Quel est l'antonyme de " Choisir " ?

Si l'on ne choisit pas ce que l'on désire..
Alors ne peut on prétendre faire un choix par désir.

Aussi est-ce une question hiérarchique.
Chronologique.
L'envie, le besoin.. L'état.
La volonté. Le comportement.

Blablablablabla.

Mais ce qui m'intéresse aujourd'hui, c'est de créer une dichotomie.
De dissiper un amalgame.
De découvrir une nuance.

Aussi vous demanderais-je..
Quel est l'antonyme de " Choisir" ?



Il m’apparait que c'est ce qui fait le propre d'une politique synthétique, humaine.
Il m'apparait que la conséquence du choix, est toujours synonyme d'interdiction.
Pour donner suite à mon topic d'hier, voilà un échelon anterieur, hiérarchiquement supérieur.


En effet, l'on voit des outils animaux avoir une influence immédiate, sur l'espace.
Et l'on voit des outils humains avoir une influence différée, sur le temps.
L'imminence étant le sujet central de cette réflexion, elle n'est pas le sujet d'aujourd'hui.

Aujourd'hui, je veux me concentrer sur la conséquence.

Effectivement, il m'apparait qu'une politique animale, chaotique, trouve son mouvement dans l’inconséquence des animaux qui l'anime.
Tout comme, il m'apparait qu'une politique humaine, synthétique, trouve son mouvement dans la conséquence de ceux qui l'anime.

Voilà ce qui peut influencer un choix, selon moi.
La conséquence.
Voilà ce qui peut outrepasser l'envie, le besoin.
La peur.

Effectivement.. l'on a vu des écureuils faire des provisions pour préparer l'hiver.
Mais nulle part ailleurs que chez l'humain l'on a vu des calendriers.


Tout ceci est bien maladroit, j'en conviens.
Néanmoins...

Si l'état de conséquence trouve son comportement dans le choix.
L'état d'inconséquence trouve son comportement dans quel verbe ?

 

Le 12/12/2021 à 12:19, QuatreEtCinq a dit :

Si l'on ne choisit pas ce que l'on désire..
Alors ne peut on prétendre faire un choix par désir.

Aussi est-ce une question hiérarchique.
Chronologique.
L'envie, le besoin.. L'état.
La volonté. Le comportement.

Blablablablabla.

Mais ce qui m'intéresse aujourd'hui, c'est de créer une dichotomie.
De dissiper un amalgame.
De découvrir une nuance.

Aussi vous demanderais-je..
Quel est l'antonyme de " Choisir" ?



Il m’apparait que c'est ce qui fait le propre d'une politique synthétique, humaine.
Il m'apparait que la conséquence du choix, est toujours synonyme d'interdiction.
Pour donner suite à mon topic d'hier, voilà un échelon anterieur, hiérarchiquement supérieur.


En effet, l'on voit des outils animaux avoir une influence immédiate, sur l'espace.
Et l'on voit des outils humains avoir une influence différée, sur le temps.
L'imminence étant le sujet central de cette réflexion, elle n'est pas le sujet d'aujourd'hui.

Aujourd'hui, je veux me concentrer sur la conséquence.

Effectivement, il m'apparait qu'une politique animale, chaotique, trouve son mouvement dans l’inconséquence des animaux qui l'anime.
Tout comme, il m'apparait qu'une politique humaine, synthétique, trouve son mouvement dans la conséquence de ceux qui l'anime.

Voilà ce qui peut influencer un choix, selon moi.
La conséquence.
Voilà ce qui peut outrepasser l'envie, le besoin.
La peur.

Effectivement.. l'on a vu des écureuils faire des provisions pour préparer l'hiver.
Mais nulle part ailleurs que chez l'humain l'on a vu des calendriers.


Tout ceci est bien maladroit, j'en conviens.
Néanmoins...

Si l'état de conséquence trouve son comportement dans le choix.
L'état d'inconséquence trouve son comportement dans quel verbe ?

 

Tu opposes les animaux aux humains en oubliant que ces derniers ont perdu (pour la plupart ) leur instinct.

 Et puis choisir c'est renoncer .. alors pour ne nous fermer aucune porte il suffit de renoncer .. d'accepter que les autres fassent des choix qu'ils nous soumettent pour ensuite nous plaindre de ne plus être souverains dans la gestion de nos désirs ..

Le 12/12/2021 à 12:19, QuatreEtCinq a dit :

Si l'état de conséquence trouve son comportement dans le choix.
L'état d'inconséquence trouve son comportement dans quel verbe ?

Le choix basé sur les conséquences présupose le temps et la mémoire, par désir d'obtenir un résultat et en éviter d'autres (mémorisés), c'est donc sur la base de la mémoire de conséquences passées à des faits passés qu'on établit des choix pour l'avenir

Mais est-ce raisonnable hormis pour les problèmes techniques, sachant que chaque situation personnes étant unique et pouvant potentiellement changer. Le choix présuppose en quelque sorte d'attribuer une certaine fixité aux choses et aux gens, leur refuser potentialité de changer. Choisir pourrait revenir indirectement à faire déni de la réalité présente par peur ou par désir.

L'anthonyme de choisir pourrait donc être agir en fonction de ce qui est.

Neutralité.

Le 12/12/2021 à 15:42, Talon 1 a dit :

Neutralité.

Ca me plait.
Ce n'est pas le terme que je garderais en définitive, mais c'est celui qui me pique le plus pour l'instant.
Merci.

Le 12/12/2021 à 13:18, Sittelle a dit :

Tu opposes les animaux aux humains en oubliant que ces derniers ont perdu (pour la plupart ) leur instinct.

 Et puis choisir c'est renoncer .. alors pour ne nous fermer aucune porte il suffit de renoncer .. d'accepter que les autres fassent des choix qu'ils nous soumettent pour ensuite nous plaindre de ne plus être souverains dans la gestion de nos désirs ..

Je ne suis pas sur de comprendre où tu veux en venir.

Je te dirais simplement que même les hommes n'ont pas perdus, encore, leurs instincts.
La génétique s'en chargera sous peu, mais pour l'heure, l'intuition est encore quelque chose.

Choisir c'est renoncer...
C'est une idée qui me plait.
Qui me plait beaucoup.
Effectivement, il y a dix ans, je parlais d'acceptation, et de non-acceptation.
Et c'est un peu ce que j'essayais maladroitement d'exprimer.

Il m'apparait, en effet, que choisir s'apparente à une non-acceptation.
Mais.. une non-acceptation de quoi ?

Développe un peu plus s'il te plait.

Le 12/12/2021 à 14:34, Gremlyne a dit :

Le choix basé sur les conséquences présupose le temps et la mémoire, par désir d'obtenir un résultat et en éviter d'autres (mémorisés), c'est donc sur la base de la mémoire de conséquences passées à des faits passés qu'on établit des choix pour l'avenir.

Précisément.
C'est dans ce sens que je parle d'une influence différée, et temporelle.
Mais... C'est autre chose que la mémoire.
A la vérité....
Il s'agit de schizophrénie.
C'est le terme le plus approprié.

 

Le 12/12/2021 à 14:34, Gremlyne a dit :

Mais est-ce raisonnable hormis pour les problèmes techniques, sachant que chaque situation personnes étant unique et pouvant potentiellement changer. Le choix présuppose en quelque sorte d'attribuer une certaine fixité aux choses et aux gens.

L'anthonyme de choisir pourrait donc être agir en fonction de ce qui est.

Effectivement, le choix considère un " état "
Alors que la vie n'est que "comportement"

Et c'est cela la schizophrénie.
L'appréciation du temps, d'un temps figé.

C'est une dévitalisation, un arrêt du mouvement.
C'est très intéréssant théoriquement.
Et il apparait que tout état synthétique ne trouve d'allégorie que dans la mort.


J'aime vraiment beaucoup " agir"
Mais ce n'est pas ça.
Il faudrait trouver le verbe qui lui est anterieur dans le comportement.
Il faudrait lui trouver une superiorité hiérarchique, chronologique.

Ainsi le comportement synthétique choisit avant d'agir.
Le comportement chaotique agit.
Effectivement, il ne fait rien avant.
Mais j'aimerais trouver le terme qui pourrait désigner son " état" post-action.

Le 12/12/2021 à 15:45, QuatreEtCinq a dit :

Ca me plait.
Ce n'est pas le terme que je garderais en définitive, mais c'est celui qui me pique le plus pour l'instant.
Merci.

Je ne suis pas sur de comprendre où tu veux en venir.

Je te dirais simplement que même les hommes n'ont pas perdus, encore, leurs instincts.
La génétique s'en chargera sous peu, mais pour l'heure, l'intuition est encore quelque chose.

Choisir c'est renoncer...
C'est une idée qui me plait.
Qui me plait beaucoup.
Effectivement, il y a dix ans, je parlais d'acceptation, et de non-acceptation.
Et c'est un peu ce que j'essayais maladroitement d'exprimer.

Il m'apparait, en effet, que choisir s'apparente à une non-acceptation.
Mais.. une non-acceptation de quoi ?

Développe un peu plus s'il te plait.

Je ne pense pas à une non acceptation.

 Je sais juste que je ne suis pas capable de choisir. j'hésite beaucoup, et quand j'ai enfin opté pour une chose, j'éprouve le sentiment de m'être trompé.

 Quand je dis que choisir c'est renoncer, c'est parce que si tu prends le bleu, tu renonces au rouge..

 Si tu choisis le chemin de gauche, tu ne sauras jamais ou t'aurait mené celui de droite.

Pour moi l'antagonisme de choisir c'est tergiverser.

Et si par mégarde quelqu'un fait un choix à ma place je m'insurgerai parce que l'on m’installe dans une position que je n'ai pas choisie, me forçant à renoncer à un quelque chose que je ne connaitrais jamais.

Tout prendre.

Sur l'ile déserte, il faut tout emporter.

Il est dommage que j'ai perdu le lien dans mes ordinateurs et notes... Mais un jour je retrouverai ces travaux scientifiques passionnants (à ne pas remettre en les mains de n'importe quelle secte qui sera pret à en détourner le contenu) qui constatait la possibilité de réactions complexes (pas de l'instinct) qui ne passait pas par le cerveau, dont l'information parvenait au cerveau après coup.

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Le 12/12/2021 à 16:03, Gremlyne a dit :

 

Il est dommage que j'ai perdu le lien dans mes ordinateurs et notes... Mais un jour je retrouverai ces travaux scientifiques passionnants (à ne pas remettre en les mains de n'importe quelle secte qui sera pret à en détourner le contenu) qui constatait la possibilité de réactions complexes (pas de l'instinct) qui ne passait pas par le cerveau, dont l'information parvenait au cerveau après coup.

Cela parait fort intéressant.
Mais cela ne m'intéresse pas.

Je veux des données tangibles.
Les données tangibles.. Ce sont les miennes, celles des gens avec qui je parle.

Les travaux des inconnus sont les travaux des inconnus.
Ils ne sont pas mes travaux.

Pourtant  même ici entre nous nous sommes des inconnus ..