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Comment suis-je passé de l´ombre du doute à la lumière de la croyance ferme en Dieu

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didier*

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Membre, 65ans Posté(e)
Carnéade Membre 385 messages
Forumeur accro‚ 65ans‚
Posté(e)

Ce n'est pas le même sujet, en fait. Que le mal soit relatif ou absolu, que le malheur des uns puisse faire le bonheur des autres ou pas, cela ne change rien à la question des forces du mal qui agissent sur le psychisme des individus libres en détruisant tout ou partie de leur liberté. 

Exemple : un tortionnaire prend énormément de plaisir à torturer. D'où cela vient-il? Certains croiront que cela provient de sa nature, c'est un méchant, il est né comme ça. D'autres y verront l'effet d'un déterminisme sociologique ou psychologique. Il manque à ces schémas simplistes la prise en compte de deux facteurs : la liberté relative du tortionnaire qui s'est porté volontaire, par exemple, pour voir ce que ça fait, et le plaisir pris à pratiquer la torture. Parler de forces du mal ne prétend rien expliquer, mais a le mérite de nommer les choses sans occulter ce qu'il y a d'humain, curieusement appelé d'ordinaire inhumain, dans ce genre de perversités. 

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, Carnéade a dit :

Ce n'est pas le même sujet, en fait. Que le mal soit relatif ou absolu, que le malheur des uns puisse faire le bonheur des autres ou pas, cela ne change rien à la question des forces du mal qui agissent sur le psychisme des individus libres en détruisant tout ou partie de leur liberté. 

Exemple : un tortionnaire prend énormément de plaisir à torturer. D'où cela vient-il? Certains croiront que cela provient de sa nature, c'est un méchant, il est né comme ça. D'autres y verront l'effet d'un déterminisme sociologique ou psychologique. Il manque à ces schémas simplistes la prise en compte de deux facteurs : la liberté relative du tortionnaire qui s'est porté volontaire, par exemple, pour voir ce que ça fait, et le plaisir pris à pratiquer la torture. Parler de forces du mal ne prétend rien expliquer, mais a le mérite de nommer les choses sans occulter ce qu'il y a d'humain, curieusement appelé d'ordinaire inhumain, dans ce genre de perversités. 

C'est très précisément à ça que je faisais allusion en disant ("l'égo" "l'égoïsme" par exemple dont l'existence reste nécessaire et indispensable pour tout vivant mais qui sont déroutés par la "complexité" psychologique -et par des mécanismes annexes-. )

Je pense plus à des constructions, des réponses psychologiques qu'à un déterminisme. Et si l'on pouvait analyser suffisamment en profondeur ces schémas, ils n'auraient rien de simpliste : ils seraient plutôt surprenants, stupéfiants. Et nous paraîtraient absurdes, illogiques. Comme quand ça nous arrive d'en décrypter... (Je pense à la psychanalyse.)

Voir de simples mécanismes dans la perversité ?... C'est gênant ! On n'y tient pas ! Et je crois (?) que parler de "forces du mal" brouille les cartes... (à débattre ! ) Mais il faut a contrario préserver le garde fou que "tout ne se vaut pas"... (C'est un peu le danger du wokisme ?)

Modifié par Blaquière
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