qui sommes nous ?

bonjour 

c'est une question qui sent le souffre et qui n'en à l'air ?

somme nous ce que nous croyons être ?

somme nous ce que les autres croient que nous somme ?

somme nous conscient d'être ce que nous croyons être ?

- avons nous plusieurs personnalités conscientes ou inconscientes , qui s'adapterais aux circonstances ?

- notre personnalité serait elle adaptable aux événement ou aux gens que l'ont rencontre ?

vaste sujet , peut-être sans logique ?

bonne journée

Le principe est que l'humain a pour souci d'être intégré dans une communauté. C'est elle qui l'identifie. Elle influence aussi sa personnalité. Et réciproquement, l'individu influence la communauté.

Bref, j'ai besoin de me comparer à un autre pour savoir si je suis grand ou petit. Nul n'est sa propre référence, sauf l'ermite.

il y a 9 minutes, Talon 1 a dit :

Le principe est que l'humain a pour souci d'être intégré dans une communauté. C'est elle qui l'identifie. Elle influence aussi sa personnalité. Et réciproquement, l'individu influence la communauté.

Bref, j'ai besoin de me comparer à un autre pour savoir si je suis grand ou petit. Nul n'est sa propre référence, sauf l'ermite.

À partir de votre « sentence » je fais l’observation suivante. Ce que vous dites est une hypothèse mais vous la faites passer pour vérité. Nous voyons comment nous risquons de figer notre pensée : transformer en vérité ce qui est hypothèse. Cette transformation fige la pensée et engendre le vieillissement ( du cerveau). Nous pouvons garder une souplesse du cerveau en évitant de réaliser cette transformation ( de l’hypothèse à la vérité). 
Cette critique je l’ai déjà faite à @Don Juanqui aime faire de sa pensée une vérité. 
Ce travers, faire de sa pensée, non une hypothèse mais une vérité signifie l’introduction dans le vieillissement  et la mort. 
La sagesse n’est autre que la mort.

Je dois moi même être particulièrement attentive à ne pas verser dans l’antichambre de votre mort, de ma propre mort cérébrale qui nous guette toutes et tous.

il y a 8 minutes, Talon 1 a dit :

Le principe est que l'humain a pour souci d'être intégré dans une communauté. C'est elle qui l'identifie. Elle influence aussi sa personnalité. Et réciproquement, l'individu influence la communauté.

Bref, j'ai besoin de me comparer à un autre pour savoir si je suis grand ou petit. Nul n'est sa propre référence, sauf l'ermite.

bonjour

exactement , sans les autres , nous serions incapable de savoir ce que nous somme vraiment ? sauf ceux qui sont imbus de leurs personne ?

les autres semble avoir une influence sur notre comportement ? ce sont eux qui nous conditionne dans ce que nous somme qui , malgré tout , peut aussi être faux ?

un dictateur , un artiste ou autres , n'est que ce qu'il est que par ce qu'il croit être ?

mais il ne sait qu'il est comme les autres  ,tout en ayant des qualités ou des dispositions particulières  qui sont reconnues ou accepté  que par certains et pas d'autres ?

bonne journée

il y a 4 minutes, satinvelours a dit :

À partir de votre « sentence » je fais l’observation suivante. Ce que vous dites est une hypothèse mais vous la faites passer pour vérité. Nous voyons comment nous risquons de figer notre pensée : transformer en vérité ce qui est hypothèse. Cette transformation fige la pensée et engendre le vieillissement ( du cerveau). Nous pouvons garder une souplesse du cerveau en évitant de réaliser cette transformation ( de l’hypothèse à la vérité). 
Cette critique je l’ai déjà faite à @Don Juanqui aime faire de sa pensée une vérité. 
Ce travers, faire de sa pensée, non une hypothèse mais une vérité signifie l’introduction dans le vieillissement  et la mort. 
La sagesse n’est autre que la mort.

Je dois moi même être particulièrement attentive à ne pas verser dans l’antichambre de votre mort, de ma propre mort cérébrale qui nous guette toutes et tous.

bonjour

malgré tout , la naissance et la mort , ne sont que deux réalités que nous ne pouvons éviter .

nous en avons conscience sans en fair un obstacle à la vie qui nous attend .

sinon , le monde humain , qui en serait "peut-être seul conscient "  refuserait de vivre la vie puisqu'elle ne serait qu'un " échec " quoique l'on est vécue , soit humble , riche , célèbre ou religieux ?

la vie est relative , nous pouvons mourir à la naissance ou même dans le ventre de notre Mère ou vivre Jusqu'à 100 ou 115  ans ou plus ? les destins , ne serait que circonstances ? la vie , une aventure sans véritable bût peut-être ?

bonne journée 

il y a une heure, satinvelours a dit :

À partir de votre « sentence » je fais l’observation suivante. Ce que vous dites est une hypothèse mais vous la faites passer pour vérité. Nous voyons comment nous risquons de figer notre pensée : transformer en vérité ce qui est hypothèse. Cette transformation fige la pensée et engendre le vieillissement ( du cerveau). Nous pouvons garder une souplesse du cerveau en évitant de réaliser cette transformation ( de l’hypothèse à la vérité). 
Cette critique je l’ai déjà faite à @Don Juanqui aime faire de sa pensée une vérité. 
Ce travers, faire de sa pensée, non une hypothèse mais une vérité signifie l’introduction dans le vieillissement  et la mort. 
La sagesse n’est autre que la mort.

Je dois moi même être particulièrement attentive à ne pas verser dans l’antichambre de votre mort, de ma propre mort cérébrale qui nous guette toutes et tous.

Tu parles à des gens qui sont sensés être assez vieux et de vieillissement et de mort !

Tu aimes faire du mal ! Faire le mal ! ça te fait jouir ?

C'est du vice.

C'est minable.

Absolument.

Tu te sens mieux ? Moins vieux ? Plus intelligent ?

Tant que je peux faire du mal je suis vivant !

Non : vivantE ! 

Mais puisqu'on parle de vérité, c'est quoi la vérité :

Vivant ou vivantE ?

Un "satin-velours" qui griffe : la vérité est dans l'oxymore, dans le paradoxe : on connait la chanson...

BHL d'opérette !

 Vous viviez vous les êtres de la terre il y a bien longtemps de cela, il y a des éons de cela. En ce temps-là l’homme n’était pas assujetti comme vous l’êtes aujourd’hui, parfaitement libre en sa demeure, parfaitement au faîte de sa libre condition ‘d’homme Dieu’ dirions nous il SAVAIT, il connaissait son lien avec toute la Création, il ne se disait pas ‘et si je vais par là j’aurai peut-être ce résultat là…’ Non ! l’Homme de ce temps savait qu’un souhait énoncé à partir du centre de son Être était entendu et n’avait donc aucun doute quand à la réalisation de son souhait. Ainsi donc chers Êtres humains d’aujourd’hui, cela pour vous dire que, peut-être l’avez-vous déjà remarqué mais il semble que votre ‘psyché’ fonctionne quelque peu différemment des Êtres de ce temps-là non ? Vous vous demandez sans cesse ‘Que vais-je faire de ma vie ? Vais-je réussir ? Si je fais ce choix là, sera t’il bon pour moi ?’ ( rires ) Eh bien notre réponse est NON ! ( humour ) si vous faites le choix de ne pas croire que vous êtes des Êtres illimités qui détiennent le pouvoir du Créateur entre leurs mains alors Non votre choix n’est pas le ‘bon’ selon vos critères. Le BON et Véritable choix à ÊTRE chers êtres c’est le choix qui dit OUI à votre coeur, c’est le choix que vous avez toujours repoussé jusqu’à être poussé dans vos retranchements et de ne plus être capable de ‘faire’ autrement, voyez chers êtres humains de la Terre, si vous vous questionniez un peu moins sur le pourquoi et le comment alors peut-être que vous pourriez ENFIN être qui vous êtes ! Et oui chers êtres de la Terre, qui n’a pas rêvé d’un petit paradis de son chez Soi, qui n’a pas rêvé de faire trois fois le tour du monde avant de prendre racine ?