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Religion et paix de l'âme.

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Membre, 123ans Posté(e)
diffn Membre 830 messages
Forumeur expérimenté‚ 123ans‚
Posté(e)

 

S’il existe un réconfort dans cette vie, il ne peut-être puisé que dans la religion. Cette dernière te donne un espoir, une connaissance, et surtout tu peux en priant oublier tes tourments. Mais, il y a toujours un mais, il faudrait avoir confiance et croire réellement que Dieu existe et qu’il pourrait te débarrasser de ce mal du cœur. Une noirceur subjective et non objective se dépose dans ton cœur suivant tes faits malfaisants, elle s’agrandit avec le temps, et comme un malade atteint de cholestérol total soit un taux de cholestérol sanguin supérieur à 2 g/l. la conséquence est que les veines seront plein et c’est la mort.

Là c’est le cœur qui serait remplit par une noirceur totale, nous parlerons dans ce cas de l’âme et l’esprit, la première qui pour devenir esprit, il faudrait qu’elle se remplisse de bonnes œuvres et restera âme suivant tes faits, mais âme mauvaise si ton cœur était totalement noir de méfaits.

C’est la foi qui détermine le réconfort il sera

 

si nous faisons un calcul  de suicide dans les pays musulmans et ceux qui se disent athées, la balance négative serait du côté des athées. Si quelqu’un chez nous est touché par une maladie grave, il te dirait ‘’Al Hamdou li Allah’’  je rends grâce à Dieu et, il sera toujours aussi serein.

 

 

Inconsistance, parle pour toi et la foi n’est ni axiome ni vérité absolue, encore moins une théorie. La foi c’est croire en Dieu et la dém. Une vérité qui ne peut qu’être créer par une intelligence que nous ne pouvons pas déterminer. Et si quelqu’un s’amuse piocher dans les sciences dites exactes, dans le corps humain, par exemple, ou dans une cellule. Il ne pourra pas dire que c’est un hasard, il ne peut que déduire que cette  intelligence ne peut être conçue ou comprise par un humain.  et c'est c que nous appelons le grand architecte, le Dieu ou Allah

 

 

Le lieu n’a pas d’importance, les plus croyants sont ceux qui sont simples, qui ne cherchent pas des preuves. Mais si tu te décides à faire ces recherches il faut aller droit au but sans emporter dans ton cœur des aprioris ou des préjugés.

 

Nous ne sommes point égaux dans tous les domaines, et le plus croyant est le meilleur d’entres nous. la maladie,  laideur, l’aveugle…deviennent pour eux des  traits conçus par Dieu et il dit Al Hamdou li Allah.

 

 

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Membre, 155ans Posté(e)
Don Juan Membre 2 463 messages
Forumeur expérimenté‚ 155ans‚
Posté(e)
Il y a 23 heures, FROD a dit :

Je ne sais pas ce qu'est un don qui s'ignore, pouvez-vous me donner un exemple?

Dans nos cités ce doit être quelque chose de si rare que presque personne n'en a entendu parler, je ne suis donc pas étonné que cela te soit inconnu.

Après tout, si l'on considère que l'acte de donner qui s'ignore existe bel et bien, peut-être faudrait-il considérer aussi qu'il figure dans la liste des non-actes plutôt que celle des actes.

Vous parliez de l'acte de donner sans attendre en retour, autrement dit d'un acte désintéressé, mais plus loin encore, dans la sphère de la pensée, il est des dons qui s'offrent sans réflexion au préalable. Ces "dons" ne sont pas vus par leurs auteurs comme tels, ils font partie de gestes qui s'écoulent sans qu'aucun concept leur soit attaché. Ceux qui en bénéficient peuvent s'en rendre compte ou pas, ils ramassent ce qui est offert comme si l'objet du don était tombé d'un sac, ne reliant jamais, ou presque la personne qui se "débarrasse" à une intention déterminée.

Le sujet premier, l'offrant, ne se ressent pas en tant que tel et aucune idée de hiérarchie ne peut se risquer de s’installer entre les acteurs. Celui qui donne sans ignorer qu'il donne, même s'il n'attend rien en retour, sait qu'il occupe une place plus élevée que celui qui reçoit.

Celui qui donne est celui qui détient, le fait est qu'il détient ce qu'une autre personne, le receveur, n'a pas, cela fait de lui un plus riche qu'un autre. Mais celui qui n'a rien, ou qui n'a établi aucune relation de possession avec ce qu'il paraît avoir sont les mêmes.

Ignorer que l'on possède ou penser que rien ne peut représenter à ses yeux une valeur à posséder permet "d’offrir" tout ce que les autres croient que l'on possède. Cet acte de donner est équivalent à l'acte de rendre. Il exprime ! "rien n'est à moi!", je ne peux donc te le donner.

Si je parle de la dimension du non-acte au début de mon propos cela implique que les termes comme : donner, offrir, possession, etc ne peuvent répondre de manière précise à l'intérieur d'un cadre ou la raison ne peut se sentir vraiment à l'aise. "L'acte de donner qui s’ignore" ne se laisse pas saisir par la pensée qui ne repose pas sur une expérience de l'être tout entier.

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Membre, Posté(e)
FROD Membre 395 messages
Forumeur accro‚
Posté(e)
Le 05/01/2024 à 12:53, Don Juan a dit :

Dans nos cités ce doit être quelque chose de si rare que presque personne n'en a entendu parler, je ne suis donc pas étonné que cela te soit inconnu.

Après tout, si l'on considère que l'acte de donner qui s'ignore existe bel et bien, peut-être faudrait-il considérer aussi qu'il figure dans la liste des non-actes plutôt que celle des actes.

Vous parliez de l'acte de donner sans attendre en retour, autrement dit d'un acte désintéressé, mais plus loin encore, dans la sphère de la pensée, il est des dons qui s'offrent sans réflexion au préalable. Ces "dons" ne sont pas vus par leurs auteurs comme tels, ils font partie de gestes qui s'écoulent sans qu'aucun concept leur soit attaché. Ceux qui en bénéficient peuvent s'en rendre compte ou pas, ils ramassent ce qui est offert comme si l'objet du don était tombé d'un sac, ne reliant jamais, ou presque la personne qui se "débarrasse" à une intention déterminée.

Le sujet premier, l'offrant, ne se ressent pas en tant que tel et aucune idée de hiérarchie ne peut se risquer de s’installer entre les acteurs. Celui qui donne sans ignorer qu'il donne, même s'il n'attend rien en retour, sait qu'il occupe une place plus élevée que celui qui reçoit.

Celui qui donne est celui qui détient, le fait est qu'il détient ce qu'une autre personne, le receveur, n'a pas, cela fait de lui un plus riche qu'un autre. Mais celui qui n'a rien, ou qui n'a établi aucune relation de possession avec ce qu'il paraît avoir sont les mêmes.

Ignorer que l'on possède ou penser que rien ne peut représenter à ses yeux une valeur à posséder permet "d’offrir" tout ce que les autres croient que l'on possède. Cet acte de donner est équivalent à l'acte de rendre. Il exprime ! "rien n'est à moi!", je ne peux donc te le donner.

Si je parle de la dimension du non-acte au début de mon propos cela implique que les termes comme : donner, offrir, possession, etc ne peuvent répondre de manière précise à l'intérieur d'un cadre ou la raison ne peut se sentir vraiment à l'aise. "L'acte de donner qui s’ignore" ne se laisse pas saisir par la pensée qui ne repose pas sur une expérience de l'être tout entier.

Je suis extrêmement sensible à ce que vous avez écrit. La meilleure partie de nous-même nous est peut-être cachée. Hugo écrivait :

Le bienfait par nos mains pompeusement jeté
S’évapore aussitôt dans notre vanité ;
Même en le prodiguant aux pauvres d’un air tendre,
Nous avons tant d’orgueil que notre or devient cendre ;
Le bien que nous faisons est spectre comme nous.

Si comme vous dites le don qui s'ignore est une expérience de l'être tout entier, alors notre perspective change : il s'agit d'être attentif à ce Bien invisible qui peut passer par nous, au lieu de crisper la volonté sur une morale du "faire".

Pour les dons qui ne s'ignorent pas, je ne pense pas que le donneur soit systématiquement supérieur : il a besoin du receveur pour faire ce geste qui réoriente sa vie et la sauve du néant. "Tout ce qui n'est pas donné est perdu". Le receveur  interpelle le donneur, le déstabilise dans sa routine et lui demande de faire un geste qui peut être refusé, mais au détriment du donneur qui reste alors dans sa vie égoïste et insipide.

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Membre, 155ans Posté(e)
Don Juan Membre 2 463 messages
Forumeur expérimenté‚ 155ans‚
Posté(e)
Il y a 15 heures, FROD a dit :

Pour les dons qui ne s'ignorent pas, je ne pense pas que le donneur soit systématiquement supérieur : il a besoin du receveur pour faire ce geste qui réoriente sa vie et la sauve du néant. "Tout ce qui n'est pas donné est perdu". Le receveur  interpelle le donneur, le déstabilise dans sa routine et lui demande de faire un geste qui peut être refusé, mais au détriment du donneur qui reste alors dans sa vie égoïste et insipide.

Nous aurons un petit désaccord sur ce point, mais oui comme dit Richard Desjardins dans sa chanson, "tout ce qui n'est pas donné est perdu".

Le donneur a besoin du receveur pour l'image qu'il lui renvoie, je vois toujours du narcissisme dans l'acte de donner et sans doute peut-on en voire aussi dans l'acte de recevoir. Mais laissons de côté cette divergence de regard, je te remercie de m'avoir bien lu.

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