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Jedino

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Tout ce qui a été posté par Jedino

  1. Merci bien, et pas spécialement, m'enfin x)

  2. Bah autant aller au fond des choses si déjà on veut en brosser le portrait primaire et bestial T'as failli me faire peur, j'ai cru que t'avais mon twitter! Mais c'est qui lui? :D On ne se refait pas :D
  3. Oui, nous sommes tous de mauvaise foi! Quand on voit une femme, on ne pense qu'à un truc : son soutif. Quand elle nous invite chez elle, on ne pense qu'à un truc : son cul. Jamais un regard pour elle, elle qu'elle l'est au fond, et non dans la forme. Jamais un regard pour son possible humour, son intelligence, sa gentillesse. Quand on parle de ses yeux, on pense à ses seins. Quand on parle de son visage, on pense à son vagin. Quand on parle d'elle, on ne pense à rien. Tous des gros porcs, des enfoirés et des reproducteurs frustrés en rut. C'est beau, un mec. Mais ce n'est pas ça. Pas tous. Seulement ceux que vous préférez. Et puis merde, un mec, ce n'est pas un enculateur en puissance, et une gonzesse, c'est pas un porche à encaisser! Faut arrêter le délire. Faut arrêter de réfléchir. C'en devient ridicule. Vraiment.
  4. Il y a un juste milieu à trouver. Puis, effectivement, Léna-Postrof n'a pas tort :D
  5. Pourquoi cet air si blasé? Elle a que trop raison, la pauvre! Elle nous aime et nous comprend! C'est vous les méchantes dans l'h(H)istoire
  6. Jedino

    Les mille et une nuits

    Je ne mentirai pas en disant que ça me passionne, mais c'est toujours intéressant à lire. Cela dit, je devrais lire, un jour ou l'autre, les Mille et une nuits.
  7. Mais si nous allons "trop" vite, le contrôle n'est pas facile, en général? Ah mais nous pouvons toujours essayer, oui. Encore faut-il savoir ce que sont que les valeurs véritables. Et là est tout le sujet. On ne change pas un idiot fini, que voulez-vous! A vrai dire, vous n'avez pas tort sur la question du progrès. Au fond, j'ai pensé à tout ça en relisant Romain Gary qui parlait du paradoxe de la science qui était qu'il fallait encore plus de sciences pour la corriger, ou quelque chose dans ce goût-là. Désolé de ne pas avoir votre prétention. Je ne connais pas, moi, le chemin de la vérité, et si vous le pensez, je vous plains. Et, regardez mieux : le moindre écart est montré du doigt. L'étrange est mis de côté parce qu'il dérange. Et, à moins d'essayer, de voir que c'est mieux, avec le temps, l'expérimentation, personne, ou presque, ne suivra. Moi, un résigné, un perdant en puissance? Rappelez-moi qui souhaite empêcher une loi dont vous avez dit explicitement que rien ne s'était fait de pareil jusqu'ici? Je me contente d'avoir conscience des choses et de tenter de constater si c'est raisonnable face au monde que nous avons là. Puis, comme nous faisons dans les références historiques, songez donc à Gambetta, songez au fait qu'il a compris, lui, qu'il fallait parfois savoir patienter. Et, mon âge est celui qui est indiqué. Mais peut-être suis-je vieux. Je ne suis pas le mieux placé pour en juger. Comment pouvez-vous savoir que cette évolution sera mauvaise? Où cela nous mène? Vous qui croyez en notre liberté, pourquoi refusez-vous qu'elle soit réelle? Soit nous sommes incapables de la supporter, soit nous n'avons pas à l'avoir, et ne sommes pas libres d'être libre. Autrement dit, nous ne le sommes pas parce que nous ne le pouvons pas. Bref, votre position me semble ici paradoxale. Maintenant, je vous le demande à nouveau : comment savoir qu'une décision est mauvaise avant de l'avoir prise? Et, ces décisions prises ne sont pas mauvaises : elles créent une société différente, c'est certain, et justement bien plus libre. Vous mettez le point sur les aspects négatifs, essentiellement. A croire que nous sommes fondamentalement plus malheureux qu'auparavant. Je suis non pas pour la prise de décision idiote et stupide dans tous les sens, mais pour une observation et une expérimentation en fonction des évolutions qui sont faisables à un moment donné, quitte à supprimer cela s'il y a un refus ou le constat que ceci est mal fait/mauvais. Cela dit, comme vous me voyez dans une position extrême, je crois que, oui, nous gagnerons bien plus à être dans un chaos de décisions nouvelles et déstabilisantes que dans une stabilité pseudo-protectrice. D'ailleurs, je regarde le passé, et je vois une chose : l'Homme n'a jamais réussi à cesser de tenter de progresser dans sa connaissance et sa science des choses. Jamais. Partant de là, le simple fait de vouloir un arrêt est absurde, contre notre nature. Et rarement cela se fait de façon réfléchie, concertée et stable. Je commence à douter du fait que nous soyons faits pour ce doux terme qu'est "l'équilibre". Néanmoins, je crois qu'on s'écarte un peu du sujet, ici. La santé? Nulle part. Mais vous me parlez d'une santé métaphorique, mentale, quand je vous parle d'une santé physique. Vous voulez un joli petit monde stable et sans souci, sans trop de nouveautés, juste ce qu'il faut. Soit. C'est votre idéal. Je me contenterai de la réalité, pour ma part. Et, la réalité est que, nous ne sommes ni raisonnables, ni parfaits, et encore moins, bien moins, adaptés à un monde qui stagne, qui se fait et se crée dans une sorte de politesse gentillette où cela ne choquera et n'emmerdera personne. Cela dit, nous sommes d'accords sur le fait que les choses ne sont pas parfaites. Mais, comment mieux éduquer, comment mieux vivre? Nous pouvons en avoir une idée, nous pouvons y réfléchir longuement, mais jamais nous ne saurons si c'est véritablement possible et bien fondé sans l'essayer. Ici, c'est pareil. Paraît qu'on apprend de nos erreurs. Alors, soyez pour, voilà tout. Ca a été ainsi par le passé. Ca l'est en grande partie encore de nos jours. Vous vous raccrochez à une vision ancienne des choses. Je préfère l'élargir. D'autre part, l'enfant ne sera pas moins bien dans une famille avec deux parents du même sexe que dans une famille avec deux parents de sexe différent. Bien sûr, il risque de souffrir de cette vision réduite des choses parce que nous pensons qu'en dehors du fait d'avoir un papa et une maman, eh bien, c'est pas normal, presque "mal". Au fond, ce n'est pas la loi, le souci, mais notre vision des choses. Puis, le Code Civil, j'en ai déjà parlé. Ce qui a été il y a deux siècles peut mériter d'être corrigé. Le monde a changé, depuis, un peu, malgré tout. Le mariage, pas une question d'amour? Mais si c'est le cas actuellement, pourquoi ne pas faire avec, et ainsi? Pourquoi ne pas adapter les choses plutôt que de nous y adapter? L'égalité des droits ne sera pas contestable. Le problème que vous pouvez, c'est l'égalité sociale, et celle-là, c'est pas pour demain. Mais, si nous sommes libres et un tant soit peu doués de raison, nous finirons par y arriver, non? Quoi que je ne sois pas certain que ce soit un idéal à atteindre à proprement parler. Alors pourquoi prôner de se prosterner devant le Code Civil? Ah, et, une question qui n'a rien à voir : vous faites comment pour alterner citation/réponse? Il y a une application spéciale, ou vous citez chaque morceau? Parce qu'à mon avis, ce serait plus lisible si je répondais ainsi aussi. Merci :)
  8. Bonne et heureuse année aussi!

    Et comme tu as l'air d'aimer les jolies femmes! Mais peut-être connais-tu déjà?

  9. Jedino

    Qu'écoutez-vous en ce moment ?

    http://www.youtube.com/watch?v=5cb5f9EV3BM
  10. Nous sommes dans une période où tout va vite. Rien d'étonnant à ce que la politique suive, à sa manière, le rythme. Et évidemment que c'est voulu. Maintenant, oui, c'est sûr, ça peut en déstabiliser certain. Façon de parler, ça. Nous ne sommes pas le monde, et nous ne le serons jamais. Mais je veux bien croire qu'on le souhaiterait. Et, si on veut. J'ai le sentiment qu'au fond, nous perdons notre main mise sur ce que nous avons nous-mêmes créés. M'enfin, ce n'est là que sentiment. Eh bien alors, je suis un perdant en puissance. Je ne combats vainement ce qui me dépasse. Je garde mes forces pour autre chose, ou pour rien. Mais, nous ne pouvons effectivement rien faire contre le progrès : arrêtons-le en France, il continuera à côté, et nous écrasera. J'aurais pu être à vos côtés si nous étions dans un monde où tout se décide en un endroit. Là, non, car ce n'est pas raisonnable, adapté à ce qui est notre monde. Les institutions, tout comme les lois, restent des instruments. Je ne comprends pas pourquoi nous tenons temps à les préserver de toute évolution. Après, il est certain que des choix se font, et qu'ils peuvent être mauvais. Rien ne dit que cette loi sur le mariage gay est une réelle bonne chose, qu'elle sera vraiment acceptée, etc. Mais, comme dirait l'autre, du coup, le meilleur moyen pour aller contre, c'est encore de l'accepter. La question du choix. Disons que je n'y crois pas, au choix. Mais, c'est un autre débat. Pour ma part, si. On ne peut pas estimer qu'une chose soit réellement bonne ou mauvaise sans même l'avoir expérimentée. Et, s'il faut le prétexte de l'avancée, alors il sera avancé. Nous sommes d'accords sur le fait que tout ce qu'y a pu être fait dans une période récente n'est pas forcément parfait, c'est-à-dire n'ayant pas un quelconque côté négatif. Oui, il y a encore des problèmes, ainsi que des nouveaux que posent ce que nous avons pu créer. Mais les saloperies qu'on teste est une contre-partie du vaccin, de la médecine moderne, et de ce que cela implique : une santé qu'on peut estimer largement correcte, dû moins dans le monde occidental. Bien sûr, après, on peut encore critiquer cela sur d'autres points. Et, effectivement, ce qui est positif possède aussi du négatif. Partant de là, il n'y a que trois possibilités : supprimer ça, le laisser ainsi et faire avec, ou chercher à le parfaire. Ca va à l'encontre de quoi, par exemple? A l'encontre de la possibilité à deux personnes s'aimant de s'unir officiellement? A l'encontre de la notion d'égalité? Le problème de l'Histoire, c'est qu'en cherchant toujours des leçons à en tirer, on finit par se verrouiller. Si nous ne faisons pas nos propres erreurs, comment jauger ce qui ne s'est pas encore fait, justement? Essayons, et nous verrons. Une loi n'est pas immuable. Dans l'idéal, oui. Pas besoin de s'aimer, ce qui me paraît logique. Mais en général, c'est ainsi malgré tout. Le Code Civil et Napoléon sont une chose. La réalité, une autre.
  11. Nan sérieux, un metalleux en kilt, ça doit trop le faire! :D
  12. Bof, je risque pas grand chose! J'suis dans les jupes de Magus, moi :D
  13. M'en fous, si j'suis sage et loyal, j'vais peut-être monter en grade
  14. Non mais Magus m'a demandé de l'aider pour aujourd'hui! Il va être surbooké, le pauvre :D
  15. Jedino

    Qu'écoutez-vous en ce moment ?

    http://www.youtube.com/watch?v=Dfv2J_iXFjw
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