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Du Nihilisme

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Invité JOSEPH DELETRE

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Membre, 54ans Posté(e)
guernica Membre 22 528 messages
Maitre des forums‚ 54ans‚
Posté(e)

oui, tout ceci est intangible... Et nous n'avons que nos ressources humaines pour essayer d'appréhender l'univers. C'est un peu pathétique, mais on fait ce qu'on peut, avec cette connaissance de notre mort annoncée. On est les seuls à y penser en permanence sur la planète... Ailleurs, je ne sais pas

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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à l’instant, JOSEPH DELETRE a dit :

Vous ne feriez alors qu'abonder encore dans le sens d'une réalité intangible.

Je ne fais que rétablir une vérité 

Une particule quantique N'EST PAS une onde

Que vos prémisses soient fausses ou mensongères ne garantit en rien que vos conclusions soient meilleures

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)
il y a 12 minutes, zenalpha a dit :

Je ne fais que rétablir une vérité 

Une particule quantique N'EST PAS une onde

Que vos prémisses soient fausses ou mensongères ne garantit en rien que vos conclusions soient meilleures

C'est inexact.

Une particule relève de la dualité onde-corpuscule.

Or, dans le cas du photon, cela ne consiste qu'à dire qu'il est équivalent à h.v où h est la constante de Planck et v la fréquence de l'onde électromagnétique (la lumière).

Or, une fréquence est un certain nombre de périodes par unité de durée élémentaire (une seconde pour simplifier).

Dès lors, écrire e=h.v, c'est dire que le photon n'est qu'un certain nombre de périodes ondulatoires in fine.

Sans même aborder cet aspect, la masse n'est que de l'énergie par équivalence.

Et un champ est jamais qu'un amas de bosons sans énergie.

Dans tous les cas, la réalité ne peut donc être qu'intangible.

Nous n'avons l'impression du tangible qu'en vertu de notre capacité innée à connaître l'essence du vrai en vertu de laquelle nous parvenons à rendre tangible ce qui ne l'est point en vérité.

 

Modifié par JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
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il y a une heure, guernica a dit :

oui, tout ceci est intangible... Et nous n'avons que nos ressources humaines pour essayer d'appréhender l'univers. C'est un peu pathétique, mais on fait ce qu'on peut, avec cette connaissance de notre mort annoncée. On est les seuls à y penser en permanence sur la planète... Ailleurs, je ne sais pas

Et quelle magnifique ressource lorsqu'il s'agit de simplement ouvrir ses yeux sur le monde pour connaître l'essence du vrai sans apprentissage.

Faisant ainsi de la perception, une capacité innée de lire le message ondulatoire que nous porte la lumière.

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 2 heures, guernica a dit :

oui, tout ceci est intangible... Et nous n'avons que nos ressources humaines pour essayer d'appréhender l'univers. C'est un peu pathétique, mais on fait ce qu'on peut, avec cette connaissance de notre mort annoncée. On est les seuls à y penser en permanence sur la planète... Ailleurs, je ne sais pas

Chère @guernica

Permettez-moi d'ajouter une chose. Et non des moindres. Que je n'ai pas explicitement évoquée jusqu'ici.

Si être conscient revient à se connaître, alors que serait-il possible de connaître sans se connaître encore si ce n'est l'ignorance d'être soi dont la nature inconsciente serait l'état correspondant?

Ce serait d'ailleurs la raison pour laquelle la nature précéderait toujours le sujet conscient du fait qu'elle soit l'état correspondant à l'unique chose qu'il soit jamais possible de connaître sans se connaitre encore.

Cependant, l'inconscience demeure l'unique reliquat qui soit jamais possible au paroxysme d'un processus d'annihilation de toute chose présente à soi, jusqu'à soi. Si bien que pour tout réduire à néant jusqu'à l'ignorance d'être soi, il faille enfin toujours créer, paradoxalement, afin d'être conscient.

Mais alors, la mort ne peut que nous précéder en toute logique si elle est l'inconscience ultime que nous annihilons perpétuellement par la conscience.

Ce serait l'état d'avant naître. Celui où nous ne serions que nature.

Dès lors, que serait-il possible de connaître après s'être connu? Sans doute quoi que ce soit si bien que nous jugerions du souvenir immuable du soi individuel en étant tout de manière indivisible. L'intrication y trouverait alors une raison car tout serait lié.

Ainsi, n'avons-nous pas ensemble annihilé la mort logiquement?

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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Posté(e)
il y a 5 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Chère @guernica

Permettez-moi d'ajouter une chose. Et non des moindres. Que je n'ai pas explicitement évoquée jusqu'ici.

Si être conscient revient à se connaître, alors que serait-il possible de connaître sans se connaître encore si ce n'est l'ignorance d'être soi dont la nature inconsciente serait l'état correspondant?

Ce serait d'ailleurs la raison pour laquelle la nature précéderait toujours le sujet conscient du fait qu'elle soit l'état correspondant à l'unique chose qu'il soit jamais possible de connaître sans se connaitre encore.

Cependant, l'inconscience demeure l'unique reliquat qui soit jamais possible au paroxysme d'un processus d'annihilation de toute chose présente à soi, jusqu'à soi. Si bien que pour tout réduire à néant jusqu'à l'ignorance d'être soi, il faille enfin toujours créer, paradoxalement, afin d'être conscient.

Mais alors, la mort ne peut que nous précéder en toute logique si elle est l'inconscience ultime que nous annihilons perpétuellement par la conscience.

Ce serait l'état d'avant naître. Celui où nous ne serions que nature.

Dès lors, que serait-il possible de connaître après s'être connu? Sans doute quoi que ce soit si bien que nous jugerions du souvenir immuable du soi individuel en étant tout de manière indivisible. L'intrication y trouverait alors une raison car tout serait lié.

Ainsi, n'avons-nous pas ensemble annihilé la mort logiquement?

@Loufiat En référence à notre précédente discussion, ne trouvez-vous pas ainsi que la pensée peut changer la vie?

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 9 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Une particule relève de la dualité onde-corpuscule.

Aslangul l'explique très bien

Ce vocabulaire est celui du début du 20eme siècle exprimé dans le langage que la physique quantique a remplacé 

La particule quantique est le quantum d'un champ

En terme de particule, VOUS êtes une bille en physique, une bille

Évidemment vos représentations philosophique n'étant pas scientifiques, on ne peut juste que relever le manque de rigueur du vocabulaire et l'illogisme 

Mais vos élucubrations en physique tirées de quelques copier coller SONT des élucubrations 

Voici la nature DELETRE.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

La propriété ondulatoire qui correspond à une particule quantique est le fait que la somme de deux ondes de même type forment encore une onde de même type.

Les amplitudes de deux vagues qui interfèrent s'additionnent ou se neutralisent par exemple.

On retrouve ce point pour une particule, c’est ce qu’on appelle le principe de superposition 

Si A est un état quantique possible et si B est un état quantique possible alors A+B est aussi un état possible 

Par cette définition cela signifie qu’on vient de définir la propriété principale d'une particule par un système vectoriel

Si vous êtes allé en seconde, ça signifie qu’une particule est représenté par un vecteur d’état

Et si vous êtes allé plus loin, c’est un vecteur d’état dans l’espace de Hilbert

Maintenant la particule N’EST PAS UNE ONDE

Elle a cette caractéristique pour sa FONCTION D’ONDE DE PROBABILITÉ 

de manière ontologique, on constate ET des MANIFESTATIONS de la particule par des caractéristiques ondulatoire et des caractéristiques ponctuelles de type corpusculaire 

C’est significatif dans l’expérience des fentes de young

On parlait donc de DUALITE ONDE PARTICULE pour ces manifestations partielles

mais

Ce n’est pas une particule puisqu’aucun corpuscule ne peut avoir un état superposé COMME une onde

Ce n’est pas une onde puisqu’aucune ONDE ne se manifeste lors d’une mesure par un point localisé donc ponctuellement comme un corpuscule 

Ce n’est NI une onde NI un corpuscule mais ça a par sa manifestation des caractéristiques parfois similaires à une onde (et pas toutes) et parfois des caractéristiques similaires à une particule  (et pas toutes)

Ça ne correspond NI à un corpuscule NI à une onde

Et cela nécessite d’intégrer le concept de champ

Ontologiquement, une particule est un quantum d’un champ (donc delocalisé), c’est une excitation du champ avec certaines caractéristiques probabilistes représentées par une fonction d'onde (dont l’évolution déterministe est modélisée par l’équation de schrodinger) et dont la nature fondamentale est probabiliste

Une excitation locale d’un champ n’est pas déterminable en terme de vitesse et de position contrairement à un corpuscule et contrairement à une onde (c’est le principe d'indetermination)

Le saut quantique, l’intrication quantique, la teleportation quantique, la réduction du paquet d’ondes ne sont possibles ni pour un corpuscule ni pour une onde

C’est le champ  quantique fondamental qui a cette caractéristique et lorsqu’une particule est excitée, c’est l’ensemble du champ qui est affecté 

Une particule N’EST PAS UNE ONDE

NI en théorisation (théorie quantique des champs comme théorie effective intégrant mécanique quantique et relativité restreinte) NI surtout de manière ontologique 

Ce sont vos amalgames conceptuels et votre laxisme intellectuel qui généralisent abusivement 

Par analogie, vous regroupez les similarités sans tenir compte des disimilarites

Votre philosophie entière est un amalgame grossier de généralisations abusives

Modifié par zenalpha
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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)
il y a 46 minutes, zenalpha a dit :

La propriété ondulatoire qui correspond à une particule quantique est le fait que la somme de deux ondes de même type forment encore une onde de même type.

Les amplitudes de deux vagues qui interfèrent s'additionnent ou se neutralisent par exemple.

On retrouve ce point pour une particule, c’est ce qu’on appelle le principe de superposition 

Si A est un état quantique possible et si B est un état quantique possible alors A+B est aussi un état possible 

Par cette définition cela signifie qu’on vient de définir la propriété principale d'une particule par un système vectoriel

Si vous êtes allé en seconde, ça signifie qu’une particule est représenté par un vecteur d’état

Et si vous êtes allé plus loin, c’est un vecteur d’état dans l’espace de Hilbert

Maintenant la particule N’EST PAS UNE ONDE

Elle a cette caractéristique pour sa FONCTION D’ONDE DE PROBABILITÉ 

de manière ontologique, on constate ET des MANIFESTATIONS de la particule par des caractéristiques ondulatoire et des caractéristiques ponctuelles de type corpusculaire 

C’est significatif dans l’expérience des fentes de young

On parlait donc de DUALITE ONDE PARTICULE pour ces manifestations partielles

mais

Ce n’est pas une particule puisqu’aucun corpuscule ne peut avoir un état superposé COMME une onde

Ce n’est pas une onde puisqu’aucune ONDE ne se manifeste lors d’une mesure par un point localisé donc ponctuellement comme un corpuscule 

Ce n’est NI une onde NI un corpuscule mais ça a par sa manifestation des caractéristiques parfois similaires à une onde (et pas toutes) et parfois des caractéristiques similaires à une particule  (et pas toutes)

Ça ne correspond NI à un corpuscule NI à une onde

Et cela nécessite d’intégrer le concept de champ

Ontologiquement, une particule est un quantum d’un champ (donc delocalisé), c’est une excitation du champ avec certaines caractéristiques probabilistes représentées par une fonction d'onde (dont l’évolution déterministe est modélisée par l’équation de schrodinger) et dont la nature fondamentale est probabiliste

Une excitation locale d’un champ n’est pas déterminable en terme de vitesse et de position contrairement à un corpuscule et contrairement à une onde (c’est le principe d'indetermination)

Le saut quantique, l’intrication quantique, la teleportation quantique, la réduction du paquet d’ondes ne sont possibles ni pour un corpuscule ni pour une onde

C’est le champ  quantique fondamental qui a cette caractéristique et lorsqu’une particule est excitée, c’est l’ensemble du champ qui est affecté 

Une particule N’EST PAS UNE ONDE

NI en théorisation (théorie quantique des champs comme théorie effective intégrant mécanique quantique et relativité restreinte) NI surtout de manière ontologique 

Ce sont vos amalgames conceptuels et votre laxisme intellectuel qui généralisent abusivement 

Par analogie, vous regroupez les similarités sans tenir compte des disimilarites

Votre philosophie entière est un amalgame grossier de généralisations abusives

Quel collage dépitant.

A ce stade, plus rien ne peut être fait pour vous.

Cela dépasse la mystification.

Vous êtes dans la démence.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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à l’instant, JOSEPH DELETRE a dit :

Quel collage dépitant.

A ce stade, plus rien ne peut être fait pour vous.

Cela dépasse la mystification.

Vous êtes dans la démence.

On appelle ça la culture 

La démence, c’est se forger par soi même ses propres représentations délirantes 

Ce qui est bien dans notre échange c’est que si la quête est la même, nos méthodes sont antagonistes 

Le travail est une valeur Joseph

Et si les lois de la physique paraissent impossible elles ont l’avantage d’être vérifiées, vérifiées...

 

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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)

Pour rester sur une note claire, la fonction d'onde est un outil mathématique permettant de déterminer la probabilité de trouver une particule en certains points car la mesure influe sur le résultat de la mesure. L'approche ne peut donc être que probabiliste. C'est une des conséquences du principe d'indétermination selon lequel il est impossible de mesurer la position et la vitesse d'une particule avec certitude. Les dernières interprétations établissent qu'il est impossible de le faire pour la raison simple qu'une particule n'a ni position ni vitesse. Elle ne saurait donc, en aucun cas, être une bille de manière totalement surannée.

La dualité onde-corpuscule ne vise pas, quant à elle, à décrire la distribution probabiliste d'une particule (la probabilité de la trouver en certains points) mais à dire ce qu'est une particule. Dire qu'in fine, elle ne serait ni l'un, ni l'autre, ni une bille en raison du principe d'indétermination précédemment énoncé, n'aboutirait à rien.

Et un champ n'est qu'un amas de bosons interagissant avec les particules de matière uniquement. A titre d'exemple, la masse de l'électron résulte de l'interaction de cette particule avec le champ de Higgs. Si bien que la masse ne soit pas une propriété intrinsèque de l'électron mais le résultat d'une interaction secondaire avec un champ. Intrinsèquement, l'électron n'a donc aucune masse.

Ceci étant dit, le photon n'a pas de masse. Il n’interagit donc avec aucun champ. Et dans le cas du photon, le corpuscule de la lumière, il est établi que l'énergie est émise par paquet, e (l'énergie) = h.v où h est la constante de Planck et v (lettre grecque nu) est la fréquence de l'onde électromagnétique. Or, une fréquence est un certain nombre de périodes ondulatoires par seconde. Par conséquent, écrire e=h.v, c'est définitivement acter que le photon, qui n'interagit avec aucun champ, n'est qu'un multiple de périodes ondulatoires.

Par conséquent, tout ce que nous percevons de la réalité, c'est de la lumière émise par paquets (les photons), qui ne sont que des multiples de périodes ondulatoires, émis par des électrons dont la masse est une interaction secondaire avec un champ constitués de bosons sans énergie donc inexistant. Le tout en admettant bien qu'une particule n'aurait ni position ni vitesse en raison du principe d'indétermination.

La réalité ne saurait donc être qu'intangible.

Nous n'avons l'impression du tangible qu'en vertu de notre capacité innée à connaître l'essence du vrai : la perception. 

 

 

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Membre, 35ans Posté(e)
Loufiat Membre 2 589 messages
Mentor‚ 35ans‚
Posté(e)
Il y a 9 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

@Loufiat En référence à notre précédente discussion, ne trouvez-vous pas ainsi que la pensée peut changer la vie?

J'ai lu votre proposition avec attention. Ce que, pour moi, vous devez travailler, ce sont les passages. Par exemple lorsque vous écrivez qu'à défaut d'être conscient, ce que l'on peut connaitre, c'est l'inconscience d'être soi. C'est juste. C'est-à-dire qu'un "état" doit précéder la survenue de la conscience - état qui, par rapport à la conscience, peut être caractérisé comme l'inconscience. Mais vous restez au même niveau, il manque précisément toute la dimension du passage, l'irruption de la conscience. Or ceci ne se fait pas sur un même plan. C'est l'irruption, la survenue d'une nouvelle qualité. L'établissement d'un nouveau plan. C'est un évènement cosmique véritablement, unique en son genre, sans équivalent, dont les répercutions sont incalculables. Et c'est par rapport à ce nouveau plan, "depuis" ce plan qu'en regardant "derrière" il n'y a plus que l'inconscience d'être soi. Parce qu'il y a conscience, donc univers. Pour la mort, il en va de même : en traitant ce sujet par la logique seulement, vous risquez de manquer ce qui fait de la mort un évènement, tout aussi cosmique, absolu dans ses dimensions que la survenue de la conscience.

Il y a 10 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

pour tout réduire à néant jusqu'à l'ignorance d'être soi, il faille enfin toujours créer, paradoxalement, afin d'être conscient.

Mais alors, la mort ne peut que nous précéder en toute logique si elle est l'inconscience ultime que nous annihilons perpétuellement par la conscience.

Ce serait l'état d'avant naître. Celui où nous ne serions que nature.

Dès lors, que serait-il possible de connaître après s'être connu? Sans doute quoi que ce soit si bien que nous jugerions du souvenir immuable du soi individuel en étant tout de manière indivisible. L'intrication y trouverait alors une raison car tout serait lié.

Ainsi, n'avons-nous pas ensemble annihilé la mort logiquement?

De fait, en lisant avec attention, il est possible de voir que ce que vous caractérisez à nouveau, c'est la conscience. Vous butez sur la mort comme sur sa borne extérieure, qui vous ramène à la conscience. Il n'y a pas besoin de la mort pour que la conscience dépasse le souvenir d'être soi (égo, moi) pour se sentir être tout de manière indivisible ; c'est une expérience accessible de votre vivant.  

Mais je perçois mieux ce que vous entendez par changer la vie par la pensée !

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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)
il y a 19 minutes, Loufiat a dit :

J'ai lu votre proposition avec attention. Ce que, pour moi, vous devez travailler, ce sont les passages. Par exemple lorsque vous écrivez qu'à défaut d'être conscient, ce que l'on peut connaitre, c'est l'inconscience d'être soi. C'est juste. C'est-à-dire qu'un "état" doit précéder la survenue de la conscience - état qui, par rapport à la conscience, peut être caractérisé comme l'inconscience. Mais vous restez au même niveau, il manque précisément toute la dimension du passage, l'irruption de la conscience. Or ceci ne se fait pas sur un même plan. C'est l'irruption, la survenue d'une nouvelle qualité. L'établissement d'un nouveau plan. C'est un évènement cosmique véritablement, unique en son genre, sans équivalent, dont les répercutions sont incalculables. Et c'est par rapport à ce nouveau plan, "depuis" ce plan qu'en regardant "derrière" il n'y a plus que l'inconscience d'être soi. Parce qu'il y a conscience, donc univers. Pour la mort, il en va de même : en traitant ce sujet par la logique seulement, vous risquez de manquer ce qui fait de la mort un évènement, tout aussi cosmique, absolu dans ses dimensions que la survenue de la conscience.

De fait, en lisant avec attention, il est possible de voir que ce que vous caractérisez à nouveau, c'est la conscience. Vous butez sur la mort comme sur sa borne extérieure, qui vous ramène à la conscience. Il n'y a pas besoin de la mort pour que la conscience dépasse le souvenir d'être soi (égo, moi) pour se sentir être tout de manière indivisible ; c'est une expérience accessible de votre vivant.  

Mais je perçois mieux ce que vous entendez par changer la vie par la pensée !

J'explique le passage dans mes écrits et je l'ai explicité dans un autre sujet sur ce forum: Ô-dieu.

Être conscient, c'est se connaître ce qui implique de se voir par écart, ce qui n'est possible que du fait d'un phénomène de distanciation de soi permettant d'être l'observateur de sa propre lumière : l'inflation cosmique, le phénomène par lequel l'univers serait apparu instantanément en 10^-32 seconde. Par conséquent, nous devenons conscients du fait de nous voir nous-mêmes en voyant la nature.

La mort n'est qu'une métaphore sensible du néant prouvant qu'il faille tout annihiler jusqu'au soi. Cependant, et contre toute attente, la mort nous protège du néant absolu car l'inconscience est irréductible au paroxysme d'un processus d'annihilation de toute chose présente à soi, jusqu'à soi, quelle que soit la réalité de départ. La mort est donc une nécessité pour être toujours. Mais il faut admettre que, si l'ignorance d'être soi est l'unique chose qu'il soit jamais possible de connaître avant de se connaître, alors la mort ne peut que nous précéder en toute logique. Ce serait ainsi l'état d'avant naître où nous ne serions que nature inconsciente n'ayant d'autre chose à abstraire logiquement que l'ignorance d'être soi.

Enfin, être conscient, c'est être présent à soi. Pour être conscient du tout, il faudrait donc que le tout soit présent à nous-mêmes ce qui nécessiterait de changer d'échelle pour appréhender directement l'univers comme un point. La toile cosmique, aux allures de réseau synaptique, serait sans doute l'allégorie de cette conscience du tout jugeant du souvenir du soi individuel en étant tout de manière indivisible. Y aurait-il un jugement dernier pire et plus juste que celui-ci? Se voir enfin d'un seul regard objectif?

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
il y a 27 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

J'explique le passage dans mes écrits et je l'ai explicité dans un autre sujet sur ce forum: Ô-dieu.

Être conscient, c'est se connaître ce qui implique de se voir par écart, ce qui n'est possible que du fait d'un phénomène de distanciation de soi permettant d'être l'observateur de sa propre lumière : l'inflation cosmique, le phénomène par lequel l'univers serait apparu instantanément en 10^-32 seconde. Par conséquent, nous devenons conscients du fait de nous voir nous-mêmes en voyant la nature.

La mort n'est qu'une métaphore sensible du néant prouvant qu'il faille tout annihiler jusqu'au soi. Cependant, et contre toute attente, la mort nous protège du néant absolu car l'inconscience est irréductible au paroxysme d'un processus d'annihilation de toute chose présente à soi, jusqu'à soi, quelle que soit la réalité de départ. La mort est donc une nécessité pour être toujours. Mais il faut admettre que, si l'ignorance d'être soi est l'unique chose qu'il soit jamais possible de connaître avant de se connaître, alors la mort ne peut que nous précéder en toute logique. Ce serait ainsi l'état d'avant naître où nous ne serions que nature inconsciente n'ayant d'autre chose à abstraire logiquement que l'ignorance d'être soi.

Enfin, être conscient, c'est être présent à soi. Pour être conscient du tout, il faudrait donc que le tout soit présent à nous-mêmes ce qui nécessiterait de changer d'échelle pour appréhender directement l'univers comme un point. La toile cosmique, aux allures de réseau synaptique, serait sans doute l'allégorie de cette conscience du tout jugeant du souvenir du soi individuel en étant tout de manière indivisible. Y aurait-il un jugement dernier pire et plus juste que celui-ci? Se voir enfin d'un seul regard objectif?

 

Vous devriez lire "la clé de Salomon” de José Rodrigues Dos Santos

”Péter posa l’index sur le mystérieux psi que Thomas avait dessiné.

- Si je comprends bien, l’univers et la conscience sont la même chose, affirma t’il. Tous deux sont une fonction d’onde virtuelle, tous deux sont le psi

- Tel est en effet le sens ultime du message que votre père tenait à la main, approuva l’historien.

Et ce n’est pas tout : à l’instar de l’univers, le cerveau lui-même est un ordinateur quantique. La fonction d’onde est l’imagination où toutes les possibilités coexistent en parallèle; l’effondrement de la fonction d’onde est la décision, qui concrétise une possibilité unique.

La conséquence de cette découverte est stupéfiante.

Parce qu’il est un ordinateur quantique, le cerveau lorsqu’il calcule crée de la conscience.

S’il en est ainsi, lorsqu’il calculé, l’univers crèe aussi de la conscience 

Donc l’univers est conscient."

Dans une de ces réalités parallèle un petit zenalpha avec une douce pensée pour Francis Charles qui nous a quitté 

Mais tu es toujours dans nos esprits 

 

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)
il y a 4 minutes, zenalpha a dit :

Vous devriez lire "la clé de Salomon” de José Rodrigues Dos Santos

”Péter posa l’index sur le mystérieux psi que Thomas avait dessiné.

- Si je comprends bien, l’univers et la conscience sont la même chose, affirma t’il. Tous deux sont une fonction d’onde virtuelle, tous deux sont le psi

- Tel est en effet le sens ultime du message que votre père tenait à la main, approuva l’historien.

Et ce n’est pas tout : à l’instar de l’univers, le cerveau lui-même est un ordinateur quantique. La fonction d’onde est l’imagination où toutes les possibilités coexistent en parallèle; l’effondrement de la fonction d’onde est la décision, qui concrétise une possibilité unique.

La conséquence de cette découverte est stupéfiante.

Parce qu’il est un ordinateur quantique, le cerveau lorsqu’il calcule crée de la conscience.

S’il en est ainsi, lorsqu’il calculé, l’univers crèe aussi de la conscience 

Donc l’univers est conscient."

Dans une de ces réalités parallèle un petit zenalpha avec une douce pensée pour Francis Charles qui nous a quitté 

Mais tu es toujours dans nos esprits 

 

Exit le sentiment. Exit le "pourquoi?".

Après avoir fait de nos particules, des petites billes.

Nous voilà, à présent, super-ordinateurs.

Quelle indigence de la conscience.

Quelle est la prochaine étape? Mettre en ligne le soi?

Faut-il vraiment que l'unique chose, qui puisse jamais être par déduction logique, soit bien une entité d'annihilation de toute chose jusqu'à elle-même pour en arriver là.

Une autre preuve s'il en fallait une supplémentaire.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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à l’instant, JOSEPH DELETRE a dit :

Exit le sentiment. Exit le "pourquoi?".

Après avoir fait de nos particules, des petites billes.

Nous voilà, à présent, super-ordinateurs.

Quelle indigence de la conscience.

Quelle est la prochaine étape? Mettre en ligne le soi?

Faut-il vraiment que l'unique chose, qui puisse jamais être par déduction logique, soit bien une entité d'annihilation de toute chose jusqu'à elle-même pour en arriver là.

Une autre preuve s'il en fallait une supplémentaire.

Vous êtes aussi nul en physique qu’en poésie

D’ailleurs appelez le romancier Best seller puisque ces mots sont de lui et n’expriment pas ma pensée 

Pour le moins, tentez un petit moment de respect pour celui qui y croyait et dont je rappelle la mémoire 

Laissez votre ressentiment de côté un instant et respirez calmement 

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Invité JOSEPH DELETRE
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à l’instant, zenalpha a dit :

Vous êtes aussi nul en physique qu’en poésie

D’ailleurs appelez le romancier Best seller puisque ces mots sont de lui et n’expriment pas ma pensée 

Pour le moins, tentez un petit moment de respect pour celui qui y croyait et dont je rappelle la mémoire 

Laissez votre ressentiment de côté un instant et respirez calmement 

Vous étant trahi vous-même, pour être dans une quête du néant absolu afin de n'être plus, vous n'avez plus rien à perdre à tout salir par l'invective et le dénigrement.

Ne faisant ainsi que passer, hagard et sans raison tel un sac de petites billes lancé dans l'infini au gré du hasard, vous actez de fait, envers et contre vous-même, la vanité de votre propre existence.

Que vous démontrez bien, par le mépris que vous affichez envers les autres, lorsqu'il s'agit de nous honorer de vos collages dépitant, ainsi que de vos opinions forcées et malveillantes en l'absence de capacité de réflexion argumentée.

Respectez donc ceux qui ont une chose à protéger : la vérité. Lorsque vous n'avez rien.

Souffrez le toujours car quoi que vous fassiez, vous êtes.

Faisant ainsi de vous-même, votre propre punition.

Après quoi, je ne vous apporterai plus de réponse.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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à l’instant, JOSEPH DELETRE a dit :

Vous étant trahi vous-même, pour être dans une quête du néant absolu afin de n'être plus, vous n'avez plus rien à perdre à tout salir par l'invective et le dénigrement.

Ne faisant ainsi que passer, hagard et sans raison tel un sac de petites billes lancé dans l'infini au gré du hasard, vous actez de fait, envers et contre vous-même, la vanité de votre propre existence.

Que vous démontrez bien, par le mépris que vous affichez envers les autres, lorsqu'il s'agit de nous honorer de vos collages dépitant, ainsi que de vos opinions forcées et malveillantes en l'absence de capacité de réflexion argumentée.

Respectez donc ceux qui ont une chose à protéger : la vérité. Lorsque vous n'avez rien.

Souffrez le toujours car quoi que vous fassiez, vous êtes.

Faisant ainsi de vous-même, votre propre punition.

Après quoi, je ne vous apporterai plus de réponse.

Honnêtement j’ai de l’affection pour vous Joseph

Mais certaines choses vous dépassent

Un être, ça peut toujours changer ... mais je ne suis qu’un messager

Pour le ressentiment je n’ai aucune mémoire 

 

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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
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Du fait qu'il n'y ait à annihiler que l'ignorance d'être soi de façon paroxystique, le nihilisme ne peut donc être qu'une trahison de soi dénotant une profonde malveillance envers soi puisque l'on ne peut se connaître sans vérité du soi.

Si bien qu'une telle démarche ne puisse mener qu'à être dispensable après être devenu inutile pour soi. 

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