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Affichage du contenu avec la meilleure réputation depuis le 05/10/2025 dans Commentaires des blogs
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Je regarde par la fenêtre Le paysage s’étend, clair, limpide, une beauté sans fêlure, où la mort elle-même repose, paisible, dans le giron de la lumière. Ici, la peur a déserté, et avec elle la souffrance — tout est vivant, et le vivant parle sans bruit. Les sons sont restés dans le pays des prédateurs. Le verbe est action, dit-on, mais les mots ? ils rampent, ils tremblent, ils sont peur et douleur, ils sont le gel de l’élan premier.2 points
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Peu importe l'intensité de la souffrance, on souffre le moins car on n'aggrave jamais sa situation volontairement quand on a foi au Bien. Tout est dans l'ordre des choses même si le Bien ne peut empêcher la souffrance d'exister dans Son plan d'existence du Bien dans lequel il y a Sa création où la souffrance est l'intruse. Donc le Bien est Infiniment Puissant car malgré la souffrance, Il fait vivre le moins de souffrance à ceux qui ont foi en Lui. Tout cela on peut le comprendre sans revenir dessus en consultant les différents sujets de mon blog, notamment la religion du Bien. Et ici tu as des résumés de la religion du Bien ;1 point
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Même dans une situation extrême comme la vie dans un camp de concentration nazie a permis de rester positif face à un enfant: Titre du film : La vie est belle Réalisateur : Roberto Benigni Date de réalisation : 1998 1-Le film (résumé rapide / quel aspect de la guerre est montré ?/ quel genre ?) Guido est un jeune homme juif plein de gaieté et de vie. Avec son ami Ferrucio, il quitte la campagne pour chercher le bonheur en ville. Malgré les tracasseries de l'administration fasciste, Guido rêve d'ouvrir une librairie. En attendant, il est engagé comme serveur dans un grand hôtel. Le jeune italien tombe amoureux de Dora, l'institutrice du village, qui est prête à épouser un fasciste qu'elle n'aime pas. Pour la rencontrer et la séduire, il met au point toutes sortes de stratagèmes. Il l'enlève le jour de son mariage. Dans cette première partie : installation d'un véritable climat de conte de fée Cinq ans plus tard, ils sont parents d'un petit Giosuè. Durant ces années, des lois raciales sont entrées en vigueur en Italie. Un jour de 1943, Dora rentre chez elle mais ne trouve ni fils ni mari. Elle apprend alors qu'ils vont être déportés, et décide par amour de monter de son plein gré dans le wagon à bestiaux qui les emmène dans un camp de concentration. A l'intérieur du camp, par amour pour son fils, Guido n'a qu'une obsession : sauver l'innocence de son fils en lui cachant la réalité. Pour cela il lui raconte que le camp est un jeu, qu'il crée au fur et à mesure. Si Giosuè accepte de se cacher, de se taire, de ne pas manger à sa faim, il gagnera des points, les méchants prendront la fuite, et il gagnera un véritable char d'assaut. Dans cette deuxième partie, on retrouve les mêmes personnages, mais au camp. Ils réagissent donc en conséquence du contexte. Þ histoire d'une famille heureuse qui soudain, en n'ayant commis aucune faute, est jetée dans l'horreur. Pas une reconstitution historique, mais un conte, une fable dans laquelle l'histoire entre comme un matériau. Benigni revendique ce droit à prendre des libertés avec le réalisme, car de toute manière rien ne peut approcher la réalité du camp.1 point
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Est-ce normal d'accoler Bien et Souffrance alors qu'ils sont de nature différente ? Le bien est un concept abstrait alors que la souffrance est un ressenti concret. Les oppositions associées seraient pour moi : bien/mal et souffrance/plaisir. Je te propose une comparaison trionique de ces dualités pour voir comment cette légère confusion de départ mène en fait à une meilleure compréhension. Après avoir dissocié le Bien et la Souffrance en cherchant leurs opposés naturels, on définit le concept qui émerge de la relation entre les deux pôles de chaque dualité : bien <-- jugement/morale --> mal souffrance <-- vécu/émotion --> plaisir Puis, on relie ces deux nouvelles relations pour trouver la notion supérieure qui émerge de l'ensemble. C'est le concept qui permet de clarifier la confusion initiale : Jugement <-- ? --> Vécu La relation entre le Jugement (ce qui doit être) et le Vécu (ce qui est) est l'effort constant pour aligner ses actions et ses intentions avec le monde et son ressenti. Émergence finale : l'éthique. C'est le concept qui cherche à minimiser la Souffrance (Vécu) par des actions orientées vers le Bien (Jugement). C'est la tentative de la Conscience de concilier la réalité de la douleur avec l'idéal de la vertu. L'Éthique est le pont entre l'idéal moral (le Bien) et l'existence concrète (la Souffrance).1 point
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Les sanglots longs, dans la grisaille Descendent au fond de mes entrailles J'ai froid, je gèle, ce matin est si gris Que je me cache dans mon doux abri...1 point
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La vie, c'est un peu comme la météo.Les jours se suivent et le temps change.Mais un dicton raconte:"Après la pluie vient le beau temps. De cette façon, les mauvais jours de la vie, trop nombreux j'imagine, cesseront un jour pour laisser place à des jours meilleures. Et puis, si nous faisions une réserve dans notre esprit de jours heureux pour les faire remonter lorsque ce sera nécessaire. En y réfléchissant, de nombreuses petites choses au quotidien peuvent nous apporter paix et sérénité encore faut-il les voir et en prendre le temps. En allant au travail ou au retour, en allant conduire les enfants à l'école, en revenant du club des seniors, nous pouvons avoir l'esprit en alerte pour revoir ces petits cadeaux de la vie. Alors pourquoi ne pas commencer aujourd'hui ?1 point
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Pas forcément possible quand on n'a jamais mis les pieds en Russie et/ou qu'on ne parle pas le russe.1 point
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