François Hollande, sauveur de la Grèce?

On avait fini par oublier quel ignoble personnage est François Hollande - un nom qu'on pourrait inscrire dans l'Histoire de France aux côtés de celui d'autres traîtres célèbres, comme Ganelon, le maréchal Marmont ou Pierre Laval.

Après son mandat présidentiel, il s'est fait oublier pendant un moment, laissant même entendre qu'il allait se reconvertir dans le stand-up - après tout, personne n'a jamais nié son potentiel comique, surtout quand il était revu et corrigé par les Guignols. Mais le virus de la politique a été le plus fort, et le voilà redevenu député du PS, opposant à la fois à son héritier le calamiteux Macron et à Mélenchon. On avait presque fini par oublier son fameux "Mon adversaire c'est la finance", au Bourget début 2012, suivi peu après son élection d'une conversion aussi rapide que complète au néo-libéralisme le plus orthodoxe. Pas vraiment une première - Jacques Chirac avait aussi fait très fort en 1995 en oubliant, aussitôt élu, la fracture sociale qui avait été son thème de campagne. Sauf que Chirac était à droite, alors que Hollande se prétendait de gauche.

Bref, Hollande se voit même candidat - de gauche? - en 2027. La bonne blague. Pourquoi alors a-t-il cru bon de rappeler aux mémoires l'épisode sans doute le plus honteux de son mandat, quand il s'est joint au triumvirat - FMI, Comité de Bruxelles, Berlin - qui a immolé sur l'autel de l'euro et de l'orthodoxie budgétaire le malheureux peuple grec, victime à la fois de ses dirigeants qui l'ont floué, et de la finance européenne et internationale? Il se prétend maintenant le sauveur de la Grèce, sans doute parce qu'il a convaincu les Allemands, qui voulaient virer ce pays de la zone euro, de n'en rien faire, alors que c'était pourtant la meilleure solution. S'il est un pays qui n'aurait jamais dû adhérer à l'euro, c'est bien la Grèce - encore qu'on en vient à se demander maintenant si cette monnaie unique a tellement réussi à la France, qui se trouve dans une situation financière très difficile. J'avais jamais pensé que ce type était un imbécile, mais pour qu'il en vienne à se vanter du rôle qu'il a joué pendant la crise grecque, faut quand même qu'il en tienne une couche.

Reste que maintenant Hollande ne déparerait pas dans un gouvernement Barnier, bien décidé lui aussi  à nous administrer une médecine budgétaire de choc, quitte à tuer le malade.

il y a une heure, Gouderien a dit :

On avait fini par oublier quel ignoble personnage est François Hollande - un nom qu'on pourrait inscrire dans l'Histoire de France aux côtés de celui d'autres traîtres célèbres, comme Ganelon, le maréchal Marmont ou Pierre Laval.

Après son mandat présidentiel, il s'est fait oublier pendant un moment, laissant même entendre qu'il allait se reconvertir dans le stand-up - après tout, personne n'a jamais nié son potentiel comique, surtout quand il était revu et corrigé par les Guignols. Mais le virus de la politique a été le plus fort, et le voilà redevenu député du PS, opposant à la fois à son héritier le calamiteux Macron et à Mélenchon. On avait presque fini par oublier son fameux "Mon adversaire c'est la finance", suivi peu après d'une conversion aussi rapide que complète au néo-libéralisme le plus orthodoxe. Pas vraiment une première - Jacques Chirac avait aussi fait très fort en 1995 en oubliant, aussitôt élu, la fracture sociale qui avait été son thème de campagne. Sauf que Chirac était à droite, alors que Hollande se prétendait de gauche.

Bref, Hollande se voit même candidat - de gauche? - en 2027. La bonne blague. Pourquoi alors a-t-il cru bon de rappeler aux mémoires l'épisode sans doute le plus honteux de son mandat, quand il s'est joint au triumvirat - FMI, Comité de Bruxelles, Berlin - qui a immolé sur l'autel de l'euro et de l'orthodoxie budgétaire le malheureux peuple grec, victime à la fois de ses dirigeants qui l'ont floué, et de la finance européenne et internationale? S'il est un pays qui n'aurait jamais dû adhérer à l'euro, c'est bien la Grèce - encore qu'on en vient à se demander maintenant si cette monnaie unique a tellement réussi à la France, qui se trouve dans une situation financière très difficile.

Reste que maintenant Hollande ne déparerait pas dans un gouvernement Barnier, bien décidé lui aussi  à nous administrer une médecine budgétaire de choc, quitte à tuer le malade.

Hollande, Hollande ça me dit quelque chose?

Rafraichissez-moi la mémoire, ne serait-ce pas ce politique qui n'aime pas les riches à 4 000 euros et empoche lui-même 20 000 euros/mensuel?

Ah, l'inénarrable Flanby, le capitaine de pédalo, 

Je l'ai entendu ce matin en train de pérorer sur la nécessité de virer Faure de la tête du PS... lamentable.

il y a une heure, Gouderien a dit :

On avait fini par oublier quel ignoble personnage est François Hollande - un nom qu'on pourrait inscrire dans l'Histoire de France aux côtés de celui d'autres traîtres célèbres, comme Ganelon, le maréchal Marmont ou Pierre Laval.

Après son mandat présidentiel, il s'est fait oublier pendant un moment, laissant même entendre qu'il allait se reconvertir dans le stand-up - après tout, personne n'a jamais nié son potentiel comique, surtout quand il était revu et corrigé par les Guignols. Mais le virus de la politique a été le plus fort, et le voilà redevenu député du PS, opposant à la fois à son héritier le calamiteux Macron et à Mélenchon. On avait presque fini par oublier son fameux "Mon adversaire c'est la finance", au Bourget début 2012, suivi peu après son élection d'une conversion aussi rapide que complète au néo-libéralisme le plus orthodoxe. Pas vraiment une première - Jacques Chirac avait aussi fait très fort en 1995 en oubliant, aussitôt élu, la fracture sociale qui avait été son thème de campagne. Sauf que Chirac était à droite, alors que Hollande se prétendait de gauche.

Bref, Hollande se voit même candidat - de gauche? - en 2027. La bonne blague. Pourquoi alors a-t-il cru bon de rappeler aux mémoires l'épisode sans doute le plus honteux de son mandat, quand il s'est joint au triumvirat - FMI, Comité de Bruxelles, Berlin - qui a immolé sur l'autel de l'euro et de l'orthodoxie budgétaire le malheureux peuple grec, victime à la fois de ses dirigeants qui l'ont floué, et de la finance européenne et internationale? Il se prétend maintenant le sauveur de la Grèce, sans doute parce qu'il a convaincu les Allemands, qui voulaient virer ce pays de la zone euro, de n'en rien faire, alors que c'était pourtant la meilleure solution. S'il est un pays qui n'aurait jamais dû adhérer à l'euro, c'est bien la Grèce - encore qu'on en vient à se demander maintenant si cette monnaie unique a tellement réussi à la France, qui se trouve dans une situation financière très difficile.

Reste que maintenant Hollande ne déparerait pas dans un gouvernement Barnier, bien décidé lui aussi  à nous administrer une médecine budgétaire de choc, quitte à tuer le malade.

Fanfouois tu fouffe le feu !!!

Il y a 2 heures, Phylou a dit :

Ah, l'inénarrable Flanby, le capitaine de pédalo, 

Je l'ai entendu ce matin en train de pérorer sur la nécessité de virer Faure de la tête du PS... lamentable.

L'homme qui n'aime pas les riches...aime quand même la 1ère fortune de France et d'ailleurs.

Des dîners réguliers à l'Elysée quand il était président.

Les deux hommes s’apprécient réellement et comme l’explique à L’Événement magazine une haute dirigeante de LVMH, « Bernard Arnault reconnaît l’amabilité, l’humour et la sagesse du Président et il juge positives de nombreuses choses dans le quinquennat de François Hollande. Et du côté du chef de l’État, il y a un vrai respect pour l’ambition entrepreuneuriale et la réussite internationale de Bernard Arnault ».

On sait que le patron de LVMH a dîné à plusieurs reprises au palais de l’Élysée et cela à titre privé, preuve des bonnes relations entre Hollande et Arnault.

https://www.entreprendre.fr/bernard-arnault-francois-hollande/

Pignouf....