Vu de la Suisse , pour Le Temps, impossible de faire confiance aux sondages français .

Le 05/02/2022 à 12:30, PASCOU a dit :

Connectez-vous sur n’importe quelle chaîne TV française ou ouvrez n’importe quel journal : la réponse est là, sous forme de sondages, d’enquêtes d’opinion ou de baromètre des personnalités françaises. Elle se lit sous forme de pourcentages assénés comme des évidences", souligne le correspond du journal suisse Le Temps à Paris, Richard Werly,

1) ce n'est pas "vu de la Suisse" mais vu par UN suisse,un journaliste, M. Richard Werli.

2) M. Werly confond un sondage politique, et l’exploitation qui en est faite par ses confrères journalistes, chroniqueurs, commentateurs plus ou moins objectifs

3) J'aime bien les définitions de sondage proposées par un autre ressortissant d'un pays voisin, dont l'habileté à dire des choses justes avec humour n'est plus à démontrer : "Il existe deux définitions généralement acceptées...

La première est utilisée lorsque le sondage est positif pour la personne ou le parti interrogé. Dans ce cas, le sondage "est un élément qui fait plaisir, qui confirme qu'on est sur la bonne voie et salue le travail accompli".

La deuxième définition est plus longue et est utilisée lorsque les résultats du sondage sont clairement négatifs pour la personne ou le parti interrogé. Dans ce cas, le sondage est généralement défini comme "une simple photographie d'un instant figé de la vie politique avec une méthodologie particulière, comprenant des marges d'erreur importantes, et qui ne donne qu'une impression du moment, influencée par la dernière sortie de l'un ou l'autre ou par l'émotion provoquée par les derniers développements de l'actualité récente, dont il serait imprudent de tirer des conclusions politiques hâtives,..."

• Hugo Poliart Ecrivain et blogueur bruxellois

il y a 2 minutes, pluc89 a dit :

1) ce n'est pas "vu de la Suisse" mais vu par UN suisse,un journaliste, M. Richard Werli.

2) M. Werly confond un sondage politique, et l’exploitation qui en est faite par ses confrères journalistes, chroniqueurs, commentateurs plus ou moins objectifs

3) J'aime bien les définitions de sondage proposées par un autre ressortissant d'un pays voisin, dont l'habileté à dire des choses justes avec humour n'est plus à démontrer : "Il existe deux définitions généralement acceptées...

La première est utilisée lorsque le sondage est positif pour la personne ou le parti interrogé. Dans ce cas, le sondage "est un élément qui fait plaisir, qui confirme qu'on est sur la bonne voie et salue le travail accompli".

La deuxième définition est plus longue et est utilisée lorsque les résultats du sondage sont clairement négatifs pour la personne ou le parti interrogé. Dans ce cas, le sondage est généralement défini comme "une simple photographie d'un instant figé de la vie politique avec une méthodologie particulière, comprenant des marges d'erreur importantes, et qui ne donne qu'une impression du moment, influencée par la dernière sortie de l'un ou l'autre ou par l'émotion provoquée par les derniers développements de l'actualité récente, dont il serait imprudent de tirer des conclusions politiques hâtives,..."

• Hugo Poliart Ecrivain et blogueur bruxellois

   

Oui, c'est  bien.tu sais lire.

il y a 26 minutes, PASCOU a dit :

Oui, c'est  bien.tu sais lire.

Un compliment venant de vous ! Je suis flatté !

il y a une heure, pluc89 a dit :

La deuxième définition est plus longue et est utilisée lorsque les résultats du sondage sont clairement négatifs pour la personne ou le parti interrogé. Dans ce cas, le sondage est généralement défini comme "une simple photographie d'un instant figé de la vie politique avec une méthodologie particulière, comprenant des marges d'erreur importantes, et qui ne donne qu'une impression du moment, influencée par la dernière sortie de l'un ou l'autre ou par l'émotion provoquée par les derniers développements de l'actualité récente, dont il serait imprudent de tirer des conclusions politiques hâtives,..."

On notera au passage que les instituts de sondages ne cessent eux-mêmes de rappeler que leurs études:

• Sont une simple photographie d'un instant figé de la vie politique
• Qu'elles comportent une marge d'erreur
• Qu'elles ne donnent qu'une impression du moment

Au passage, on notera que le vote lui-même est aussi 

• Une photographie d'un instant figé de la vie politique
  Comme l'attestent les brutales (et récurrentes) chutes de popularité du président élu, à peine quelques mois après son élection.
• Influencé par les derniers développements de l'actualité récente
  On se souviendra, par exemple, du 18 avril 2002 et de "l'agression de Papy Voise", ultramédiatisée et surexploitée politiquement, qui a accélérée la "chute" de Jospin.

Pour en revenir aux sondages, s'ils ne constituent effectivement qu'une "image figée", on peut quand même noter que le déroulé d'une accumulation "d'images figées" finit par produire ... "un film" !
Qui permet le constat de dynamiques, positives et négatives.

En 2017, le "film" des sondages permettait clairement de constater:

• La très forte progression de Macron
• La baisse de Le Pen
• La très forte baisse de Fillon (et ce BIEN AVANT le "Penelopegate")