l'écosystème de l'Emploi, de la formation professionnelle et de l'innovation en France

1) Faut-il une réforme de la réduction de la durée de temps de travail à 32 heures hebdomadaires? Comme le souhaitait déjà, à l'époque, la grande majorité des groupes du Sénat, dont le groupe sénatorial de l'UMP du Président actuel du Sénat, Gerard Larcher, par des aménagements et des spécifiques de transformation des conditions de travail et d'organisation des facteurs production et de la redistribution de la valeur ajoutée, d'après des convictions de courants politiques unanimement approuvées pour la règle des 35 heures hebdomadaires à l'époque. Et notamment pour faire au mieux à la prévention des facteurs de risques d'accidents et de fatigue chronique au travail, qui perturbent encore aujourd'hui nos enjeux de la Mondialisation, de la concurrence néolibérale du libre-échange à l'immigration climatique par l'attractivité économique et la fuite des cerveaux. Par un temps de repos par rythme de travail journalier vraiment trop soutenu. Les critères de pénibilité au travail sont ainsi l'une des causes sociale de la perte de vocation de la jeunesse à la sortie de l'école dans les inégalités sociales de l'instruction publique ou de l'opium de la réussite méritocratique, etc.. A l'heure où le mieux-vivre au travail devrait rentrer dans les critères de longévité de la réforme de la retraite par l'allongement de la durée légale de mise au départ à la retraite à taux plein sans subir aucune décote et autres dévalorisations des prestations sociales en cas d'arrêt de travail ( allongement de la période de congé maternités ou partage des congés de parentalité, délinquance des mineurs orphelins, réforme de la citoyenneté politique des mineurs émancipés). Tout en contribuant davantage à la valeur ajoutée dans l'éthique des entreprises de proximité de manière plus communément acceptée et en prenant en compte le poids des prestations sociales sur sa part de gains et salaires et d'actions mobilières variables des dividendes dans une proportion de moindre importance dans ce qui peut constituer comme une réforme du prélèvement à la source indirecte de nos prestations sociales statutaires. En préservant l'équilibre d'une solidarité nationale de notre système de retraite par répartition par l'équilibrage du régime des retraites actuel. Même si le système des RTT est-il  vrai un système hybride qui mérite d'être remis en cause par son plafonnement  ou par son forfait hebdomadaire par jour de rachat de RTT. Ou tout simplement pour un système de RTT des jours annuels sans soldes ou de la mutualisation de l'épargne salariale par l'intéressement par option de jours de rachats de trimestres de cotisations retraite. Pour sortir de la grande la misère sociale de ce qui constitue l'irrationnalité des pensions de retraites du minimum vieillesse pour tous les papy-boomers. Tout  en passant par la revalorisation de la prime de pénibilité au travail des ouvriers aux travailleurs détachés les plus vulnérables dans l'intégration de notre marché consumériste européen.  Dans le monde où la recette fiscale par le prélèvement indirecte à l'impôt est la règle et impose une baisse des impôts de production (TVA durable flottante, impôt progressif par groupes de capitaux ou de chaines de contrats de sous-traitance, fins des paradis fiscaux, etc...). Proposer au départ comme contrepartie et qui est aujourd'hui encore une mesure privilégiée par l'ensemble de la classe politique d'expérience française. A débattre, quitte même à ne pas être du même avis que le mien. Et notamment en terme d'étendue du respect des règle des 32 heures hebdomadaires  et de la flexisécurité des parcours de carrière des agents contractuels du secteur public . A défaut de créer des gains de productivité par nos missions d'intérêts généraux des services publics de proximité et qui pose un problème de gestion de la continuité du service public, à valeur constitutionnelle, envers les usagers des services publics de proximité les plus essentiels et en vertu duquel la mise en grève est illicite. Et alors pour quelles durées de travail au quotidien  dans l'action médico-social en générale dans le secteur public face à la question du handicap ou d'aide à l'enfance entre autres à l'occasion du pied bas des 39 heures par des modalités de contractualisation du service public d'obligations de mises en négociations collectives obligatoires et à marche forcée pour nos institutions publiques face au privé ? Dont l'esclavagisme moderne au travail par la règle de primauté des accords d'entreprises dérogatoires sur les accords de branches. 

2) Est-ce une mesure efficace en terme de contribution directe dans l'équilibre budgétaire des prestations sociales entre toutes les parties prenantes à un contrat de société ? 

3) Pourquoi tant d'acharnement politique pour le retour au travail précaire ?

4) Quelles enjeux sur la concurrence sur la mondialisation citoyenne et du commerce équitable de proximité? 

5) Pour quelle politique de régularisation monétaire européenne pour faire face à la régulation d'une finance éthique et territorialisée de l'écogeste systémique en plein cœurs de la politique de développement  des territoires par une politique de décentralisation?

  6) Pourquoi ne pas faire repose un prélèvements partielles des cotisations sociales statutaires sur les heures supplémentaires ou complémentaires à l'heure d'une urgence pour la santé publique hospitalière à la peine et du recul du service public équitable pour tous de proximité jusqu'à nos valeurs individuelles de démocratie sociale aujourd'hui en crise ?

7) Pourquoi ne pas envisager un rythme de recyclage productif plus rotatif par entreprise de proximité ? 

9) Pourquoi ne pas envisager plus de temps de repos et de semaines payées face au ralentissement  du tout-consumérisme dans le monde occidentale ? 

10 ) Qu'entends la majorité sénatoriale néo-conservatrice par dépense publique utile ou productive: plus de contractualisation du service public ? Plus de délégation du service public ? Plus de privatisation du service public à la loi de privatisation chiraquienne? Plus de contrats aller-retour ? Moins d'interventionnisme de garantie permanente de l'Etat face au roulement de la spéculation de la finance des dettes publiques souveraines ? Au lieu d'annuler notre dette souveraine envers certains créanciers de l'Etat Etc.

Quand il faut faire de la sélection préalable à la commande  publique l'une des  terres de prédilection de la cause nationale de l'entreprenariat d'utilité publique, d'après moi.   

 

Voici quelques éléments d'informations, de sources de liens  hypertextes variés et peut-être un peu aussi long qu'à actualiser, qui me paraissent importants d'aborder au minimum dans ce débat de la politique de la Nation, avec un avis assez neutre à vrai dire mais pour vous faire réagir.  

Peut-être à ne pas perdre son temps à tout lire ou regarder, dont  parmi eux d'abord : 

 

 

 https://www.bing.com/ck/a?!&&p=a223bf1eafe5656eJmltdHM9MTY2NzA4ODAwMCZpZ3VpZD0xZGFjN2M0OS1hZDdhLTZhNmItMjExOS02ZDVjYWM0OTZiYmQmaW5zaWQ9NTE4MQ&ptn=3&hsh=3&fclid=1dac7c49-ad7a-6a6b-2119-6d5cac496bbd&psq=la+baisse+du+temps+de+travail+baisse+telle+les+facteurs+de+risques+d'accident+et+de+fatigue+chronique+au+travail+&u=a1aHR0cHM6Ly93d3cuZWRpdGlvbnMtdGlzc290LmZyL2FjdHVhbGl0ZS9zYW50ZS1zZWN1cml0ZS9sZS10ZW1wcy1kZS10cmF2YWlsLWluZGljYXRldXItZGUtc3VyY2hhcmdlLWV0LWZhY3RldXItZGUtcmlzcXVlcy1wb3VyLWxhLXNhbnRl&ntb=1

https://r.search.yahoo.com/_ylt=AwrJKiCatF5jiVAA3gOPAwx.;_ylu=Y29sbwMEcG9zAzIEdnRpZAMEc2VjA3Ny/RV=2/RE=1667179803/RO=10/RU=https%3a%2f%2fprotrainer.fr%2fblog%2ffatigue-au-travail%2f/RK=2/RS=WYlFTpASisOkgkXECK2PaS.6Uvg-

 

 

https://r.search.yahoo.com/_ylt=AwrIQ2cKdF9jXioApzuPAwx.;_ylu=Y29sbwMEcG9zAzEEdnRpZAMEc2VjA3Ny/RV=2/RE=1667228810/RO=10/RU=https%3a%2f%2fwww.service-public.fr%2fparticuliers%2fvosdroits%2fF34151/RK=2/RS=bmXSbx4BFAVqfLDi6yqcA88p.Fk-

 

https://r.search.yahoo.com/_ylt=AwrJO07InF9jtFQAHBOPAwx.;_ylu=Y29sbwMEcG9zAzEEdnRpZAMEc2VjA3Ny/RV=2/RE=1667239240/RO=10/RU=https%3a%2f%2fwww.manpowergroup.fr%2fla-semaine-de-32-heures-pour-ou-contre%2f/RK=2/RS=KhH5F.TWqv6cEqbTRkHUazQYhXA-    

 

 

https://r.search.yahoo.com/_ylt=AwrFQy3lwl9jpEQ.quO02olQ;_ylu=c2VjA3NyBHNsawN2aWQEZ3BvcwMyNw--/RV=2/RE=1667248998/RO=11/RU=https%3a%2f%2fwww.youtube.com%2fwatch%3fv%3dEpwN6vPXidk/RK=2/RS=Q97oB4yJGYPCw75_N6jR7hXQCw4-

 

 

https://r.search.yahoo.com/_ylt=AwrIS.YD919jG.EAfBGPAwx.;_ylu=Y29sbwMEcG9zAzUEdnRpZAMEc2VjA3Ny/RV=2/RE=1667262339/RO=10/RU=https%3a%2f%2fwww.lemonde.fr%2fsociete%2farticle%2f2007%2f10%2f02%2fphysiques-ou-psychologiques-les-formes-de-penibilite-au-travail-ont-change-depuis-une-vingtaine-d-annees_962196_3224.html/RK=2/RS=aC1.6dZqu3tgMtsgxI79WRw1D6s-

 

http://www.europe1.fr/emissions/la-carte-blanche

 

 

https://r.search.yahoo.com/_ylt=AwrIQhE8xWBjWyAAeRePAwx.;_ylu=Y29sbwMEcG9zAzEEdnRpZAMEc2VjA3Ny/RV=2/RE=1667315133/RO=10/RU=https%3a%2f%2fwww.cairn.info%2frevue-sociologie-2010-1-page-161.htm/RK=2/RS=_BhWqfudWOK6JqNseXmnUaCFQvc-

https://r.search.yahoo.com/_ylt=AwrIQhx1ImFj.NIASwePAwx.;_ylu=Y29sbwMEcG9zAzEEdnRpZAMEc2VjA3Ny/RV=2/RE=1667338997/RO=10/RU=https%3a%2f%2fwww.cairn.info%2frevue-sociologie-2010-1-page-161.htm/RK=2/RS=RukxxL_Eh67R7JkVeF3v03xRzuk-

https://r.search.yahoo.com/_ylt=AwrIQZI9I2FjktMApwOPAwx.;_ylu=Y29sbwMEcG9zAzEEdnRpZAMEc2VjA3Ny/RV=2/RE=1667339198/RO=10/RU=https%3a%2f%2fwww.radiofrance.fr%2ffranceculture%2fpodcasts%2fla-bulle-economique%2fpenibilite-les-enjeux-de-la-reforme-des-retraites-4752381/RK=2/RS=9Y5mx50NR7gC_U63Z40Rb7LF84k-

https://r.search.yahoo.com/_ylt=AwrIQZI9I2FjktMApwOPAwx.;_ylu=Y29sbwMEcG9zAzEEdnRpZAMEc2VjA3Ny/RV=2/RE=1667339198/RO=10/RU=https%3a%2f%2fwww.radiofrance.fr%2ffranceculture%2fpodcasts%2fla-bulle-economique%2fpenibilite-les-enjeux-de-la-reforme-des-retraites-4752381/RK=2/RS=9Y5mx50NR7gC_U63Z40Rb7LF84k-

https://r.search.yahoo.com/_ylt=AwrIQdfhQGFjgWoAsE2PAwx.;_ylu=Y29sbwMEcG9zAzEEdnRpZAMEc2VjA3Ny/RV=2/RE=1667346786/RO=10/RU=https%3a%2f%2fwww.gouvernement.fr%2fpartage%2f6925-egalite-et-citoyennete-citoyennete-et-emancipation-des-jeunes/RK=2/RS=dSSG2zsq6Bvwwt3v9.GnX9JmjLc-

https://r.search.yahoo.com/_ylt=AwrFQy0QQWFjJhANhU4X24lQ;_ylu=c2VjA2NkLWF0dHIEc2xrA3NvdXJjZQR2dGlkAwRydXJsA2h0dHBzOi8vd3d3LmRhaWx5bW90aW9uLmNvbS92aWRlby94Nm8yNW83/RV=2/RE=1667346832/RO=10/RU=https%3a%2f%2fwww.dailymotion.com%2fvideo%2fx6o25o7/RK=2/RS=E7rIeOk3hTt.G6Jsw8eFaEz_6zw-

https://r.search.yahoo.com/_ylt=AwrIQZy5NWFjgw4AqwKPAwx.;_ylu=Y29sbwMEcG9zAzEEdnRpZAMEc2VjA3Ny/RV=2/RE=1667343930/RO=10/RU=https%3a%2f%2flaviedesidees.fr%2fPunir-les-mineurs-comme-des.html/RK=2/RS=vS5RpHZw.cTvmz67q0GN1MbO2wI-

https://r.search.yahoo.com/_ylt=AwrEpIrsRmFjF60kJaG02olQ;_ylu=c2VjA3NyBHNsawN2aWQEZ3BvcwM1/RV=2/RE=1667348333/RO=11/RU=https%3a%2f%2fwww.facebook.com%2fU2PFrance%2fvideos%2fles-entreprises-de-proximit%C3%A9-face-%C3%A0-la-crise%2f258536305552305%2f/RK=2/RS=.ZSgw6Yljt1PWdOU2Y1gGPVZIhk-

 

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https://www.bing.com/ck/a?!&&p=77dc41a9bdf2c621JmltdHM9MTY2NzM0NzIwMCZpZ3VpZD0xZGFjN2M0OS1hZDdhLTZhNmItMjExOS02ZDVjYWM0OTZiYmQmaW5zaWQ9NTI1MA&ptn=3&hsh=3&fclid=1dac7c49-ad7a-6a6b-2119-6d5cac496bbd&psq=la+précarité+des+*contratuels++de+la+fonction+publique+sont-ils+l'avenir+du+service+public&u=a1aHR0cHM6Ly93d3cuY2FycmllcmVzLXB1YmxpcXVlcy5jb20vYWN0dWFsaXRlLWZvbmN0aW9uLXB1YmxpcXVlLWxhLXByZWNhcml0ZS1kYW5zLWxhLWZvbmN0aW9uLXB1YmxpcXVlLW1haXMtY29tbWVudC1lc3QtY2UtcG9zc2libGUtZC0yOTg&ntb=1

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https://r.search.yahoo.com/_ylt=AwrFQy1.Y2NjTDUhPoa02olQ;_ylu=c2VjA3NyBHNsawN2aWQEZ3BvcwMxNA--/RV=2/RE=1667486718/RO=11/RU=https%3a%2f%2fwww.youtube.com%2fwatch%3fv%3dxctHsG9qZXQ/RK=2/RS=vfeUSdyW2WYA_WQkcZIxIM2XcE

il y a une heure, Fersi a dit :

Peut-être à ne pas perdre son temps à tout lire ou regarder, dont  parmi eux d'abord : 

 

Quand on aperçoit une tartine de texte à n’en plus finir, on zappe automatiquement.

Quant à l’invite de visualiser une succession de vidéo, on zappe également automatiquement.

J’ai tendance à croire et penser que ce qui est intéressant sur un forum, c’est que chacun exprime son point de vue et donne son opinion sur un sujet, pas qu’il inonde le lecteur avec des références autre que les siennes.

Bref, travailler moins pour donner du travail à ceux qui n'en ont pas, c'est de la foutaise.

Le travail, comme l'économie, ne se décrète pas, cependant il ou elle est la résultante sociétale de beaucoup de facteurs simultanés, l'éducation scolaire, la formation professionnelle, l'esprit d'entreprise, l'initiative individuel, le marché, le prix des matières premières du moment, bref si le politique peut favoriser le climat général du plein emploi, c'est une bonne politique, mais il faut bien admettre que le politique n'a pas le pouvoir sur tous les paramètres.

il y a 22 minutes, Enchantant a dit :

Quand on aperçoit une tartine de texte à n’en plus finir, on zappe automatiquement.

Quant à l’invite de visualiser une succession de vidéo, on zappe également automatiquement.

J’ai tendance à croire et penser que ce qui est intéressant sur un forum, c’est que chacun exprime son point de vue et donne son opinion sur un sujet, pas qu’il inonde le lecteur avec des références autre que les siennes.

Bref, travailler moins pour donner du travail à ceux qui n'en ont pas, c'est de la foutaise.

Le travail, comme l'économie, ne se décrète pas, cependant il ou elle est la résultante sociétale de beaucoup de facteurs simultanés, l'éducation scolaire, la formation professionnelle, l'esprit d'entreprise, l'initiative individuel, le marché, le prix des matières premières du moment, bref si le politique peut favoriser le climat général du plein emploi, c'est une bonne politique, mais il faut bien admettre que le politique n'a pas le pouvoir sur tous les paramètres.

Le tome II sera peut-être plus bref.

C'est un homme politique, Fersi ? (ou un syndicaliste, peut-être).

Le 03/11/2022 à 11:39, Enchantant a dit :

Quand on aperçoit une tartine de texte à n’en plus finir, on zappe automatiquement.

Quant à l’invite de visualiser une succession de vidéo, on zappe également automatiquement.

J’ai tendance à croire et penser que ce qui est intéressant sur un forum, c’est que chacun exprime son point de vue et donne son opinion sur un sujet, pas qu’il inonde le lecteur avec des références autre que les siennes.

Bref, travailler moins pour donner du travail à ceux qui n'en ont pas, c'est de la foutaise.

Le travail, comme l'économie, ne se décrète pas, cependant il ou elle est la résultante sociétale de beaucoup de facteurs simultanés, l'éducation scolaire, la formation professionnelle, l'esprit d'entreprise, l'initiative individuel, le marché, le prix des matières premières du moment, bref si le politique peut favoriser le climat général du plein emploi, c'est une bonne politique, mais il faut bien admettre que le politique n'a pas le pouvoir sur tous les paramètres.

Travailler moins non pas pour donner moins de travail, ce qui est contre-productif d'en une société de marché de libre-échange, mais pour mieux prévenir les risques d'épuisement professionnel à la tâche. Ensuite, il s'agit de mieux redistribuer les richesses sociales par la valeur travail. Car, je pose certes l'hypothèse d'une durée légale de temps au travail à 32 heures hebdomadaires, en posant l'hypothèse d'une possibilité  de travailler plus par plus d'heures supplémentaires ou complémentaires avec moins de pressions de taxes de prélèvement de cotisations sociales et non pas d'une défiscalisation totale des heures supplémentaires ou complémentaires et en y ajoutant l'option du rachat de RTT en contrepartie du rachat de trimestres de cotisations sociales retraite différées tout au long de la carrière par heure travaillée quand on a aucune obligations d'assistance familiale. Plutôt que de subir une décote de sa pension de retraite en fin de carrière. Aussi, je pense que l'ensemble des mesures préconisées par les sénateurs pour les 35 heures s'appliquent aux 32 heures hebdomadaires pour pouvoir mourir dans sa juste dignité, sauf d'éviration de principe d'éthique politique à mieux penser.  

Le 03/11/2022 à 11:39, Enchantant a dit :

Quand on aperçoit une tartine de texte à n’en plus finir, on zappe automatiquement.

Quant à l’invite de visualiser une succession de vidéo, on zappe également automatiquement.

J’ai tendance à croire et penser que ce qui est intéressant sur un forum, c’est que chacun exprime son point de vue et donne son opinion sur un sujet, pas qu’il inonde le lecteur avec des références autre que les siennes.

Bref, travailler moins pour donner du travail à ceux qui n'en ont pas, c'est de la foutaise.

Le travail, comme l'économie, ne se décrète pas, cependant il ou elle est la résultante sociétale de beaucoup de facteurs simultanés, l'éducation scolaire, la formation professionnelle, l'esprit d'entreprise, l'initiative individuel, le marché, le prix des matières premières du moment, bref si le politique peut favoriser le climat général du plein emploi, c'est une bonne politique, mais il faut bien admettre que le politique n'a pas le pouvoir sur tous les paramètres.

Bonjour Enchantant, 

Il s'agit de travailler moins, pour pouvoir mieux travailler tout en prévenant les risques d'accidents du travail et de fatigue chronique à la tâche. Ensuite, il s'agit de mieux redistribuer les richesses sociales  entre toutes les parties prenantes du corporate gouvernement d'une entreprise territoriale, telle que je l'envisage dans un futur pas encore très proche. Car, je pose ici certes l'hypothèse d'une durée légale de temps au travail à 32 heures hebdomadaires, en donnant la possibilité pour les travailleurs les plus agiles de travailler plus en accomplissant plus d'heures de travail supplémentaires ou d'heures de travail complémentaires avec moins de pressions de  taxes de prélèvement fiscal de cotisations sociales, et non pas d'une défiscalisation par exonération totale des heures supplémentaires ou des heures complémentaires, et en y ajoutant l'option de la monétisation du rachat de quelques jours de RTT.  Ensuite, je pense à revaloriser la prime de précarité au travail et de la possibilité de l'indexer sur les prix de l'inflation en plus de la possibilité de la cumuler avec le SMIC horaire et d'autres aides sociales. Aussi, je pense que nous devons mutualiser l'épargne salariale en entreprise par la valeur ajoutée en rachetant les trimestres de cotisations sociales pour fidéliser la main-d'œuvre et pour qu'elle puisse partir à la retraite plus tôt, dès lors qu'il y a la constitution de certains gains de productivité écologique. Bref, j'espère que vous m'auriez compris et qu'il est encore possible pour le gouvernement de changer un ou deux paramètres.  

il y a une heure, Fersi a dit :

Il s'agit de travailler moins, pour pouvoir mieux travailler tout en prévenant les risques d'accidents du travail et de fatigue chronique à la tâche.

Je ne doute pas un seul instant que vos intentions soient louables et généreuses.

Mais là ou vous faite erreur selon mon point de vue, c’est que vous considérez l’économie sous le prisme exclusif du décret et de la bonne intention du politique.

Travailler moins pour pouvoir travailler mieux, cela fait plus d’un siècle que les entreprises ont tendu vers cet objectif, sans nous demander notre avis, notamment en mécanisant et automatisant les tâches pénibles que les ouvriers d’autrefois réalisaient à la force des bras.

Bref, si ceux qui produisent avec des robots en France, travail moins longtemps que nos concurrents, qui travail également avec des robots à l'étranger, nous perdront définitivement tous les marchés  à cause de l'augmentation des prix et des milliers de français seront au chômage à cause du coût non concurrentiel de fabrication.

Y avez vous songez ?

Modifié le 11 novembre 2022 par Enchantant

Il y a 3 heures, Enchantant a dit :

Je ne doute pas un seul instant que vos intentions soient louables et généreuses.

Mais là ou vous faite erreur selon mon point de vue, c’est que vous considérez l’économie sous le prisme exclusif du décret et de la bonne intention du politique.

Travailler moins pour pouvoir travailler mieux, cela fait plus d’un siècle que les entreprises ont tendu vers cet objectif, sans nous demander notre avis, notamment en mécanisant et automatisant les tâches pénibles que les ouvriers d’autrefois réalisaient à la force des bras.

Bref, si ceux qui produisent avec des robots en France, travail moins longtemps que nos concurrents, qui travail également avec des robots à l'étranger, nous perdront définitivement tous les marchés  à cause de l'augmentation des prix et des milliers de français seront au chômage à cause du coût non concurrentiel de fabrication.

Y avez vous songez ?

Ne pensez-vous pas alors que l'organisation des conditions de travail de la main d'œuvre qualifiée de nos entreprises concurrentes qui utilisent les mêmes machines-outils industrielles que les nôtres ne verrons pas ces derniers faire du débauchages au profit de nos entreprises françaises dans un marché commun intégré d'une Europe sociale et responsable ? Ou veut-on aligner les conditions sociales du bas coût au travail dans nos acquis sociaux au nom du progrès du consumérisme européen contemporain ? Quitte à ce que l'Europe de la finance disparaisse un jour par l'ultra-concurrence qui la domine entre nos entreprises européennes de mobilisation de capitaux d'investissement et de bulles spéculatives aux noms des quatre grandes libertés économiques de circulation entre pays européens et pour lesquelles on s'évertue encore aujourd'hui à redynamiser le principe du dialogue sociale de proximité par la primauté des accords d'entreprises dérogatoires sur les accords de branches et la taxe-flatte partout en France. Là où moi, j'ai une position libérale plus modérée avec une TVA durable flottante sur l'ensemble des marchandises intérieures ou en libres pratiques européennes au nom du respect d'une politique du Green Deal certes plus ambitieuse qu'elle ne l'est actuellement et avec une Taxe GSS aux frontières de l'Europe. Ainsi au final, ce qui doit constituer le progrès économique au nom de la consommation citoyenne européenne est une véritable illusion qui est marquée par des taux d'absentéisme au travail et des coûts invisibles qui coûtent de plus en plus chers à notre collectivité publique qu'un salaire efficient par semaine de 32 heures hebdomadaires. D'ailleurs, la preuve est que certaines entreprises compétitives françaises s'y sont déjà plier. Quittes à réaménager l'organisation des conditions de  production en reprenant les travaux parlementaires du Sénat pour les 35 heures mais en les appliquant pour une durée de travail de 32 heures hebdomadaires ?            

Il y a 7 heures, Enchantant a dit :

Je ne doute pas un seul instant que vos intentions soient louables et généreuses.

Mais là ou vous faite erreur selon mon point de vue, c’est que vous considérez l’économie sous le prisme exclusif du décret et de la bonne intention du politique.

Travailler moins pour pouvoir travailler mieux, cela fait plus d’un siècle que les entreprises ont tendu vers cet objectif, sans nous demander notre avis, notamment en mécanisant et automatisant les tâches pénibles que les ouvriers d’autrefois réalisaient à la force des bras.

Bref, si ceux qui produisent avec des robots en France, travail moins longtemps que nos concurrents, qui travail également avec des robots à l'étranger, nous perdront définitivement tous les marchés  à cause de l'augmentation des prix et des milliers de français seront au chômage à cause du coût non concurrentiel de fabrication.

Y avez vous songez ?

J'y ai songé, mais en même temps: est ce que les objectifs de construire une Europe sociale et responsable avec un marché commun intégré peuvent être atteints avec de mauvaises condition de travail dans un marché du travail européen qui vise à stabiliser une main d'œuvre plus ou moins qualifiée comme conditions sine qua non de la concurrence de nos entreprises européennes sans qu'il n'y ait de débauchages au profit de nos entreprises étrangères?  Ou veut-on aligner les conditions sociales du bas coût de la main-d'œuvre nom de l'optimisation des coûts de facteurs de production et du progrès du marché de la consommation européenne contemporaine dans un va-t-en-pas vers en renforçant les piliers des quatre grandes libertés économiques de circulation d'une Europe de la finance? Et pourquoi ne pas envisager dans ce cas-là la construction d'une Europe de la finance pour tous par des systèmes de prévoyance de départs à la retraite favorables à l'attractivité en marques de valeurs ajoutées par la revalorisation de la valeur travail de nos entreprises européennes en coopération d'innovation ultra-concurrentielle dans l'attractivité en capitaux de l'Europe dans l'économie mondiale? L'une ou l'autre option peut s'envisager . Mais il ne faut pas aller plus loin dans l'Europe de la finance, car elle risque de disparaitre un jour faces aux agences de notations américaines qui évaluent chaque jours, heures après heures, la possibilité que l'on fasse défaut de notre dette souveraine européenne face au spectacle de l'enlisement de nos bulles financières et immobilières spéculative pour chaque pays européen et pour lesquelles nous envisageant de faire du protectionnisme de souveraineté économique nationale en s'évertuant encore aujourd'hui à redynamiser le principe du dialogue sociale de proximité en faisant de la primauté des accords d'entreprises dérogatoires sur les accords de branches et de la taxe-flatte la règle dans tous les territoires en France. Là où moi, j'ai peut-être une position libérale encore plus modérée en tant que citoyen auto-souverain, c'est que j'envisage la possibilité d'instaurer une TVA durable flottante sur l'ensemble des marchandises intérieures ou en libres pratiques européennes au nom du respect d'une politique européenne du Green Deal certes plus ambitieuse qu'elle ne l'est actuellement et imposant une Taxe GSS aux frontières de l'Europe. Ainsi au final, ce qui devrait constituer un progrès économique dans le marché de consommation de citoyenneté européenne est une véritable illusion qui est notamment marquée par de très forts taux d'absentéisme au travail qui fait naitre un sentiment de malaise sociale en entreprise et de coûts invisibles qui paralysent de notre dépenses de collectivité publique davantage qu'un salaire efficient par une semaine de 32 heures hebdomadaires. D'ailleurs, la preuve est que certaines entreprises compétitives françaises s'y sont déjà projetées. Quittes mêmes à réaménager les mesures des groupes parlementaires du sénat sur l'organisation des conditions de travail pour les 35 heures mais en les appliquant pour une durée légale de travail de 32 heures hebdomadaires. Bref, il faut voir au nom de quelle intégration de l'Europe de Jean Monnet veut-on aujourd'hui plus approfondir. Est-ce que notamment une Europe des Paradis et du dumping social ou une autre Europe ? C'est là où je te rejoints avec ma notion de réal politique ou plutôt devrais-je dire de pragmatisme politique.