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La folie


sirielle

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Good Venins Membre 1 356 messages
Forumeur vétéran‚ 64ans‚
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Le 22/03/2021 à 08:51, Sittelle a dit :

Qui pourrait offrir sa définition de sa Folie ?

bonjour,

enfant j'écoutais ce titre, et me représentais l'enfant et son cri a la naissance (il y a plus de 3  minutes d'intro)... cette musique   est associé a plusieurs vidéos qui n'ont rien a voir avec MA version, et si c'était ça, la folie, simplement naître ? ...

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Membre, 38ans Posté(e)
sirielle Membre 9 751 messages
Maitre des forums‚ 38ans‚
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Le 04/04/2021 à 09:15, deja-utilise a dit :

Bonjour ma p'tite dame,

 

Il ne me semble pas nécessaire d'en passer par un élan de folie pour procéder ainsi, avoir un esprit créatif pour le premier point et un esprit critique pour le deuxième point sont déjà fort utiles et en théorie satisfaisants.

Entre-nous, le plus difficile à surmonter dans la recherche du Vrai n'est autre que nous-même, nous sommes notre plus grande entrave, notre plus grand adversaire, le principal élément limitatif dans notre compréhension plus juste et étendue du monde. Il faut d'une certaine manière nous transcender nous-même, nous décentrer et reconnaitre/accepter d'avoir nombre de défauts ou biais en tous genres et composer avec cette dévalorisation. 

 

Si on parvient à dépasser la " pyramide " des besoins d'Abraham Maslow - qui lui parle de hiérarchisation des besoins, cela dit en passant - et de la prolonger symétriquement après " soi " et la pointe de l'accomplissement de soi, alors on pourra effectivement découpler notre vision d'observateur de celle ego-centrée et donc biaisée/falsificatrice/limitée/intéressée. 

 

Il me semble pourtant qu'il n'est nul besoin d'être fou pour être non seulement dangereux, mais aussi de faire souffrir un nombre considérable de créatures ! C.f. La banalité du mal et les expériences de " la prison Standford " ( voir le scandale d'Abou Grhaib ) ou celles de Stanley Milgram sur l'autorité, ou encore les études sur l'influence sociale, tout comme le phénomène de compensation morale !

Chaque humain est dans sa vie un danger pour une autre personne humaine ou non-humaine, point besoin de folie pour agir follement, tout comme il n'est pas nécessaire d'être complètement stupide - dérangé du bocal - ou idiot/imbécile pour agir bêtement, stupidement ou idiotement, c'est le lot de tout un chacun, certains plus que d'autres...

La folie est bien souvent ce que l'on ne comprend pas, la maladie dite mentale peut être vue dans sa symptomatologie comme une forme de communication dont les non-fous n'ont pas les codes de traduction. Un fou n'est fou pour un observateur extérieur que parce qu'il ne saisit pas la " logique " du comportement d'un tel individu, mais il est fort probable que si l'on avait une vision plus exhaustive et fondamentale ou intrinsèque, on n'y verrait plus de la folie, mais une réaction " normale ", tout comme une personne qui ne ressent pas la douleur à cause d'une malformation neurologique ou à cause d'une défaillance de neurotransmetteurs héréditaire a sans doute du mal à comprendre intimement pourquoi certains se tordent dans tous les sens après tel ou tel évènement comme de toucher un four ou un poêle allumés, s'être frappé les doigts avec le marteau, avoir une rage de dent ou une crise d'appendicite, etc...

 

Ce dont on peut se passer, c'est seulement du jugement lui-même - sur autrui, mais pour la personne taxée de folle, c'est son comportement normal à elle, elle ne peut dès lors pas faire autrement que d'être comme elle est, même si tout peut plus ou moins évoluer par l'effort et l'apprentissage, comme les techniques Teacch et ABA pour les TSA, mais il est clair que l'on ne peut pas attendre d'un enfant atteint de mucoviscidose ou de trisomie de se comporter " normalement ", i.e. comme des personnes non affectées par ces troubles.

Après si c'est une véritable maladie, il y a donc une ou des causes, auxquelles on pourra cahin-caha remédier, suppléer ou atténuer les effets, mais dans le but suprême d'aider à mieux vivre la personne concernée et désireuse d'aller mieux, non pour la renormaliser !

 

 

Plutôt que de jeter la responsabilité au fou, peut-être devrions-nous nous demander si nous sommes aptes à le comprendre complètement et objectivement, on peut faire un parallèle avec l'intelligence des animaux, qui il n'y a pas longtemps était encore déniée, que les animaux agissaient par réflexes instinctifs, alors qu'une étude plus attentive et poussée, nous montre la continuité et la similitude avec notre propre espèce animale, il faut donc d'abord se défaire ou se retourner contre nos préjugés, ou encore on peut songer à l'hérétisme religieux, où les visions différentes, non orthodoxes sont( étaient) considérées comme insensées !

 

m'dame:hi:

 

Bonsoir à toi,

Mais si jamais je n'avais été folle, et la souffrance psychologique impliquée alors, jamais je n'aurais rompu certains liens sociaux, normalisés, bien plus fous encore, comprenne qui pourra... Jamais mon irritabilité ne m'aurait tant conduit à la raison. La goutte d'eau menant à des résolutions essentielles, ou toucher le fond pour mieux rebondir (#gareàlacomplaisanceperverse). 

Révélation

Ou bien si tu veux autrement

Houx bi hein si tue vœux autre ment

Où bille 1 cite hue veut autre mans

Ou biens site uve eux eau tremens...

 :hehe: :smile2:

Tu la saisis celle-là?

 

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 6 039 messages
If you don't want, you Kant...,
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Le 06/04/2021 à 23:38, sirielle a dit :

Mais si jamais je n'avais été folle, et la souffrance psychologique impliquée alors, jamais je n'aurais rompu certains liens sociaux, normalisés, bien plus fous encore, comprenne qui pourra... Jamais mon irritabilité ne m'aurait tant conduit à la raison. La goutte d'eau menant à des résolutions essentielles, ou toucher le fond pour mieux rebondir (#gareàlacomplaisanceperverse). 

  Révéler le contenu masqué

 

Bonsoir Sirielle,

 

réponse quelque peu énigmatique, la folie renvoie essentiellement à deux choses:

• Ce qui est déraisonnable

• Une " maladie " psychique/psychiatrique/neurologique 

 

Mais pour ce faire, il faut a minima une référence, un cadre de comparaison, et il est évident que l'on prend le plus grand nombre dans une fourchette donnée comme étalon. ( C.f: Normality A critical genealogy - en cours de lecture )

Il n'est pas évident du tout que la majorité doivent servir comme mesure de base, et c'est encore plus discutable quand il s'agit de savoir ce qui est normal ou moral ( remarquons au passage que l'on peut être anomal sans être anormal ! C'est simplement une autre normalité, comme plus pragmatiquement et proche de nous: les droitiers et les gauchers ), certains évènements culturo-historiques nous montrent clairement que cette majorité, parfois écrasante, se trompent complètement ! Avec le recul, on peut parfois facilement y voir de la crétinerie et même de la barbarie, que l'on a du mal à comprendre ou à justifier une fois le recul nécessaire pris, comme par exemple l'excision des femmes dans certains pays d'Afrique, encore actuellement, où plus de 98% des femmes n'échappent pas - très jeunes - à cet acte de mutilation. On voit donc par ce simple exemple, que le plus grand nombre peut franchement se fourvoyer dans ce qui est Bien ou Mal, et je ne parle même pas non plus des plus de 99% de la population mondiale qui croit à quelque chose qui transcende l'humain ! Si la néoténie est en théorie basée sur l'apparence du corps, j'y adjoindrais bien volontiers aussi le manque de maturité intellectuelle qui va très bien avec, selon moi, nous gardons un caractère infantile aussi bien esthétiquement que cognitivement, pour le dire crûment.

Dit autrement, est fou celui qui nage à contre-courant, contrairement au troupeau qui se laisse porter par son propre courant, il est aisé de voir et de pointé du doigt celui qui remonte une foule qui avance dans une seule direction, cette saillance ne nous dit rien en elle-même sur la valeur du choix de la direction, mais cela demande une réflexion poussée qui en général déplait fortement au commun des mortels, préférant de loin la facilité, l'habitude, le consensus, le familier, de coller à la culture locale, bref de suivre le mouvement de ses pairs ou considérés comme tels.

 

Autrement dit, ce que pense ou fait la masse ou la plèbe n'a pas grande valeur à mes yeux, piégés qu'ils sont dans leur ignorance crasse, parfois teintée d'arrogance, généralement d'ailleurs il y a proportionnalité entre les deux, comme l'effet Dunning-Kruger nous l'enseigne par exemple, ou encore dans un autre registre, le déni implicite également.

 

 

Ceci étant dit, si je peux me permettre et j'espère ne pas dépasser " les bornes des limites " comme qui dirait, je vois que tu fais régulièrement des sujets généraux, mais que j'ai l'intime conviction qu'il s'y cache en réalité quelque chose de particulier et précis - et même personnel, dont tu ne dis mot, ce qui explique je pense le fait que je tourne autour du pot sans vraiment mettre le doigt sur la véritable problématique dissimulée derrière le cadre générique du sujet, et je pense, que ta dernière réponse laisse entrevoir, plus que d'habitude une telle possibilité/inférence !

 

 

Pour le contenu masqué, je m'excuse mais je ne suis pas particulièrement réceptif à ce genre de trituration langagière, je me contente en général de la sémantique et il y a déjà fort à faire, la rhétorique et autres jeux de mots est quelque chose que je laisse sans peine aux poètes de tous poils, en revanche une vision schizophrénique du monde serait plus intéressante/enrichissante de mon point de vue, car il y a toujours un sens, une intention ou une interprétation derrière à découvrir, du moins pour le·a principal·e intéressé·e. 

 

 

 

P.S.:

J'ai " pensé " à toi - en lien avec notre rapport à la vérité d'une autre discussion que nous avons eu - en lisant récemment dans le dernier Cerveau et Psycho d'avril 2021, page 67:

L'identité vaut plus que la vérité

( parlant d'environnement social: famille, communauté, associations ou profession ) " C'est de cette façon que l'identité culturelle commence à prendre le pas sur les faits, déclare le psychologue norvégien spécialiste des enjeux climatiques Per Espen Stoknes. Et l'identité de la personne l'emporte dans tous les cas, sur la vérité. "

Elliot Aronson et Carol Tavris écrivent dans la revue The Atlantic: " Lorsque les gens ressentent un lien fort avec un parti politique, un leader, une idéologie ou une croyance, ils sont plus susceptibles de laisser cette allégeance faire leur travail de réflexion à leur place et de déformer ou d'ignorer les preuves qui remettent en cause ses loyautés. "

 

:hi:

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
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Le 06/04/2021 à 23:38, sirielle a dit :

Bonsoir à toi,

Mais si jamais je n'avais été folle, et la souffrance psychologique impliquée alors, jamais je n'aurais rompu certains liens sociaux, normalisés, bien plus fous encore, comprenne qui pourra... Jamais mon irritabilité ne m'aurait tant conduit à la raison. La goutte d'eau menant à des résolutions essentielles, ou toucher le fond pour mieux rebondir (#gareàlacomplaisanceperverse). 

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"Tant va la goutte au puits que la vérité se casse...." ;)

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 6 039 messages
If you don't want, you Kant...,
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( auteur inconnu )

 

Le Syndrome Neurotypique:



Définition
Le syndrome neurotypique est un trouble neurobiologique caractérisé par un souci de préoccupations sociales, des délires de supériorité, et l'obsession de conformité.

Symptômes
Les individus neurotypiques ( NTs ) pensent souvent que leur expérience du monde est soit la seule ou soit la seule bonne. Les NTs ont du mal à être seuls. Les NTs sont souvent intolérants à l'apparence des différences mineures chez les autres. Les NTs ont du mal à communiquer directement, et beaucoup ont une incidence plus élevée de mensonges par rapport aux personnes autistes.

Causes
Le NT est censé être d'origine génétique. Les autopsies ont montré que le cerveau du neurotypique est généralement plus petit que celui d'une personne autiste et a sur-développé les domaines liés au comportement social.

Tendance
Malheureusement, plus de 9 625 sur 10 000 personnes pourraient être neurotypiques.

Traitements
Il n'existe pas de remède connu pour le Syndrome Neurotypique.

Adaptation
Dans de rares cas les NTs peuvent apprendre à compenser leur handicap et d'interagir normalement avec des personnes autistes.



Critères diagnostiques du Syndrome Neurotypique

A. Altération qualitative de la communication comme le témoigne au moins un des éléments suivants:

Retard ou Absence du langage parlé. (surcompensation par d'autres modes de communications comme le geste, la mimique ou l'interprétation)
Chez les individus maitrisant suffisamment le langage: Incapacité à ne pas interpréter les conversations avec autrui de manière illogique (en cherchant continuellement des doubles sens par exemple)
Usage stéréotypé et répétitif du langage. (ex. Comment ça va ? Ça va bien)

B. Altération qualitative de l'autonomie affective, comme en témoigne au moins deux des éléments suivants:
Obsession marquée de comportements non-verbaux, vagues, indéfinissables, propres à chaque personne tels que le contact oculaire, la mimique faciale, les postures corporelles et/ou les gestes.
Incapacité à établir des relations avec les pairs possèdent un autre mode de fonctionnement sans faire abstraction d'une interprétation l'amenant directement au jugement d'une carence affective excessive.
Recherche extrême ou anormale de confort dans les moments de détresse. (cherche le réconfort d'une manière stéréotypée, attire l'attention même lorsque peu blessé)
Le sujet n'arrive pas à s'estimer suffisamment de manière autonome, ce qui l'amène à partager constamment ses plaisirs, ses intérêts ou ses réussites avec d'autres personnes.
Recherche constamment l'attention car incapable de rester seul.
Présence de réciprocité sociale ou émotionnelle : Le sujet n'existe pas sans le regard des autres.

C. Caractère restreint, répétitif et stéréotypé des comportements sociaux, des intérêts et des activités socialement acceptables, comme en témoigne au moins deux des éléments suivants :
- Préoccupations circonscrites à quelques centres d'intérêts stéréotypés et restreints permettant de sauver l'image sociale, tant dans son intensité que dans son orientation.
- Adhésion apparemment inflexible à des habitudes ou à des rituels spécifiques d'une incohérence marquée mais fonctionnels pour la norme.
- Maniérismes moteurs stéréotypés et répétitifs dont l'absence de cohérence avec l'émotion vécue provoquent une distorsion.
- Préoccupations persistantes pour certaines parties du corps.

D. La perturbation entraine un modelage cliniquement significatif du fonctionnement social, professionnel ou dans d'autres domaines importants.

E. Il n'existe pas de retard général du langage mais la récurrence du manque de précision et de clarté de la communication est significative sur le plan clinique.

F. Au cours de l'enfance, il y a eu diminution de l'autonomie de penser et de la curiosité pour son environnement. Il y a cependant eu un apprentissage accéléré du comportement adaptatif.

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Membre, 38ans Posté(e)
sirielle Membre 9 751 messages
Maitre des forums‚ 38ans‚
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Le 08/04/2021 à 20:02, deja-utilise a dit :

Bonsoir Sirielle,

 

réponse quelque peu énigmatique, la folie renvoie essentiellement à deux choses:

• Ce qui est déraisonnable

• Une " maladie " psychique/psychiatrique/neurologique 

 

Mais pour ce faire, il faut a minima une référence, un cadre de comparaison, et il est évident que l'on prend le plus grand nombre dans une fourchette donnée comme étalon. ( C.f: Normality A critical genealogy - en cours de lecture )

Il n'est pas évident du tout que la majorité doivent servir comme mesure de base, et c'est encore plus discutable quand il s'agit de savoir ce qui est normal ou moral ( remarquons au passage que l'on peut être anomal sans être anormal ! C'est simplement une autre normalité, comme plus pragmatiquement et proche de nous: les droitiers et les gauchers ), certains évènements culturo-historiques nous montrent clairement que cette majorité, parfois écrasante, se trompent complètement ! Avec le recul, on peut parfois facilement y voir de la crétinerie et même de la barbarie, que l'on a du mal à comprendre ou à justifier une fois le recul nécessaire pris, comme par exemple l'excision des femmes dans certains pays d'Afrique, encore actuellement, où plus de 98% des femmes n'échappent pas - très jeunes - à cet acte de mutilation. On voit donc par ce simple exemple, que le plus grand nombre peut franchement se fourvoyer dans ce qui est Bien ou Mal, et je ne parle même pas non plus des plus de 99% de la population mondiale qui croit à quelque chose qui transcende l'humain ! Si la néoténie est en théorie basée sur l'apparence du corps, j'y adjoindrais bien volontiers aussi le manque de maturité intellectuelle qui va très bien avec, selon moi, nous gardons un caractère infantile aussi bien esthétiquement que cognitivement, pour le dire crûment.

Dit autrement, est fou celui qui nage à contre-courant, contrairement au troupeau qui se laisse porter par son propre courant, il est aisé de voir et de pointé du doigt celui qui remonte une foule qui avance dans une seule direction, cette saillance ne nous dit rien en elle-même sur la valeur du choix de la direction, mais cela demande une réflexion poussée qui en général déplait fortement au commun des mortels, préférant de loin la facilité, l'habitude, le consensus, le familier, de coller à la culture locale, bref de suivre le mouvement de ses pairs ou considérés comme tels.

 

Autrement dit, ce que pense ou fait la masse ou la plèbe n'a pas grande valeur à mes yeux, piégés qu'ils sont dans leur ignorance crasse, parfois teintée d'arrogance, généralement d'ailleurs il y a proportionnalité entre les deux, comme l'effet Dunning-Kruger nous l'enseigne par exemple, ou encore dans un autre registre, le déni implicite également.

 

 

Ceci étant dit, si je peux me permettre et j'espère ne pas dépasser " les bornes des limites " comme qui dirait, je vois que tu fais régulièrement des sujets généraux, mais que j'ai l'intime conviction qu'il s'y cache en réalité quelque chose de particulier et précis - et même personnel, dont tu ne dis mot, ce qui explique je pense le fait que je tourne autour du pot sans vraiment mettre le doigt sur la véritable problématique dissimulée derrière le cadre générique du sujet, et je pense, que ta dernière réponse laisse entrevoir, plus que d'habitude une telle possibilité/inférence !

 

 

Pour le contenu masqué, je m'excuse mais je ne suis pas particulièrement réceptif à ce genre de trituration langagière, je me contente en général de la sémantique et il y a déjà fort à faire, la rhétorique et autres jeux de mots est quelque chose que je laisse sans peine aux poètes de tous poils, en revanche une vision schizophrénique du monde serait plus intéressante/enrichissante de mon point de vue, car il y a toujours un sens, une intention ou une interprétation derrière à découvrir, du moins pour le·a principal·e intéressé·e. 

 

 

 

P.S.:

J'ai " pensé " à toi - en lien avec notre rapport à la vérité d'une autre discussion que nous avons eu - en lisant récemment dans le dernier Cerveau et Psycho d'avril 2021, page 67:

L'identité vaut plus que la vérité

( parlant d'environnement social: famille, communauté, associations ou profession ) " C'est de cette façon que l'identité culturelle commence à prendre le pas sur les faits, déclare le psychologue norvégien spécialiste des enjeux climatiques Per Espen Stoknes. Et l'identité de la personne l'emporte dans tous les cas, sur la vérité. "

Elliot Aronson et Carol Tavris écrivent dans la revue The Atlantic: " Lorsque les gens ressentent un lien fort avec un parti politique, un leader, une idéologie ou une croyance, ils sont plus susceptibles de laisser cette allégeance faire leur travail de réflexion à leur place et de déformer ou d'ignorer les preuves qui remettent en cause ses loyautés. "

 

:hi:

Ceci étant simplement un exemple parmi tant d'autres ainsi encore qui suis-je pour affirmer honnêtement et sans doute de ce que je suis vraiment malgré les jaloux dégueulasses... Ici la fin, car ici ma haine emporte tout. et détruit chacun,... malgré et en faveur des précieuses exceptions...

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Membre, 38ans Posté(e)
sirielle Membre 9 751 messages
Maitre des forums‚ 38ans‚
Posté(e)
Le 08/04/2021 à 20:02, deja-utilise a dit :

Bonsoir Sirielle,

 

réponse quelque peu énigmatique, la folie renvoie essentiellement à deux choses:

• Ce qui est déraisonnable

• Une " maladie " psychique/psychiatrique/neurologique 

 

Mais pour ce faire, il faut a minima une référence, un cadre de comparaison, et il est évident que l'on prend le plus grand nombre dans une fourchette donnée comme étalon. ( C.f: Normality A critical genealogy - en cours de lecture )

Il n'est pas évident du tout que la majorité doivent servir comme mesure de base, et c'est encore plus discutable quand il s'agit de savoir ce qui est normal ou moral ( remarquons au passage que l'on peut être anomal sans être anormal ! C'est simplement une autre normalité, comme plus pragmatiquement et proche de nous: les droitiers et les gauchers ), certains évènements culturo-historiques nous montrent clairement que cette majorité, parfois écrasante, se trompent complètement ! Avec le recul, on peut parfois facilement y voir de la crétinerie et même de la barbarie, que l'on a du mal à comprendre ou à justifier une fois le recul nécessaire pris, comme par exemple l'excision des femmes dans certains pays d'Afrique, encore actuellement, où plus de 98% des femmes n'échappent pas - très jeunes - à cet acte de mutilation. On voit donc par ce simple exemple, que le plus grand nombre peut franchement se fourvoyer dans ce qui est Bien ou Mal, et je ne parle même pas non plus des plus de 99% de la population mondiale qui croit à quelque chose qui transcende l'humain ! Si la néoténie est en théorie basée sur l'apparence du corps, j'y adjoindrais bien volontiers aussi le manque de maturité intellectuelle qui va très bien avec, selon moi, nous gardons un caractère infantile aussi bien esthétiquement que cognitivement, pour le dire crûment.

Dit autrement, est fou celui qui nage à contre-courant, contrairement au troupeau qui se laisse porter par son propre courant, il est aisé de voir et de pointé du doigt celui qui remonte une foule qui avance dans une seule direction, cette saillance ne nous dit rien en elle-même sur la valeur du choix de la direction, mais cela demande une réflexion poussée qui en général déplait fortement au commun des mortels, préférant de loin la facilité, l'habitude, le consensus, le familier, de coller à la culture locale, bref de suivre le mouvement de ses pairs ou considérés comme tels.

 

Autrement dit, ce que pense ou fait la masse ou la plèbe n'a pas grande valeur à mes yeux, piégés qu'ils sont dans leur ignorance crasse, parfois teintée d'arrogance, généralement d'ailleurs il y a proportionnalité entre les deux, comme l'effet Dunning-Kruger nous l'enseigne par exemple, ou encore dans un autre registre, le déni implicite également.

 

 

Ceci étant dit, si je peux me permettre et j'espère ne pas dépasser " les bornes des limites " comme qui dirait, je vois que tu fais régulièrement des sujets généraux, mais que j'ai l'intime conviction qu'il s'y cache en réalité quelque chose de particulier et précis - et même personnel, dont tu ne dis mot, ce qui explique je pense le fait que je tourne autour du pot sans vraiment mettre le doigt sur la véritable problématique dissimulée derrière le cadre générique du sujet, et je pense, que ta dernière réponse laisse entrevoir, plus que d'habitude une telle possibilité/inférence !

 

 

Pour le contenu masqué, je m'excuse mais je ne suis pas particulièrement réceptif à ce genre de trituration langagière, je me contente en général de la sémantique et il y a déjà fort à faire, la rhétorique et autres jeux de mots est quelque chose que je laisse sans peine aux poètes de tous poils, en revanche une vision schizophrénique du monde serait plus intéressante/enrichissante de mon point de vue, car il y a toujours un sens, une intention ou une interprétation derrière à découvrir, du moins pour le·a principal·e intéressé·e. 

 

 

 

P.S.:

J'ai " pensé " à toi - en lien avec notre rapport à la vérité d'une autre discussion que nous avons eu - en lisant récemment dans le dernier Cerveau et Psycho d'avril 2021, page 67:

L'identité vaut plus que la vérité

( parlant d'environnement social: famille, communauté, associations ou profession ) " C'est de cette façon que l'identité culturelle commence à prendre le pas sur les faits, déclare le psychologue norvégien spécialiste des enjeux climatiques Per Espen Stoknes. Et l'identité de la personne l'emporte dans tous les cas, sur la vérité. "

Elliot Aronson et Carol Tavris écrivent dans la revue The Atlantic: " Lorsque les gens ressentent un lien fort avec un parti politique, un leader, une idéologie ou une croyance, ils sont plus susceptibles de laisser cette allégeance faire leur travail de réflexion à leur place et de déformer ou d'ignorer les preuves qui remettent en cause ses loyautés. "

 

:hi:

Bonsoir deja-utilise,

J'aurais préféré te répondre plus idéalement mais il faut croire qu'ici, la schizophrénie ayant bon dos, nous  jugeons alors de la vie intime respective#freeréputation.... sachant que je n'oserais préciser ce que chacun sait sans vouloir l'affronter...

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Membre, 38ans Posté(e)
sirielle Membre 9 751 messages
Maitre des forums‚ 38ans‚
Posté(e)
Le 09/04/2021 à 16:34, Blaquière a dit :

"Tant va la goutte au puits que la vérité se casse...." ;)

Une fois de plus ici mon cher alors :hehe:

 

Le 04/04/2021 à 16:50, Good Venins a dit :

bonjour,

enfant j'écoutais ce titre, et me représentais l'enfant et son cri a la naissance (il y a plus de 3  minutes d'intro)... cette musique   est associé a plusieurs vidéos qui n'ont rien a voir avec MA version, et si c'était ça, la folie, simplement naître ? ...

 

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 6 039 messages
If you don't want, you Kant...,
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Bonjour @sirielle

 

vu la courteur de ta réponse, j'ai le sentiment qu'il y a un quiproquo et je m'en excuse si j'ai fauté à tes yeux. Je serais bien mal placé pour émettre un quelconque jugement en étant moi-même une anomalie multi-récidiviste si je puis dire, qui plus est, il me semblait que mes propos allaient justement dans le sens de dénoncer les jugements de valeur hâtifs, que c'est un biais social la plupart du temps, une propension à la facilité de tout un chacun, un manque individuel de cohérence/consistance, etc...

Quand j'ai énoncé " la schizophrénie " c'était à prendre comme exemple - d'où l'emploi du conditionnel, et non pas comme une " mise en case " de ma part, c'est celui - l'exemple - qui m'est venu à l'esprit car j'ai lu récemment plusieurs choses à ce sujet ( => biais de disponibilité ), mais j'aurais pu évoquer un trouble plus personnel, qui me colle à la peau, comme la dyslexie, expliquant grandement que je n'apprécie guère les jeux de mots, car je combats les miens propres avec la plus grande force, et bien que je n'ai aucune honte à avoir cette faiblesse, il n'est pas plus question d'en avoir une certaine fierté comme le font/revendiquent quelques militants pour d'autres troubles plus ou moins médiatiques, n'y trouvant donc aucune qualité intrinsèque, je ne peux dès lors pas spécialement apprécier tout ce qui s'en rapproche, même très indirectement, tel l'art ou l'humour, voilà tout.

 

J'aurais aimé effectivement une autre tournure, mais c'est ainsi je n'y puis rien car je compose avec ma propre personnalité éclectique, bonne continuation à toi, D-U.

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Membre, 42ans Posté(e)
Crève Membre 3 586 messages
Forumeur vétéran‚ 42ans‚
Posté(e)
Le 21/03/2021 à 21:40, sirielle a dit :

En quoi la folie est-elle nécessaire ou superflue?

Pourquoi est-on contraint de choisir entre les deux ? Je répondrais ni l'une ni l'autre. La folie est, tout simplement. Il faut composer avec.

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Membre, 38ans Posté(e)
sirielle Membre 9 751 messages
Maitre des forums‚ 38ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, deja-utilise a dit :

je m'en excuse si j'ai fauté à tes yeux

Bonjour deja-utilise,

En réalité je te suis sincèrement reconnaissante de ta participation sur ce sujet que je juge enrichissante. Cependant lorsque je réponds en soirée je suis souvent plus fantaisiste et brève, quels que soient le sujet et l'interlocuteur.

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Membre, 38ans Posté(e)
sirielle Membre 9 751 messages
Maitre des forums‚ 38ans‚
Posté(e)
Le 08/04/2021 à 20:02, deja-utilise a dit :

en revanche une vision schizophrénique du monde serait plus intéressante/enrichissante de mon point de vue, car il y a toujours un sens, une intention ou une interprétation derrière à découvrir, du moins pour le·a principal·e intéressé·e. 

Ici alors je te joins une interprétation lyrique d'une forme de schizophrénie implicite à mes yeux, si ton cœur te porte à bien vouloir la commenter, par leurs (in)acceptations sociales.

 

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 6 039 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

Bonjour Sirielle,

Il y a 10 heures, sirielle a dit :

Ici alors je te joins une interprétation lyrique d'une forme de schizophrénie implicite à mes yeux, si ton cœur te porte à bien vouloir la commenter, par leurs (in)acceptations sociales.

je ne sais pas si je serai à la hauteur de tes attentes, d'autant plus que je n'ai ni fibre artistique y compris musicologique, ni n'ai un quelconque don pour me saisir d'un message qui ne serait pas littéralement précis.

 

Après m'être un peu renseigné de l'origine de cette chanson, et si j'en laisse l'apparente source/inspiration historique de côté, et que je me concentre sur le texte lui-même - dont on trouve facilement les paroles sur le Net, il est vrai que l'on peut y voir l'expression d'une des schizophrénies ( C.f.: Cerveau et Psycho de mars 2021 n°130, p29, du dossier des pages 28 à 54 sur la Schizophrénie ) ou l'une de ses manifestations: le versant " positif " ou le délire.

 

Le personnage est effectivement en proie avec une part de lui-même dont il ne peut pas se départir, et il en arrive à personnifier la Folie en lui, il lutte contre elle, pensant être " possédé " par elle, il n'y voit donc aucun échappatoire car, soit il se laisse aller à son emprise et donc de sombrer corps-et-âme dedans, du moins c'est la peur extrême qu'il en a, ou soit en la combattant il ne fait que (se) révéler la présence de cette dernière en lui, en effet il n'est pas nécessaire de combattre le vice si l'on est effectivement vertueux, il est donc prisonnier de ses propres pensées et par une sorte d'emballement émotionnel ou rétro-bouclage, qui fait chambre d'écho, il sent qu'il finira par défaillir de la sorte, pourtant son espoir lui intime d'espérer en être délivrer, d'être effacé ou réinitialisé.

( Toutefois laisser aller cette folie en soi - dans un cadre approprié - peut aider à mieux s'en libérer par la suite:

http://psychiatriinfirmiere.free.fr/infirmiere/formation/psychiatrie/adulte/therapie/antipsychiatrie.htm 

ou l'exemple de Mary Barnes - non lue )

 

Concernant l'acceptabilité sociale, cela rejoint toute forme de différence qui s'écarte de la norme sociale et donc son rejet sans autre procès par hoi polloi, et comme chacun de nous intériorise plus ou moins ces normes et ce, dès notre plus tendre enfance, nous en arrivons à rentrer en conflit avec nous, sans toujours savoir d'où sort cette contradiction, en plus de la pression normative toujours tangible dans la situation réelle dans laquelle nous nous trouvons, qu'elle soit directe par l'entourage présent ou indirecte par les médias en tout genre.

Je rappelle que pour Thomas S. SZASZ ( The myth of mental illness ) la maladie mentale est une forme de communication avant toute chose et que la psychiatrie - classique - s'est fourvoyée à plus d'un titre, à la fois en se positionnant comme " jugeur " puis via un moyen de normalisation - sociale - et aussi dans sa fonction même d'aider les personnes en souffrance par les bons moyens - adaptés.

Tu peux aussi prendre le temps de lire le document suivant, si le cœur t'en dit, tu pourras y découvrir une autre approche psychiatrique, qui porte mal son nom, l'anti-psychiatrie:

https://www.researchgate.net/publication/51605290_'Therapeutic_community'_psychiatry's_reformers_and_antipsychiatrists_reconsidering_changes_in_the_field_of_psychiatry_after_World_War_II

( Il suffit de cliquer sur Download full-text PDF pour le télécharger gratuitement et sans inscription )

 

:hi:

 

 

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Membre, 64ans Posté(e)
Good Venins Membre 1 356 messages
Forumeur vétéran‚ 64ans‚
Posté(e)

Bonjour,

Je vous adresse cette autre chanson sur la "folie douce"...

a l'époque cela fut furieusement commenté, comme notre incapacité a la tolérance de l'autre quant a ces différences;

comme quoi nous aurions un problème a "embrassé" un extra-terrestre s'il venait a passer chez nous... et en extrapolant; notre impossibilité a accueillir Dieu, si tenté qu'il puisse réapparaître ?

C'est chouette, toutes les interprétations que l'on peut faire d'un texte, qui pour son auteur ne devait être, qu'une simple "blagounette"...

 

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Membre, 38ans Posté(e)
sirielle Membre 9 751 messages
Maitre des forums‚ 38ans‚
Posté(e)
Le 16/04/2021 à 09:19, deja-utilise a dit :

Le personnage est effectivement en proie avec une part de lui-même dont il ne peut pas se départir, et il en arrive à personnifier la Folie en lui, il lutte contre elle, pensant être " possédé " par elle, il n'y voit donc aucun échappatoire car, soit il se laisse aller à son emprise et donc de sombrer corps-et-âme dedans, du moins c'est la peur extrême qu'il en a, ou soit en la combattant il ne fait que (se) révéler la présence de cette dernière en lui, en effet il n'est pas nécessaire de combattre le vice si l'on est effectivement vertueux, il est donc prisonnier de ses propres pensées et par une sorte d'emballement émotionnel ou rétro-bouclage, qui fait chambre d'écho, il sent qu'il finira par défaillir de la sorte, pourtant son espoir lui intime d'espérer en être délivrer, d'être effacé ou réinitialisé.

Bonjour deja-utilise,

Concernant cette oeuvre musicale tu n'es certainement pas sans savoir que la schizophrénie se caractérise fréquemment entre autres par des "hallucinations auditives", souvent à la fois groupées et critiques, voire aliénantes.

"Je subis cette cacophonie qui me scie la tête
Assommante harmonie

Elle me dit, tu paieras tes délits
Quoi qu'il advienne"

Ainsi elle pousse potentiellement à des compensations/parades sonores:

"Je noie mon ennui dans la mélomanie
Je tue ma phobie dans la désharmonie."

Voire elle peut conduire à des tendances suicidaires:

"L'ennemi, tapi dans mon esprit
Fête mes défaites
Sans répit me défie
Je renie la fatale hérésie
Qui ronge mon être
Je veux renaître
Renaître."

Elle décrédibilise de par sa réputation et ses dérives:

"Siphonnée symphonie
Déconcertant concerto
Je joue sans toucher le do
Mon talent sonne faux." 

Elle tend à une certaine asociabité:

"Je voue mes nuits à l'assasymphonie
J'avoue, je maudis tous ceux qui s'aiment"

Rongé par la critique à son égard, le schizophrène en vient alors plus ou moins à refuser à autrui l'estime à laquelle il a la sensation qu'on ne lui donne pas droit socialement.

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Jamais nécessaire, mais parfois inévitable...

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Invité Quasi-Modo
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Il y a 2 heures, Verdô a dit :

Jamais nécessaire, mais parfois inévitable...

Nous pourrions dire que la folie se caractérise par une plus grande difficulté à trouver le juste milieu ou la vertu sans soutien ou sans apport médicamenteux. Mais dans le fond, toute maladie est un déséquilibre qui pourrait se comprendre ainsi.

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Invité Quasi-Modo
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Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
Posté(e)

Bien souvent en adoptant une hygiène de vie plus équilibrée, et en ayant un environnement et un entourage plus sain, un individu souffrant de troubles psychiques peut maximiser son bien être au prix de certains aménagements parfois.

En quelque sorte c'est une difficulté supplémentaire pour trouver le bonheur.

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Membre, 38ans Posté(e)
sirielle Membre 9 751 messages
Maitre des forums‚ 38ans‚
Posté(e)
Le 24/04/2021 à 04:05, Quasi-Modo a dit :

Bien souvent en adoptant une hygiène de vie plus équilibrée, et en ayant un environnement et un entourage plus sain, un individu souffrant de troubles psychiques peut maximiser son bien être au prix de certains aménagements parfois.

En quelque sorte c'est une difficulté supplémentaire pour trouver le bonheur.

Entourage, souviens toi bien que pousser au crime ne délègue qu'une part de responsabilité, ce qu'il en reste c'est qu'aucune apparence ne te sauvera de ce que tu es vraiment au-delà du pardon, sauf si elle révèle le courage que tu as de surpasser autrui par la coopération.

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