Qu'elle est belle dans sa robe de mariée

Bonjour

- qu'elle est belle dans sa robe de mariée que j'aurai voulue porter .

-Mais ma chérie , tu était enceinte et cela se voyait beaucoup trop avec ton gros ventre voyons .

- Tu sait , mon chéri ,j'ai l'impression d'avoir brûlée les étapes dans m'a vie? j'ai connue d'autres hommes avant toi , des beaux des grands , des intellos et puis toi ...toi , pourquoi toi ?tu avait quelque chose d'indéfinissable de charme mais aussi de protection , tu à sue me parler , me rassurer et puis , le temps passe vite les plus belles fleurs se fanes un jour , lorsque l'on se regarde dans une glace et l'on se demande ou son passées mes vingt ans ?

- Bien sur m'à chérie , quand je t'ai connue , j'avais déja roulé ma bosse , de femmes en femmes , d'amours bidon , genre : je t'aime , moi non plus et le temps passe et on se demande si l'amour de notre vie existe quelque part ?

Puis le destin nous à réunis un jour de pluie , tu avais froid et était trempée , je t'ai offert l'abris de mon imperméable , tu à hésitée puis tu à pris le risque qu'un inconnu t'offrait .

Nous nous somme regardé et sourit ,nos yeux voyaient sans comprendre mais nos coeurs déja à l'unissons eux , avaient compris .

Paul embrasse sa femme tendrement , puis ils regagnent  péniblement leurs vieille voiture d'un autre âge , pas aussi âgée qu'eux , mais toujours aussi fidèle malgré le temps implacable qui ne s'arrête jamais et emporte tout vers le néant.

c'est une fiction 

Bonne journée

il y a 10 minutes, le merle a dit :

c'est une fiction 

C'est une fiction aussi :

La nuit était tombée depuis environ une demi-heure quand une voiture roulant doucement s'est approchée de la ruelle entourée de buissons.

Le conducteur est sorti, laissant les phares allumés, a levé le capot et a fait mine de regarder dans le moteur tandis qu'un homme arrivant en sens inverse s'apprêtait à s'engager dans la ruelle.

Par politesse plus que par désir d'aider, l'homme a interpelé le conducteur en lui demandant si tout allait bien.

Pendant ce temps, les portières arrières de l'automobile qui avaient été entrouvertes très discrètement, laissèrent passer deux individus portant chapeau et écharpe.

A eux trois, ils se saisirent de l'homme, lui faisant une clé de bras et le bâillonnant, puis l'engouffrèrent tant bien que mal dans leur véhicule.

Démarrant en trombe et roulant à vive allure, rien ni personne n'avait été témoin de l'enlèvement.

Les kidnappeurs en possession de Charles, puisque c'est ainsi qu'il s'appelle, commencèrent par lui demander de se tenir tranquille sinon "c'est une balle dans la tête direct". Charles acquiesce. Le trajet est long, très long, les hommes se partagent un sandwich, font passer une gourde, puis un thermos de café dont Charles est privé. Celui-ci a mal au dos, sa position est inconfortable, mais dès qu'il veut bouger, les deux autres resserrent leur étreinte.

Grâce à un mot de passe et à une complicité, l'étrange convoi passe la frontière. Au bout de plusieurs heures, l'équipage se retrouve en forêt dans les alentours de Paris.

Charles est descendu sans ménagement et emmené dans une sorte de cabane où attendent trois autres personnes. Il a les yeux bandés et ne peut donc pas reconnaître qui que ce soit.

On l'installe sur un siège, on le ligote. On lui ôte son bandeau et son bâillon et il fait désormais face à six hommes érigés en tribunal.

A ses questions, aucune réponse. Les hommes parlent entre eux comme s'il n'existait pas. On lui donne malgré tout du pain et du fromage ainsi qu'un verre de vin sur lesquels il se jette avidement.

Le procès commence.

Charles, le jour de son mariage avec Elise, ne s'est pas présenté. Il a pris la poudre d'escampette. Les invités étaient arrivés, le traiteur commandé, le maire en écharpe, le curé en soutane et la marié, en mariée, mais de mari, point. La journée s'est finie en colères et en pleurs. Elise ne s'en est jamais remise.

Le père d'Elise a donc décidé de venger sa fille et durant des années il a recherché Charles, jusqu'à le retrouver bien loin, dans une contrée étrangère. Avec ses amis, maintenant qu'il tient cet olibrius, il va enfin pouvoir châtier ce mauvais plaisant.

Après quelques joutes verbales, Charles se défend comme il peut. Il explique que le mariage lui a fait peur avec ses contraintes, la trouille de ne plus pouvoir sortir avec les copains, et puis finis les jours tranquilles et les nuits paisibles puisqu'Elise veut des enfants, tout ça l'a pris d'un coup, l'a déprimé. Jusqu'au moment fatidique il a essayé de résister à la tentation de tout plaquer, mais le moment venu il s'est sauvé et il ne le regrette pas, oh non. A lui la vie qu'il s'est octroyée. Le boulot, oui un peu pour subvenir à son entretien, les copines mais pas celles qui s'attachent, les copains pour faire la bringue parfois, pour aller à la pêche les autres fois.

Tous les hommes présents sont ébahis par les accents de vérité et de sincérité de Charles ; tous sans exception l'envient.

Après forces félicitations, les sept hommes se mettent à table, rient, se délectent de la bonne blague finalement faite à leur nouveau copain et la soirée se termine en embrassades, en maudissant le mariage et ses inconvénients.

Mireille Mathieu  chantait 

Qu'elle est belle , qu'elle est belle , dans sa robe de mariée 

j'aurais tant voulu porter ,  la mème ..............

Il y a 5 heures, le merle a dit :

Bonjour

- qu'elle est belle dans sa robe de mariée que j'aurai voulue porter .

-Mais ma chérie , tu était enceinte et cela se voyait beaucoup trop avec ton gros ventre voyons .

- Tu sait , mon chéri ,j'ai l'impression d'avoir brûlée les étapes dans m'a vie? j'ai connue d'autres hommes avant toi , des beaux des grands , des intellos et puis toi ...toi , pourquoi toi ?tu avait quelque chose d'indéfinissable de charme mais aussi de protection , tu à sue me parler , me rassurer et puis , le temps passe vite les plus belles fleurs se fanes un jour , lorsque l'on se regarde dans une glace et l'on se demande ou son passées mes vingt ans ?

- Bien sur m'à chérie , quand je t'ai connue , j'avais déja roulé ma bosse , de femmes en femmes , d'amours bidon , genre : je t'aime , moi non plus et le temps passe et on se demande si l'amour de notre vie existe quelque part ?

Puis le destin nous à réunis un jour de pluie , tu avais froid et était trempée , je t'ai offert l'abris de mon imperméable , tu à hésitée puis tu à pris le risque qu'un inconnu t'offrait .

Nous nous somme regardé et sourit ,nos yeux voyaient sans comprendre mais nos coeurs déja à l'unissons eux , avaient compris .

Paul embrasse sa femme tendrement , puis ils regagnent  péniblement leurs vieille voiture d'un autre âge , pas aussi âgée qu'eux , mais toujours aussi fidèle malgré le temps implacable qui ne s'arrête jamais et emporte tout vers le néant.

 

c'est une fiction 

Bonne journée

Dommage pour les fautes d'orthographe, 18.... ça me gâche un peu le plaisir.

il y a une heure, MadeleinedeProut a dit :

Dommage pour les fautes d'orthographe, 18.... ça me gâche un peu le plaisir.

18   !!    pas mal ............

Il y a 6 heures, G2LLOQ a dit :

Mireille Mathieu  chantait 

Qu'elle est belle , qu'elle est belle , dans sa robe de mariée 

j'aurais tant voulu porter ,  la mème ..............

Bonjour

C'est cela même , j'ai repris les mots de cette chanson pour le titre de l'histoire .

les fautes d'orthographe étaient en option et gratuite donc ? je m'en excuse .

est ce que ce bout d' histoire à plus malgré tout à certains - certaines un peut il le semble?

Bonne soirée