R.A.S

bonsoir

R.A.S = rien à signaler .toutes les deux heures , la sentinelle descend l'escalier de fer de la tour fortifié du poste isolé que nous tenons dans une régions perdue et en guerre .elle vient me rèveiller , moi qui ne dort que d'un très léger sommeil et qui suis radio .

je monte l'échelle de fer et m'assoie devant mes postes radios qui grésilles .je prend contact avec le pc ( poste central ) de notre régiment campé à trente kilomètres .

- ici poste in - tal , tout est calme , rien à signaler .je laisse l'un de mes postes en veille et redescend me coucher .la sentinelle remonte l'échelle et reprend son poste de surveillance des alentours .

je m'endors d'un sommeil léger et sans rève car , dans deux heures , je devrais remonter l'échelle de fer pour envoyer ce message RAS. .

et cela toutes les nuits . une nuit , la sentinelle s'est endormie et ne m'à pas réveiller pour lancer le fameus RAS .

il est 4heure du matin et je suis réveillé par des bruits de moteurs d'engins blindés ? notre garnison de 15 hommes est en branle ?

n'ayant pas reçu le fameux message de toute les deux heure RAS , notre règiment à crus que nous étions attaqué et à envoyé en catastrophe une unitée de blindés et de soldats dans des camions GMC .

nous avons l'air malin .le lendemain , dans la journée , je suis la risée des radios  des postes alentours dans un rayons de 200 kilomètres .mais ce n'est pas mèchant , on à bien rigolé mais , cela est arrivé à d'autres postes et les secours n'ont trouvé que des soldats morts et mutilés .

bonne soirée

Ce sont ces erreurs qui font apprécier le fait de savoir que l'on a des hommes, des compagnons sur lesquels l'on peut autant compter... Un lien indéfectible. J'aime toujours entendre tes souvenirs de cette période parsemer toutes ces aventures littéraires que tu partages généreusement avec nous.

Il y a 12 heures, Criterium a dit :

Ce sont ces erreurs qui font apprécier le fait de savoir que l'on a des hommes, des compagnons sur lesquels l'on peut autant compter... Un lien indéfectible. J'aime toujours entendre tes souvenirs de cette période parsemer toutes ces aventures littéraires que tu partages généreusement avec nous.

bonjour

certaines erreurs et oublis peuveut couter très chères et même la vie .oui , il est important de compter sur les autres comme ils comptent sur vous dans des situations surtout en guerre .

en réalité , les apparences sont souvent trompeuses .un gars parrait -être un dur et aux premiers coups de feux , il devient un pauvre être mort de peur et un autre très timide et résevé , lui , se trancforme en fauve enragé et déterminé .

même mo ,i dans certaines situations risquées  de cette époque , j'ai découvert une autre partie de m'à personnalité qui m'étais inconnue .

bonne journée

bonjour,

la vie, la mort, cela tient à bien peu de choses .....!

mais le principe de précaution ......

bonne journée.

Au trou, le radio.

Il y a 2 heures, Talon 1 a dit :

Au trou, le radio.

bonjour 

en c'est temps là , le radio était le cordon ombilicale des postes isolés et des sections ou bataillons engagés dans une opération militaire .

les ennemis , qui sont nos amis aujourd'hui , abattaient en prioritée les officiers et les radios en premier pour que la section ou autre soit  aveugle sur le terrain et livrée à elle même .

je rappel que j'étais un soldat du contingent et non un militaire de carrière , c'est à dire un engagé .

ce que je racconte est un témoignage pour mes amis qui ont partagés cette époque avec moi et dont certains sont morts à 20 ans dans une guerre qu'ils n'avaient souhaités !

bonne journée  

il y a 23 minutes, le merle a dit :

bonjour 

en c'est temps là , le radio était le cordon ombilicale des postes isolés et des sections ou bataillons engagés dans une opération militaire .

les ennemis , qui sont nos amis aujourd'hui , abattaient en prioritée les officiers et les radios en premier pour que la section ou autre soit  aveugle sur le terrain et livrée à elle même .

je rappel que j'étais un soldat du contingent et non un militaire de carrière , c'est à dire un engagé .

ce que je racconte est un témoignage pour mes amis qui ont partagés cette époque avec moi et dont certains sont morts à 20 ans dans une guerre qu'ils n'avaient souhaités !

bonne journée  

J'étais mécano-fil à la BA 974 de Narbonne. Un radar. En 68, le chef contrôleur me téléphone pour me signaler un problème sur les lignes téléphoniques fournies par les PTT. J'appelle leur service de dépannage qui me dit qu'ils n'interviendraient pas à cause de la grève (68). Je signale au capitaine (chef contrôleur du radar). 1 heure plus tard, les PTT me rappellent pour chercher la panne (défense nationale oblige). Le soir, au réfectoire, on demandait le mécano_fil au téléphone depuis Villacoubley (état major). J'ai dû faire mon rapport sur ces événements. J'ai des relations, moi.

Il y a 1 heure, Talon 1 a dit :

J'étais mécano-fil à la BA 974 de Narbonne. Un radar. En 68, le chef contrôleur me téléphone pour me signaler un problème sur les lignes téléphoniques fournies par les PTT. J'appelle leur service de dépannage qui me dit qu'ils n'interviendraient pas à cause de la grève (68). Je signale au capitaine (chef contrôleur du radar). 1 heure plus tard, les PTT me rappellent pour chercher la panne (défense nationale oblige). Le soir, au réfectoire, on demandait le mécano_fil au téléphone depuis Villacoubley (état major). J'ai dû faire mon rapport sur ces événements. J'ai des relations, moi.

je ne remet pas en question t'est compétences , nous n'avons pas vécus dans un même contexte de situation .

je veut témoigner , peut-être malasdroitement , pour des gars qui à vingts ans , sont morts pour une cause qu'il n'avaient pas choisis .

bonne soirée