L'enfance

C'est drôle la vie. Quand on est gosse, le temps ne s'en finit pas de traîner, et puis du jour au lendemain on a comme çà 50 ans. Et l'enfance tout ce qu'il en reste çà tient dans une petite boite. Une petite boite rouillée. Amélie Poulain.

Et si l'on parlait de nos enfances, de ces états d'innocences De nos premiers amours, nos bêtises et de nos punitions qui suivaient obligatoirement. Etait ce mieux avant ?Pour ma part, nous étions plus heureux que nos jeunes d'aujourd'hui. Nous avons appris à jouer avec peu. Quelle a été votre plus belle anerie? Comment s'appellait votre premier amour? L'enfance. Cette heureuse et brêve période de l'existence oû l'on a tout juste assez de conscience pour savourer la joie d'être et d'inconscience pour ignorer les difficultés de la vie.

https://citation-celebre.leparisien.fr/citation/l-enfance

Moi j'ai été coupable la deuxième fois que j'ai chier dans ma couche 

il y a 1 minute, bouddean a dit :

Moi j'ai été coupable la deuxième fois que j'ai chier dans ma couche 

Je ne saisie pas vraiment l'aspect philosophique de ce sujet... à mon avis ce n'est pas la bonne section ici.

il y a 1 minute, Groenland a dit :

Je ne saisie pas vraiment l'aspect philosophique de ce sujet... à mon avis ce n'est pas la bonne section ici.

Trop tard.......

il y a 42 minutes, zeyas a dit :

Cette heureuse et brêve période de l'existence

Chaque fois qu'il est question d'enfance, on a le droit a cette quasi injonction de bonheur, cette idealisation générale systématique. Étrange, non ? 

Il y a 2 heures, zeyas a dit :

C'est drôle la vie. Quand on est gosse, le temps ne s'en finit pas de traîner, et puis du jour au lendemain on a comme çà 50 ans. Et l'enfance tout ce qu'il en reste çà tient dans une petite boite. Une petite boite rouillée. Amélie Poulain.

Et si l'on parlait de nos enfances, de ces états d'innocences De nos premiers amours, nos bêtises et de nos punitions qui suivaient obligatoirement. Etait ce mieux avant ?Pour ma part, nous étions plus heureux que nos jeunes d'aujourd'hui. Nous avons appris à jouer avec peu. Quelle a été votre plus belle anerie? Comment s'appellait votre premier amour? L'enfance. Cette heureuse et brêve période de l'existence oû l'on a tout juste assez de conscience pour savourer la joie d'être et d'inconscience pour ignorer les difficultés de la vie.

https://citation-celebre.leparisien.fr/citation/l-enfance

 

Bonjour,

Je ne suis pas certain que l'enfance soit si innocente que ça.

A la brigade des moeurs, j'ai un dossier long comme le bras.

La conscience de sa propre perversité est rédemptrice.

C'est la récursivité "conscient d'être conscient" qui nous impose un choix crucial : celui de continuer à se mentir, et à mentir aux autres, ou celui de s'assumer moralement tout en désinfectant son système mental.

Chez certains enfants sages et humbles, l'adolescence est un long fleuve tranquille.

Mais chez les transgressifs et les arrogants, une révolution post-adolescente s'impose, avec son lot de brutalité.

Je suis en rupture quasi antinomique avec l'adolescent que j'étais.

Je me déteste et je me chie dessus.

Par esprit de vengeance, l'adolescent que j'étais fume et bois pour me faire crever prématurément.

C'est la rupture générationnelle.

Les rares coups de pied au cul que j'ai reçus n'étaient pas mérités, mais esthétiquement, je le valais bien.

C'est l'amour inconditionnel de ma mère, digne de la Sainte Vierge, qui m'a offert la foi.

Sinon, je me prendrais encore pour un ninja.

Aujourd'hui je perçois la bienveillance environnante malgré un évènementiel traumatisant.

Cordialement, Fraction.

il y a 37 minutes, jul77 a dit :

Chaque fois qu'il est question d'enfance, on a le droit a cette quasi injonction de bonheur, cette idealisation générale systématique. Étrange, non ? 

Tout le monde n'a pas eu droit à une belle enfance je le reconnais. C'est quand méme pour tous la plus belle période de notre vie puisque estre adulte est une éternelle bataille.

il y a 3 minutes, Fraction a dit :

Bonjour,

Je ne suis pas certain que l'enfance soit si innocente que ça.

A la brigade des moeurs, j'ai un dossier long comme le bras.

La conscience de sa propre perversité est rédemptrice.

C'est la récursivité "conscient d'être conscient" qui nous impose un choix crucial : celui de continuer à se mentir, et à mentir aux autres, ou celui de s'assumer moralement tout en désinfectant son système mental.

 

Chez certains enfants sages et humbles, l'adolescence est un long fleuve tranquille.

Mais chez les transgressifs et les arrogants, une révolution post-adolescence s'impose, avec son lot de brutalité.

Je suis en rupture quasi antinomique avec l'adolescent que j'étais.

Je me déteste et je me chie dessus.

Par esprit de vengeance, l'adolescent que j'étais fume et bois pour me faire crever prématurément.

C'est la rupture générationnelle.

 

Les rares coups de pied au cul que j'ai reçus n'était pas mérités, mais esthétiquement, je le valais bien.

C'est l'amour inconditionnel de ma mère, digne de la Sainte Vierge, qui m'a offert la foi.

Sinon, je me prendrais encore pour un ninja.

Aujourd'hui je perçois la bienveillance environnante malgré un évènementiel traumatisant.

Cordialement, Fraction.

Hé bien quel parcours...........Heureusement nous avons tous le choix de changer et c'est bien. L'enfance change les caractéres. Elle forme l'adolescent(e) Elle forge la résilience. Elle peux laisser aussi des blessures et cela est bien triste. Et enfin il est vrai que la foi nous sauve de tout. Tout comme l'éspérance.

il y a 9 minutes, zeyas a dit :

. C'est quand méme pour tous la plus belle période de notre vie 

OK... c'est reparti pour les généralisations bien confortable. Je te laisse avec tes "tous".

il y a 44 minutes, jul77 a dit :

Chaque fois qu'il est question d'enfance, on a le droit a cette quasi injonction de bonheur, cette idealisation générale systématique. Étrange, non ? 

Parce que tout enfant rêve, et c'est l'adulte qui lui ment, alors en grandissant, il oublie, il oublie que le rêve est de faire que les choses soient et il succombe à l'illusion, en croyant que les choses sont . Ce qui meurt chez nous, c'est ça, c'est le rêve 

J'irai au bout de mes rêêêêêêêâiaiaiaiaiveuuuuuuu , nous ne sommes pas mort nous , nous sommes juste endormis , le rêve est de faire que les choses soient et le bonheur est sur le premier pas du chemin de sa direction . 

à l’instant, bouddean a dit :

Parce que tout enfant rêve,

Si tu l'affirmes.

il y a 4 minutes, jul77 a dit :

Si tu l'affirmes.

Jusqu'à ce qu'on l'en empêche ou qu'on brise ses rêves en lui mentant , ma très grande maturité vient du fait qu'on m'ait tué a 2 ans, puis à 3 puis à 4 et à 5 , après, ce fut a 20 puis a 30, puis a 50, ha ha , je suis immortel maintenant 

à l’instant, bouddean a dit :

Jusqu'à ce qu'on l'en empêche ou qu'on brise ses rêves en lui mentant , ma très grande maturité vient du fait qu'on m'ait tué a 2 ans, puis à 3 puis à 4 et à 5 , après, ce fut a 20 puis a 30, puis a 50, ha ha , je suis immortel maintenant 

Immortel ou prétentieux ? 

il y a 15 minutes, jul77 a dit :

Immortel ou prétentieux ? 

Peut être prétentieux, oui, puisque mon rêve est de faire que mon rêve survive , oui, oui, j'ai mis la barre assez haut , mais j'ai beau essayer, je suis fasciné par la beauté du monde et j'ai envie de  partager cette fascination, le covid n'est qu'un contre temps .

Il y a 4 heures, bouddean a dit :

puisque mon rêve est de faire que mon rêve survive 

C'est un objectif respectable, mais sans lien avec la discussion du dessus.

Il y a 4 heures, bouddean a dit :

Peut être prétentieux, oui, puisque mon rêve est de faire que mon rêve survive , oui, oui, j'ai mis la barre assez haut , mais j'ai beau essayer, je suis fasciné par la beauté du monde et j'ai envie de  partager cette fascination, le covid n'est qu'un contre temps .

Il ne reste de mon enfance que des textes torturés . Issu d'un rêve intacte...

Mais pitié que c'est dur à vivre dans un corps et un monde d'adulte, Avec comme bagage un fardeau d’adolescent !