C'est quoi vos meilleures anecdotes ?

On raconte des anecdotes ? C'est drôle et gratuit !

Il y a 2 heures, kimiqueen a dit :

On raconte des anecdotes ? C'est drôle et gratuit !

Perso, c’est surtout professionnel, des histoires de retournement de situation incroyable avec des $$ à la clé, aussi des découvertes techniques faites par chance,  je n’ose pas donner de détails sur tout ca, mais il reste par exemple:

- un concurrent qui paye pour affiicher la pub de sa société dans google quand la personne cherche le nom de notre société… et la pub indique carrément “une alternative à <notre société>“

- un prototype d’un appareil de mesure que l’on finit de bricoler avec une collègue en utilisant des bouts de carton, dans une chambre d’hotel la nuit précédent la présentation au client… (présentation réussie et contrat signé d’ailleurs!)

 - lors de la mise en service de notre premier système online (toujours utilisé d’ailleurs) qui nous permettait d’observer sur Internet en temps réel si certaines étapes critiques d’une production industrielle était réalisée, on était plusieurs autour de l’écran et lors de l’affichage réussi j’ai levé les poings au ciel… et frappé mon business partner!

- une fois j’étais en train de faire le plein de mon Aston Martin et un mome est venu me demander si j’étais agent secret (je lui ai dit qu’il ne devrait pas le dire…)

Il y a 3 heures, kimiqueen a dit :

On raconte des anecdotes ?

bonjour,

la meilleure ? pas certain mais je la trouve pas mal quand même :

le jour où j'ai passé la frontière franco-suisse  ( le poste français comme celui suisse, tout en ayant été contrôlé par les douaniers de chaque pays ! ) , sans mes papiers, sans les papiers du véhicule , dans un véhicule qui ne m'appartenait pas ...alors que le propriétaire se trouvait dans une autre voiture et que lui et les personnes avec qui il était ( et dûment pourvu des papiers adéquats ) ont été retenu par les douaniers suisses pour contrôle ...pas mal non ?

comble de "l'ironie" ...garé après le poste frontière suisse, je vois un véhicule de la même marque, même modèle, de la même couleur et étant immatriculé dans le même département que celui de nos amis quitter le poste ... je démarre donc devant lui ( lui coupant la route ) et celui-ci me fait un appel de phare ( normal, nous sommes ensemble et il doit me suivre  ) .

nous continuons notre "périple" coté suisse et traversons un village quand je m'aperçois que je ne suis plus suivi ...je m'arrête donc à la sortie et comme sœur Anne ...j'attends ( 5' puis 10' puis 1/4 d'heure )

vu cette attente, je suppose qu'il s'est passé "quelque chose" dans le village !

demi- tour, retraversée du village ...personne ( il n'y avait qu'un seul itinéraire possible ) ;

en "désespoir" de cause, je reprends la route en sens inverse jusqu’au poste frontière (peut être ont-ils oublié quelque chose à la frontière et à l'époque ..point de téléphones portables ! )  ) et là ...nous croisons nos amis qui s'arrêtent et nous invectivent comme c'est pas permis parce que nous étions partis . La voiture qui nous avait suivi un bon moment ...n'était pas la leur ! ( à ma décharge, l'ami en question venait de changer de voiture et je ne connaissais pas l'immatriculation, sauf le département ! ) .

...mais ça, c'était avant : je suppose que maintenant, en ces temps de suspicion , ce serait impossible !

j'en ai d'autres en réserves, mais celle-là, je la trouve pas mal ! ( juré,  promis, croix de bois, croix de fer, si je mens , je vais en enfer ,  elle est parfaitement véridique ! ) .

dans le même genre, bien plus récemment ( 6 ans ) : j'ai été arrêté par des gendarmes , juché sur ma moto, avec mon épouse derrière , sans casque ( elle aussi ) , sans gants, sans papier ( elle aussi )  . C'est une habitude chez moi de les oublier  ...et je ne m'en suis sorti qu'avec un regard noir du gendarme le plus gradé ( il a dû penser, c'est pas possible d'être aussi c** ) .

encore le même registre automobilistique : bien pressé pendant ma matinée de travail ...je "grille" un stop , juste sous le nez de 2 motards ( les moins compréhensifs des forces de l'ordre ) et bien évidemment, ils m'arrêtent pour me contrôler et "accessoirement" me verbaliser sans aucun doute ...sauf qu'à ce même stop , une voiture démarre en trombe ( avec pas mal de bruit ) ...ils me rendent  fisa mes papiers et sautent sur leurs bécanes pour aller arrêter le fautif , me laissant tout loisir de m'éclipser sans problème ( ils se sont complétement désintéressé de moi ... bon, j'étais au volant d'une voiture "soins infirmiers" ... caducée et tout le toutime et je leur avais dit que j'avais une urgence ..( on ne sait jamais, sur une méprise cela peut marcher )  .

encore ?....  toujours dans le registre routier : se faire arrêter 2 jours de rang, par les même motards , au même endroit et de la même manière :

j'étais sur ma chignole,  arrêté à un feux de signalisation ( que je ne grille pas systématiquement ) quand de l'autre coté de la rue, l'un des enfants de Marie traverse en trombe ( au rouge pour lui ) et vient me "réclamer" mes papiers ( sans un bonjour, gendarmerie nationale, et la moindre formule de politesse pour obtenir le documents )

ras , je suis en règle , petit tour de la bécane , ras, elle est aux normes ...et il me rend mes documents .

le lendemain, même endroit, même duo de ... bip , même circonstances . Je lui dis qu'hier il m'avait déjà contrôlé  et il me regarde avec un regard ( noir serait un doux euphémisme) et me jette mes papiers à la figure puis s'en va .....

bon, j'arrête là mes "démêlés" avec l'autorité ( mais il y en a d'autres ) .

bonne journée.

Depuis que l'herbe à Nicot, le tabac, a été importé des Amériques, les européens se sont mis à le priser (le respirer alors qu'il était réduit en poudre) par le nez, à le mâcher (on disait "chiquer"), puis à le fumer dans des pipes, puis dans des cigares , des cigarillos ou des cigarettes. 

 Durant mon enfance, fumer n'était pas aussi stigmatisé que de nos jours, certainement parce que la substance n'avait pas été répertoriée comme cancérigène et addictive  et  il n'était pas rare de finir un repas dans des nuages de fumée du tabac, expirée par les adultes de voir un prof  ou un médecin la clope au bec, une femme enceinte s'adonner au tabagisme , ou de voir de la pub pour des marques de cigarettes s'afficher insolemment dans tous les médias, durant mon enfance qui se déroula pendant la seconde moitié de la seconde moitié du XXeme siècle...

Les petits enfants que nous étions, brûlant de devenir des "grands", étaient avides de reproduire les schémas sociaux qui leur étaient proposés, fussent -ils néfastes: notre  manque de discernement et notre candeur auraient pu nous précipiter dans tous les pièges. Justement, des petits malins tentaient de nous  instiller ce vice et, sous couvert de nous vendre quelque friandise vendaient des paquets de cigarettes en chocolat ou en chewing gum, forts ressemblants aux vrai Avec lesquels nous jouions aux fumeurs.

Il y a avait au quartier, un père  -la - morale qui s'était institué cerbère des bonnes moeurs du village. Sans doute avait -il été délateur durant la dernière guerre car ce vieillard terrible rapportait tous les péchés véniels des gamins du quartier à leur mère et les faisait punir à tour de bras. Ses petits yeux méchants et vifs qui voyaient tout, ses commentaires désobligeants, sa langue acerbe et mauvaise avaient fait distribuer bon nombre de claques aux galopins  et l'on eût  cru que son unique plaisir, son unique jouissance  dans la vie était de faire morfler la jeunesse dont il était, par l'apparence, si éloigné...

  Son attitude vicieuse  nous révoltait et, jour -là, nous avions décidé de défier ce triste sire. Avec les quatre sous de notre argent de poche, un jour d'hiver où le froid était si vif que toutes nos haleines étaient vaporisées, nous allâmes acheter à la boulangerie le paquet de fameuses cigarettes en chocolat, j'en distribuai aux deux copines et à mon petit frère et nous descendîmes vers l'école en passant devant  le bar  dont la terrasse  servait de tour de guet à l'affreux jojo, en tirant des taffes de vapeur si nette et si blanche que l'horrible personnage prit vraiment pour de la fumée.

 Nous l'entendîmes vitupérer  à la cantonade, de loin: "ces gamines, quel genre elles ont déjà, à leur âge, la cigarette au bec et lui , dit il en désignant mon frère d'un coup de menton, tout petit déjà, il fume, ce petit vaurien!"

 Arrivés devant lui, nous redoublâmes d'efforts pour souffler notre vapeur en le regardant bien droit dans les yeux et voyant que nous n'essayions même pas de nous cacher, en se levant, il hurla, terrible, cramoisi de colère, en agitant la main droite:"bande de petits voyous, je vais le dire à votre mère, vous allez voir ce que vous allez voir".

 Ravis -mais un peu inquiets tout de même- d'avoir mis en rogne l'affreux, nous nous égayâmes comme une volée de moineaux en riant très fort, ce qui exaspéra davantage le bonhomme qui redoubla de colère:

 "- C'est ça, riez, riez, vous rirez moins ce soir, je vous le dis!"

 A la sortie des classes, je le vis de loin déverser sa bile auprès de ma mère qui alla chercher la maman des copines.

"-Ce monsieur vous a vus ce matin et a dit que vous fumiez..."

"-mais non, mais non, dis-je, avec aplomb, je mangeais du chocolat..".

Nous sentions entre nous le rire fuser une des petites me poussait du coude, en douce...

-"Oui, c'est vrai" murmura t- elle doucement, les yeux emplis de malice.

 -Regardez dans ses affaires , si ne vous me croyez pas dit le sycophante. Ce que fit ma mère qui y trouva le paquet de cigarettes ...En chocolat.

 -Ah, vous voyez, il y a bien des cigarettes, qu'est ce que je vous disais, il va falloir prendre des mesures! Fit -il en se rengorgeant, en nous lançant un méchant petit regard satisfait de côté jouissant à l'avance de nous voir prendre quelque correction ou quelque claque.

-"Mais monsieur, rétorqua ma mère, la petite a raison, ce sont des cigarettes en chocolat...Vous n'espérez tout de même pas que je vais punir ma fille pour ça?"

 L'assistance se mit à ricaner, quelques index tournèrent sur quelques tempes et l'histoire fit le tour du village. Durant quelque temps le ridicule de l'histoire le poursuivit et les gamins eurent enfin un peu de répit...

Sur  l' A7  , on s'arrète sur une aire pas loin de Valence  , des jeunes a coté , qui venaient de Marseille , pensaient avoir pris la direction de Valence  en Espagne  ( Valencia )     c'est tout , on a rigolé  , que faire d'autre ? 

Je pourrai écrire un livre  

J'ai eu du mal à me repérer dans les petites rues du 8eme de Marseille, avec tous ces sens interdits pour aller consulter ce nouveau médecin. Je me suis bien perdue dans le dédale des voies. En désespoir de cause, je m'arrête sur le bas côté et demande à un piéton  de m'indiquer le  trajet pour aller dans cette rue.

 Il me regarde d'un regard incrédule, en se demandant si c'est du lard ou du cochon...Je me demande pourquoi il a l'air bizarre.

 -J'ai dit quelque chose qui ne va pas? Questionnai-je.

-Non,  Ce n'est pas ça ,je me demandais si vous vous foutiez de moi,  car vous êtes arrêtée à trois mètres du panneau. c'est juste là, à gauche...

Avec le contre-jour, qui m'aveuglait j'aurais pu chercher encore longtemps, mais...Je vous assure que:

 Vu? J'l'avais pas vu!..

re bonjour,

autres "anecdotes" que je dirai cocasses :

en vacances à Ténérife , nous nous arrêtons dans une sorte de restaurant sans doute installé dans une ancienne station service ( tables en plastique, chaise idem, plutôt dépareillées , toile cirée dessus pas vraiment du même et bon modèle  ) . Nous commandons ( malgré tout )  2 plats ( moi de la chèvre sauvage et mon épouse du poisson) .

tout le monde nous regarde en rigolant ( le patron sourit lui aussi ) ...et quand nous avons vu les plats arriver, nous avons compris ( pas d'assiette, mais le plat de service en "inox" ....il fallait se servir et manger directement dedans ).

1 seul plat suffisait allégrement pour nourrir 3 personnes ( et même bien nourrir ) ..les habitués le savaient, nous non ! ( bon, le digestif et le dessert nous ont été offerts par la maison et vu les prix des plats nous n'avons pas été ruinés ! ).

un bon souvenir quand même ( la digestion fut lente et laborieuse , même si je suis loin d'avoir "fait honneur" au plat ...c'était tout bonnement beaucoup trop ...mais rudement bon malgré tout ) .

autre anecdote culinaire : à Rhodes , nous "dénichons" un petit restaurant dans une ruelle , loin de l'artère principale attrape touristes , et comme nous avions quelque chose à fêter ...une jolie commande ( pas la salade grecque et un dessert ) .

attente d'un bon moment ( avec des petites choses à grignoter ) quand nous voyons passer l'un des cuistots et notre voisin ( un français ) se penche vers nous et nous dit ...c'est votre poisson qu'il est allé acheter directement chez le poissonnier voir même sur le port ..plus frais, c'est pas possible ! ) .

ça valait largement l'attente ...

dans le même genre : dans un petit village de Dordogne, nous nous arrêtons dans une auberge pour midi et commandons . Le menu propose 3

entrées et nous en choisissons 1 . mais, non, c'est un menu et, pas ou ( il y avait 3 entrées ) depuis nous parlons des menus et ou des menus ou

sans compter que nous étions avec notre fille et vu la "longueur" du service , elle était allée jouer avec un petit garçon se prénommant Alexandre ( jusqu'ici rien de bien particulier ) . Retour à la maison après de bonnes vacances et le mercredi suivant je vais à la piscine avec ma fille ( rien de bien particulier là aussi ) ; tout d'un coup ma fille me dit, je vais aller jouer avec Alexandre . Moi je lui rétorque qu'Alexandre il est sans doute bien loin ...hé bien non, Alexandre ( celui de la Dordogne ) était bien à la piscine de Recouvrance , lui et ses parents, après un périple en Dordogne passaient quelques jours à Brest ! ( c'était des parisiens ) .

autre coïncidence : un arrêt pause pipi et repos sur l'aire de Toulouse sud au mois de juillet sur la route des vacances et mon fils ( 6 ans à l'époque)  me dit : je suis allé dire bonjour à Mathilde ...je le regarde avec 2 yeux comme des soucoupes : mais Mathilde, elle est bien loin ( c'est une gamine qui était dans sa classe ) ...lui borné : si je lui ai dit bonjour , moi vient, on va"la"voir ...hé bien, il y avait bel et bien la Mathilde, elle et ses parents s'étaient arrêtés sur la route de l'Espagne juste dans cette aire et pas bien loin de nous . Comme quoi le monde est bien petit !

et ce sont loin d'être les seules coïncidences ...

bonne journée.

Il y a 14 heures, celsud a dit :

Je pourrai écrire un livre  

Moi aussi je crois , mais je ne veux pas focaliser l'attention du forum  ;  

Une autre , en Afrique les gamins venaient vendre des  espèces de petits pains , je vais en acheter pour le groupe , le gamin me demande combien  ?  je lui fais 10 avec les doigts en éventail , il me regarde et fait la mème chose , mais il avait 12 doigts  !!  O.K. j'en ai acheté 12  !!    vraiment bizarre !

Mon chien dormait très profondément quand mon frère, taquin, lui a fait "schouick ,ckrouit, sckrouitttt", en trifouillant son petit moignon de queue.

Le chien s'est  immédiatement réveillé en sursaut, en sautant bien haut, puis s'est mis à gratter frénétiquement le tapis sur lequel il était endormi, puis a tourné quatre fois sur lui même , le museau dans l'arrière train, à la recherche de la bestiole qui l'avait attaqué. puis en désespoir de cause, s'est assis et s'est mis à se lécher copieusement l'arrière train en scrutant le tapis, à la recherche de ce qui tombait de son pelage. Une fois qu'il a jugé que c'était tombé, il s'est mis à écraser méthodiquement le tapis avec ses deux pattes avant six ou sept fois s'est mis à japper, a flairé toute la surface du tapis, puis méfiant, s'est recouché.

 Ce jour-là, ce comportement nous a fait  hurler de rire jusqu'à  en pleurer...

Le 11/02/2023 à 05:34, kimiqueen a dit :

On raconte des anecdotes ? C'est drôle et gratuit !

J’étais à Pointe Noire au Congo Brazzaville.

La barge de l’entreprise qui nous logeait était à quai dans le port.

Un dimanche après-midi on nous propose de descendre à terre pour aller faire un match de foot à la cité.

Comme nous étions au moins 11 volontaires pour ce grand jour et cette rencontre, l’estafette du chantier nous propose de nous emmener sur le site du match.

Incompréhension totale de la part du chauffeur africain qui nous emmène au stade de foot de la ville.

On commençait à avoir les miquettes, vu la quantité de monde qui hurlait déjà dans les gradins du stade.

Le gong qui nous a sauvé c’est qu’on nous obligeait à acheter un ticket d’entrer pour ce match !

Pas question de payer pour un match de foot amical, vous commencer à me connaitre n’est-ce pas !

Bref, après quelques palabres avec le chauffeur ce dernier comprend que ce n’est pas la destination prévue.

Au moment de repartir les petits africains tapant à plusieurs sur la tôle du combi pour se foutre de nous.

Nous arrivons après quelques encablures sur le site de la rencontre.

Nous sommes tous blanc pâle, nos short propre et immaculé, nos baskets blanches, le maillot avec le logo de l’entreprise, seule couleur attrayante de l’équipe de foot en représentation à l’international.

Quant au terrain, il s’agit d’un terrain vague, sableux, avec des buts bricolés avec quelques arbres assemblés aux dimensions réglementaire.

Le match commence et bizarrement tous les petits africains sont agglutinés derrière notre but, aucun de leur côté. Mauvais ou bon présage ?

Première demi-heure, égalité au score, mais déjà les crampes  (chez les blancs) se font sentir, parce que courir dans le sable, on ne fait pas cela tous les jours…

Puis on commence à encaisser seulement quelques buts, jusqu’à 7…

Ouf ce match prend fin, l’épreuve est heureusement terminée, on a seulement encaissé 7 buts à 0.

On repart fourbus exténués et les mômes qui nous réclament au moment du départ, les maillots, nos montres, nos baskets, pour le souvenir.

Quelques décennies plus tard, je garde un excellent souvenir de cette défaite mémorable d’un dimanche en Afrique.

je devrai prendre un train pour aller en avignon sauf que je me suis trompé de train et je me suis retrouvé à la gare de perrache alors que j'étais monté à la gare de la part dieu, l'horreur, bien sur il a fallu que je retourne à la part dieu et que j'attende un autre train, bref deux heures de retard, désolé pour la personne qui m'attendait, elle a eu le temps de manger un morceau en m'attendant