il y a temps à faire. - Et si tu les faisais douter? - Ah! Oui, très bonne idée. Il n'y a rien de plus hilarant que de voir quelqu'un se perdre avec ses pensées et soi-même. - En effet. Et ils mirent en place, à eux deux, le plus cruel, le plus vicieux, mais le plus distrayant des jeux.
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Oula! Tant de nouveautés! Est-ce l'effet fin de semaine qui se ressent là? Infinitive. J'ai, assez récemment, commencé à voir quelqu'un. Les années passées, je n'ai jamais rien fait. Que je fasse, et mes devoirs, et les révisions qui vont avec, est déjà une bonne chose, à mon sens. Ce sont les petites victoires qui font les grandes. J'ai des jours comme ça où je vois tout en noir. L'essentiel est simplement de se débrouiller pour que ça soit une journée, et pas une période plus longue. Pour ce qui est de "offrir" la mort, que tu trouves mal dit, je le trouve, au contraire, très bien à sa place Evasive. A y réfléchir sérieusement, je suis persuadé qu'il est possible de savoir qui nous sommes. Bien sûr, on peut avoir tout à fait différent de l'extérieur. C'est l'être et le paraître. Mais l'être, même lui, je pense qu'il existe. Et je considère possible de le trouver plus que superficiellement. Bien sûr, on peut se voir comme formaté par de nombreuses choses. Il y a l'éducation, le langage, le mode de vie, etc.. Tout ça sera décidé inconsciemment par des détails parfois insignifiants et pourtant bien là. Même les pensées peuvent être influencées. Autant dire que nous sommes un creux profond sans réel fond, avec pour seule personnalité celle qu'on nous laisse posséder. Peut-être sommes-nous la société? En gros, rien du tout? Ou peut-être qu'être quelqu'un, ce n'est pas tant être quelque chose, avoir quelque chose, mais plutôt faire quelque chose? En ce sens là, ça prendrait tout son sens, et ce pourrait être possible de se réaliser soi-même, de se connaitre, en trouvant le but, la chose qu'on souhaite réussir. Peut-être que je suis ce que je fais pour ou contre les autres. Un petit "j'agis, donc je suis". Cosette. La mort d'être proche est toujours difficile à vivre. Je l'ai moi-même connu une fois. Mais en fait, parfois plus que la mort physique, la mort partielle d'une personne me touche aussi. Je me sentirais presque triste à l'idée de savoir qu'une personne déjà bien plus âgée puisse perdre la capacité à être elle-même. Bref, merci à vous. Et à Morphee, que j'aime bien nommer chateau, par habitude (:D), à le merle, et à tous ceux que je connais moins et qui passent de temps à autre ici :)
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Qui suis-je? La prof' de philosophie n'a pas tort. Rares sont ceux qui le savent. Surtout à mon âge. Pour beaucoup, je crois que ça a été la première fois qu'ils se sont opposés à cette question, ou plutôt, qu'on les a incité à le faire. Personnellement, je me souviens avoir écris un texte intitulé par le problème posé, et il doit, à ce jour, croupir doucement dans un tiroir. Pour qu'il soit sur papier, il date de l'an passé, voir d'il y a deux ans. Je ne saurais plus le dire. Mais tout de suite, on ne sait que répondre et, si on se met à répondre, on devrait se rendre compte que c'est assez vide dans le fond. En fait, écrire ces quelques lignes, ça me fait rappeller un texte de "allez-savoir", celui qui mettait en scène la personne devant répondre à "qui êtes-vous?", si je m'en souviens bien. Je pourrais évidemment développer les idées possibles que j'aurais pu avoir là-dessus, celles qui me concernent directement, pour essayer de débroussailler un peu le fouillis qu'on peut trouver dans ma tête. Seulement, je n'aime pas y réfléchir pour la simple raison que je ne saurais pas résoudre cette situation. Finalement, je ne dépends que de rares choses, et principalement d'une personne. Pourquoi? A cela, j'y ai songé hier, suite à mon délire fataliste, pessimiste de dépressif asocial, persécuté par la violence de l'hypocrisie et l'indifférence humaine. J'y ai réfléchi parce que je ne comprenais pas pourquoi elle. Bien sûr, il y a ce coté intéressant, ce caractère assez unique, qui la met nécessairement au premier plan. Mais je ne peux m'imaginer que ce soit tout, et essentiellement ça. Et je ne me suis pas donné tort car j'en ai conclu que c'était sa capacité à me raisonner dans ces moments là qui faisait que je lui accordais une telle importance qu'on me prendrait parfois pour amoureux. Une raison comme une autre d'apprécier quelqu'un. Si ce n'est aussi le fait qu'elle se fait un plaisir de contredire lorsqu'elle n'est pas en accord avec ce qui ai dit. Bref, vous l'aurez compris, je l'aime bien. Elle fait, à cette époque là de mon existence, ce que je suis. Sans elle, je pourrais sombrer dans la folie, une folie qui n'est pas considéré par personne. J'en ai pas l'air. Je parais uniquement inintéressant, socialement mort, toujours malheureux. Difficile de discerner les pensées qui entourent ce train de vie qui, une fois jetée dans les rouages de la société, me donnent des désirs, parfois même des envies, jugées sans aucun doute mauvais. La mort est une omniprésence. C'est un fait. Le plus inquiétant reste que ce n'est pas de la mienne dont je rêve. Pis, que je me sens capable de l'offrir. Ce doit être la conséquence de ma bêtise inconsidérée.
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Il y a ces jours où la chance nous attend et nous console, Et les autres qui nous mettent à genoux et nous désolent. Il y a ces jours où on est tant en transe qu'on s'envole, Et les autres qui nous maltraitent et nous rendent folle. Il y a ces jours qui laisse exprimer notre virilité masculine, Et les autres où notre sensibilité féminine nous domine. Il y a ces jours qui, à la vue de notre misérable bonté, s'illumine, Et les autres où notre volonté hier si forte rechigne. Au final, hommes, femmes, enfants, parents, Nous sommes d'un peu de ces moments, D'un tantinet de ces traits innocents. Nous sommes à la fois notre père autoritaire Et le désir de protection de notre mère. Nous divaguons éternellement entre deux terres.
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Je vous remercie :) Cosette, je n'ai (malheureusement, ou heureusement, j'ignore ce qui convient le mieux), que l'âge mentionné sur mon profil. Le merle, j'apprécie également te lire (le vocabulaire y est très recherché, je ne connais pas toujours tous les mots :D). Souffrance, désespérance, je ne sais pas. Il m'est arrivé de souffrir, plus par ma faute que celles des autres. Et puis, la période avant la rentrée a laissé renaitre un peu de mon fatalisme, de mon pessimisme. D'ailleurs, cette journée est pour moi l'occasion de raconter plusieurs anecdotes et sentiments. En effet, je redouble ma terminale, en raison d'un travail inexistant, d'une volonté absente, et d'un bête désir de simplement quitter mon ancienne classe. Bref, j'ai finis par l'avoir. Pour tout vous dire, je ne suis jamais plus meilleur que lorsque je suis sûr de rater ce que je fais. Je m'explique : à l'oral, après le massacre des chiffres, je savais déjà avoir perdu la bataille. J'ai donc, à mon grand étonnement, idéalement réussi celui de SVT. Il faut savoir que je rejette catégoriquement tout ce qui touche à l'oral, depuis toujours, et ne suis vraiment pas alaise dans ce genre d'exercice. J'étais donc content, ce jour là. Donc, aujourd'hui, j'ai connu l'effectif de ma classe qui est tout de même de trente passé. J'y connais deux personnes. Des redoublants, aussi. C'est l'heure de recevoir nos emplois du temps. Pas de quoi se plaindre. Ce n'est en plus pas mon genre. C'est que je ne rechigne jamais à travailler, et ne sais pas refuser. Mis à part ça, la journée commence à passer, à son rythme. On prend connaissance des changements tendant vers la sévérité du fait de l'échec important de la terminale l'an passé. Si je devais parler de ma classe, je dirais que, finalement, je crains ne pas m'entendre avec tous les garçons. Peut-être les filles? Ce serait une première, en tout cas. Tout cela s'annonce pas tout à fait simple, surtout que je ne pense pas avoir la réputation et n'ai pas l'allure de quelqu'un de bien heureux, bien sympathique. Malgré cela, la redoublante que je connais m'a dit plus heureux, ce qui m'a pour le moins surpris un peu. Et puis, je disais cela probablement difficile car j'ai comme eu le sentiment de ne pas être à ma place. C'était plus discrètement le cas auparavant, mais là, je ne l'ai jamais autant ressenti. J'ai pas mal regardé autour de moi, me suis contenté d'écouter ce qu'on nous a enseigné (bien que j'étais capable de sortir la moitié du cours d'Histoire fait en début d'année l'an passé), et me suis dit qu'au final, j'étais "bien" que chez moi, dans la solitude. La présence m'insupporte, et pour cause : coup de chaleur insupportable (je déteste ça, vous n'imaginez pas), puis, dans l'après-midi, douleur abdominale, suffisamment pour motiver la venue d'une céphalée, histoire de compenser la douleur se faisant trop forte. On oublie vite à quel point on souffre à ces moments là une fois en vacance. Et puis, il y a l'inquiétude du professeur d'Histoire qui vous interroge au plus profond de vous-même. L'incompréhension face à l'échec. Faut dire que tout le monde ne voit pas dans sa vie un terminal scientifique ressortir avec une note presque nulle en mathématiques. J'apprécie ce professeur, vous savez. Je le sens comme sensible. Sans parler de la façon dont il vit ses cours, tenant en haleine son public plus ou moins intéressé. On se laisse vite emporter par ce passionné. Finalement, la journée se termine assez vite, malgré le changement d'emploi du temps la prolongeant d'une heure. Pourtant, rien n'est finis : la navette ne venant pas, il faut descendre, en espérant trouver son bus encore à l'arrêt en bas. Une fois sûr que non, il ne reste qu'à appeler un parent pour se faire ramener, et il faut tout remonter, à peine descendu. C'est un peu la tradition, la mise en haleine annuelle du lycée : rares sont les rentrées où je n'ai pas connu de soucis de bus. Au milieu de tout ça, j'ai pu effectuer ma bonne action du jour qui, sans cela, ne serait pas tout à fait une bonne journée. C'est peu, mais c'est toujours aider. Que rêver de mieux que de dire à un père accompagnant son fils que la navette qu'ils attendent n'est pas encore passée et pas encore là? Ainsi, la vie lycéenne reprend, on y voit de nouvelles têtes, on s'attend à en connaître plusieurs, histoire de ne pas être tout à fait seul. Sauf si, comme moi, on sait déjà que l'affaire sera vite réglée, en raison d'un désintérêt de mon côté, et d'un jugement justifiable de leurs côtés. Car il n'existe pas pire réputation que celle de ne pas en avoir jusqu'à l'entendre siffler dans nos oreilles.
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Evasive, c'est un beau souvenir que tu as là. :) Frelser, j'admire l'aisance de tes vers! Bien que la touche finale soit plutôt pessimiste. Cosette, merci, mais en réalité, c'est simplement des questions qui me viennent à l'esprit quand j'écris tout autre chose ou quand je fais tout autre chose. Parfois, je me demande de quelle manière je fais un rapprochement quelque peu logique entre tout ça. Mais, j'ai l'impression que j'ai des jours différents des autres, parce que j'ai plus d'idées qui se suivent à rendre chaotique, parfois, ce que je dis. Surtout lorsque je parle de ce que j'ai dans la tête. Peut-être ais-je une route, et que je fais comme y entrevoir tout et n'importe quoi? Ou alors, ais-je un arbre, et chaque branche mène à de multiples autres? C'est, dans le fond, un questionnement étrange, mais ayant tout son sens. Car je ne sais pas si je privilégie le linéaire à l'arborescence, ou l'inverse. Bonne journée à vous!
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Et oui. La technologie assassine actuellement les sentiments, le contact humain. J'en suis sa première victime, et ne peux le dénoncer. Sinon, c'est bien :)
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Sommes-nous maîtres de nos personnages? Au début, c'est une certitude. Et encore? On l'imagine, dans son monde, on le décrit au mieux. On le voit se balader. On retranscrit comment. Rapidement, il évolue, comme évoluerait une personne réelle face à ses propres expériences. Mais décidons-nous pour lui, ou sommes-nous simplement les conteurs de l'histoire qu'il a vécu, soumis à sa volonté, à ses choix? Et si les personnages qui vivent dans notre tête étaient vivants? Cela ferait de nous les pantins, condamnés à raconter la vie d'un autre. Je ne sais pas pour vous, mais moi, je le ressens un peu comme ça. Je choisis, au départ, qui est le plus intéressant, de mon point de vue, et je le regarde, j'écris son existence, comme un voyeur pervers et perfide. Je le vois partout, tout le temps. J'en aurais presque honte. Il lui arrive même de changer d'avis. Et malgré ce bordel, on est là pour donner du sens, pour faire que tout soit clair pour, pourquoi pas, partager à d'autre ses défauts, son vécu. Là prend tout son sens la phrase affirmant que dans nos têtes, nous sommes des milliers, toute une armée de tout et n'importe quoi, avide de se faire entendre plus que l'autre. Il y a de quoi avoir mal au crâne, vous ne trouvez pas?
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Pouvoir déferler mes pensées sans aucun sens sans réfléchir à trop les rendre concises et compréhensibles est plutôt rare. Je ne peux, en effet, pas le faire avec tout le monde. Parce que tout le monde ne le veut pas, ne le supporte ou ne s'y intéresse pas. Cela doit être la raison pour laquelle je l'apprécie tant. Parler, sans retenue, sans crainte d'être mal compris. Et si tel est le cas, ce sera dit, et je pourrais développer autrement tout mon petit fourbi. Mais ne vous méprenez pas : ce n'est ni une amie, ni l'amour de ma vie. Nous ne sommes rien, ni l'un pour l'autre, ni pour les autres, et c'est ainsi qu'on survit. Pourtant, on me contredirait facilement tant je m'enthousiasme à la vue de sa simple venue. Ce doit être ça. Ca quoi? Je ne pourrais vous le dire. Et ceci m'importe peu. J'ai beaucoup appris de son contact. Souffert aussi. Au début. A tort ou non, je l'ignore, je considère lui devoir énormément. Seulement, comment donner à quelqu'un qui ne souhaite rien? C'est là un mystère de la vie.
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Le Krav Froga
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Grenouille Verte dans La mare aux grenouilles
J'fous quoi dans les commentaires?! Sinon, j'me suis bien marré :D -
Je le connais plus que bien, oui. Merci du passage Mad :)
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Echoo : J'en tiendrai compte, alors Et j'oserai pas m'aventurer chez les autres, au risque de m'y perdre :D Cosette : Tes compliments me touchent :blush: M'enfin, je suis content, à vrai dire. J'ai réussi, pour une fois, à ne pas faire tuer tout le monde! Morphee, je n'ai pas lu, non, "l'Ermite absolu". Mais j'ai lu, il y a quelques temps déjà, qu'on avait trouvé une zone où des neurones naissaient après la naissance, ce qui allait à l'encontre de l'idée qu'on avait jusque là et qui considérait que tous nos neurones étaient acquis avant la naissance et pour l'ensemble de notre vie. En voici un lien, si cela t'intéresse : http://lecerveau.mcgill.ca/flash/capsules/histoire_bleu05.html Bonne journée à vous
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Il est souvent dit qu'on a tout intérêt à le faire pour ne pas avoir à regretter après. C'est souvent dit par après, rarement au bon moment. Un peu comme une critique. Et oui, ces moments n'existent pas vraiment. Alors, pourquoi les imaginer? Peut-être parce qu'on aurait pensé que faire ce choix, au lieu de l'autre, aurait changé l'état dans lequel on est actuellement, la situation dans laquelle on évolue? Difficile de savoir si cela aurait été mieux ou non. Pourtant, on s'entête à le penser. Ainsi sommes-nous faits.
