Menace céleste tome 1 Extrait du chapitre deux

POUR COMMENCER JE TIENS A PRECISER QUE JE NE REPONDREZ PAS A TOUS LES COMMENTAIRES QUI NE SONT PAS CONSTRUCTIFS. LES PERSONNES HAINEUSES SONT PRIEES DE PASSER LEUR CHEMIN. CA PEUT NE PAS PLAIRE MAIS IL Y A LA FACON DE LE DIRE ET SURTOUT AVEC DES ARGUMENTS.

— Anxieux ? lui demandai-je

— Un petit peu oui, dit-il la voix vacillante. J’ai craint pour ma famille.

— J’ai eu très peur aussi, répondis-je. Mais nous ne sommes plus en danger, ça va mieux, enfin je ne sais pas comment va évoluer la situation.

Nous remontions la côte de Saint Maffre, un hameau pas très loin du village de Bruniquel, quand nous aperçûmes l’immense mur bleu. Il était gigantesque, aussi haut qu’un gratte-ciel et s’étendait à perte de vue sur la gauche comme sur la droite.

Mikael ralentit l’allure, plusieurs curieux étaient venus observer la paroi de fumée. Beaucoup d’entre eux s’étaient garés n’importe comment. Les badauds courraient sur la route, avec leur appareil photo ou bien leur téléphone portable.

— Ils ne peuvent pas faire attention, vociféra Mikael, je vais finir par en écraser un.

— Rendons-nous jusqu’au village de Montricoux, lui dis-je, les gens ont peur, ils seront moins nombreux là-bas.

Mika acquiesça, et accéléra.

Sans intérêt.

il y a 2 minutes, Talon 1 a dit :

Sans intérêt.

 Tout comme votre commentaire ! 

il y a 4 minutes, Nebultus a dit :

 Tout comme votre commentaire ! 

Je m'adapte.

Le 02/11/2022 à 14:26, Nebultus a dit :

POUR COMMENCER JE TIENS A PRECISER QUE JE NE REPONDREZ PAS A TOUS LES COMMENTAIRES QUI NE SONT PAS CONSTRUCTIFS. LES PERSONNES HAINEUSES SONT PRIEES DE PASSER LEUR CHEMIN. CA PEUT NE PAS PLAIRE MAIS IL Y A LA FACON DE LE DIRE ET SURTOUT AVEC DES ARGUMENTS.

— Anxieux ? lui demandai-je

— Un petit peu oui, dit-il la voix vacillante. J’ai craint pour ma famille.

— J’ai eu très peur aussi, répondis-je. Mais nous ne sommes plus en danger, ça va mieux, enfin je ne sais pas comment va évoluer la situation.

Nous remontions la côte de Saint Maffre, un hameau pas très loin du village de Bruniquel, quand nous aperçûmes l’immense mur bleu. Il était gigantesque, aussi haut qu’un gratte-ciel et s’étendait à perte de vue sur la gauche comme sur la droite.

Mikael ralentit l’allure, plusieurs curieux étaient venus observer la paroi de fumée. Beaucoup d’entre eux s’étaient garés n’importe comment. Les badauds courraient sur la route, avec leur appareil photo ou bien leur téléphone portable.

— Ils ne peuvent pas faire attention, vociféra Mikael, je vais finir par en écraser un.

— Rendons-nous jusqu’au village de Montricoux, lui dis-je, les gens ont peur, ils seront moins nombreux là-bas.

Mika acquiesça, et accéléra.

 

 

D'habitude, on demande : "La suite ! La suite !"

Mais là, on voudrait en savoir plus sur l'apparition de cet "immense mur bleu" ...

Alors, même si ça se dit moins je vais demander :

 "L'avant ! L'avant !" 

C'est étrange cette volonté de vouloir utiliser le passé simple avec le passé composé. J'aurais eu tendance personnellement à user de l'imparfait. En tout cas à la lecture, personnellement mes yeux accrochent sur les passés simples. (voire même tout foutre au présent).