il y a 52 minutes, Axo lotl a dit :

Le reste ce sont ces femmes,  donc non pas basta.

Le reste c'est que 2005 c'est pas un autre siècle, c'est hier, ce qui veut dire que ce problème d'agression sexuelle envers les femmes est toujours d'actualité dans toute notre société. Alors non pas Basta. C'est trop facile. Nous sommes tous concernés.

Résumons il a été ceci et ça .... Dommage pour lui ! et décevant pour ses fans !

Quant aux femmes on ne peut que leur apporter notre soutien ... mais hélas mille fois hélas , la parole collective sort trop tard : l'Abbé est bouffé par les vers et si vraiment son Dieu existe il a peut-être à faire un sacré passage au Purgatoire avant d'avoir un strapontin au Paradis .... La justice humaine n'a plus de moyens pour condamner ... quant a l'Eglise la voilà tranquille jamais de canonisation (demandée il y a quelques années et le non des Monsignor venait du fait que l'Abbé voyait des prostituées et draguaient les femmes).. https://www.lemonde.fr/societe/article/2005/10/28/l-abbe-pierre-revele-qu-il-a-commis-le-peche-de-chair_704359_3224.html

il y a 31 minutes, ouest35 a dit :

Résumons il a été ceci et ça .... Dommage pour lui ! et décevant pour ses fans !

Quant aux femmes on ne peut que leur apporter notre soutien ... mais hélas mille fois hélas , la parole collective sort trop tard : l'Abbé est bouffé par les vers et si vraiment son Dieu existe il a peut-être à faire un sacré passage au Purgatoire avant d'avoir un strapontin au Paradis .... La justice humaine n'a plus de moyens pour condamner ... quant a l'Eglise la voilà tranquille jamais de canonisation (demandée il y a quelques années et le non des Monsignor venait du fait que l'Abbé voyait des prostituées et draguaient les femmes).. https://www.lemonde.fr/societe/article/2005/10/28/l-abbe-pierre-revele-qu-il-a-commis-le-peche-de-chair_704359_3224.html

L’important, c’est qu’elle sorte, cette parole. Elle va en induire d’autres et d’autres encore. Un cercle vertueux…

Il y a 1 heure, Mite_Railleuse a dit :

C’est ce que je pense aussi...

C est bien de faire son autocritique !

il y a une heure, ouest35 a dit :

Résumons il a été ceci et ça .... Dommage pour lui ! et décevant pour ses fans !

Quant aux femmes on ne peut que leur apporter notre soutien ... mais hélas mille fois hélas , la parole collective sort trop tard : l'Abbé est bouffé par les vers et si vraiment son Dieu existe il a peut-être à faire un sacré passage au Purgatoire avant d'avoir un strapontin au Paradis .... La justice humaine n'a plus de moyens pour condamner ... quant a l'Eglise la voilà tranquille jamais de canonisation (demandée il y a quelques années et le non des Monsignor venait du fait que l'Abbé voyait des prostituées et draguaient les femmes).. https://www.lemonde.fr/societe/article/2005/10/28/l-abbe-pierre-revele-qu-il-a-commis-le-peche-de-chair_704359_3224.html

Toujours pas, trop tard. Mais si vous faites un effort pour comprendre, vous aller voir combien c'est important que cette parole sorte pour les victimes et pour toute la société.

il y a 19 minutes, Evaelle a dit :

C est bien de faire son autocritique !

Ce que je pense de ton aveuglement. Il est effectivement pitoyable. Et bien plus…

à l’instant, Mite_Railleuse a dit :

Ce que je pense de ton aveuglement. Il est effectivement pitoyable. Et bien plus…

Ce que tu penses de moi....

il y a 14 minutes, Evaelle a dit :

Ce que tu penses de moi....

Et tu as bien raison ! C’est juste que quand je lis des propos indécents, ineptes et extrémistes, je tiens à les mettre en exergue. Un toc, sûrement… 

Il y a 7 heures, Mite_Railleuse a dit :

Et tu as bien raison ! C’est juste que quand je lis des propos indécents, ineptes et extrémistes, je tiens à les mettre en exergue. Un toc, sûrement… 

Personne n'a l'exclusivité pour évaluer des propos indécents. A chacun ses valeurs !

De nos jours, le fait de frôler un corps féminin peut rendre un homme justiciable. Ce n'était pas ainsi il y a 30 ans, la relation homme femme a changé. Je ne dis pas que c'est bien, ce n'est pas un jugement de valeur, c'est un constat. 

On peut être choqué que l'abbé Pierre, un homme d'église, soit aussi un homme tout court. Il ne s'en est pas caché !

Il y a 9 heures, Mite_Railleuse a dit :

L’important, c’est qu’elle sorte, cette parole. Elle va en induire d’autres et d’autres encore. Un cercle vertueux…

"“Il ne faut pas retourner certaines vertus : leurs envers est plus laid que bien des vices.”” Marie d'Agoult

il y a 7 minutes, ouest35 a dit :

"“Il ne faut pas retourner certaines vertus : leurs envers est plus laid que bien des vices.”” Marie d'Agoult

Amen

il y a 17 minutes, Evaelle a dit :

Personne n'a l'exclusivité pour évaluer des propos indécents. A chacun ses valeurs !

De nos jours, le fait de frôler un corps féminin peut rendre un homme justiciable. Ce n'était pas ainsi il y a 30 ans, la relation homme femme a changé. Je ne dis pas que c'est bien, ce n'est pas un jugement de valeur, c'est un constat. 

On peut être choqué que l'abbé Pierre, un homme d'église, soit aussi un homme tout court. Il ne s'en est pas caché !

 

Des attouchements non consentis, ça n’a rien à  voir avec une "relation". C’est une violence faite. Si un homme avait fourré sa langue dans ta bouche sans ton consentement, tu l’aurais mieux vécu il y a 30 ans que maintenant ?

Des premiers signalements dès les années 1950, étouffés par l’Église

politique du silence•Des documents consultés par « Libération » montrent que certains membres de l’Église catholique et d’Emmaüs étaient au courant dès les années 1950 des faits de violences sexuelles commis par Henri Grouès, vrai nom de l’abbé Pierre

es révélations sur l’abbé Pierre, longtemps personnalité préférée des Français, se succèdent depuis le 17 juillet et la publication d’un rapport indépendant dans lequel sept femmes ont confié avoir été victimes d’agressions sexuelles depuis les années 1970. Depuis, une dizaine de nouveaux signalements ont été faits.

Mais d’après des documents consultés par Libération, les violences sexuelles commises par Henri Grouès – vrai nom du prêtre – auraient commencé dès 1955, soit quelques mois après son appel à la solidarité lors de l’hiver de 1954.

Des échanges épistolaires révélateurs des comportements de l’abbé Pierre

D’après des échanges épistolaires entre Marshall Suther, un étudiant américain qui a accompagné Henri Grouès aux États-Unis en 1955, et des responsables d’Emmaüs à l’époque, les premières plaintes de femmes face au comportement du prêtre ont été signalées au mois de mai de cette année-là.

Les carnets, sorte de « journaux intimes » du philosophe catholique Jacques Maritain, professeur à Princeton, qui a monté l’opération outre-Atlantique de l’abbé, révèlent ainsi qu’il a été alerté en mai 1955 que deux femmes de New York se plaignaient du comportement d’Henri Grouès à leur égard. Le cardinal Spelmann et le cardinal Samuel Stritch auraient également été avertis.

Éviter le scandale

Toujours selon Libération, la solution trouvée pour éviter le scandale est d’écarter l’abbé Pierre car ses comportements ne s’arrêtent pas à New York. D’autres incidents ont lieu à Chicago et à Washington. Les notes du philosophe catholique indiquent qu’il propose un retour direct de Chicago à Paris lors d’un appel téléphonique avec son étudiant, Marshall.

L’affaire semble assez grave outre-Atlantique pour qu’un jésuite américain conseille au professeur de Princeton de rencontrer le cardinal Spellman pour prévenir l’archevêque de Paris que l’abbé Pierre ne reviendra plus aux Etats-Unis.

À l’été 1955, à son retour en France, Jacques Maritain prévient alors les autorités catholiques, avec l’aide de René Voillaume, l’un de ses conseillers spirituels. Début septembre, Henri Grouès doit s’expliquer avec l’archevêché de Paris. Deux ans plus tard, en 1957, un « socius », à la fois chaperon et conseiller spirituel, est adjoint par les autorités catholiques à l’abbé Pierre alors que ce dernier enchaîne des soins en cliniques et des retraites spirituelles puis, l’internement en Suisse, en 1958. Henri Grouès sera ensuite écarté de la direction du mouvement Emmaüs.

D’autres scandales à l’étranger

De cette affaire aux États-Unis, rien ne filtre. « La décision que la politique du silence était la meilleure pour le moment était précisément basée sur ce désir de protéger [des] buts fondamentaux », a écrit l’étudiant Marshall, le 23 mars 1956, à l’un des responsables d’Emmaüs, retranscrit par Libération.

Suite et fin :https://www.20minutes.fr/societe/4104058-20240801-abbe-pierre-accuse-agressions-sexuelles-premiers-signalements-annees-1950-etouffes-eglise

Le 31/07/2024 à 09:01, Evaelle a dit :

C'est déjà évoqué. L'abbé Pierre lui-même avait dit avoir rompu son voeu de chasteté. 'Mon dieu". 

Il allait voir des prostituées, il ne s'en est pas caché.

https://www.20minutes.fr/societe/4104058-20240801-abbe-pierre-accuse-agressions-sexuelles-premiers-signalements-annees-1950-etouffes-eglise

Affaire abbé Pierre : « On a laissé se fabriquer une idole, plutôt que rendre justice »

Pour Patrick Goujon, les révélations concernant les agressions sexuelles qu’aurait commises l’abbé Pierre sur de nombreuses femmes illustrent le danger pour l’Église de laisser des idoles émerger en son sein. Elles interrogent aussi notre vision de la sainteté comme perfection.

« Quel malheur pour vous lorsque tous les hommes disent du bien de vous ! » (Luc 6, 26)

Le Dieu de l’abbé Pierre nous avait semblé incarner la justice du Royaume. Non seulement, l’abbé s’occupait des pauvres, mais il avait renversé l’ordre de la charité. Il ne donnait pas les richesses en trop que l’Église possède. Il ne faisait pas la charité. Il partageait la vie des pauvres et les élevait par le travail à la dignité. L’œuvre d’Emmaüs continuera de donner un aperçu de la justice que le Messie est venu proclamer. On le souhaite ardemment. Mais cette justice n’a cessé d’être bafouée par un homme et par l’institution qui masqua la réalité.

Après le rapport rendu la semaine passée, une tribune rédigée par des spécialistes des violences dans l’Église, a donné quelques éléments nouveaux, bien documentés dans Le Monde. On avait envoyé en traitement psychiatrique Henri Grouès, de son vrai nom, à la fin des années 1950 pour ses compulsions, cause d’agressions sexuelles à répétition. Des membres de l’épiscopat étaient au courant aussi bien que le mouvement Emmaüs.

Fabriquer une idole

On a donc préféré laisser se fabriquer une idole, plutôt que faire la vérité et rendre justice. Certes, l’époque n’était guère à la protection des femmes, mais ce dont Henri Grouès se rendait coupable, au vu et au su de ses responsables, était déjà bel et bien condamné et par les Écritures (« tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain »), et par le droit canonique, et par le Code pénal. On préféra se laisser répandre l’image d’un homme qui était bon pour le peuple (n’avait-il pas été

résistant ?) et surtout pour les plus pauvres d’entre eux. De loin, il avait tout l’air d’un saint !

Dans les années 50, l’Église montrait à la France qu’elle œuvrait à part entière avec la Nation jusque dans ses institutions républicaines. Dans les années 80, le bon abbé adoucissait les traits d’un nouveau rigorisme moral catholique qui s’abattait sur la France et l’Église en général. Argument cynique, dira-t-on ? On en lit de semblables dans les Évangiles de la part des autorités religieuses. « Vous n’y comprenez rien ; vous ne voyez pas quel est votre intérêt : il vaut mieux qu’un seul homme meure, et que l’ensemble de la nation ne périsse pas »…

Ici, la logique s’est retournée. Vous ne voyez pas l’intérêt ? Il vaut mieux sacrifier quelques victimes et maintenir notre idole pour que l’image de l’Église nous soit favorable grâce à ce petit frère universel. Machisme et cléricalisme n’ont pas de peine à se donner la main. Qu’est-ce que voler un baiser et tâter des seins au regard de la Vérité à sauver en ces temps de péril ?

Les confidences de l’Abbé

Quelle image de la sainteté nous faisons-nous donc pour nous être laissés prendre ? Il y avait bien eu les confidences de l’abbé sur sa difficile chasteté, à la fin de sa vie. Il aurait vécu une relation amoureuse, consentie – comme l’on dit. Cela le rendait d’autant plus aimable ; « le pauvre homme », si seulement on donnait aux prêtres la permission de se marier. Vous voyez, l’Église est bonne mère, elle n’a pas chassé son fils à la chair un peu faible…

https://international.la-croix.com/fr/opinions/affaire-abbe-pierre-on-a-laisse-se-fabriquer-une-idole-plutot-que-rendre-justice

il y a 55 minutes, metal guru a dit :

Affaire abbé Pierre : « On a laissé se fabriquer une idole, plutôt que rendre justice »

Pour Patrick Goujon, les révélations concernant les agressions sexuelles qu’aurait commises l’abbé Pierre sur de nombreuses femmes illustrent le danger pour l’Église de laisser des idoles émerger en son sein. Elles interrogent aussi notre vision de la sainteté comme perfection.

« Quel malheur pour vous lorsque tous les hommes disent du bien de vous ! » (Luc 6, 26)

Le Dieu de l’abbé Pierre nous avait semblé incarner la justice du Royaume. Non seulement, l’abbé s’occupait des pauvres, mais il avait renversé l’ordre de la charité. Il ne donnait pas les richesses en trop que l’Église possède. Il ne faisait pas la charité. Il partageait la vie des pauvres et les élevait par le travail à la dignité. L’œuvre d’Emmaüs continuera de donner un aperçu de la justice que le Messie est venu proclamer. On le souhaite ardemment. Mais cette justice n’a cessé d’être bafouée par un homme et par l’institution qui masqua la réalité.

Après le rapport rendu la semaine passée, une tribune rédigée par des spécialistes des violences dans l’Église, a donné quelques éléments nouveaux, bien documentés dans Le Monde. On avait envoyé en traitement psychiatrique Henri Grouès, de son vrai nom, à la fin des années 1950 pour ses compulsions, cause d’agressions sexuelles à répétition. Des membres de l’épiscopat étaient au courant aussi bien que le mouvement Emmaüs.

Fabriquer une idole

On a donc préféré laisser se fabriquer une idole, plutôt que faire la vérité et rendre justice. Certes, l’époque n’était guère à la protection des femmes, mais ce dont Henri Grouès se rendait coupable, au vu et au su de ses responsables, était déjà bel et bien condamné et par les Écritures (« tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain »), et par le droit canonique, et par le Code pénal. On préféra se laisser répandre l’image d’un homme qui était bon pour le peuple (n’avait-il pas été

résistant ?) et surtout pour les plus pauvres d’entre eux. De loin, il avait tout l’air d’un saint !

Dans les années 50, l’Église montrait à la France qu’elle œuvrait à part entière avec la Nation jusque dans ses institutions républicaines. Dans les années 80, le bon abbé adoucissait les traits d’un nouveau rigorisme moral catholique qui s’abattait sur la France et l’Église en général. Argument cynique, dira-t-on ? On en lit de semblables dans les Évangiles de la part des autorités religieuses. « Vous n’y comprenez rien ; vous ne voyez pas quel est votre intérêt : il vaut mieux qu’un seul homme meure, et que l’ensemble de la nation ne périsse pas »…

Ici, la logique s’est retournée. Vous ne voyez pas l’intérêt ? Il vaut mieux sacrifier quelques victimes et maintenir notre idole pour que l’image de l’Église nous soit favorable grâce à ce petit frère universel. Machisme et cléricalisme n’ont pas de peine à se donner la main. Qu’est-ce que voler un baiser et tâter des seins au regard de la Vérité à sauver en ces temps de péril ?

Les confidences de l’Abbé

Quelle image de la sainteté nous faisons-nous donc pour nous être laissés prendre ? Il y avait bien eu les confidences de l’abbé sur sa difficile chasteté, à la fin de sa vie. Il aurait vécu une relation amoureuse, consentie – comme l’on dit. Cela le rendait d’autant plus aimable ; « le pauvre homme », si seulement on donnait aux prêtres la permission de se marier. Vous voyez, l’Église est bonne mère, elle n’a pas chassé son fils à la chair un peu faible…

https://international.la-croix.com/fr/opinions/affaire-abbe-pierre-on-a-laisse-se-fabriquer-une-idole-plutot-que-rendre-justice

On en revient toujours dans l'Eglise catholique que le plus important est de sauver la doctrine ! Peu importe les dégâts ... que l'Eglise donne de l'argent aux victimes ne changera rien aux attitudes de l'Abbé qui n'aurait jamais dû devenir prêtre dans cette religion qui impose les frustrations sur ce qui est le plus naturel au monde car quand Dieu (sa référence) a dit "croissez et multipliez" il n'a pas mis d'exceptions en vigueur" ! Ce sont les religions qui ont fait une OPA sur Dieu et ont créé son Testament (fake news dès le départ ) !

La chasteté par Véronique Magron n'est pas que dans la sexualité  https://www.rcf.fr/articles/vie-spirituelle/un-eloge-de-la-chastete La lire ainsi que Xavier Thévenot sur le sujet !

Ca y est c'est reparti... Et...Avec quelqu'un incapable de se défendre en plus!

il y a 15 minutes, querida13 a dit :

Ca y est c'est reparti... Et...Avec quelqu'un incapable de se défendre en plus!

??? a qui vous adressez-vous svpl ? Merci d'expliciter votre propos !

Il y a 2 heures, querida13 a dit :

Ca y est c'est reparti... Et...Avec quelqu'un incapable de se défendre en plus!

Les femmes agressées étaient aussi incapables de se défendre, et quand elles parlaient on ne les écoutait pas, mais visiblement c'est moins important pour toi que de protéger la mémoire d'un sérial agresseur, là il va tomber de son piédestal, il faudra que tous les believers s'y fassent !

Il y a 2 heures, ouest35 a dit :

??? a qui vous adressez-vous svpl ? Merci d'expliciter votre propos !

En général quand j'interviens pour la première fois je réponds au sujet du topic.

il y a 16 minutes, querida13 a dit :

En général quand j'interviens pour la première fois je réponds au sujet du topic.

Le topic prend comme point de départ un communiqué de la Fondation Abbé Pierre et Emmaüs, soutenues par l'église, qui dénonce les agressions commises par l'abbé ! A la suite de cette publication des institutions fondées par l'homme qu'elles accusent, d'autres témoignages sont venus s'ajouter à ça, et on apprend que ces trois entités étaient en fait au courant depuis les années 50,  pourquoi n'ont-elles pas fait ça de son vivant ? Il faudrait peut être le leur demander ! J'ai vu que la direction de la fondation avait changé depuis 2003 et que c'est une femme, qui est dans le groupe depuis longtemps qui est devenue la dirigeante, c'est peut-être le déclic qui manquait pour que ça devienne public, mais peu importe, maintenant tout le monde sait que cet homme n'était pas celui qu'on nous a vendu, même si ça en défrise certains !

il y a 55 minutes, metal guru a dit :

Le topic prend comme point de départ un communiqué de la Fondation Abbé Pierre et Emmaüs, soutenues par l'église, qui dénonce les agressions commises par l'abbé ! A la suite de cette publication des institutions fondées par l'homme qu'elles accusent, d'autres témoignages sont venus s'ajouter à ça, et on apprend que ces trois entités étaient en fait au courant depuis les années 50,  pourquoi n'ont-elles pas fait ça de son vivant ? Il faudrait peut être le leur demander ! J'ai vu que la direction de la fondation avait changé depuis 2003 et que c'est une femme, qui est dans le groupe depuis longtemps qui est devenue la dirigeante, c'est peut-être le déclic qui manquait pour que ça devienne public, mais peu importe, maintenant tout le monde sait que cet homme n'était pas celui qu'on nous a vendu, même si ça en défrise certains !

Le problème c'est qu'Emaus et l'Eglise étaient au courant et on choisi de mettre les scories sous le tapis au lieu de défroquer l'Abbé ! et de le dénoncer a la police ... le hic c'est que les évènements ce sont passés a une époque ou Metoo n'existait pas ni l'officine de Mme Haas ...

Remises dans le contexte de l'époque les plaintes ont été entendues (pour plusieurs en tout cas) mais n'ont pas été traitées comme elles auraient dûes l'être condamnation public et sanctions appropriées ... Ca ne sert a rien d'engueuler les forumeurs d'aujourd'hui les responsables sont ceux des deux institutions "de camouflage" ! S'en prendre aux responsables d'abord ! ... mais quérida a raison ça fait 17 ans que l'Abbé mange les pissenlits par la racine et donc l'Abbé ne peut se défendre comme la Justice lui en donne le droit ! Donc vous vous brosserez pour un procès et si d'autres femmes "parlent" la preuve n'est qu'à 50 % puisque pas de défense possible  : désolée mais c'est le droit en vigueur en France ... tout injuste que cela puisse vous paraître perso je les crois mais je n'ai que le version je préfère ne rien mettre en doute mais ça ne change rien au problème .... et tout dégueulasse qu'il ai pu être avec les femmes  on ne peut pas non plus d'un trait rayer son oeuvre donc séparer peut-être les deux .... aimer l'oeuvre et avoir du recul voir de la déception et du chagrin (pour certains) envers l'homme !

Pour la petite histoire la grande théologienne Docteur et Sainte de l'Eglise catholique Thérèse d'Avila  n'était pas si chaste que ça  ... elle se tripotait devant les les images du petit Jésus qui avait souvent sur ces images les breloquettes dehors ... et avec son amoureux "spirituel" Jean de la Croix quand on lit les écrits de ce dernier on pourrait parfois confondre avec Casanova (pardon avec un peu d'exagération mais ça porte a réflexion parfois) !