Il y a des hauts et il y a débat

( sujet compliqué, atypique et qui pique )

Je veux vous poser une question par rapport à quelque chose de particulièrement impressionnant que j'ai pu remarquer assez souvent.

Comment ce fait il que lorsque nous sommes en bas, au fond du trou, dans un état plutôt maussade et peu joyeux, parfois inconfortable, comment ce fait il que nous n'ayons presque plus conscience de ce qui nous plait et qui peut être bien dans la vie ? Tout devient sombre et la lumière est nulle part pour nous montrer le chemin et nous aider à remonter.

Et, de la même manière, comment ce fait il que dans les moments de plénitude, de lumière et de cohésion, nous n'ayons que très difficilement conscience de ce qui peut être triste et douloureux dans la vie ?

Je vous demande. C'est quoi ? A quoi cela peut il être du ? Quelle est l'explication raisonnable à ceci ?

"Il faut vouloir pour se tenir debout ; mais pour tomber ce n'est pas nécessaire ; la pesanteur suffit.

L'optimisme est de volonté ; le pessimisme est d'humeur."

Alain

Vouloir. Oui.

Mais ce que je dis c'est que lorsque nous sommes en bas, il n'existe plus de haut. Nous ne le percevons plus. Alors vouloir quoi ? Quelque chose qui n'existe pas. Cela me semble difficile.

Laisser faire le temps

Des lectures sur le net, c'est lié au fonctionnement du cerveau qui dysfonctionne durant la maladie 

@Anna Purna  C'est haut ! 

@Axo lotl        C'est loin ! 

il y a 4 minutes, Blue Gecko a dit :

 

@Axo lotl        C'est loin ! 

C'est loin ? c'est à dire 

il y a 23 minutes, Axo lotl a dit :

C'est loin ? c'est à dire 

il y a 1 minute, Blue Gecko a dit :

la communication, c'est pas votre truc.

il y a 40 minutes, Blue Gecko a dit :

@Anna Purna  C'est haut ! 

@Axo lotl        C'est loin ! 

C'est pas le contraire ??? 

Il y a 3 heures, Blue Gecko a dit :

( sujet compliqué, atypique et qui pique )

Je veux vous poser une question par rapport à quelque chose de particulièrement impressionnant que j'ai pu remarquer assez souvent.

Comment ce fait il que lorsque nous sommes en bas, au fond du trou, dans un état plutôt maussade et peu joyeux, parfois inconfortable, comment ce fait il que nous n'ayons presque plus conscience de ce qui nous plait et qui peut être bien dans la vie ? Tout devient sombre et la lumière est nulle part pour nous montrer le chemin et nous aider à remonter.

Et, de la même manière, comment ce fait il que dans les moments de plénitude, de lumière et de cohésion, nous n'ayons que très difficilement conscience de ce qui peut être triste et douloureux dans la vie ?

Je vous demande. C'est quoi ? A quoi cela peut il être du ? Quelle est l'explication raisonnable à ceci ?

Bonjour,

Je vais peut-être dire une sottise, mais cela me donne l'impression de passer de la gaieté à la tristesse, tout simplement!

Je ne vois pas d'explication raisonnable, seulement tenter de contrôler, du mieux possible, son humeur en tentant de ne pas trop sombrer!

Nous avons tous de ces moments que tu décris, ne t'en inquiète pas, ou alors, si tu es trop angoissé, parles-en à un toubib 

Bonne journée 

@Ludwige Ne serait ce pas ce que dit ta signature ?

Par conséquent, tu es obligé de nous parler de ce petit verbe "croire". Enfin si tu veux, bien entendu.

Il y a 1 heure, Axo lotl a dit :

la communication, c'est pas votre truc.

Si si !

Il y a 1 heure, Anna Purna a dit :

C'est pas le contraire ??? 

Non non. Je m'explique "

Anna Purna propose de laisser faire le temps. C'est vrai mais l'Annapurna c'est un peu haut (8091m).  

Axo lotl propose d'aller lire sur internet. Internet nous fait voyager vite même si les connaissances qui s'y trouvent sont un peu loin (physiquement) de nous.  

( A partir de là je veux bien qu'on laisse respirer le sujet ) ( svp)

putain j'ai vérifié ce que j'avais écrit, j'ai eu peur d'être alzheimer. Où ai je proposé d'aller lire sur le net ? je vous ai dit que d'après les études et les articles que j'ai survolé, ce que vous décrivez est lié au fonctionnement du cerveau.

donc soit vous avez dû mal à comprendre ce qu'on vous écrit, soit vous jouez au plus malin et ça va vite être bien gonflant.

il y a 2 minutes, Blue Gecko a dit :

@Ludwige Ne serait ce pas ce que dit ta signature ?

Par conséquent, tu es obligé de nous parler de ce petit verbe "croire". Enfin si tu veux, bien entendu.

CROIRE, ce verbe d'Aragon représente pour moi, effectivement, le sens que je m'évertue de suivre dans ma vie et qui signifie, vouloir seulement se rappeler des bons moments vécus, en occultant les mauvais!

et il n'y a aucune ambiguïté avec une notion religieuse, puisque je suis athée! 

il y a 19 minutes, Axo lotl a dit :

putain j'ai vérifié ce que j'avais écrit, j'ai eu peur d'être alzheimer. Où ai je proposé d'aller lire sur le net ? je vous ai dit que d'après les études et les articles que j'ai survolé, ce que vous décrivez est lié au fonctionnement du cerveau.

donc soit vous avez dû mal à comprendre ce qu'on vous écrit, soit vous jouez au plus malin et ça va vite être bien gonflant.

Bon déjà, au départ, j'ai mal compris. Je croyais que tu proposais d'aller lire sur le net pour aller mieux quand on se sent déprimé. De là j'ai fait une blague (deux même), mais en fait je voulais juste alléger le sujet sans vous répondre (à tous les deux). Pour le coup c'est râpé. Mais je t'assure, je ne me suis moqué ni de toi ni de Anna Purna. Excuse moi et tant pis pour le sujet !

à l’instant, Blue Gecko a dit :

Bon déjà, au départ, j'ai mal compris. Je croyais que tu proposais d'aller lire sur le net pour aller mieux quand on se sent déprimé. De là j'ai fait une blague (deux même), mais en fait je voulais juste laisser aller le sujet sans vous répondre à tous les deux. Pour le coup c'est râpé. Mais je t'assure, je ne me suis moqué ni de toi ni de Anna Purna. Excuse moi et tant pis pour le sujet !

ok, pas de soucis. une autre fois peut être

il y a 3 minutes, Axo lotl a dit :

ok, pas de soucis. une autre fois peut être

Il y a 4 heures, Blue Gecko a dit :

( sujet compliqué, atypique et qui pique )

Je veux vous poser une question par rapport à quelque chose de particulièrement impressionnant que j'ai pu remarquer assez souvent.

Comment ce fait il que lorsque nous sommes en bas, au fond du trou, dans un état plutôt maussade et peu joyeux, parfois inconfortable, comment ce fait il que nous n'ayons presque plus conscience de ce qui nous plait et qui peut être bien dans la vie ? Tout devient sombre et la lumière est nulle part pour nous montrer le chemin et nous aider à remonter.

Et, de la même manière, comment ce fait il que dans les moments de plénitude, de lumière et de cohésion, nous n'ayons que très difficilement conscience de ce qui peut être triste et douloureux dans la vie ?

Je vous demande. C'est quoi ? A quoi cela peut il être du ? Quelle est l'explication raisonnable à ceci ?

il est normal que quant on est au fond du trou on voie rien de bien pour nous aider à remonter c'est se dire que tout s'arrange garder espoir et essayer de penser à des chose bien pour sortir sa tête de l'eau ne pas se laisser aller et trouver cette force en nous qui nous aide à remonter pour faire face à cette épreuve...

Il y a 3 heures, Axo lotl a dit :

Des lectures sur le net, c'est lié au fonctionnement du cerveau qui dysfonctionne durant la maladie 

Donc tu penses à un disfonctionnement du cerveau. Si nous n'arrivons plus à nous rappeler du bonheur que nous avons vécu quand nous sommes dans le pétrin, c'est à cause des hormones. Des sites il y en a quand même beaucoup, mais je comprends que ton explication est médicale. Les médecins (je ne sais pas, je ne suis pas allé lire) ont sans doute plus ou moins tous les même résultats de recherche.

Est ce vraiment la seule explication que tu veuilles donner ou bien s'agissait il de la plus importante, de la plus influente à tes yeux ?