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Émission La grande Librairie : topic hebdomadaire

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Crève

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Axo lotl Membre 19 195 messages
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Charlotte des georges m'a fait pleurer. Ah ces histoires de famille...

Edouard Louis, "Avoir des rêves trop grands". quel homme touchant.

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Beebee Membre 6 235 messages
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Il y a 10 heures, Axo lotl a dit :

Ecouter Anne-Dauphine Julliand, que d'émotion, que c'est beau, que c'est triste.

J'ai trouvé passionnant la diversité des réactions des écrivains face à un drame familial : une force impressionnante de sérénité chez Anne-Dauphine Julliand, un humour désespéré chez Riad Sattouf, juste du désespoir (jamais aucun humour) chez Edouard Louis.

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Axo lotl Membre 19 195 messages
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à l’instant, Beebee a dit :

J'ai trouvé passionnant la diversité des réactions des écrivains face à un drame familial : une force impressionnante de sérénité chez Anne-Dauphine Julliand, un humour désespéré chez Riad Sattouf, juste du désespoir (jamais aucun humour) chez Edouard Louis.

Oui ce qui démontre bien qu'une famille ne fait pas l'autre, qu'une douleur est vécue, dépassée ou pas différemment selon les gens, ce qu'ils ont vecu, avec ce qu'ils sont aussi. Chacun d'eux m'a profondément touché. C'était une émission intéressante et forte sur le plan émotionnel. 

Edouard Louis me touche toujours car il a grandi dans la violence physique. Je suis désormais convaincu que ça laisse des traces indélébiles quoiqu'on fasse.

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Axo lotl Membre 19 195 messages
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Mercredi 23 octobre 2024, Augustin Trapenard recevra : le sociologue Edgar Morin pour Cheminer vers l’essentiel (Albin Michel), l'écrivain et scénariste Olivier Norek pour Les Guerriers de l’hiver (Michel Lafon), le journaliste et écrivain Jérôme Garcin pour Des mots et des actes (Gallimard), Emmanuelle Hutin pour son premier roman Les Francs-tireuses (Anne Carrière). Augustin est aussi allé à la rencontre de l'écrivain et universitaire new-yorkais d'origine portoricaine Justin Torres pour parler de son nouveau livre Blackouts (éditons de L'Olivier).

https://www.placedeslibraires.fr/list-164178/dans-la-grande-librairie-du-mercredi-23-octobre-2024/

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Axo lotl Membre 19 195 messages
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Ecouter, voir Luz est bouleversant.

Ecouter Edgar Morin, fait tellement de bien, de savoir que des esprits aussi brillants, appellent à résister contre tout et tous ceux qui attaquent la liberté, "résister à l'hystérie collective". ça éclaire le bon chemin. Résister contre l'oubli. l'oubli c'est l'histoire qui se répète.

Justin Torrès m'a interpelé. Il m'a donné envie de le lire.

Blackouts
Justin Torres
Et là, j'ai senti , ou perçu, dans le pourpre du ciel sourd, que nous étions dans l'opposition la plus intense de la nuit, ce moment où il est difficile de croire que le jour surgira de nouveau.

Modifié par Axo lotl
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Axo lotl Membre 19 195 messages
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Mercredi : une émission qui promet encore de bons moments et de l'émotion

La Grande Librairie du Mercredi 30 octobre 2024 : Agnès Jaoui, Pascal Chabot, Marianne Chaillan, Étienne Kern, Valérie Perrin & Richard Ford


Qu’est-ce qui donne du sens à votre vie ? Cette semaine, trêve de doutes et d’égarements : La Grande Librairie revient à l’essentiel ! Six auteurs dialoguent joyeusement sur le chemin, la signification et la poésie de nos existences.

 

https://www.leslibraires.fr/dossiers/la-grande-librairie-du-mercredi-30-octobre-2024-agnes-jaoui-pascal-chabot-marianne-chaillan-etienne-kern-valerie-perrin-richard-ford/

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Axo lotl Membre 19 195 messages
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Quelle Amérique aujourd’hui et demain ? La parole aux écrivains ! Cette semaine, au lendemain de l’élection présidentielle américaine, La Grande Librairie leur donne voix au chapitre dans une émission spéciale qui promet d’être épique !

https://actualitte.com/article/120126/television/la-grande-librairie-bienvenue-en-amerique

Bravo

 Le prix Goncourt récompense Kamel Daoud pour « Houris »

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Beebee Membre 6 235 messages
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Il y a 7 heures, Axo lotl a dit :

Quelle Amérique aujourd’hui et demain ? La parole aux écrivains ! Cette semaine, au lendemain de l’élection présidentielle américaine, La Grande Librairie leur donne voix au chapitre dans une émission spéciale qui promet d’être épique !

https://actualitte.com/article/120126/television/la-grande-librairie-bienvenue-en-amerique

Bravo

 Le prix Goncourt récompense Kamel Daoud pour « Houris »

OMG si Trump passe.....

Je viens de lire Et c'est ainsi que nous vivrons de Douglas Kennedy, une dystopie se déroulant en 2045 dans une Amérique qui a subi une nouvelle Sécession. Les Etats des deux côtes forment la RU, une république où la liberté de mœurs est totale mais la surveillance constante. Entre se trouve la CU, une confédération où divorce, avortement et changement de sexe sont interdits et où les valeurs chrétiennes font loi.

Un constat effrayant.

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Axo lotl Membre 19 195 messages
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il y a 2 minutes, Beebee a dit :

OMG si Trump passe.....

Je viens de lire Et c'est ainsi que nous vivrons de Douglas Kennedy, une dystopie se déroulant en 2045 dans une Amérique qui a subi une nouvelle Sécession. Les Etats des deux côtes forment la RU, une république où la liberté de mœurs est totale mais la surveillance constante. Entre se trouve la CU, une confédération où divorce, avortement et changement de sexe sont interdits et où les valeurs chrétiennes font loi.

Un constat effrayant.

oui, Trump est un retour en arrière où la violence, l'enfermement des femmes sera la loi, c'est effrayant. Espérons que les américains feront le bon choix.

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  • 2 mois après...
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Axo lotl Membre 19 195 messages
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Une nouvelle année de lecture s'amorce :)

 

 

Dans la Grande Librairie du mercredi 8 janvier 2025 , Augustin Trapenard accueille Vanessa Springora, pour « Patronyme », publié chez Grasset ; Lola Lafon, pour « Il n’a jamais été trop tard », édité chez Stock ; Constantin Alexandrakis, pour « L’hospitalité du démon », paru chez Verticales/Gallimard ; Sabri Louatah, pour « Safari », publié chez Flammarion ; Clothilde Salelles, pour « Nos insomnies », édité chez Gallimard.

Pour les dix ans du tragique anniversaire de l’attentat de Charlie Hebdo, Augustin Trapenard a rencontré Riss et Richard Malka dans un lieu chargé de mémoire, temple des valeurs républicaines : le Panthéon.

https://www.alalettre.com/la-grande-librairie-du-mercredi-8-janvier/

 

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Beebee Membre 6 235 messages
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Il y a 2 heures, Axo lotl a dit :

Une nouvelle année de lecture s'amorce :)

Les affaires reprennent. Top!

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Axo lotl Membre 19 195 messages
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il y a 10 minutes, Beebee a dit :

Les affaires reprennent. Top!

carrément, c'est con, mais augustin et sa passion des auteurs me manquaient :)

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Membre, Posté(e)
Axo lotl Membre 19 195 messages
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quel bonheur de retrouver cette émission, ces discussions passionnées et passionnantes. Et aujourd'hui cette question du père, de la filiation, très intéressant, qui amène à interroger son propre père.

Constantin Alexandrakis est un homme que je découvre et qui me marque. Il m'a mis une grande claque, je ne sais pas si je vais oser lire son livre, mais j'espère pouvoir le faire.

Modifié par Axo lotl
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Membre, 46ans Posté(e)
Beebee Membre 6 235 messages
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Il y a 10 heures, Axo lotl a dit :

quel bonheur de retrouver cette émission, ces discussions passionnées et passionnantes. Et aujourd'hui cette question du père, de la filiation, très intéressant, qui amène à interroger son propre père.

Constantin Alexandrakis est un homme que je découvre et qui me marque. Il m'a mis une grande claque, je ne sais pas si je vais oser lire son livre, mais j'espère pouvoir le faire.

Depuis l'année dernière, je n'ai plus de crainte sur ces sujets. Ce que je peux lire ne sera jamais pire que ce que ces enfants ont subi.

 

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Membre, 42ans Posté(e)
Crève Membre 3 548 messages
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Le 08/01/2025 à 21:58, Axo lotl a dit :

Et aujourd'hui cette question du père, de la filiation, très intéressant, qui amène à interroger son propre père.

 

Frédéric Beigbeder sort un un récit, Un Homme seul, une biographie de son père. Je trouve au contraire que la littérature blanche est bien vide, et que faire un livre sur ses parents pour les étalages des librairies, c'est nombriliste, n'avoir rien à dire sur le monde qui nous entoure. Interroger son père, oui, mais le proposer à la littérature, bof bof, le proposer à ses propres enfants, d'accord, pour savoir qui était leur grand-père. Mais en faire étalage... je trouve qu'il y a bien plus de sujets plus passionnants, plus brûlants, à notre époque.

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Axo lotl Membre 19 195 messages
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il y a 18 minutes, Crève a dit :

Frédéric Beigbeder sort un un récit, Un Homme seul, une biographie de son père. Je trouve au contraire que la littérature blanche est bien vide, et que faire un livre sur ses parents pour les étalages des librairies, c'est nombriliste, n'avoir rien à dire sur le monde qui nous entoure. Interroger son père, oui, mais le proposer à la littérature, bof bof, le proposer à ses propres enfants, d'accord, pour savoir qui était leur grand-père. Mais en faire étalage... je trouve qu'il y a bien plus de sujets plus passionnants, plus brûlants, à notre époque.

je ne serais pas d'accord avec votre point de vue, au contraire ce type de livres est très important pour l'auteur mais pour tous les gens qui ont des histoires ou des questionnements similaires mais aussi pour faire connaitre des histoires, des problématiques que certaines personnes ne connaissent pas. les auteurs proposent quelque chose de leur vision du monde, de leur univers, de leur histoire et ça va parler à des personnes. C'est une partie de la littérature très importante au contraire.

Lorsque Vanessa Springora parle de son père et de son grand-père dans patronymes, elle ne fait pas que parler d'eux, elle évoque bien plus. (cf son témoignage dans l'émission). 

Et je ne comprends pas ce "littérature blanche" ? vous parlez de la couleur des auteurs ? si c'est le cas, qu'est ce que la couleur des auteurs vient faire là ?

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Membre, 42ans Posté(e)
Crève Membre 3 548 messages
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il y a 4 minutes, Axo lotl a dit :

je ne serais pas d'accord avec votre point de vue, au contraire ce type de livres est très important pour l'auteur mais pour tous les gens qui ont des histoires ou des questionnements similaires mais aussi pour faire connaitre des histoires, des problématiques que certaines personnes ne connaissent pas. les auteurs proposent quelque chose de leur vision du monde, de leur univers, de leur histoire et ça va parler à des personnes. C'est une partie de la littérature très importante au contraire.

Lorsque Vanessa Springora parle de son père et de son grand-père dans patronymes, elle ne fait pas que parler d'eux, elle évoque bien plus. (cf son témoignage dans l'émission). 

Et je ne comprends pas ce "littérature blanche" ? vous parlez de la couleur des auteurs ? si c'est le cas, qu'est ce que la couleur des auteurs vient faire là ?

La littérature blanche est la littérature qui n'est pas "de genre". La littérature de genre comprend la science-fiction, la fantasy, le fantastique, le roman noir, le policier, la littérature érotique, etc. Donc rien à voir avec la couleur de peau de l'auteur-rice.

Je pense au contraire que la mission d'un écrivain, est de s'excentrer, investir des personnages qui ont quelque chose à dire de leur temps, du monde contemporain. Or, prendre son parent, je trouve cela un peu une solution de facilité, en plus de vouloir glorifier sa famille.

Si le roman qui prend son parent a quelque chose à dire sur notre époque, qu'il entre résonance avec notre temps, pourquoi pas ? Mais si c'est pour laver le linge sale, se venger, si c'est une affaire personnelle, régler son oedipe, je vois pas ce que ça apporte à la littérature.

Voilà comment je vois les choses, en littérature.

 

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Axo lotl Membre 19 195 messages
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à l’instant, Crève a dit :

La littérature blanche est la littérature qui n'est pas "de genre". La littérature de genre comprend la science-fiction, la fantasy, le fantastique, le roman noir, le policier, la littérature érotique, etc. Donc rien à voir avec la couleur de peau de l'auteur-rice.

Je pense au contraire que la mission d'un écrivain, est de s'excentrer, investir des personnages qui ont quelque chose à dire de leur temps, du monde contemporain. Or, prendre son parent, je trouve cela un peu une solution de facilité, en plus de vouloir glorifier sa famille.

Si le roman qui prend son parent a quelque chose à dire sur notre époque, qu'il entre résonance avec notre temps, pourquoi pas ? Mais si c'est pour laver le linge sale, se venger, si c'est une affaire personnelle, régler son oedipe, je vois pas ce que ça apporte à la littérature.

Voilà comment je vois les choses, en littérature.

 

ok merci pour l'info, je ne connaissais pas ce terme, moi je parle de littérature intimiste.

L'écrivain n'a pas de mission, il ne nous doit rien, comme tous les artistes d'ailleurs. L'écrivain écrit sur les sujets qui lui parlent. On les lit ou pas. Je ne lis pas certains thèmes, et pourtant je sais parfaitement qu'ils vont avoir leur importance, ils sont une vision de notre époque, de notre société. En cela, ils ont tout à fait leur place sur les rayons des librairies. si c'est si facile, tenter l'expérience, rien que pour vous, écrivez ne serait que 10 pages sur une personne de votre entourage et vous verrez combien c'est compliqué au contraire d' écrire  de la littérature sur une personne de notre entourage. 

nous ne serons pas d'accord sur le sujet, ce n'est pas grave. 

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kost Membre 834 messages
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il y a 55 minutes, Crève a dit :

Frédéric Beigbeder sort un un récit, Un Homme seul, une biographie de son père. Je trouve au contraire que la littérature blanche est bien vide, et que faire un livre sur ses parents pour les étalages des librairies, c'est nombriliste, n'avoir rien à dire sur le monde qui nous entoure. Interroger son père, oui, mais le proposer à la littérature, bof bof, le proposer à ses propres enfants, d'accord, pour savoir qui était leur grand-père. Mais en faire étalage... je trouve qu'il y a bien plus de sujets plus passionnants, plus brûlants, à notre époque.

Une chance que tous les biographes ne pensent pas comme toi. La littérature n'est qu'une question de goût personnel. Ce qui plait à l'un ne plaira pas à d'autres et c'est tant mieux. Chacun est libre de trouver ce qui lui convient. Je trouve dommage de sortir un "c'est bien vide" ou des "bof bof"... que cela ne te convienne pas c'est ton droit, mais cela ne "dévalorise" pas un bouquin pour autant.

C'est dommage de vouloir ainsi expliquer qu'il y aurait LA bonne littérature et la littérature bof-bof. Ben non, en réalité il ya des livres qui rencontrent ou pas leurs lecteurs. Moi ce discours ne me convient pas tant il renvoi a ce truc ancien où l'on disait aux enfants : ah ben non, Hugo c'est de la bonne lecture, mais pas la BD. 

Un livre si il plait à un lecteur... alors la mission est remplie. Et tant pis si c'était nombriliste ou bof-bof pour d'autres. La hiérarchisation pseudo-intellectuelle ou pseudo-spécialiste est toujours dommageable parce qu'il y aura toujours ceux qui viendront expliquer quels sont les bons livres et quels sont les mauvais. Tout cela est bien trop subjectif. Que je n'aime pas un livre..... ça n'en fera jamais un mauvais livre. Juste un bouquin pas fait pour moi.

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Axo lotl Membre 19 195 messages
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Dans la Grande Librairie du mercredi 15 janvier , Augustin Trapenard accueille Pascal Quignard, pour «Trésor caché», paru chez Albin Michel ; Jeanne Benameur, pour «Vivre tout bas» et «Vers l’écriture : récit de transmission», édités chez Actes Sud ; Sarah Jollien-Fardel, pour «La longe», publié chez Sabine Wespieser Editeur, Philippe Forest pour « Et personne ne sait » (Gallimard) et Laurence Tardieu présentera « Vers la joie » (Robert Laffont).

https://www.alalettre.com/la-grande-librairie-du-mercredi-15-janvier/

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