Jean-Marc Morandini accusé de corruption de mineurs : le procès s’ouvre ce lundi

le 25 octobre 2022

il y a 17 minutes, January a dit :

Qu'est ce que tu comprends pas dans l'affaire Morandini ? Il a reconnu les faits, les messages existent, c'est quoi ton problème exactement ?

Tu réagirais comment si le gamin était un de tes proches ?

Je crois que tu ne fais pas la différence entre prescription, non lieu et relaxe. Comme à peu près tout le monde quoi.

Ici on parle de Morandini et il a fait ce dont on l'accuse.

Et on parle de mômes là ! ALLO ??

Ça dépend...y a un IQTF ou pas...pasque sinon y a même débat :unknw:

le 25 octobre 2022

il y a 26 minutes, menon a dit :

Allez la morale de la bienpensance puritaine d'extrême gauche qui distribue ses #balance ton porc ....

de toutes ces dénonciations calomnieuses plus de la moitié ont été blanchi et JAMAIS , JAMAIS vous en faites l'écho !

c'est pitoyable .

https://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2022/10/25/un-an-de-prison-avec-sursis-requis-contre-jean-marc-morandini-pour-corruption-de-mineurs_6147204_3236.html

L’animateur connaissait, en revanche, la minorité de Simon, un autre jeune de 15 ans avec qui il converse sur Twitter en 2015-2016 et à qui il demandera, en vain pendant des mois, une photo de lui dénudé.

Mouais enfin il est un peu craignos le mec tout de même.

le 25 octobre 2022

Le 22/10/2022 à 17:26, menon a dit :

Merdalor...même débat ou pas?...

Pasque quand tu évoques un fait divers marseillais, rennais, parisien ou cristoliens c'est classé "même débat sans suite" et hâtivement verrouillé, tandis que plusieurs topic sur le même "fait de société systémique" c'est pô même débat...

Je me demande vraiment c'est quoi qu'on comprend pô...

le 25 octobre 2022

Même chose, remonte les topics. Une mise en examen + un procès. Deux topics, suivi de l'actualité. Si ça ne plaît pas, là, il s'agit de s'adresser carrément à l'administrateur du site.

le 25 octobre 2022

il y a 13 minutes, Jim69 a dit :

Mouais enfin il est un peu craignos le mec tout de même.

Ca n'intéresse pas les faits, tu vois bien. Il y en a qui vont te soutenir jusqu'à la gauche (oh mon dieu un gros mot) que c'est une dénonciation calomnieuse, qu'il n'a rien fait, quand lui-même dit : ah.. j'ai été imprudent.

le 25 octobre 2022

il y a 18 minutes, Jim69 a dit :

https://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2022/10/25/un-an-de-prison-avec-sursis-requis-contre-jean-marc-morandini-pour-corruption-de-mineurs_6147204_3236.html

L’animateur connaissait, en revanche, la minorité de Simon, un autre jeune de 15 ans avec qui il converse sur Twitter en 2015-2016 et à qui il demandera, en vain pendant des mois, une photo de lui dénudé.

Mouais enfin il est un peu craignos le mec tout de même.

il est pas juste "un peu", il est "beaucoup" craignos.

le 25 octobre 2022

Heureusement nous sommes une majorité à être d'accord là dessus. Mais c'est flippant quand même de voir jusqu'où peut aller l'aveuglement, là on parle quand même du pire hein, s'attaquer aux mômes quoi..

le 25 octobre 2022

il y a 4 minutes, chanou 34 a dit :

il est pas juste "un peu", il est "beaucoup" craignos.

Oui c'est le moins qu'on puisse dire,une sorte de Matzneff quoi.

le 25 octobre 2022

https://www.nouvelobs.com/justice/20221025.OBS65078/au-proces-morandini-quand-vous-reclamez-la-photo-d-un-adolescent-nu-a-41-reprises-en-50-jours-est-ce-une-blague.html

Si Jean-Marc Morandini n’a pas contesté qu’il connaissait l’âge de Simon, il a maintenu ne pas avoir été informé de la minorité de Raphaël, dont le cas a été abordé un peu plus tôt au cours du procès. « Quand j’ai su qu’il était mineur, j’ai arrêté », s’est défendu le prévenu. Les faits remontent au printemps 2013. Raphaël, 15 ans, « fasciné » par le monde des médias, avait lui aussi échangé avec l’animateur sur Twitter. Là encore, la conversation d’abord anodine avait, très vite, dérapé.

Il y était question d’un plan à trois, mais aussi d’un scénario fictif de fellation. « MDR tu es si coquin derrière ton air sage », « Est-ce que tu veux la toucher aussi ? », « Est-ce que tu bandes ? ». Les messages lus à l’audience sont crus, sans équivoque.

« Il y a un lien qui s’est créé entre nous. Est-ce qu’il y a séduction ? La réponse est oui », indique Jean-Marc Morandini qui dit avoir trouvé dans cet échange « une soupape de décompression » à ses heures d’antenne.

On a sali ce mec ? Ah mais pas assez ! Le pire c'est qu'il va retrouver un cercle, forcément, des saloperies comme lui il y en a plein : le pouvoir, la célébrité, l'impunité.

le 25 octobre 2022

Heureusement que tous ne se voilent pas la face quand il s'agit d'enfants...

Parce qu'au final, ce qui importe, c'est bien la victime, et non son bourreau...en toute impartialité, bien évidemment...

N'est ce pas :unknw:

le 25 octobre 2022

à l’instant, sush'bar a dit :

Heureusement que tous ne se voilent pas la face quand il s'agit d'enfants...

Parce qu'au final, ce qui importe, c'est bien la victime, et non son bourreau...en toute impartialité, bien évidemment...

N'est ce pas

Allusion au cas Lola?

le 25 octobre 2022

Alors là rien à voir.

le 25 octobre 2022

il y a 17 minutes, chanou 34 a dit :

Allusion au cas Lola?

Comment ça ?

le 25 octobre 2022

il y a 5 minutes, sush'bar a dit :

Comment ça ?

Citation

Heureusement que tous ne se voilent pas la face quand il s'agit d'enfants...

Parce qu'au final, ce qui importe, c'est bien la victime, et non son bourreau...en toute impartialité, bien évidemment...

N'est ce pas

Voilà comment ça.

le 25 octobre 2022

il y a 3 minutes, chanou 34 a dit :

Voilà comment ça.

En effet c'est plus clair :crazy:

Pour info, Lola n'est pas un "cas"...Lola est une enfant, victime d'une criminelle

C'est tout ce qui devrait importer...

Mais Lola n'est certainement pas un "cas"

le 25 octobre 2022

il y a 1 minute, sush'bar a dit :

En effet c'est plus clair

Pour info, Lola n'est pas un "cas"...Lola est une enfant, victime d'une criminelle

C'est tout ce qui devrait importer...

Mais Lola n'est certainement pas un "cas"

Ok pour la rectification. Et puis? C'est une allusion à cette affaire ou pas?

le 25 octobre 2022

il y a 6 minutes, chanou 34 a dit :

Ok pour la rectification. Et puis? C'est une allusion à cette affaire ou pas?

Tant d'empathie fait chaud au cœur. Et puis? En quoi tu y vois une allusion ?

le 25 octobre 2022

Décidément les merdes sont de sortie.

le 25 octobre 2022

Au procès Morandini : « Quand vous réclamez la photo d’un adolescent nu à 41 reprises en 50 jours, est-ce une blague ? »

L’animateur de CNews comparaissait pour « corruption de mineurs aggravée » lundi 24 octobre devant le tribunal correctionnel de Paris. Il est soupçonné d’avoir échangé des messages à connotation sexuelle avec deux adolescents et d’en avoir incité un autre à se dénuder lors d’un casting. Un an de prison avec sursis a été requis.

Tantôt il ne se souvenait pas, tantôt il s’agissait d’« humour ». Ce lundi 24 octobre, alors qu’il comparaissait devant le tribunal correctionnel de Paris pour « corruption de mineurs aggravée » dans le cadre de trois affaires distinctes, l’animateur de CNews n’a eu de cesse de passer d’une stratégie à l’autre. Tout de noir vêtu, le prévenu a gardé la tête droite pendant les huit heures du procès. Le regard rarement fuyant, la voix moins véhémente qu’à l’antenne, Jean-Marc Morandini a adopté une attitude qui, à plusieurs reprises, a déconcerté l’assistance.

Dès le départ, le ton a été donné. Une demande de huis clos formulée par ses avocates, M^e Corinne Dreyfus-Schmidt et M^e Céline Lasek, qui craignaient le « déferlement médiatique », a été rejetée. Les parties civiles, elles, ne le souhaitaient pas. Et pour cause : deux des plaignants, âgés de 15 et 16 ans au moment des faits, étaient présents. Ils ont eu « le courage de venir », a souligné M^e Anthony Mottais, avocat de l’un d’entre eux. Ils ont aussi eu celui de témoigner à la barre.

« Ce n’était pas de l’humour »

Parmi eux, Simon (les prénoms ont été changés). C’est la première fois qu’il relatait son histoire. En mai 2015, ce collégien de troisième a 15 ans quand il contacte Jean-Marc Morandini sur Twitter. « J’étais fan, j’avais un sentiment de fascination », explique le jeune homme, qui sollicite l’animateur dans l’espoir de décrocher un stage. Il obtient un refus, mais ce dernier lui fait miroiter d’assister à une émission qu’il anime sur Europe 1 et de lui faire visiter les locaux de la radio.

Six mois plus tard, les échanges quasi quotidiens prennent alors une connotation sexuelle. « Il a appris que je faisais du foot. Il m’a demandé si la nudité me dérangeait, si je regardais les autres qui prenaient leur douche. J’ai trouvé ça étrange, mais j’ai répondu. Il m’a aussi posé des questions sur mon orientation sexuelle. J’ai répondu que j’aimais les filles », a-t-il raconté lors de son audition

Avec insistance, l’animateur demande alors à Simon de lui envoyer des photos de lui nu. L’adolescent essaye « de gagner du temps », esquive tant bien que mal. Au procès, des extraits sont lus :

Simon : « Ça devient très très bizarre comme conversation. »
J-M. M. : « Bah, on arrête alors, mais j’attends ma photo. »
Simon : « En fait, je suis mineur. Donc, je ne veux pas de problème. »
J-M. M. : « En même temps, il n’y a rien de grave. Tu t’amuses comme tu veux. »

« C’était une blague, un défi […]. On était dans l’humour », se défend l’animateur de 57 ans. La présidente le pousse dans ses retranchements : « Quand vous réclamez une photo d’un adolescent nu à 41 reprises en 50 jours, est-ce que vous estimez que c’est une blague ? » « Oui », répond succinctement le prévenu.

Mis sous pression dans ce « jeu » aux allures de « cap ou pas cap », Simon, qui maintient tout au long des échanges un vouvoiement avec son interlocuteur, finit par lui envoyer une photographie d’un sexe d’homme qu’il a trouvé sur internet. A la barre, ému, le jeune homme aux lunettes rondes et à l’allure fluette raconte avoir ressenti un « fort sentiment de honte » :

« Il fallait que je tienne et j’ai fini par craquer, par lui envoyer une photo. Je me suis senti con de craquer aussi facilement. A 15 ans, on est juste insouciant. […] Ce n’était pas de l’humour. Je voulais travailler dans les médias. C’était la seule porte, le seul contact possible et je n’ai pas voulu la refermer. »

Des « petits warnings » ?

Si Jean-Marc Morandini n’a pas contesté qu’il connaissait l’âge de Simon, il a maintenu ne pas avoir été informé de la minorité de Raphaël, dont le cas a été abordé un peu plus tôt au cours du procès. « Quand j’ai su qu’il était mineur, j’ai arrêté », s’est défendu le prévenu. Les faits remontent au printemps 2013. Raphaël, 15 ans, « fasciné » par le monde des médias, avait lui aussi échangé avec l’animateur sur Twitter. Là encore, la conversation d’abord anodine avait, très vite, dérapé.

Il y était question d’un plan à trois, mais aussi d’un scénario fictif de fellation. « MDR tu es si coquin derrière ton air sage », « Est-ce que tu veux la toucher aussi ? », « Est-ce que tu bandes ? ». Les messages lus à l’audience sont crus, sans équivoque.

« Il y a un lien qui s’est créé entre nous. Est-ce qu’il y a séduction ? La réponse est oui », indique Jean-Marc Morandini qui dit avoir trouvé dans cet échange « une soupape de décompression » à ses heures d’antenne. La présidente, peu convaincue par les déclarations du prévenu concernant sa non-connaissance de l’âge de Raphaël, lui demande s’il n’a pas eu « des petits warnings », notamment quand celui-ci lui indique que sa mère lui fait réciter sa leçon d’histoire. Réponse : « Mes parents m’ont fait réciter mes leçons jusqu’à mes 20 ans. »

« Est-ce que vous tweetez avec n’importe qui ou est-ce que vous avez une idée de la personne avec qui vous tweetez ?, l’interroge M^e Francis Szpiner, avocat d’un des plaignants et de l’association la Voix de l’enfant qui s’est constituée partie civile dans cette affaire.
– A partir du moment où il n’y a pas de rencontre, oui, répond Morandini. Quand j’échange des messages privés, je ne regarde pas avec qui j’échange.
– C’est très imprudent de votre part.
– Je m’en aperçois. »

Tantôt il ne se souvenait pas, tantôt il s’agissait d’« humour ». Ce lundi 24 octobre, alors qu’il comparaissait devant le tribunal correctionnel de Paris pour « corruption de mineurs aggravée » dans le cadre de trois affaires distinctes, l’animateur de CNews n’a eu de cesse de passer d’une stratégie à l’autre. Tout de noir vêtu, le prévenu a gardé la tête droite pendant les huit heures du procès. Le regard rarement fuyant, la voix moins véhémente qu’à l’antenne, Jean-Marc Morandini a adopté une attitude qui, à plusieurs reprises, a déconcerté l’assistance.

Dès le départ, le ton a été donné. Une demande de huis clos formulée par ses avocates, M^e Corinne Dreyfus-Schmidt et M^e Céline Lasek, qui craignaient le « déferlement médiatique », a été rejetée. Les parties civiles, elles, ne le souhaitaient pas. Et pour cause : deux des plaignants, âgés de 15 et 16 ans au moment des faits, étaient présents. Ils ont eu « le courage de venir », a souligné M^e Anthony Mottais, avocat de l’un d’entre eux. Ils ont aussi eu celui de témoigner à la barre.

« Ce n’était pas de l’humour »

Parmi eux, Simon (les prénoms ont été changés). C’est la première fois qu’il relatait son histoire. En mai 2015, ce collégien de troisième a 15 ans quand il contacte Jean-Marc Morandini sur Twitter. « J’étais fan, j’avais un sentiment de fascination », explique le jeune homme, qui sollicite l’animateur dans l’espoir de décrocher un stage. Il obtient un refus, mais ce dernier lui fait miroiter d’assister à une émission qu’il anime sur Europe 1 et de lui faire visiter les locaux de la radio.

Six mois plus tard, les échanges quasi quotidiens prennent alors une connotation sexuelle. « Il a appris que je faisais du foot. Il m’a demandé si la nudité me dérangeait, si je regardais les autres qui prenaient leur douche. J’ai trouvé ça étrange, mais j’ai répondu. Il m’a aussi posé des questions sur mon orientation sexuelle. J’ai répondu que j’aimais les filles », a-t-il raconté lors de son audition.

« J’étais sous son emprise » : Jean-Marc Morandini jugé pour « corruption de mineur »

Avec insistance, l’animateur demande alors à Simon de lui envoyer des photos de lui nu. L’adolescent essaye « de gagner du temps », esquive tant bien que mal. Au procès, des extraits sont lus :

Simon : « Ça devient très très bizarre comme conversation. »
J-M. M. : « Bah, on arrête alors, mais j’attends ma photo. »
Simon : « En fait, je suis mineur. Donc, je ne veux pas de problème. »
J-M. M. : « En même temps, il n’y a rien de grave. Tu t’amuses comme tu veux. »

« C’était une blague, un défi […]. On était dans l’humour », se défend l’animateur de 57 ans. La présidente le pousse dans ses retranchements : « Quand vous réclamez une photo d’un adolescent nu à 41 reprises en 50 jours, est-ce que vous estimez que c’est une blague ? » « Oui », répond succinctement le prévenu.

Mis sous pression dans ce « jeu » aux allures de « cap ou pas cap », Simon, qui maintient tout au long des échanges un vouvoiement avec son interlocuteur, finit par lui envoyer une photographie d’un sexe d’homme qu’il a trouvé sur internet. A la barre, ému, le jeune homme aux lunettes rondes et à l’allure fluette raconte avoir ressenti un « fort sentiment de honte » :

« Il fallait que je tienne et j’ai fini par craquer, par lui envoyer une photo. Je me suis senti con de craquer aussi facilement. A 15 ans, on est juste insouciant. […] Ce n’était pas de l’humour. Je voulais travailler dans les médias. C’était la seule porte, le seul contact possible et je n’ai pas voulu la refermer. »

Des « petits warnings » ?

Si Jean-Marc Morandini n’a pas contesté qu’il connaissait l’âge de Simon, il a maintenu ne pas avoir été informé de la minorité de Raphaël, dont le cas a été abordé un peu plus tôt au cours du procès. « Quand j’ai su qu’il était mineur, j’ai arrêté », s’est défendu le prévenu. Les faits remontent au printemps 2013. Raphaël, 15 ans, « fasciné » par le monde des médias, avait lui aussi échangé avec l’animateur sur Twitter. Là encore, la conversation d’abord anodine avait, très vite, dérapé.

Il y était question d’un plan à trois, mais aussi d’un scénario fictif de fellation. « MDR tu es si coquin derrière ton air sage », « Est-ce que tu veux la toucher aussi ? », « Est-ce que tu bandes ? ». Les messages lus à l’audience sont crus, sans équivoque.

« Il y a un lien qui s’est créé entre nous. Est-ce qu’il y a séduction ? La réponse est oui », indique Jean-Marc Morandini qui dit avoir trouvé dans cet échange « une soupape de décompression » à ses heures d’antenne. La présidente, peu convaincue par les déclarations du prévenu concernant sa non-connaissance de l’âge de Raphaël, lui demande s’il n’a pas eu « des petits warnings », notamment quand celui-ci lui indique que sa mère lui fait réciter sa leçon d’histoire. Réponse : « Mes parents m’ont fait réciter mes leçons jusqu’à mes 20 ans. »

« Est-ce que vous tweetez avec n’importe qui ou est-ce que vous avez une idée de la personne avec qui vous tweetez ?, l’interroge M^e Francis Szpiner, avocat d’un des plaignants et de l’association la Voix de l’enfant qui s’est constituée partie civile dans cette affaire.
– A partir du moment où il n’y a pas de rencontre, oui, répond Morandini. Quand j’échange des messages privés, je ne regarde pas avec qui j’échange.
– C’est très imprudent de votre part.
– Je m’en aperçois. »

Raphaël a depuis renoncé à sa constitution de partie civile pour échapper à la pression médiatique.

Un « traquenard »

Le cas de Clément est un peu différent, car chez lui il n’y avait pas la moindre admiration à l’égard de Jean-Marc Morandini. En 2009, cet adolescent de 16 ans inscrit sur un site de casting reçoit un e-mail d’une certaine Claire – pseudonyme dont l’enquête montrera qu’il appartient à l’animateur. Les échanges évoquent un film sur « le mal-être des adolescents ». En réalité, il s’agit d’une adaptation de « Ken Park », film du réalisateur américain Larry Clark réputé pour sa violence et ses scènes de sexe interdit à la diffusion aux moins de 18 ans.

L’adolescent, dont la mère assure avoir eu Jean-Marc Morandini au téléphone et lui avoir rappelé l’âge de son fils, se serait rendu alors au domicile parisien de l’animateur en vue d’y passer un casting. Le prévenu lui aurait alors demandé de se dénuder,

Suite ici : https://www.nouvelobs.com/justice/20221025.OBS65078/au-proces-morandini-quand-vous-reclamez-la-photo-d-un-adolescent-nu-a-41-reprises-en-50-jours-est-ce-une-blague.html

le 25 octobre 2022

Cette fois elles ne sont pas arrivées simultanément...ça fonctionne vachement moins bien, d'un coup...

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Invité Jim69

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Au procès Morandini : « Quand vous réclamez la photo d’un adolescent nu à 41 reprises en 50 jours, est-ce une blague ? »

« Ce n’était pas de l’humour »

Des « petits warnings » ?

« Ce n’était pas de l’humour »

Des « petits warnings » ?

Un « traquenard »

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