moralité libertaire ou la conscience de la morale

Le titre ne vous dit peut être rien;

Chacun de nous ayant son propre lexique des choses de la vie , comme le sens de la morale, celui de la liberté, la conscience de ce qui est, et les conséquences de ce qui pourrait être si on dérive dans le sens de ce qu'on voudrait ou de ceux qu'on suit;  mode du jour , d'un jour , ou d'un temps . Avec un sens originel dénaturé et attribué à des situations, des faits ...avec un selon que très ''personnalisé'' ( ou encore éternellement contradictoire )

Pourquoi des mots comme liberté et droit sont ainsi déviés de leur sens...

( sujet nait , en lisant le forum et certaines interventions très typés...je ne vous dirais pas le sens de typé ^^)

il y a 13 minutes, Lowy a dit :

Le titre ne vous dit peut être rien;

Pas très clair... 

La morale est ce que l’on s’impose à soi-même, la moralité est en général ce que l’on exige des autres.

J’ai l’impression que c’est le second registre sur la moralité qui semble justifier votre intervention et vos interrogations ?

Me trompe-je ? 

Il y a 11 heures, Lowy a dit :

Le titre ne vous dit peut être rien;

Chacun de nous ayant son propre lexique des choses de la vie , comme le sens de la morale, celui de la liberté, la conscience de ce qui est, et les conséquences de ce qui pourrait être si on dérive dans le sens de ce qu'on voudrait ou de ceux qu'on suit;  mode du jour , d'un jour , ou d'un temps . Avec un sens originel dénaturé et attribué à des situations, des faits ...avec un selon que très ''personnalisé'' ( ou encore éternellement contradictoire )

Pourquoi des mots comme liberté et droit sont ainsi déviés de leur sens...

( sujet nait , en lisant le forum et certaines interventions très typés...je ne vous dirais pas le sens de typé ^^)

 

Justement on aimerait que vous soyez plus précis quant aux interventions que vous évoquez de manière si allusive.

Il y a 11 heures, Enchantant a dit :

La morale est ce que l’on s’impose à soi-même,

Comme les tiques.

il y a 14 minutes, Talon 1 a dit :

Comme les tiques.

On sent le vécu ! 

Il y a 12 heures, Lowy a dit :

Pourquoi des mots comme liberté et droit sont ainsi déviés de leur sens...

Parce que ce sont des concepts ? Et que nous les appréhendons avec NOTRE paradigme ?

Il y a 5 heures, Mite_Railleuse a dit :

Parce que ce sont des concepts ? Et que nous les appréhendons avec NOTRE paradigme ?

Pour moi, ce ne sont pas des concepts établis mais un état de fait, être libre , on nait libre ...

Chacun de nous à sa façon de voir les choses, chacun à sa propre notion de liberté, de regard porté sur les autres ou sur le fonctionnement du monde , pas forcément par son éducation, son environnement ou sa culture, je suppose que c'est plus complexe que cela. 

En même temps, je me dis que certaines notions? états de faits comme je les considère , concepts pour d'autres ?  se démarquent au delà de notre pensée , souvent tronquée ou influencée...

Il y a 17 heures, Enchantant a dit :

Pas très clair... 

La morale est ce que l’on s’impose à soi-même, la moralité est en général ce que l’on exige des autres.

J’ai l’impression que c’est le second registre sur la moralité qui semble justifier votre intervention et vos interrogations ?

Me trompe-je ? 

Les 2.

il y a 2 minutes, Lowy a dit :

Chacun de nous à sa façon de voir les choses, chacun à sa propre notion de liberté, de regard porté sur les autres ou sur le fonctionnement du monde , pas forcément par son éducation, son environnement ou sa culture, je suppose que c'est plus complexe que cela. 

Oui, c’est ce que je dis…

''Le  livre intitulé L’influence de l’odeur des croissants chauds sur la bonté humaine, de Ruwen Ogien, est une référence incontournable. L’auteur y dévoile toute l’étendue de son talent, lié à sa maîtrise des casse-tête moraux qui font les délices des amis de la méta-éthique et à un ton qui va parfaitement bien avec l’esprit de liberté que ce petit chef d’œuvre cherche à promouvoir. Cette liberté est la liberté de l’esprit, le développement du sens critique qui passe par l’expérimentation morale, la confrontation à des situations, comme celle du Tramway qui tue, où chacun reconnaît que rien dans les concepts et la méthode de la philosophie morale n’est à l’abri de la contestation et de la révision. Cet ouvrage, qui n’est pas exempt de malice et que l’on lit avec délectation, est, en réalité, un plaidoyer en faveur du pluralisme moral. Plus pudique que désinvolte, Ruwen Ogien enseigne, de manière élégante et distrayante, la profondeur du scepticisme moral, ce qui n’a rien à voir avec le relativisme.

L’éthique minimaliste peut donc servir de critère pour légiférer dans une démocratie. La séparation entre la morale et le droit nous aide à dénoncer le retour à un ordre moral liberticide et réactionnaire pouvant se déguiser derrière la référence au bien commun et à des notions non critiquées et intimidantes, comme celle de dignité, de vertu ou de devoir. C’est pourquoi Ruwen Ogien, qui incarne cette défense de la liberté, occupe une place à part dans le paysage philosophique. Ecouter ce philosophe, rencontrer ce personnage attachant, c’est être conquis par ce combat et l’embrasser en souriant. Cependant, il n’est pas sûr que l’éthique minimaliste soit suffisante quand nous examinons des problèmes qui vont au-delà de la coexistence pacifique des libertés et souhaitons parvenir à une législation adaptée. Or, c’est le cas de nombreuses questions dites de bioéthique.

En effet, l’euthanasie et le suicide assisté ne renvoient pas seulement au droit de l’individu à décider du jour et de l’heure de sa mort, mais, à la différence du suicide qui est un acte privé, ils impliquent une structure de soins et ont un impact sur les pratiques, sur les différents acteurs ainsi que sur le sens du soin. De même, les thérapies géniques somatiques et germinales et le clonage ne peuvent être convenablement appréciés si on s’en tient au vocabulaire des droits de l’homme et même à l’importante question de l’équitable répartition des ressources. La tâche du philosophe politique n’est pas de dire si une technique est bonne ou mauvaise en soi en vertu d’une conception figée du bien et du mal, mais de mesurer son impact sur le sens des institutions et sur les différents acteurs et d’évaluer sa compatibilité ou son incompatibilité avec les idéaux qui soustendent cette institution.

https://www.cairn.info/revue-raison-publique-2017-2-page-251.htm

La moralité libertaire, engage des actions liberticides par les moyens les plus faciles, et le moins coûteux . 

La conscience de la morale, c'est un état de conscience, oscillant entre le manichéisme  .

Un état de mort . 

Un vol de mort .

La condition humaine

La condition humaine , un raccourci?