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Tout ce qui a été posté par Jedino
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Ctoi l'abeille (:blush: ) :smile2: :smile2: Fais gaffe à ta fleur (ca mériterait pas un averto, ça?!) Je n'te l'fais pas dire.. :D
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"On peut rire de tout, mais pas avec tout le monde." Ce qui est chouette, avec cette phrase, c'est qu'on peut remplacer le "rire" par pas mal d'autres verbes sans pour autant que cela soit faux. Et, je ne vois pas ce qu'il y a de misogyne de dire que Zala est une abeille
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Assurément, qu'il en aura, voyons x)
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Pas bête, la référence à Lofofora :D
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l'anglais obligatoire en maternelle
Jedino a commenté un(e) billet du blog de lemusicien dans lemusicien Blog
Je ne suis pas certain que cela changera énormément. J'ai commencé deux ans avant l'anglais l'allemand, et mon niveau est moins bon. -
Les gens, cette masse dont on parle et dont on ne sait jamais vraiment si on y est aussi, ou non! Les gens, ce vaste monde où tout semble risible, et où rien n'est réellement. Au fond, qui sont-ils, ces gens dont nous parlons?
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Oui, oui, nous verrons^^
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Difficile de ne pas penser à Dragon Ball Z... :D Sinon, il y a toujours plus fort que nous, alors, pourquoi pas?
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Une partie personelle dans ce blog
Jedino a commenté un(e) billet du blog de emasik dans L'oeil du requin inversé
:D -
Une partie personelle dans ce blog
Jedino a commenté un(e) billet du blog de emasik dans L'oeil du requin inversé
Ah non, moi je ne comprends ma bichette! Et, echoo a raison : a nous de te juger ton travail, maintenant.. (:D ) -
Une partie personelle dans ce blog
Jedino a commenté un(e) billet du blog de emasik dans L'oeil du requin inversé
Pas de soucis, fais-toi plaisir -
Tout de suite la violence! Mais l'idée de retourner la chose est intéressante :)
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Echoo, à défaut d'avoir une idée, hein... :D Grand Mage pastaga, le lyrisme, oui, je ne sais pas si moi j'en suis capable^^
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On travaille. On est heureux. On souffre. On fait pas mal de choses. On apprécie ça. On le regrette, parfois. Nos vies sont biens remplies, dénuées au mieux de tout ennui. On se nourrit d'amour. Et d'argent, aussi. On discute. On échange. On évolue. Rien n'est vraiment tracé. Nous n'en avons, en tout cas, pas l'impression. On surfe sur internet. Sur les flots des jours qui passent, également. Globalement, on en conclue que, ça va. Ca pourrait être pire. Ou mieux. Mais, tant pis. Au fond, peu nous importe. Enfin, si. Nous nous convainquons juste du contraire. Nous avons ce besoin de rêves. De beautés. De rires. De ces détails qui inondent nos heures. Comme pour les noyer. Sincèrement, où allons-nous? Que voulons-nous? Où sont ces repères qui nous rassurent? Où sont cachés ces mystères qui autrefois faisaient vibrer le cœur de nos aïeux? Je ne sais pas. Je m'y perds, à mon tour. La folie surplombe mes pensées. Je crois qu'elle me prend en tenaille. Doucement. Je me sens mou, sous ses poignées. On a vite fait de s'y faire. D'accepter la soumission. La pression. La lâcheté. Toutes ces qualités utiles aux bons esclaves. On est jamais meilleur esclave que lorsqu'on est libre. Ou que l'on se pense ainsi. Cela revient au même. Curieux. Tout est curieux. Le lever d'une main. La mouvance d'un œil. L'expression d'un visage. Le vol d'un oiseau. Le titre d'un livre. Le mot choisi. Le journal du matin. Tout. Tout. Tout. A s'en rendre fou. Je trouve qu'il est là, l'intérêt de notre existence. Devenir cinglé, à n'en plus dormir, à n'en plus pouvoir le supporter, jusqu'à la fébrilité naturelle de la découverte de ces événements anodins. Le reste n'a pas la moindre importance. Le sérieux, le profit, le besoin, l'ensemble de ces contraintes, intérieures ou non, qu'on s'impose malgré nous pour ressembler à ce qui nous entoure. Par crainte. Surtout. Un homme qui a peur n'est pas un homme libre. Peut-être ne le voyez-vous pas? C'est pourtant notre climat. Le réchauffement climatique. Le chômage. La violence. La dette. Un monde parfaitement factice où règne ce qui, finalement, ne sert à rien. Regardez autour de vous. Regardez bien. Nous manquons que trop de l'inutile. Là réside notre erreur la plus profonde. Et moi-même, je suis empoisonné. La preuve en est : j'en meurs. Lentement. Le poison prend son temps, pour s'imprégner.
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Univers Chapitre 03 : Le guerrier doté d'une armure
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Haku dans Haku Blog
Pas de soucis^^ -
Univers Chapitre 03 : Le guerrier doté d'une armure
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Haku dans Haku Blog
La mauvaise personne? Comme dans le film "Troie"? Ou non? Pourquoi pas, je dirais? -
Petit rigolo... :smile2:
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Je cherche une idée. Curieuse expression, tout de même, ne trouvez-vous pas? Comme si nous devions courir après, ou au moins, tenter de la trouver, cette idée. Comme si elle n'était pas dans notre tête, mais en dehors, à nous fuir et nous provoquer. Le génie d'un homme tiendrait alors simplement de sa capacité à déloger mieux qu'un autre cette je ne sais quoi qui renfermerait de quoi épater ses semblables. Un talent de recherche dont il ne serait pas conscient, et que nous associons volontiers à l'homme. Partant de là, nous ne représenterions plus grand chose, si ce n'est une des chaînes menant à la confection d'une oeuvre, d'un instrument, ou de n'importe quoi d'autre. Malheureusement, je n'arrive pas à en dénicher une qui me satisfait suffisamment. Faut dire que, parfois, la volonté manque. Vous remarquerez qu'ici aussi, un fait curieux se cache, puisqu'on considère la volonté un peu comme l'eau d'un vase qui viendrait à s'en aller. Hop! On ajoute, et tout va à nouveau mieux. Puis, je ne parle même pas du caractère taquin des idées. Dès que tu souhaites en avoir une, tu peines, et, au contraire, quand tu préfèrerais t'en séparer, elles affluent toutes d'un seul coup. Moi, personnellement, ça me fait rire. Enfin, parfois. Maintenant, quitte à m'arrêter, autant continuer. J'ai déjà écris deux petits paragraphes. Je me demande si j'ai déjà eu tant de difficultés à aligner des mots. Ce matin encore, j'ai échoué deux fois. C'est que, je crois, les idées préfèrent l'obscurité. Peut-être ont-elles besoin de cette noirceur? Ou sont-elles éblouies face à la lumière? Je ne sais pas. Je sais juste qu'elles m'évitent, aujourd'hui. J'ai dû les importuner quelque part. C'est qu'en plus, elles sont capricieuses. Donc, ça n'arrange rien. Je crains d'arriver à la fin. Je n'ai plus matière à combler le vide qui s'oppose à moi. Bien qu'au fond, il n'y en ait pas vraiment. Je ne fais que l'imaginer, comme si le fait d'avoir un obstacle m'arrangeait. Peu importe, à présent. Les dernières lignes sont toujours une libération. On se sent tellement mieux par après. A croire que les idées doivent finir déposées sur la matière pour disparaître. Vous n'avez pas vu? C'est pourtant évident, ce paradoxe consistant à remuer notre tête et notre corps pour trouver quelque chose dont on veut se séparer par la suite. Tel un désir qui nous déplaît une fois dans nos mains. Encore une curiosité. Décidément!
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Bienvenue sur mon blog consacré a mon métier d'héliciculteur
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Othory dans Othory Escargot
D'accord!^^ -
Univers Chapitre 02 : Le jugement de dieu
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Haku dans Haku Blog
Mais non, il n'a pas perdu définitivement :D -
L'histoire universel et le premier chapitre !.
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Haku dans Haku Blog
Jeece, parce que j'aime bien son prénom xD -
Regarder au-delà Choir ici bas N'être que là. Les questions fusent, Les gens s'amusent. Pourquoi ignorons-nous Ces vérités infuses? Les mots s'envolent, Les corps s'affolent. Pourquoi délaissons-nous Ces êtres frivoles? Il n'y a bien plus que les muses Pour parfaire l'éclat De ces vers qui s’usent Non loin du combat. La puissances des mots. La puissance des choses. Je ne crois pas au faux, Je ne crois plus en la prose.
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La Terre, notre habitat ?
Jedino a commenté un(e) billet du blog de existence dans Athéisme constructif
Je me demande d'où te vient ton inspiration aujourd'hui... La maison est certes un chez soi. Un terme possiblement mal utilisé. Mais, n'est-ce pas aussi une manière de désigner le lieu où vit une famille? Ne serions-nous pas en famille, nous aussi, avec les autres, non pas seulement les humains, mais également les animaux, comme des frères et soeurs? Convaincant, comme contre-argument? Je ne sais pas. La logique ne me semble pas toujours répondre idéalement aux problèmes. Alors oui, notre maison, la Terre, mérite que nous la gérions. Pas pour la préserver elle, bien entendu, mais par pur égoïsme, au fond, afin de nous sauver de nos propres abus. -
L'histoire est violente, mais le point de vue du narrateur est beau. J'apprécie ta façon d'écrire qui est, ma foi, très entrainante :)
