Le Roi est nu !

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NPR (National Public Radio) est un réseau de regroupement américain de plus de mille radios publiques.

PBS (Public Broadcasting Service) est un réseau de télévision gratuit et non commercial couvrant les États-Unis et le Canada.

Le président Donald Trump a signé un décret visant à réduire le financement des réseaux de radio et télévision publique NPR et PBS, qu'il a accusés de couverture médiatique et de programmation biaisées et partisanes.

Ce que Trump entend par «couverture médiatique et programmation biaisées et partisanes», c'est que justement NPR et PBS sont trop objectifs pour lui lécher le cul et les bottes.

Trump ne marche qu'aux compliments perpétuels de ses suzerains les plus serviles.

À ce propos, il existait une réseau de radiotélévision des plus partisans de Trump, le réseau FoxNetws.

Aujourd'hui, après les sondages habituels des cent premiers jours de seulement 39 % des Américains toujours de son côté malgré toutes ses conneries économiques et politiques, FoxNews, qui est resté républicain, ne peut plus supporter ni sentir Trump, qui ne peut rien contre FoxNews, société privée, mais qui insulte maintenant tout le personnel de cette société, comme il a toujours insulté le personnel de PBS, ABC et CNN, sociétés privées elles aussi, et qui n'ont jamais léché les éléments «cul» et «bottes» de l'Empereur d'un monde exclusivement constitué par la vacuité d'un crâne bien coiffé de pilosité aussi légère qu'implantée par esthétique chirurgicale.

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Lundi, l'administration Trump a annoncé le gel de plus de 2,2 milliards de dollars de subventions et de 60 millions de dollars de contrats avec l'Université Harvard, l'une des institutions les plus prestigieuses des États-Unis.

Cette décision fait suite au refus du président de Harvard de se conformer aux exigences de l'administration Trump visant à limiter l'activisme sur le campus, affirmant que Harvard ne renoncerait ni à son indépendance ni à ses droits constitutionnels.

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NON SEULEMENT LE ROI EST NU, MAIS IL EST COMPLÈTEMENT C#N 

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Comment qualifie t on une gouvernance dont l'obsession première consiste à écraser ou contraindre tout ce et tous ceux qui lui font de l'ombre et qui, surtout lorsqu'il s'agit de médias, risquent de trop éclairer et dévoiler les ignominies ubuesques de cette gouvernance ??

"Le roi est nu !"... mais se donne beaucoup de mal pour se draper dans les oripeaux double face d'un marchand de soupe outrancier.

La statue de la Liberté à t elle toujours sa place à l'entrée du "royaume" ??

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Depuis janvier, Karoline Leavitt est la porte-parole du président Trump à la maison blanche.

À la question de savoir si Donald Trump allait renvoyer en France la Statue de la liberté, cette porte- parole répond que non et ajoute que sans les Américain les Français parleraient Allemand.

Cette petite c#nne ne sait même pas que sans les Français les États-Unis n'existeraient pas et que donc l'Américaine qu'elle est n'existerait pas non plus !

L'administration Trump est formée d'une bande d'inculte dirigée par un inculte qui ne sait même pas la moindre ligne de la constitution de son pays affichée au mur de droite de son bureau ovale (on a la preuve) ...

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il y a une heure, versys a dit :

Comment qualifie t on une gouvernance dont l'obsession première consiste à écraser ou contraindre tout ce et tous ceux qui lui font de l'ombre et qui, surtout lorsqu'il s'agit de médias, risquent de trop éclairer et dévoiler les ignominies ubuesques de cette gouvernance ??

"Le roi est nu !"... mais se donne beaucoup de mal pour se draper dans les oripeaux double face d'un marchand de soupe outrancier.

La statue de la Liberté à t elle toujours sa place à l'entrée du "royaume" ??

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La réponse a cette question est tout entière contenue dans la constitution mentale de Trump, que l'on connaît bien depuis que Mary Trump, sa nièce diplômée universitaire de psychologie, nous en a informé.

Trump est un psychopathe construit par son père, qui était un monstre.

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Il considère Donald Trump comme « un don de Dieu ». Il préconise le déploiement de l’armée pour réprimer les manifestations qui débordent. Il rêve de supprimer le financement de l’Agence de protection de l’environnement.

À maints égards, Russell Vought est le candidat le plus radical nommé par Donald Trump à un poste au sein de la prochaine administration républicaine. Pour autant, il passe largement sous le radar, contrairement aux Pete Hegseth, Robert Kennedy Jr., Kash Patel et Tulsi Gabbard, qui ont fait l’objet de reportages et de critiques multiples.

Son look en est peut-être la cause. Avec ses lunettes en écailles, sa barbe bien taillée et ses airs d’intellectuel, ce fils de cols bleus du Connecticut pourrait passer plus facilement pour un professeur d’université que pour un fana du mouvement MAGA (Make America Great Again).

La raison peut aussi en être le poste que veut lui confier Donald Trump. Poste pour lequel il devra participer mercredi à une audition devant une commission sénatoriale (la veille, Hegseth aura affronté les premières questions des sénateurs d’une autre commission en lien avec sa nomination à titre de secrétaire à la Défense).

Ce poste, Russell Vought l’a déjà occupé durant la deuxième moitié du premier mandat de Donald Trump à la présidence : directeur du Bureau de la gestion et du budget de la Maison-Blanche.

S’il est confirmé à cette fonction, Vought sera officiellement chargé d’élaborer le budget du président et d’examiner les réglementations des agences fédérales. Or, derrière cette définition de tâche bureaucratique se cachent de vastes pouvoirs qui ont mêlé cet homme de 48 ans à quelques-unes des plus grandes controverses du premier mandat de Trump à la Maison-Blanche.

C’est lui qui a retardé l’aide militaire à l’Ukraine pour forcer le président Volodymyr Zelensky à ouvrir une enquête sur Joe Biden, comme Donald Trump le réclamait. C’est lui qui a redirigé des milliards de dollars du Pentagone vers le mur frontalier de Trump lorsque le Congrès en a bloqué le financement. Et c’est lui qui était l’un des plus ardents partisans d’un décret appelé « Schedule F » et dont l’objectif était de convertir des milliers de fonctionnaires en personnes nommées pour des raisons politiques afin de faciliter leur remplacement par des cadres voués à la cause trumpiste.

Ce plan fait aujourd’hui partie du Projet 2025, ce programme conservateur dont Russell Vought est l’un des architectes. Et il demeure une priorité pour cet idéologue qui est passé par le groupe de réflexion conservateur Heritage Foundation et les cercles républicains de la Chambre des représentants avant d’aboutir dans l’entourage de Donald Trump.

« Nous voulons que les bureaucrates soient traumatisés », a-t-il déclaré lors d’un discours prononcé en 2024 lors d’une activité du Center for Renewing America, le groupe de réflexion qu’il a créé en 2021. « Lorsqu’ils se réveillent le matin, nous voulons qu’ils n’aient pas envie d’aller travailler parce qu’ils sont de plus en plus considérés comme les méchants. Nous voulons que leur financement soit interrompu afin que l’EPA (l’Agence de protection de l’environnement) ne puisse pas appliquer toutes les règles contre notre industrie énergétique. Nous voulons les mettre en état de choc », a-t-il ajouté selon la vidéo de ce discours obtenue par le site d’information ProPublica.

Le Center for Renewing America s’inspire du nationalisme chrétien, idéologie que revendique Russell Vought pour lui-même. Sa mission « est de renouveler le consensus autour de l’idée que l’Amérique est une nation sous l’autorité de Dieu ». Diplômé du Wheaton College, établissement évangélique de l’Illinois, Vought est personnellement opposé à l’avortement en toutes circonstances et aux soins d’affirmation de genre, entre autres sujets clivants.

Dans ses écrits et ses propos, il fait également la promotion d’un « constitutionnalisme radical ». Selon lui, les États-Unis ont vécu au cours des 100 dernières années « rien de moins qu’une révolution tranquille » au cours de laquelle la « gauche » a trahi la Constitution américaine en dépouillant le président de ses pouvoirs au profit d’agences fédérales, de bureaucrates et de fonctionnaires non élus, ce que d’autres appellent l’« État profond ».

Il se fixe ainsi l’objectif de redonner au président tous les pouvoirs que lui confère selon lui la Constitution et de mettre fin à l’indépendance des agences fédérales, y compris le ministère de la Justice et la Réserve fédérale. Au cours des derniers mois, il a contribué à la rédaction de centaines de mémos et de décrets qui permettront à Donald Trump de mettre en œuvre dès le premier jour de sa présidence ses promesses, y compris l’expulsion des personnes en situation irrégulière et l’exclusion des transgenres de l’armée et des écoles.

Selon lui, la survie des États-Unis tient au succès du combat contre cette « révolution tranquille » menée par les démocrates et qui a transformé, à son avis, les États-Unis en « régime post-constitutionnel ». Dans un discours prononcé avant le 5 novembre, il a comparé 2024 à 1776 et à 1860, donnant ainsi à l’année de l’élection présidentielle la même importance que l’année où les colonies américaines ont déclaré leur indépendance de l’Angleterre et celle où le premier État sudiste a fait sécession en réaction à l’élection d’Abraham Lincoln.

« Dieu nous a placés ici pour un tel moment », a-t-il précisé, selon une des vidéos obtenues par ProPublica.

Il a également invoqué Dieu en expliquant que seul un « constitutionnaliste radical » de la trempe de Thomas Jefferson et de James Madison pouvait stopper la gauche « marxiste » et apporter les changements réclamés par les citoyens américains. Heureusement pour les États-Unis, Donald Trump est là pour défendre l’héritage des Jefferson et Madison, s’est-il réjoui lors d’un de ses discours.

« Nous avons en Donald Trump un homme qui est particulièrement bien placé pour jouer ce rôle, un homme dont les intérêts sont parfaitement alignés sur ceux du pays. Il a vu ce que [la gauche] lui a fait, et il a vu ce qu’ils essaient de faire au pays. Cela n’est rien d’autre qu’un don de Dieu. »

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LE ROI EST NU, CERTES, MAIS CHACUN DE SES VASSAUX, DUC, COMTE ET MARQUIS EN PEAU DE LAPIN L'EST AUSSI.

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Situation des commerces américains au mois d'avril.

FOREVER 21 a fermé toutes ses succursales,

PARTY CITY a fermé ses 700 succursales et a fait faillite,

BIG LOTS a fermé 600 succursales,

DOLLARS GENERAL a prévu de fermer au moins 96 magasins,

JO'ANN FARICS a fermé ses 800 magasins,

WLAGREENS PHARMACY va fermer 500 commerces de détail cette année,

KOHL'S a déjà fermé des douzaines de magasins,

FAMILLY DOLLAR est en train de fermer 350 succursales,

ADVANCE AUTO PART va fermer des centaines de magasins de pièces détachées

MACYS ferme au moins 65 grandes surfaces de vente cette année.

Question : Quelle est la raison de cette catastrophe ?

Réponse : Les tarifs douaniers de Trump !

Et cette liste de catastrophe ne concerne que certains commerces de grandes marques. 

Les autres commerces de grande taille ainsi que les petits commerces, ils la sentent eux aussi, la catastrophe.

Les véritables amis de Trump, ce sont les dictateurs de la planète.

Les véritables ennemis de Trump, ce sont les Américains.

LE ROI EST NU ET C'EST UN IMBÉCILE.

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Il y a 1 heure, mary.shostakov a dit :

Les véritables ennemis de Trump, ce sont les Américains.

Les américains sont de fait les sujets du Roi Trump.

Auront ils toujours, l'échéance venue, le désir et LE POUVOIR D'ELIRE un nouveau dirigeant.

Car Donald Trump ne cache pas ses projets de révision radicale de la Constitution des Etats Unis, concernant, en particulier, la fréquence et les limites de la durée du mandat présidentiel des USA.

Il y a 3 heures, versys a dit :

Les américains sont de fait les sujets du Roi Trump.

Auront ils toujours, l'échéance venue, le désir et LE POUVOIR D'ELIRE un nouveau dirigeant.

Car Donald Trump ne cache pas ses projets de révision radicale de la Constitution des Etats Unis, concernant, en particulier, la fréquence et les limites de la durée du mandat présidentiel des USA.

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Trump emploie tous les moyens pouvant lui permettre d'être élu et réélu (mensonge, fascisme, milice parallèle, destruction de la constitution, de toute opposition, etc,) d'abord parce qu'il ne supporte pas de perdre, c'est une caractéristique de sa psyché révélée au public par Mary Trump, sa nièce diplômée universitaire de psychologie, ensuite parce qu'il sait exactement que s'il n'est pas couvert par l'immunité présidentielle, alors les procès qu'il a perdu ou qu'il va perdre pour monumentale tricherie fiscale et autre détournement de fonds vont réapparaître et qu'il risque de se retrouver à la fois ruiné et en prison.

En réalité, Trump est un animal qui risque de se retrouver coincé par la meute des congressistes, des sénateurs, des juges et des jurés qui vont lui faire la peau, raison pour laquelle il veut tout détruire, à commencer par les institutions juridiques et judiciaires de tous les degrés étatiques et fédéraux.

Sauf qu'en trois mois il vient de dévoiler son incroyable incompétence et surtout son désir de tout casser pour survivre, et cela n'a pas l'heur de plaire à ceux qui voient depuis seulement trois mois la dégringolade de ses erreurs politiques et de son désir de destruction des États-Unis, ce qui les fait souffrir terriblement dans leur chair (destruction des services de santé, licenciements massifs, risque d'être déporté dans les prisons étrangères, etc.) car ils se voient trahir même - et surtout - s'ils on voté pour lui.

Trump est un cas de démence pathologique, de narcissisme maladif, d'égotisme et d'égocentrisme dévastateurs, et c'est aussi un cas d'animal passé d'un état de prédateur à un état de proie, c'est en cela qu'il est encore plus dangereux qu'on s'imagine.

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il y a 2 minutes, mary.shostakov a dit :

Trump est un cas de démence pathologique, de narcissisme maladif, d'égotisme et d'égocentrisme dévastateurs, et c'est aussi un cas d'animal passé d'un état de prédateur à un état de proie, c'est en cela qu'il est encore plus dangereux qu'on s'imagine.

On peut dire ça.

Mais Trump est aussi le cas d'école de ce que permet le populisme le plus abouti pour accéder au Pouvoir.

Un populisme désormais majoritairement utilisé par les candidats extrémistes à la Fonction suprême, car c'est le discours politique le plus efficace à phagocyter les cerveaux perméables d'un électorat réceptif.

il y a 42 minutes, versys a dit :

On peut dire ça.

Mais Trump est aussi le cas d'école de ce que permet le populisme le plus abouti pour accéder au Pouvoir.

Un populisme désormais majoritairement utilisé par les candidats extrémistes à la Fonction suprême, car c'est le discours politique le plus efficace à phagocyter les cerveaux perméables d'un électorat réceptif.

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Lu et approuvé.

On peut s'attendre à des actions violentes de sa part à l'approche des élections de mi-mandant, dans à peu près 20 mois, élections qu'il est sûr de perdre à cause des monstrueuses manifestations de gens anti-trump dans les rues de toutes les grandes villes de chacun des 50 États des États-Unis. Une ampleur pareille de manifestations et de protestations on en a jamais vue depuis que les États-Unis existent !

Anecdote, Trump se fout pas mal de ces manifestations. Il l'a dit lui-même en public sur un de ses propres terrains de golf.

Sur un terrain de golf qui lui sert à jouer, mais aussi à s'enrichir, car les déplacements de tout président des USA en vacance exige le déplacement pendant une semaine de plus de 200 personnes désignées pour l'accompagner de près à chaque déplacement de sa majesté. 

Et dans quels hôtels et dans quels restaurants descendent ces 200 personnes, sinon dans le complexe hôtelier de Donald Trump du pourtour de ses terrains de golf ?

Cet enrichissement permis par sa position de président des États-Unis, c'est le même que celui permis par sa fondation de cryptomonnaies, qui permet aujourd'hui à Trump de vendre ses jetons à un prix démentiel en échange d'une visite de la Maison blanche guidée par le marchand de tapis qu'il est ..

Enore qu'un marchand de tapis travaillant dans un souk de l'Iran ou du Soudan est certainement plus digne que cette espèce de c#n.

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Les Américains se dirigent «tranquillement» vers une tentative de destitution réussie cette fois-ci que permettra à la mi-mandat le vote d'une majorité de démocrates au congrès.

En gros, le congrès américain est maître d'une volonté de destitution du président des États-Unis. Or, le mécontentement des Américains est tel qu'on peut raisonnablement prévoir un écrasement sans précédent d'une majorité démocrate (anti-Trump) au prochaines élections de mi-mandat.

Cela dit les prévisions ont cela de particulier qu'elles n'ont pas valeur de vérité absolue. La mienne comme les autres.

Le vote de mi-mandat a lieu dans à peu près 20 mois et je ne vois pas que cela sera suffisant pour faire oublier la déception des Américains à son égard. Ceux qui vont voter contre lui ont été appauvris de façon irrécupérable par Trump, et ils sont nombreux parmi ceux qui ont voté pour lui en ne voyant pas que c'était un menteur ou un innocent qui a non seulement fait des promesses qu'il na pas tenues, mais qui ont produit exactement le contraire, à savoir un niveau de récession battant tous les records du monde de vitesse.

Il y a néanmoins un inconnu de taille dans ma prévision, à savoir le degré de fascisme que Trump va mettre en œuvre à l'approche du vote de mi-mandat. Cela se transformera-t-il en guerre civile ? Dieu seul le sait comme disent les athées. Mais une chose est sûre, la direction des États-Unis par Trump ne va pas cesser d'être chaotique. Ce Trump va avoir du mal à redresser politiquement le courant. Il est trop stupide pour ça.

Mais qui vivra verra ..

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Trump va tout faire pour se maintenir au pouvoir à l'instar de son idole Poutine...

Le 12/05/2025 à 18:54, Ma Poule a dit :

Trump va tout faire pour se maintenir au pouvoir à l'instar de son idole Poutine...

il l'a même promis aux Américains lors de sa campagne !

Dans quatre ans, vous n’aurez plus à voter. Nous aurons tellement arrangé les choses que vous n’aurez plus à voter.»

«Dans quatre ans, vous n’aurez plus à voter» : des déclarations de Donald Trump sur son éventuel second mandat font polémique – Libération

toutefois :

 Trump ne peut pas briguer un troisième mandat présidentiel en 2028, car la Constitution américaine l'interdit explicitement.

Le 22e amendement stipule expressément et sans équivoque que nul ne peut être élu président plus de deux fois, que ce soit pour des mandats consécutifs ou non, comme c'est le cas de Trump.

Le 09/05/2025 à 13:52, mary.shostakov a dit :

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Lu et approuvé.

On peut s'attendre à des actions violentes de sa part à l'approche des élections de mi-mandant, dans à peu près 20 mois, élections qu'il est sûr de perdre à cause des monstrueuses manifestations de gens anti-trump dans les rues de toutes les grandes villes de chacun des 50 États des États-Unis. Une ampleur pareille de manifestations et de protestations on en a jamais vue depuis que les États-Unis existent !

Anecdote, Trump se fout pas mal de ces manifestations. Il l'a dit lui-même en public sur un de ses propres terrains de golf.

Sur un terrain de golf qui lui sert à jouer, mais aussi à s'enrichir, car les déplacements de tout président des USA en vacance exige le déplacement pendant une semaine de plus de 200 personnes désignées pour l'accompagner de près à chaque déplacement de sa majesté. 

Et dans quels hôtels et dans quels restaurants descendent ces 200 personnes, sinon dans le complexe hôtelier de Donald Trump du pourtour de ses terrains de golf ?

Cet enrichissement permis par sa position de président des États-Unis, c'est le même que celui permis par sa fondation de cryptomonnaies, qui permet aujourd'hui à Trump de vendre ses jetons à un prix démentiel en échange d'une visite de la Maison blanche guidée par le marchand de tapis qu'il est ..

Enore qu'un marchand de tapis travaillant dans un souk de l'Iran ou du Soudan est certainement plus digne que cette espèce de c#n.

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Et pourtant, c'est une règle tacite, un président des US ne doit pas gagner de l'argent et conclure des affaires personnelles pendant sa présidence; conflits d'intérêt oblige. Tous les autres présidents, du moins depuis Nixon, ont respecté cela; même Carter avait vendu son affaire de cacahuètes.

Quand je pense que que Trump et sa famille ont gagné des milliards de $; ca ne semble gêner personne. Même pas ceux qui ont poussé des cris d'orfraie parce que Hunter Biden aurait eu une position ou il était peu qualifié en Ukraine.

Il y a 3 heures, Atipique a dit :

Et pourtant, c'est une règle tacite, un président des US ne doit pas gagner de l'argent et conclure des affaires personnelles pendant sa présidence; conflits d'intérêt oblige. Tous les autres présidents, du moins depuis Nixon, ont respecté cela; même Carter avait vendu son affaire de cacahuètes

Trump ne se rend même pas compte qu'un prenant le parti de faire tout ce qu'il veut en ignorant la constitution et les lois de son pays il se classe dans la catégorie des dictateurs de l'histoire du monde.

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