Des femmes racontent l’alcoolisme et le combat pour en sortir

https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/franche-comte/video-j-etais-en-manque-toutes-les-2-heures-je-devais-me-lever-la-nuit-pour-boire-des-femmes-racontent-l-alcoolisme-et-le-combat-pour-en-sortir-2721842.html

TOUS les alcooliques, TOUS les drogués méritent notre compassion.

Car ils souffrent l'enfer.

Amen

Je pense qu'ils sont assez grands pour savoir faire la différence entre consommation récréative et consommation obsessionnelle. 

Parce que dès qu'on commence à y prendre goût, c'est qu'on est déjà allé trop loin. 

Mais seulement ce n'est pas à 60 ou 70 ans qu'il faut s'en rendre compte. C'était quand ils étaient plus jeunes qu'il fallait ne pas trop faire d'abus. 

Sérieusement je n'ai jamais compris pourquoi certains continuaient à consommer davantage de saloperies alors que ça les rendait à moitié mort. 

Tout ça pour dire que sans la volonté d'arrêter, on arrêtera pas ses excès. Il n'y a que soi qui peut faire changer les choses, on a beau être aidé, si on est pas prêt mentalement pour s'arrêter, on ne s'arrêtera pas. 

Les quinquas, comme les jeunes ados, tu as beau leur répéter des milliers de fois qu'il faut qu'ils fassent attention à leur santé, c'est comme si on parlait à des murs. 

Evidemment, yaka.

Et le problème est réglé.

J'ai eu à choisir entre ma famille et la bouteille (12 ans de consommation pour éviter les anti-dépresseurs et le reste). J'ai donc réussi à stopper; il n'y avait pas photo.

Pas toujours facile de comprendre , j'ai toujours aimé boire un coup , mais il y a un signal qui s'allume lorsque ça suffit  !  tout le monde ne dispose pas de cette faculté , je l'ai observé sur des proches ! d'autant qu'a un certain seuil tu ne t'amuses plus ; certains deviennent hargneux ,d'autres perdent les pédales ,il y a longtemps dans un bar j'avais besoin de monnaie , un mec bien chargé voulait me donner le double ! complètement jeté  !! , 

J'ai de la chance. Je n'aime ni les drogues ni être bourré.

Actuellement, je me shoote un peu aux médicaments. Mais c(est normal si je veux atténuer les douleurs.

il y a 46 minutes, Timo-I a dit :

Amen

Je pense qu'ils sont assez grands pour savoir faire la différence entre consommation récréative et consommation obsessionnelle. 

Parce que dès qu'on commence à y prendre goût, c'est qu'on est déjà allé trop loin. 

Mais seulement ce n'est pas à 60 ou 70 ans qu'il faut s'en rendre compte. C'était quand ils étaient plus jeunes qu'il fallait ne pas trop faire d'abus. 

Sérieusement je n'ai jamais compris pourquoi certains continuaient à consommer davantage de saloperies alors que ça les rendait à moitié mort. 

Tout ça pour dire que sans la volonté d'arrêter, on arrêtera pas ses excès. Il n'y a que soi qui peut faire changer les choses, on a beau être aidé, si on est pas prêt mentalement pour s'arrêter, on ne s'arrêtera pas. 

Les quinquas, comme les jeunes ados, tu as beau leur répéter des milliers de fois qu'il faut qu'ils fassent attention à leur santé, c'est comme si on parlait à des murs. 

L'addiction à l'alcool est puissante et insidieuse. Donc c'est facile de dire "il ne fallait pas", si c'est maintenant reconnu comme une maladie, c'est que justement, les gens qui en souffrent ne l'ont pas vu venir et nous ne sommes pas tous égaux face aux addictions.

Tous les jeunes font et ont fait la bringue, et à consommation équivalente, tous ne deviennent pas alcooliques.

Enfin, on dirait que tu n'as jamais été jeune. Quand on disait de prendre soin de ma santé, je n'en avais rien foutre, j'étais immortelle.