L'épouvantail.

La terre labourée s' étend au delà de la vue.

Derrière  la fenêtre une araignée refait sa toile  sous le vent d' est. 

Les haillons comme les fibres du chapeau de paille se défont,  le vieil épouvantail monte la garde que des choucas ne respectent plus.

Vieil homme décharné  qui mesure le temps qui passe. Droit comme les sillons qui n' en finissent pas, ombre longue du jour finissant .

Seul.

Toute la solitude du temps qui s' étire. 

Entre "finissant" et "est" faudra m'expliquer où est la rime.

Autant je la voyais, avec "vue" et "plus", une rime embrassée de toute beauté, autant pour le coup le reste, et le titre est "l'épouvantail". 

il y a une heure, moi et pas moi a dit :

Entre "finissant" et "est" faudra m'expliquer où est la rime.

Autant je la voyais, avec "vue" et "plus", une rime embrassée de toute beauté, autant pour le coup le reste, et le titre est "l'épouvantail". 

Je n'ai pas fait de rime.

Juste une image personnelle. 

 A te lire  ,      on se sent pénétré de l'insignifiance des choses ...............

il y a 18 minutes, G2LLOQ a dit :

 A te lire  ,      on se sent pénétré de l'insignifiance des choses ...............

Tu me fais peur...

il y a 1 minute, PASCOU a dit :

Tu me fais peur...

C'est une phrase littéraire de Charles de Gaulle , dans ses mémoires  !  

à l’instant, G2LLOQ a dit :

C'est une phrase littéraire de Charles de Gaulle , dans ses mémoires  !  

Ah! Je n' ai pas plusieurs mémoires comme lui.

il y a 2 minutes, PASCOU a dit :

Ah! Je n' ai pas plusieurs mémoires comme lui.

Quand je vois le soleil se coucher sur Colombey , je me sens pénétré de l'insignifiance des choses .......       a peu près cela de mémoire !

il y a 3 minutes, PASCOU a dit :

Ah! Je n' ai pas plusieurs mémoires comme lui.

En fait je pensais à  ceux qui n' ont plus d' horizon ceux qui sont dans la toile, qui ne peuvent en sortir comme cette araignée qui refait encore et encore le même  rêve qui regarde la même toile  que le vent d'est efface .

Qui ne sortent plus de leur tête.

il y a 1 minute, G2LLOQ a dit :

Quand je vois le soleil se coucher sur Colombey , je me sens pénétré de l'insignifiance des choses .......       a peu près cela de mémoire !

Oui, c'est  joli et certainement une image sincère comme celles qu' on a parfois.

Son épouvantail ..

Les pensées sont difficiles a exprimer.  

La phrase exacte

https://www.academie-francaise.fr/charles-de-gaulle-ecrivain-seance-solennelle-pour-le-centenaire-du-general-de-gaulle-0#:~:text=« Je vois la nuit couvrir,l'insignifiance des choses. »

Enfin, qui d’autre que le poète, au terme de ces mêmes Mémoires de guerre, se décrira ainsi, méditant le soir dans le parc de Colombe :

« Je vois la nuit couvrir le paysage. Ensuite, regardant les étoiles, je me pénètre de l’insignifiance des choses. »

Quand Charles de Gaulle se fit écrivain, dès le...

il y a une heure, PASCOU a dit :

Je n'ai pas fait de rime.

Juste une image personnelle. 

 

Tu deviens littéraire maintenant pascounet , il va être temps de retirer le plâtre et aller courir comme un lapin , ça devient angoissant de te voir comme ça 

il y a 1 minute, Gepetto a dit :

tu deviens littéraire m..

..de tu veux dire mon Gepetto.?

il y a 1 minute, PASCOU a dit :

..de tu veux dire mon Gepetto.?

Mon gros doigt a ripé , la suite derrière 

il y a 1 minute, Gepetto a dit :

Mon gros doigt a ripé , la suite derrière 

Tu as raison, je compte les jours avec ce fil à  la patte, d'un autre coté je me rends compte de ce que vivent les handicapés  au quotidien  sans espoir d'amélioration. 

Il y  a quelques jours  je me suis installé  à  une terrasse au soleil, j' ai vu une jeune femme  handicapée, ça  m' a touché/ coulé deux mondes parallèles.

Mais toi tu es insensible mon Gepetto..

Il y a 13 heures, PASCOU a dit :

La terre labourée..

Sans vouloir donner des leçons, il existe le mot "guéret" pour dire la même chose.

Notre langue est riche que si on s'en sert et qu'on n'oublie pas les mots qui font cette richesse.

« J'aime un gros bœuf dont le pas lent et lourd,

En sillonnant un arpent dans un jour,

Forme un guéret où mes épis vont naître »,

Voltaire, Pauvre Diable.

Il y a 11 heures, PASCOU a dit :

Tu as raison, je compte les jours avec ce fil à  la patte, d'un autre coté je me rends compte de ce que vivent les handicapés  au quotidien  sans espoir d'amélioration. 

Il y  a quelques jours  je me suis installé  à  une terrasse au soleil, j' ai vu une jeune femme  handicapée, ça  m' a touché/ coulé deux mondes parallèles.

Mais toi tu es insensible mon Gepetto..

 

 

je comprend ta douleur , mais j'y participe pas et j'en ai pas  envie 

ça te va là ?  

il y a une heure, Gepetto a dit :

je comprend ta douleur , mais j'y participe pas et j'en ai pas  envie 

ça te va là ?  

Merci quand même. 

Il y a 22 heures, moi et pas moi a dit :

Entre "finissant" et "est" faudra m'expliquer où est la rime.

Autant je la voyais, avec "vue" et "plus", une rime embrassée de toute beauté, autant pour le coup le reste, et le titre est "l'épouvantail". 

J'avais même pas remarqué qu'il y avait des rimes : j'ai juste été sensible à l'ambiance, au ressenti. Que j'ai ressenti ! 

Il y a 8 heures, Gepetto a dit :

je comprend ta douleur , mais j'y participe pas et j'en ai pas  envie 

ça te va là ?  

A c'est malin ! RESPECT !

Bordel de merde : c'est de la poésie = de la vraie vie ! 

(J'avais pas pigé que tu rigolais pour autre chose...)

Il y a 19 heures, PASCOU a dit :

Les pensées sont difficiles a exprimer.  

La phrase exacte

 

https://www.academie-francaise.fr/charles-de-gaulle-ecrivain-seance-solennelle-pour-le-centenaire-du-general-de-gaulle-0#:~:text=« Je vois la nuit couvrir,l'insignifiance des choses. »

 

Enfin, qui d’autre que le poète, au terme de ces mêmes Mémoires de guerre, se décrira ainsi, méditant le soir dans le parc de Colombe :

« Je vois la nuit couvrir le paysage. Ensuite, regardant les étoiles, je me pénètre de l’insignifiance des choses. »

 

Quand Charles de Gaulle se fit écrivain, dès le...

 

Un jour j'ai commencé à lire De Gaulle.

Première phrase :

 "Je me suis toujours fait une certaine idée de la France".

 J'ai fermé le bouquin ! Direct.

Maintenant je lirais sûrement deux ou trois phrases de plus...

AVANT DE FERMER LE LIVRE !

(La France oui, mais les français, jamais ?

Et la France alors, sans les français ; c'est une faune sauvage ? Une Géologie ?)

"Voici Messieurs Mesdames, le bouquetin FRANCAIS !"

Le seul, l'unique, le vrai, le bouquetin FRANCAIS !

Il a trois poil bistres au cul que n'ont jamais eu les bouquetins espagnols

ni les bouquetins allemands !

Et la grive gourmade ? LA GRIVE FRANCAISE, MONSIEUR ?!

Qui fait "Roui Roui" à la tombée du jour, c'est rien pour vous ?

ET la col vert des Dombes ? Les grenouilles des étangs ?

Et notre "COCORICO ?

Parlons-en !

A-t-on jamais vu en FRANCE...  EN FRANCE, (je dis bien), un coq qui fasse "Cock-a-doodle-doo" ?

Voire Quiquiiriqui ?? Qui qui rit qui qui rit pas ?

RIDICULE !!!

Non, Madame ! Seul le coq français sait rester digne :

 COCORICO !

Il y a 13 heures, Phylou a dit :

Sans vouloir donner des leçons, il existe le mot "guéret" pour dire la même chose.

Notre langue est riche que si on s'en sert et qu'on n'oublie pas les mots qui font cette richesse.

« J'aime un gros bœuf dont le pas lent et lourd,

En sillonnant un arpent dans un jour,

Forme un guéret où mes épis vont naître »,

Voltaire, Pauvre Diable.

Je connais gueret dans l 'Allier je  crois.

Mais je ne savais pas.

merci.