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Petit ours

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Membre, Raphaël 🇦🇲🇵🇸, 21ans Posté(e)
Petit ours Membre 5 438 messages
Maitre des forums‚ 21ans‚ Raphaël 🇦🇲🇵🇸,
Posté(e)

 

Je commence

Il y'a bientôt 1000 ans  vous avez assassiné l'ancien roi d'un royaume Fantastique ou le temps ne s'écoule pas de la même façon qu'ici. 

Vous êtes donc a plus de 1000 ans toujours un jeune et beau prince. 

Ou une jeune et belle princesse 

Vous avez de magnifiques cheveux d'or et des yeux d'un bleu persans qui cache la tristesse de votre cœur déserté par l'amour. 

 

Maintenant seul dans un grand et magnifique château. 

Vous marchez dans l'un des immense couloir du palais, vous admirer la vue depuis le balcon. 

Vous regardez le petit peuple rire et s'aimer , votre cœur est lourd et plains de regrets. 

Vous ne pouvez désormais plus retenir vos larmes qui coulent sur vos beaux habits de sois et de cachemires . 

Et c'est alors que vous commencez à danser dans la bibliothèque pour oublier la culpabilité qui vous ronge. 

Vous danser jusqu'à tomber, les pieds en sang.

Vous vous effondré sur le sol glacial de votre magnifique bibliothèque royale. 

Vôtre couronne qui est si lourde, tombe avec vous. 

Et vous pleurez de nouveau, les chaudes larmes qui coulent sur votre visage vous réchauffe un peu . 

Vous aimeriez tellement être miniscule pour pouvoir disparaître et être oublié de tous. 

Vous fuyez dans les jardins, et vous escaladé les murs pour partir dans la forêt. 

Mais les gardes vous rattrape vous protesté mais vous ne pouvez pas vous enfuir. 

Ou que vous alliez dans le jardin vous êtes suivis par des gardes et serviteurs qui se prosterne. 

"Majesté vôtre majesté vôtre majesté revenez" 

Vous suppliez mais la liberté est la seule chose qu'on peut vous refusez et qu'on vous refusera toujours. 

 

Vous n'avez pas le choix, votre seule issues, pour être enfin libre est la mort...

Alors  vous prenez votre épée... Le sang coule vous laissant dans une terrible agonies de quelques minutes. 

Vous l'accepter comme la repentance de vos crimes. 

Poursuivies une dernière fois par les fantômes de votre passé. 

Vous sentez un dernier courant d'air avant de définitivement quitter votre cage doré. 

 

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Membre, Posté(e)
Manrak Membre 2 682 messages
Maitre des forums‚
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Il était une fois un ourson baratineur qui prenait systématiquement son auditoire pour des truffes, mais un jour......

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Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 47 852 messages
forumeuse acharnée,
Posté(e)

La petite fille avait toujours eu des prémonitions.

 Toute petite déjà, elle savait, cinquante ans avant les autres, que l'on aurait des problèmes avec le plastique et les déchets, que la planète allait surchauffer, qu'il y aurait des problèmes de surpopulation et d'extinction des espèces...Tout le monde se moquait un peu d'elle on la disait trop sensible, différente, trop axée sur l'avenir et pas assez ancrée dans le présent, certains disaient carrément qu'elle était fantaisiste ou  bien qu'elle était farfelue!

Un jour, elle dit à quelques personnes qu'elles allaient avoir un accident si elles continuaient à faire ce qu'elles faisaient : par bravade ou par défi, elles continuaient  à agir et cela advenait immanquablement! P arfois On en vint même à la considérercomme une sorcière et certains quand elles passait quelque part et qu'ils la croisaient ,  faisaient les cornes du diable en croisant les doigts de la main gauche derrière leur  dos.

 

Il était fou de voir à quel point ses prédictions s'avéraient justes ! Un jour, une petite  gitane lui dit qu'elle aurait quatre enfants en  lui regardant les lignes de sa main, elle dit qu'elle en aurait deux, l'autre riposta  qu'ils ne survivraient  peut-être pas tous et en effet elle n'en eut que deux et fit deux fausses couches!

La petite  gitane dit à l'une de ses camarades qu'elle aurait trois enfants mais la jeune pythonisse ajouta à l'adresse de  sa petite camarade qu'elle ferait mieux de ne pas faire son troisième enfant parce qu'elle le voyait souffrir, le pauvre!

Dix-sept ans passèrent et un jour, sa mère lui dit avoir vu la mère de cette dernière,  Celle-ci s'était mariée et avait eu trois enfants. Le troisième était atteint d'une maladie génétique incurable!

 

 

 

 

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Membre, 80ans Posté(e)
jeremie974 Membre 4 778 messages
Maitre des forums‚ 80ans‚
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Il y a 1 heure, Manrak a dit :

Il était une fois un ourson baratineur qui prenait systématiquement son auditoire pour des truffes, mais un jour......

Il était une fois un ourson baratineur qui prenait systématiquement son auditoire pour des truffes, mais un jour, il rencontra une petite lapine nommée Lili. Lili était rusée et n'était pas du genre à se laisser berner par les histoires farfelues de l'ourson. Elle était curieuse de connaître la véritable nature de ce personnage charmeur.

Lili décida de demander conseil à un sage de la forêt, un vieux hibou sage qui avait vu et entendu beaucoup de choses au fil des années. Le hibou écouta attentivement et répondit d'une voix grave : "Ma petite Lili, il y a une leçon importante que ton ami ourson doit apprendre : la vérité est la fondation de toute relation sincère. Encourage-le à abandonner ses mensonges et à se montrer tel qu'il est réellement."

Armée de cette sagesse, Lili retourna vers l'ourson et lui partagea les paroles du sage. L'ourson, d'abord surpris, réfléchit profondément. Il réalisa que la tromperie ne mènerait jamais à des liens solides et durables.

Grâce aux conseils du sage et à l'amitié sincère de Lili, l'ourson fit un vœu de changer. Il s'engagea à être honnête, à partager ses véritables pensées et émotions avec les autres. Avec le temps, l'ourson découvrit que la sincérité créait une confiance profonde et des amitiés véritables.

Et ainsi, l'ourson baratineur devint un compagnon authentique, inspirant ceux qui l'entouraient par son nouveau mode de vie basé sur la vérité et la transparence. Il comprit que les mots honnêtes avaient le pouvoir de toucher les cœurs et de créer des liens durables. L'ourson avait appris la plus précieuse des leçons : être soi-même et laisser la vérité guider ses pas vers des relations authentiques et significatives.

Mais le vilain serpent, connu pour semer la discorde et la méfiance, y faisait obstacle. Il avait observé le changement de l'ourson et se moquait de sa nouvelle sincérité. Le serpent était rusé et cherchait à semer le doute dans l'esprit de l'ourson et de ses amis.

Un jour, alors que l'ourson partageait une histoire sincère avec ses compagnons, le serpent siffla perfidement : "Comment pouvez-vous croire en cet ourson ? Il a passé tant d'années à vous tromper avec ses mensonges ! Méfiez-vous de ses paroles, car elles sont aussi tranchantes que ses griffes."

Les amis de l'ourson se regardèrent, incertains. Ils savaient que le serpent était fourbe, mais les doutes semblaient maintenant s'immiscer en eux. L'ourson, déterminé à prouver sa nouvelle nature, se leva et déclara avec assurance : "Je comprends vos doutes, mais je suis sincère dans mes paroles et mes actions. Je ne peux pas changer le passé, mais je peux changer qui je suis maintenant. Faisons confiance à notre amitié et ne laissons pas le serpent semer la discorde entre nous."

Un à un, les amis de l'ourson se rallièrent à sa défense, repoussant les insinuations venimeuses du serpent. Leur amitié et leur confiance mutuelle étaient plus solides que les mensonges et les manipulations du reptile.

Avec le temps, le serpent réalisa que sa méchanceté ne pouvait vaincre la force de l'amitié sincère. Il quitta la forêt, laissant derrière lui des relations renforcées par les épreuves.

L'ourson baratineur avait réussi à surmonter les obstacles grâce à sa nouvelle sincérité et à la loyauté de ses amis. Ensemble, ils continuèrent à tisser des liens solides, en gardant toujours à l'esprit que la confiance et l'authenticité étaient les fondations d'une amitié véritable.

Depuis, le serpent vit dans un bayou, une région marécageuse éloignée de la forêt. Il médite sur ses actes passés et réalise l'impact de sa malveillance sur les autres. Le serpent, désormais seul, ressent un profond regret pour les tourments qu'il a causés.

Un jour, alors qu'il se prélassait sur une branche, un jeune oiseau s'approcha timidement. L'oiseau avait entendu parler de la rédemption du serpent et cherchait à comprendre comment il avait pu changer. Le serpent, empreint de tristesse, partagea sincèrement son histoire, reconnaissant les torts qu'il avait causés et exprimant son désir de se racheter.

L'oiseau, touché par la sincérité du serpent, lui offrit une chance de rédemption. Ensemble, ils se mirent à protéger le bayou, veillant sur les animaux qui y vivaient. Le serpent, reconnaissant, utilisait désormais sa ruse pour déjouer les braconniers et prévenir les dangers qui menaçaient les habitants du bayou.

Au fil du temps, le serpent fit preuve d'une loyauté inébranlable envers l'oiseau et les autres animaux du bayou. Ses actions désintéressées lui permirent de gagner progressivement leur confiance et leur respect. Il avait trouvé sa rédemption en utilisant ses talents pour le bien commun.

Ainsi, le serpent autrefois vilain et manipulateur trouva une nouvelle voie, en se consacrant à la protection et à la préservation de son habitat. Sa présence dans le bayou rappelait à tous que même ceux qui ont commis des erreurs peuvent se transformer et contribuer à un monde meilleur.

Et dans ce bayou, la réconciliation et la rédemption devinrent des leçons inestimables, rappelant à tous que personne n'est condamné à un destin de méchanceté, mais que chacun a la capacité de changer et de se racheter.

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  • 5 mois après...
Membre, 45ans Posté(e)
Hacqeud Membre 195 messages
Forumeur survitaminé‚ 45ans‚
Posté(e)

Histoire inventée de toutes pièces:

Ah, mes ailes et mes gouvernes ! Laissez-moi vous conter l’histoire rocambolesque d’un avion anthropomorphe nommé Junkie, plongé dans les méandres burlesques du monde des hangars et des attributions aéronautiques. Accrochez-vous à votre manche à balai, car c’est un vol turbulent que je vous propose !

Tout a commencé dans le joyeux groupe Hangar House, dirigé par le fameux Skipper. Mais voilà, le directeur s’en est allé, laissant la place à Sparky, nouvellement débarqué et engagé par Dotty, la grande prêtresse des recrutements aéronautiques.

Dès lors, les choses ont pris des airs de carnaval aérien. Les attributions de hangars se sont muées en un spectacle où les critères réglementaires sont devenus aussi rares qu’un atterrissage sans secousse.

Chaque premier mercredi du mois, Harland, membre du Conseil d’Administration, débarquait avec sa liste d’avions anthropomorphes en quête d’un nid douillet. Peu importait que les dossiers soient inexistants ou qu’ils ressemblent à des avions en papier, nous devions nous plier à cette farce mensuelle, orchestrée par une commission secrète où Sparky avait pris ses aises.

Après des réunions qui auraient pu rivaliser avec un numéro de cirque, Sparky se rendait en Cheferie avec un tableau d’attributions sous le bras, tel un vendeur de tapis aéronautiques. Là, il rencontrait Walrus, une figure mystérieuse dont le rôle évoquait plus celui d’un magicien que d’un responsable.

Moi, Junkie, et ma complice de l’air étions contraints de traficoter la liste, de créer des dossiers ex nihilo, et de jongler avec les critères légaux comme si c’était des balles en papier mâché. L’ancienneté des demandes ? Jamais entendu parler. La gestion des dossiers en souffrance ? Un cauchemar où les justificatifs se perdaient comme des feuilles emportées par le vent.

Et que dire des critères martiens pour les hangars du Square Plane Stadium ? Un ajout farfelu, réservé aux demandeurs venant de la planète rouge. Probablement une clause extraterrestre pour pimenter l’intrigue.

Lors de la commission officielle du lundi suivant, nous présentions un tableau déjà ficelé, prêt à être déployé comme un parachute de secours en cas de besoin. Les membres extérieurs de la commission étaient pris dans nos filets, ignorant les acrobaties réalisées la semaine précédente.

Pourtant, malgré mes pirouettes professionnelles, j’ai été jeté hors du ciel professionnel. Licencié sous des prétextes aussi crédibles qu’un vol en piqué sans fin, je suis désormais en attente des prud’avions, convaincu que mon départ était orchestré pour maintenir ce cirque aéronautique opaque.

Marié et père de deux jeunes turbulents qui ne maîtrisent pas encore l’art du vol nocturne, mon avenir professionnel ressemble à un atterrissage forcé. J’accepte que mon récit prenne son envol et atterrisse devant la Justice, car il est grand temps de mettre fin à cette comédie céleste.

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