Pourquoi on survit alors qu'on souffre

Bonjour, alors je me une question assez vraie pourquoi on continue à survivre alors qu'on souffre. Des thèmes tabous restent tabous comme si on y pouvait rien je pense que l'homme a une tendance tragédique à subir les tristes lois naturelles. On est des hommes et femmes malheureux et heureux et on continue à vivre avec cette fatalité qui dérange pas trop en général et tant qu'on fait parti des malheureux on y pense pas on évite d'y penser alors qu'il y'a qu'un fil qui peut nous faire mettre du côté des malheureux, certains me diront parce que c'est surmontable et ça fortifie mais quand ça ne le fait pas ça pousse à la dépression, à la mutilation ou au suicide. Alors pourquoi cette survie obsessionnelle on est pas égaux dans le bonheur c'est évident et c'est un tabou en même temps. 

La survie est génétique, c'est un instinct inné.

Le ressenti de la douleur est relatif. Pour oublier une rage de dents, les Spartiates mettaient un caillou dans leur chaussure. Les femmes et les hommes supportent des douleurs différentes.

La douleur est un signal qui alerte sur une anomalie, une maladie. Sans douleur, on ne vivrait pas longtemps. Asseyez-vous sur la chaudière....

Si l'on souffre, on espère faire cesser.

Si l'on ne souffre pas, on craint de souffrir plus tard.

il y a une heure, BoBoBoBo a dit :

Bonjour, alors je me une question assez vraie pourquoi on continue à survivre alors qu'on souffre. Des thèmes tabous restent tabous comme si on y pouvait rien je pense que l'homme a une tendance tragédique à subir les tristes lois naturelles. On est des hommes et femmes malheureux et heureux et on continue à vivre avec cette fatalité qui dérange pas trop en général et tant qu'on fait parti des malheureux on y pense pas on évite d'y penser alors qu'il y'a qu'un fil qui peut nous faire mettre du côté des malheureux, certains me diront parce que c'est surmontable et ça fortifie mais quand ça ne le fait pas ça pousse à la dépression, à la mutilation ou au suicide. Alors pourquoi cette survie obsessionnelle on est pas égaux dans le bonheur c'est évident et c'est un tabou en même temps. 

L'espoir parfois

Il y a 3 heures, BoBoBoBo a dit :

Bonjour, alors je me une question assez vraie pourquoi on continue à survivre alors qu'on souffre. Des thèmes tabous restent tabous comme si on y pouvait rien je pense que l'homme a une tendance tragédique à subir les tristes lois naturelles. On est des hommes et femmes malheureux et heureux et on continue à vivre avec cette fatalité qui dérange pas trop en général et tant qu'on fait parti des malheureux on y pense pas on évite d'y penser alors qu'il y'a qu'un fil qui peut nous faire mettre du côté des malheureux, certains me diront parce que c'est surmontable et ça fortifie mais quand ça ne le fait pas ça pousse à la dépression, à la mutilation ou au suicide. Alors pourquoi cette survie obsessionnelle on est pas égaux dans le bonheur c'est évident et c'est un tabou en même temps. 

Si l'on devait mourir ou se laisser à mourir ou encore provoquer notre propre mort à chaque fois qu'une souffrance physique ou psychique apparaissait en nous, il n'y aurait plus personne sur cette terre.

Il y a 2 heures, BoBoBoBo a dit :

pourquoi on continue à survivre alors qu'on souffre.

Tout dépend de la nature de la souffrance, si elle est physique ou psychique.

Il y a 2 heures, BoBoBoBo a dit :

(...) On est des hommes et femmes malheureux et heureux et on continue à vivre avec cette fatalité qui dérange pas trop en général et tant qu'on fait parti des malheureux on y pense pas on évite d'y penser alors qu'il y'a qu'un fil qui peut nous faire mettre du côté des malheureux, certains me diront parce que c'est surmontable et ça fortifie (...)

Au bout de chaque tunnel si long soit-il il y a une lueur qui a pour nom: espoir. Si l'on ne croit pas en cela, on est fichu et on se laissera sombrer dans la désespérance.

il y a 49 minutes, Passiflore a dit :

 

Au bout de chaque tunnel si long soit-il il y a une lueur qui a pour nom: espoir. Si l'on ne croit pas en cela, on est fichu et on se laissera sombrer dans la désespérance.

Cesser d'espérer est le seul chemin qui mène à la lumière. 

Ainsi, si je ne crois pas plus à la lueur au bout du tunnel qu'aux raisons de ma souffrance, c'est pour mieux voir autour de moi. Le tunnel est une vision de l'esprit qui n'est pas conforme au réel ; il est attente et projection là où le réel est ici et maintenant. 

il y a 4 minutes, Zerethoustre a dit :

Cesser d'espérer est le seul chemin qui mène à la lumière.

A chacun son mode de pensée et celui-ci n'est pas le mien.

il y a 4 minutes, Zerethoustre a dit :

Ainsi, si je ne crois pas plus à la lueur au bout du tunnel qu'aux raisons de ma souffrance, c'est pour mieux voir autour de moi. Le tunnel est une vision de l'esprit qui n'est pas conforme au réel ; il est attente et projection là où le réel est ici et maintenant. 

En principe on sait les raisons de sa souffrance et comme dit un proverbe bien connu: "l'espoir fait vivre".

Il y a 1 heure, Passiflore a dit :

 

En principe on sait les raisons de sa souffrance et comme dit un proverbe bien connu: "l'espoir fait vivre".

Je propose ce proverbe :''l'espoir tue''.

Aux  U.S.A.  par exemple , certains condamnés ont passés 20 ans dans le couloir de la mort  !  

Il y a 17 heures, BoBoBoBo a dit :

Bonjour, alors je me une question assez vraie pourquoi on continue à survivre alors qu'on souffre. Des thèmes tabous restent tabous comme si on y pouvait rien je pense que l'homme a une tendance tragédique à subir les tristes lois naturelles. On est des hommes et femmes malheureux et heureux et on continue à vivre avec cette fatalité qui dérange pas trop en général et tant qu'on fait parti des malheureux on y pense pas on évite d'y penser alors qu'il y'a qu'un fil qui peut nous faire mettre du côté des malheureux, certains me diront parce que c'est surmontable et ça fortifie mais quand ça ne le fait pas ça pousse à la dépression, à la mutilation ou au suicide. Alors pourquoi cette survie obsessionnelle on est pas égaux dans le bonheur c'est évident et c'est un tabou en même temps. 

Bonjour BoBoBoBo, 

De quelle fatalité parles-tu ? Mourir ? Ou du fait que certaines personnes semblent plus heureuses que nous ? 

Ceci dit, le bonheur et le malheur j'ignore ce que c'est. Je ne connais que le bien-être ou le mal-être. 

Il y a souffrance parce qu'il y a mal-être, mais il y a aussi souffrance parce qu'il y a idée du bonheur et idée du malheur qui sont espoir et complaisance. Tu enlèves la deuxième raison de nos souffrances et il ne reste plus beaucoup de raisons de souffrir.