Il existe bien des différences cérébrales entre les sexes !

En fin d'article, vous trouverez la phrase suivante :

De manière plus générale, aucune différence cérébrale observée entre les sexes ne vient à l’appui de stéréotypes sexistes.

Je vous laisse lire l'article, conclusion d'une étude fouillée :

https://theconversation.com/les-differences-cerebrales-entre-les-sexes-ne-se-reduisent-pas-aux-differences-de-taille-du-corps-169655

Le 15/11/2021 à 07:37, Pratika a dit :

En fin d'article, vous trouverez la phrase suivante :

De manière plus générale, aucune différence cérébrale observée entre les sexes ne vient à l’appui de stéréotypes sexistes.

Je vous laisse lire l'article, conclusion d'une étude fouillée :

https://theconversation.com/les-differences-cerebrales-entre-les-sexes-ne-se-reduisent-pas-aux-differences-de-taille-du-corps-169655

Du coup c'est le contraire du titre ?

Pour comprendre, il faut lire l'article, Sittelle.

Il existe des différences, repérables sur des graphiques, mais, dans l'ensemble, rien ne permet d'étayer des propos sexistes.

L'éducation différente forme le cerveau selon des valeurs différentes. Mozart a obtenu la bosse de la musique parce qu'il a été éduqué avec excès dans la musique. Au détriment du développement d'autres capacités.

Le 15/11/2021 à 12:04, Talon 1 a dit :

L'éducation différente forme le cerveau selon des valeurs différentes. Mozart a obtenu la bosse de la musique parce qu'il a été éduqué avec excès dans la musique. Au détriment du développement d'autres capacités.

je ne sais pas si c'est absolument exact mais il y a probablement du vrai.

dans l'enfance, le cerveau est "plastique" et est grandement modelé par les divers apprentissages.  Mais si un secteur cérébral est particulièrement sollicité, il est normal que le cerveau s'adapte en multipliant les connexions dans ce secteur et que le nombre de neurones plus important à la naissance meurent moins ici qu'en d'autres secteurs. Cela va créer uen différence avec d'autres cerveaux moins sollicités ou sollicités en d'autres secteurs cérabraux. Nous ne sommes pas identiques, on le sait depuis longtemps et c'est très bien pour la diversité sociale.