problèmes des autres

est-ce que c'est vrai que  vous ne devez pas à faire attention à les problèmes des autres ?!!

et le plus important est vos problèmes ?!!!

encore:-

est ce que c'est vrai que les problèmes des autres ne sont pas importantes à vous ?!!!!

et le plus important est vos problèmes à vous ?!! seulement et absoluement 

et les problèmes des autres sont pas importantes du tout ?!!!!!!!!!

Merci à vous

Mieux vaut éviter de fourrer son nez dans les affaires des autres; que chacun s'occupe de ses oignons; ce qui ne sous-entend aucunement qu'il faille être indifférent aux autres mais on doit respecter la vie privée des gens comme soi-même on veut que les autres respectent la sienne.

M’occupe pas (plus?) des problèmes des autres, j’ai déjà bien mal à m’occuper des miens. J’arrête le syndrome du sauveur.

Il y a 11 heures, saynow a dit :

est-ce que c'est vrai que  vous ne devez pas à faire attention à les problèmes des autres ?!!

et le plus important est vos problèmes ?!!!

encore:-

est ce que c'est vrai que les problèmes des autres ne sont pas importantes à vous ?!!!!

et le plus important est vos problèmes à vous ?!! seulement et absoluement 

et les problèmes des autres sont pas importantes du tout ?!!!!!!!!!

Merci à vous

Bonjour Saynow

Les problèmes des autres sont bien souvent similaires à nos propres problèmes. Il est assez rare de rencontrer des problèmes personnels qui ne soient pas communs à beaucoup de personnes. Etant donné que nous partageons une même biologie à quelques détails près, une même organisation sociale avec la quasi totalité de nos connaissances, il est à parier que les problématiques rencontrées par les uns soient à peu près les mêmes que celles rencontrées par les autres.

Pour autant, est-il raisonnable de s'approcher des problèmes des autres, étant donné que les siens sont potentiellement suffisamment prenant (charité bien ordonnée commence par soi-même), ou est-il préférable de s'intéresser un minimum à ceux d'autrui pour entretenir une certaine relation (bonne conduite au sein d'une communauté ou d'une société oblige)?

Etant donné que nous touchons ici des problématiques de code de conduite ou de code moral, il serait bon ton de ne pas attendre de réponse trop incisive ou tranchante. Bien souvent c'est une question de dosage. La relation avec autrui s'inscrit dans une modulation de l'interaction personnel avec l'environnement immédiat. Ainsi, même si le désir est mélioratif, il est nécessaire de trouver le réglage pour créer et/ou ne pas altérer l'environnement qui nous concerne.

Raconter ses problèmes a bien souvent pour but de susciter une réponse ou une solution, même si, au final, le problème abordé n'était pas nécessairement le plus "urgent" à régler ou celui qui sera réglé par la relation. S'intéresser aux problèmes des autres, c'est se croire capable d'apporter sa pierre à l'édifice en apportant une réponse, une solution. C'est aussi permettre à l'autre de se sentir dans un environnement rassurant, condition plus que nécessaire pour espérer régler au mieux des problématiques. C'est aussi concevoir que nous sommes une chaîne, et qu'un maillon rencontrant une difficulté, c'est aussi la totalité et soi-même qui est concerné.

Pour un certain équilibre, celui qui raconte ses problèmes doit faire preuve d'un minimum de volonté pour écouter et être ouvert aux solutions et propositions faites par son interlocuteur, et celui qui s'interroge sur les problématiques des autres doit faire preuve de délicatesse autant au niveau de sa curiosité qu'au niveau du dosage de l'intrusion.

Se méfier du marchandage et du chantage émotionnel qui est, à mes yeux, quasi systématiquement présent dans la relation sociale!

Il y a 10 heures, G2LLOQ a dit :

Mon problème , est de ne pas avoir de problème  !  

bon je vais annuler mes couanneries , rien de méchant !!

Rien de meuchant  ! tu es mal viré , c'est tout  !!

Je plaisantais évidemment...

Je suis un incompris...

Il y a 16 heures, PASCOU a dit :

Je plaisantais évidemment...

Je suis un incompris...

je ne le comprend pas totalement en fait 

si il dit bonnes choses 

je va lui dire 

c'est super

je vous remercie :)))))

Une collègue de travail se faisait harceler psychologiquement et certainement physiquement mais elle avait "honte" et n a pas osé nous le dire (bleus, etc. ).

J ai appelé SOS femmes battues pour prendre tous les renseignements et le lui ai transmis le jour où elle était à bout et m a tout déballé. 

Elle a pris contact avec un avocat, une association. Elle est désormais divorcée, avec la garde des enfants, changé de travail mais il s est suicidé. C est malheureux à dire mais elle est libérée et revit...

Et je ne regrette absolument pas d avoir mis mon "petit grain de sel" parce que je pense que c est elle qui serait à la place de son ex mari...

Le 13/06/2023 à 07:57, Fihrya a dit :

Toi ton problème c'est névrose obsessionnelle ou paranoïa ou psychorigide ou toussa à la fois 

Vous n'êtes pas apte à intégrer le corps médical des psy, je me trompe?

Je dirai que les problèmes des autres peuvent nous toucher et dans un sens, c'est normal voire parfois inévitable selon les situations. Mais je pense qu'il faut prendre un maximum de recul et de distance. Dans le sens où, se mêler des histoires des autres n'est pas bon car forcément on prend parti et ça peut nous retomber dessus. Chacun sa place. Et puis, le temps que l'on se concentre sur les autres de cette manière, c'est du temps en moins pour soi. On peut apporter une écoute, de l'aide aux autres mais dans une juste mesure. Après, suivant les situations ce n'est pas toujours évident et l'essentiel est de se réajuster.