Aller au contenu

Qu'est-ce qu'une particule?

Noter ce sujet


Invité JOSEPH DELETRE

Messages recommandés

Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)

Permettez-moi de revenir encore sur l'essentiel.

Une particule relève de la dualité onde-corpuscule.

Dans le cas du photon, cela revient à écrire que la lumière est émise par quanta d'énergie e=h.v où h est la constante de Planck et v (lettre grecque nu) la fréquence de la lumière.

Or, une fréquence est un certain multiple de périodes par unité de durée (une seconde pour faire simple).

Par conséquent, écrire e=h.v, c'est faire du photon, un certain multiple de périodes ondulatoires fondamentalement.

Il faut donc bien saisir que la réalité est intangible et que les particules ne sont que des ondes.

Or, une onde est jamais qu'un message conforme à une vérité.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
Il y a 8 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Permettez-moi de revenir encore sur l'essentiel.

Une particule relève de la dualité onde-corpuscule.

Dans le cas du photon, cela revient à écrire que la lumière est émise par quanta d'énergie e=h.v où h est la constante de Planck et v (lettre grecque nu) la fréquence de la lumière.

Or, une fréquence est un certain multiple de périodes par unité de durée (une seconde pour faire simple).

Par conséquent, écrire e=h.v, c'est faire du photon, un certain multiple de périodes ondulatoires fondamentalement.

Il faut donc bien saisir que la réalité est intangible et que les particules ne sont que des ondes.

Or, une onde est jamais qu'un message conforme à une vérité.

Bullshit d’ignorance

D’ailleurs connaissez vous une seule onde ou un seul corpuscule qui ait des manifestations discontinues par Quanta d’énergie ? Des sauts dans l’espace ?

 

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, scientifique, Posté(e)
Répy Membre 24 182 messages
scientifique,
Posté(e)
Il y a 12 heures, Zéno a dit :

Les ondes interagissent . 

oui selon une addition "vectorielle".

  • Merci 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

MembreR, 24ans Posté(e)
arrial MembreR 1 904 messages
Forumeur vétéran‚ 24ans‚
Posté(e)
il y a 12 minutes, zenalpha a dit :

Bullshit d’ignorance

Mais Monsieur se présente pourtant et présentement comme un éminent physicien ‼

 

< nonMé oHé d'Abord mÊme >

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
il y a 3 minutes, arrial a dit :

Mais Monsieur se présente pourtant et présentement comme un éminent physicien ‼

 

< nonMé oHé d'Abord mÊme >

C’est bien pour ça que je préfère linker une vidéo de physicien traitant ce point.

Maintenant rien n’interdit de s’intéresser à ce sujet

Mais une ânerie est une ânerie.

Modifié par zenalpha
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 43ans Posté(e)
Zéno Membre 5 449 messages
Maitre des forums‚ 43ans‚
Posté(e)
il y a 9 minutes, Répy a dit :

oui selon une addition "vectorielle".

Oui , et selon une amplitude et une fréquence aussi. 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, scientifique, Posté(e)
Répy Membre 24 182 messages
scientifique,
Posté(e)
Il y a 9 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

1° Une particule relève de la dualité onde-corpuscule.

Dans le cas du photon, cela revient à écrire que la lumière est émise par quanta d'énergie e=h.v où h est la constante de Planck et v (lettre grecque nu) la fréquence de la lumière.Or, une fréquence est un certain multiple de périodes par unité de durée (une seconde pour faire simple). Par conséquent, écrire e=h.v, c'est faire du photon, un certain multiple de périodes ondulatoires fondamentalement.

2° Il faut donc bien saisir que la réalité est intangible et que les particules ne sont que des ondes.Or, une onde est jamais qu'un message conforme à une vérité.

1° Oui une particule appartient au monde où règne la dualité onde-corpuscule.

2° Non les particules ne sont pas que des ondes :

On distigue deux grandes familles de particules :

- les bosons, particules de champ auquel appartient le photon. Ces particules ne sont pas électrisées, n'ont pas de masse, n'existent pas immobiles, et leur spin est "entier".

- les fermions, particules qui ont une masse au repos, parfois une charge électrique, un moment magnétique et un spin multiple de demi-entier.

il y a 7 minutes, Zéno a dit :

Oui , et selon une amplitude et une fréquence aussi. 

l'addition vectorielle contient ces deux informations !

  • Merci 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
il y a 5 minutes, Répy a dit :

1° Oui une particule appartient au monde où règne la dualité onde-corpuscule.

 

Oui

Une partie des MANIFESTATIONS prend une forme ondulatoire ou corpusculaire 

C’est notamment bien mis en relief par l’expérience des fentes de young

Après mesure ou sur l’écran cible un point corpusculaire 

Avant mesure des interférences et après passage au travers des fentes comme manifestation ondulatoire 

Maintenant, qu’en est il au niveau fondamental avant les fentes ou avant une mesure (une mesure ne reflète pas l’image de la particule mais CHANGE l’état de la particule)

Par définition...on ne peut le mesurer ni l’observer

Mais on constate d’autres MANIFESTATIONS que le modèle corpusculaire ou ondulatoire ne permet pas

- le saut quantique 

- l’effet tunnel

- l’intrication quantique 

- la teleportation quantique 

Il a bien fallu les comprendre (parmi d’autres) et donc d’avoir d’autres IMAGES MENTALES que le corpuscule ou l’onde

Le modèle standard de la physique des particules est la théorie effective qui permet de comprendre les observations, les manifestations 

C’est un paradigme de la théorie quantique des champs

Dans ce paradigme, la particule est un quantum du champ, une excitation locale 

Ontologiquement il s’agit du même et unique champ pour chaque particule 

Il existe d’autres modèles plus spéculatifs comme la gravitation quantique à boucles ou la théorie des cordes

Mais je n’ai pas envie de sauter 5 m partant du niveau 0, la particule comme une onde ou comme une particule 

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 43ans Posté(e)
Zéno Membre 5 449 messages
Maitre des forums‚ 43ans‚
Posté(e)
Il y a 11 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Il nous faut donc revenir à l'essentiel du sujet.

Qu'est qu'une particule fondamentalement ?

Or, une particule relève de la dualité onde-corpuscule.

 

Ok, donc on a parler de particules, de mécanique quantique et d'ondes, peut on imaginer que les particules soient le point d'interaction des ondes ? 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)
il y a 17 minutes, Zéno a dit :

Ok, donc on a parler de particules, de mécanique quantique et d'ondes, peut on imaginer que les particules soient le point d'interaction des ondes ? 

Non, le cas du photon est très instructif.

En écrivant e=h.v _ où e est le quanta d'énergie qu'est le photon, h la constante de Planck, et v (lettre grecque nu) la fréquence de l'onde électromagnétique qu'est la lumière _  nous disons implicitement que le photon est un certain multiple de périodes ondulatoires.

Puisqu'une fréquence n'est qu'un certain multiple de périodes par unité de durée. Multiplier ce multiple par une constante donnera jamais qu'un multiple de périodes fondamentalement.

Car il faut bien comprendre qu'en écrivant mathématiquement f=1/T, où f est la fréquence, que le 1 est une seconde et que T n'est pas un temps universel mais une période. Mais les définitions se perdent dans les équations.

La question des interactions vient ensuite car il faut d'abord qu'il y ait un photon qui soit défini pour qu'il puisse interagisse ensuite.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 43ans Posté(e)
Zéno Membre 5 449 messages
Maitre des forums‚ 43ans‚
Posté(e)
il y a 5 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Non, le cas du photon est très instructif. 

En écrivant e=h.v _ où e est le quanta d'énergie qu'est le photon, h la constante de Planck, et v (lettre grecque nu) la fréquence de l'onde électromagnétique qu'est la lumière _  nous disons implicitement que le photon est un certain multiple de périodes ondulatoires.

 

Pourquoi, qu'est ce qui empêche d’admettre que le photon soit le point d’interaction  de l'onde électromagnétique , mis a part les modèles théoriques mathématiques ? 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)
il y a une heure, Répy a dit :

1° Oui une particule appartient au monde où règne la dualité onde-corpuscule.

2° Non les particules ne sont pas que des ondes :

On distigue deux grandes familles de particules :

- les bosons, particules de champ auquel appartient le photon. Ces particules ne sont pas électrisées, n'ont pas de masse, n'existent pas immobiles, et leur spin est "entier".

- les fermions, particules qui ont une masse au repos, parfois une charge électrique, un moment magnétique et un spin multiple de demi-entier.

l'addition vectorielle contient ces deux informations !

La dualité onde corpuscule n'est pas un règne mais ce qui permet d'appréhender la nature d'une particule.

Et c'est encore la lumière qui permit de la mettre en évidence initialement.

Puisque certains phénomènes ne peuvent être expliqués qu'en admettant que la lumière est émise par quanta notamment dans le cas de l'effet photoélectrique.

Et dès lors que l'on admet cette dualité, généralisée ensuite à toutes les particules par Louis de Broglie (prix Nobel de physique en 1929 pour cela), il convient de se demander qu'est ce qu'un corpuscule fondamentalement.

Que dit-on en écrivant e=h.v?

Les familles de particules et les vecteurs viennent bien après car un vecteur d'état n'est que la description (et non la définition) d'une particule dans un espace de dimensions infinies: l'espace de Hilbert. Et une famille de particules n'est possible que s'il y a d'abord une particule.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
il y a 11 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Non, le cas du photon est très instructif.

En écrivant e=h.v _ où e est le quanta d'énergie qu'est le photon, h la constante de Planck, et v (lettre grecque nu) la fréquence de l'onde électromagnétique qu'est la lumière _  nous disons implicitement que le photon est un certain multiple de périodes ondulatoires.

Puisqu'une fréquence n'est qu'un certain multiple de périodes par unité de durée. Multiplier ce multiple par une constante donnera jamais qu'un multiple de périodes fondamentalement.

Car il faut bien comprendre qu'en écrivant mathématiquement f=1/T, où f est la fréquence, que le 1 est une seconde et que T n'est pas un temps universel mais une période. Mais les définitions se perdent dans les équations.

La question des interactions vient ensuite car il faut d'abord qu'il y ait un photon qui soit défini pour qu'il puisse interagisse ensuite.

Ce qui est marrant, c’est que la révolution implicite de cette équation est h, la constante de Planck

L’énergie est DISCONTINUE d’ou l’idée du quantum d’où la mécanique quantique 

Je ne suis pas certain que les définitions se perdent autant dans les équations que la naïveté se perde dans sa propre contemplation 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)
il y a 3 minutes, Zéno a dit :

Pourquoi, qu'est ce qui empêche d’admettre que le photon soit le point d’interaction  de l'onde électromagnétique , mis a part les modèles théoriques mathématiques ? 

Tout simplement sa définition.

Et il faut bien comprendre que la lumière se propage dans le vide (sans support) contrairement aux fermions (particules de matière) qui interagissent avec des champs constitués de bosons.

Par conséquent, si la lumière interagit avec une chose sous-jacente, c'est bien le vide.

Qu'est-ce que le vide alors?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 43ans Posté(e)
Zéno Membre 5 449 messages
Maitre des forums‚ 43ans‚
Posté(e)
il y a 22 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Puisqu'une fréquence n'est qu'un certain multiple de périodes par unité de durée. Multiplier ce multiple par une constante donnera jamais qu'un multiple de périodes fondamentalement.

Car il faut bien comprendre qu'en écrivant mathématiquement f=1/T, où f est la fréquence, que le 1 est une seconde et que T n'est pas un temps universel mais une période. Mais les définitions se perdent dans les équations.

La question des interactions vient ensuite car il faut d'abord qu'il y ait un photon qui soit défini pour qu'il puisse interagisse ensuite.

Plus haut certains parlait de l’expérience de Young en physique quantique, pour moi cette expérience démontre l'inverse du modèle mathématique, quant on n’observe pas une particule il n'y a qu'une onde, c'est l’interaction avec l'onde qui fait qu'il y'a une particule, donc non l’interaction ne vient pas en second, mais est ce qui la détermine. 

il y a 3 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Tout simplement sa définition.

Les définitions ça se change, a une époque la terre était plate par définition, c'est le but de la science d'améliorer la compréhension, et d'évoluer. 

Modifié par Zéno
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 43ans Posté(e)
Zéno Membre 5 449 messages
Maitre des forums‚ 43ans‚
Posté(e)
il y a 34 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Car il faut bien comprendre qu'en écrivant mathématiquement f=1/T, où f est la fréquence, que le 1 est une seconde et que T n'est pas un temps universel mais une période. Mais les définitions se perdent dans les équations.

Qu'est ce qui prévaut en science , les modèles mathématiques ou l’expérience ?  Pour moi c'est l'expérience , les mathématiques ne sont que des outils évolutifs pour approfondir les faits.  En aucuns cas ils ne peuvent être figés et dicter la réalité . 

Modifié par Zéno
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)
il y a 10 minutes, Zéno a dit :

Qu'est ce qui prévaut en science , les modèles mathématiques ou l’expérience ?  Pour moi c'est l'expérience , les mathématiques ne sont que des outils évolutifs pour approfondir les faits.  En aucuns cas ils ne peuvent être figés et dicter la réalité . 

Je dirais pour ma part que les mathématiques sont une discipline issue de la pensée.

Elles ne sauraient donc se substituer au raisonnement duquel elles résultent.

Et il faut bien évidemment partir du vrai (de l'expérience) pour raisonner.

Mais pas que.

Il faut conclure par voie de conséquence pour ajouter à l'induction, la déduction logique.

Je vous renvoie à l'expérience de pensée faite par Galilée au sujet de la loi sur la chute des corps qui illustre parfaitement ce propos.

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 43ans Posté(e)
Zéno Membre 5 449 messages
Maitre des forums‚ 43ans‚
Posté(e)
il y a 4 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Je dirais pour ma part que les mathématiques sont une discipline issue de la pensée.

Elles ne sauraient donc se substituer au raisonnement duquel elles résultent.

Et il faut bien évidemment partir du vrai (de l'expérience) pour raisonner.

Mais pas que.

Il faut conclure par voie de conséquence pour ajouter à l'induction, la déduction logique.

Je vous renvoie à l'expérience de pensée faite par Galilée au sujet de la loi sur la chute des corps qui illustre parfaitement ce propos.

 

Donc on est d'accord que les mathématiques ne sont qu'une vision psychologique des choses. 

La vision théorique et mathématique peut (et même doit)  changer en fonction des faits .

Modifié par Zéno
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

MembreR, 24ans Posté(e)
arrial MembreR 1 904 messages
Forumeur vétéran‚ 24ans‚
Posté(e)
il y a 27 minutes, Zéno a dit :

quant on n’observe pas une particule il n'y a qu'une onde, c'est l’interaction avec l'onde qui fait qu'il y'a une particule, donc non l’interaction ne vient pas en second, mais est ce qui la détermine. 

Cette hypothèse d'une dualité exclusive est fausse et cela a été démontré expérimentalement.

Des expériences de diffractions/interférences électroniques on donné des résultats mixtes, à la fois ondulatoires et corpusculaires.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 43ans Posté(e)
Zéno Membre 5 449 messages
Maitre des forums‚ 43ans‚
Posté(e)
il y a 2 minutes, arrial a dit :

Des expériences de diffractions/interférences électroniques on donné des résultats mixtes, à la fois ondulatoires et corpusculaires.

Et c'est quoi ça si ce n'est une dualité ? 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

Chargement

×