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La vie et les problèmes


Invité Quasi-Modo

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Invité Quasi-Modo
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Invité Quasi-Modo
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Posté(e)

La vie n'est-elle qu'une série de problèmes dont nous formulons les projets d'en trouver des solutions ?

J'ai une panne de voiture et je vais chez le garagiste.

J'ai un rhume et je vais chez le médecin qui me prescrit des médicaments.

J'ai une angoisse existentielle et je vais voir le curé pour qu'ils me transmette sa religion.

Est-ce juste cela l'existence ? Résoudre des problèmes et quand on en a résolu un il y en a 10 autres qui suivent ?

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Invité Barbara lebol
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Invité Barbara lebol
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Je dirais plutôt que dans la vie nous franchissons des étapes ; dès que l'on a réussi à vaincre un obstacle, un autre surgit.

Notre vie est une succession d'obstacles. Pour quelle fin ? Je ne sais pas ! De toutes façons nous n'avons pas le choix !

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Membre, 51ans Posté(e)
épixès Membre 1 815 messages
Forumeur alchimiste ‚ 51ans‚
Posté(e)
il y a 12 minutes, Quasi-Modo a dit :

La vie n'est-elle qu'une série de problèmes dont nous formulons les projets d'en trouver des solutions ?

J'ai une panne de voiture et je vais chez le garagiste.

J'ai un rhume et je vais chez le médecin qui me prescrit des médicaments.

J'ai une angoisse existentielle et je vais voir le curé pour qu'ils me transmette sa religion.

Est-ce juste cela l'existence ? Résoudre des problèmes et quand on en a résolu un il y en a 10 autres qui suivent ?

La vie (humaine) est en effet la confrontation du monde projeté, désiré, à la réalité et nous sommes bien obligés d'admettre qu'ils coïncident assez rarement, ce qui va entrainer de notre part diverses réactions, pas toujours appropriées, afin de remédier à la situation jugée problématique.

Bien entendu il serait ridicule de résumer l'existence à une série de problèmes à résoudre, ce serait une lecture légitime mais bien trop réductrice.

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Membre, Un oiseau la tête en bas !, Posté(e)
Sittelle Membre 12 620 messages
Un oiseau la tête en bas !,
Posté(e)
il y a 23 minutes, Quasi-Modo a dit :

La vie n'est-elle qu'une série de problèmes dont nous formulons les projets d'en trouver des solutions ?

J'ai une panne de voiture et je vais chez le garagiste.

J'ai un rhume et je vais chez le médecin qui me prescrit des médicaments.

J'ai une angoisse existentielle et je vais voir le curé pour qu'ils me transmette sa religion.

Est-ce juste cela l'existence ? Résoudre des problèmes et quand on en a résolu un il y en a 10 autres qui suivent ?

Tu me déçois ! Ou est ta résillience ? :ohmy:

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Invité Barbara lebol
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Invité Barbara lebol
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Posté(e)
il y a 4 minutes, épixès a dit :

Bien entendu il serait ridicule de résumer l'existence à une série de problèmes à résoudre, ce serait une lecture légitime mais bien trop réductrice.

Je suis bien d'accord ! Tout dépend de l'état d'esprit dans lequel nous nous trouvons ; si nous sommes déprimés, le monde qui nous entoure va se colorer de tristesse et de difficultés.

L'homme dispose d'une autre dimension !

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Membre, Un oiseau la tête en bas !, Posté(e)
Sittelle Membre 12 620 messages
Un oiseau la tête en bas !,
Posté(e)
il y a 3 minutes, Barbara lebol a dit :

Je suis bien d'accord ! Tout dépend de l'état d'esprit dans lequel nous nous trouvons ; si nous sommes déprimés, le monde qui nous entoure va se colorer de tristesse et de difficultés.

L'homme dispose d'une autre dimension !

L'homme : l'humain ? Ou l'homme versus la femme ?

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Invité Barbara lebol
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Invité Barbara lebol
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Posté(e)
à l’instant, Sittelle a dit :

L'homme : l'humain ? Ou l'homme versus la femme ?

L'Homme !

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Membre, Un oiseau la tête en bas !, Posté(e)
Sittelle Membre 12 620 messages
Un oiseau la tête en bas !,
Posté(e)
il y a 1 minute, Barbara lebol a dit :

L'Homme !

Vous ne voulez pas me répondre ?

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Membre, Forumeur confit, Posté(e)
Enchantant Membre 17 977 messages
Forumeur confit,
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il y a 31 minutes, Quasi-Modo a dit :

Est-ce juste cela l'existence ? Résoudre des problèmes et quand on en a résolu un il y en a 10 autres qui suivent ?

On demande à un fou pour quelle raison il se tape sur la tête, au point de se faire mal de la sorte ?

Et ce dernier de répondre :

« Si vous saviez le bien que cela me fait, lorsque je m’arrête » :D

 

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Invité Barbara lebol
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Invité Barbara lebol
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Posté(e)
à l’instant, Sittelle a dit :

Vous ne voulez pas me répondre ?

Mais si ! J'ai écrit "Homme" avec une majuscule, c'est le terme générique englobant hommes et femmes !

il y a 2 minutes, Enchantant a dit :

On demande à un fou pour quelle raison il se tape sur la tête, au point de se faire mal de la sorte ?

Et ce dernier de répondre :

« Si vous saviez le bien que cela me fait, lorsque je m’arrête » :D

 

C'est tout le sens de la souffrance !

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Invité Quasi-Modo
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Invité Quasi-Modo
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Posté(e)
il y a 16 minutes, épixès a dit :

Bien entendu il serait ridicule de résumer l'existence à une série de problèmes à résoudre, ce serait une lecture légitime mais bien trop réductrice.

Justement j'aimerais bien explorer les limites de cette vision des choses si vous le voulez bien.

Car en dehors peut-être de la question de la spiritualité ou du salut, du sens de l'existence, je ne vois aucune raison de penser autrement.

il y a 13 minutes, Sittelle a dit :

Tu me déçois ! Ou est ta résillience ? :ohmy:

Je ne suis pas particulièrement mal, je ne crois pas.

Je me demande si cette vision serait pertinente pour décrire l'existence. Elle décrit à merveille la conception instrumentale de la rationalité préconisée naïvement dans certaines approches scientistes.

Tout problème peut être vu comme un problème technique, avec une solution technique. Cela nous vient de loin, à commencer par Descartes et les Lumières qui voulaient que l'humain se rende Maître et possesseur de la nature.

D'ailleurs si la vie consiste exclusivement à résoudre les problèmes qui se posent à nous, et si intuitivement cette pensée nous emmène vers des sentiments de mélancolie ou de tristesse, pourquoi sinon parce que justement la vie ne s'y résume pas ? Parce que la question du sens est bien vivante ?

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Membre, Un oiseau la tête en bas !, Posté(e)
Sittelle Membre 12 620 messages
Un oiseau la tête en bas !,
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il y a 4 minutes, Barbara lebol a dit :

Mais si ! J'ai écrit "Homme" avec une majuscule, c'est le terme générique englobant hommes et femmes !

 

Ha . Merci .

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Membre, Forumeur confit, Posté(e)
Enchantant Membre 17 977 messages
Forumeur confit,
Posté(e)
à l’instant, Barbara lebol a dit :

C'est tout le sens de la souffrance !

Je ne vous reconnais pas bien là…il faut souffrir pour être belle sous entendez vous ?

Curieusement, cela ne vous ressemble pas ! :D

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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
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Posté(e)
il y a 6 minutes, Enchantant a dit :

On demande à un fou pour quelle raison il se tape sur la tête, au point de se faire mal de la sorte ?

Et ce dernier de répondre :

« Si vous saviez le bien que cela me fait, lorsque je m’arrête » :D

 

Tu as tout compris.

Objectivement parlant, si la vie ce n'est qu'une succession de problèmes, alors la solution la plus logique et rationnelle est le suicide, exactement comme le scepticisme qui consiste à douter de tout est l'aboutissement ultime du rationalisme poussé dans ses retranchements.

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Membre, Un oiseau la tête en bas !, Posté(e)
Sittelle Membre 12 620 messages
Un oiseau la tête en bas !,
Posté(e)
il y a 4 minutes, Quasi-Modo a dit :

Justement j'aimerais bien explorer les limites de cette vision des choses si vous le voulez bien.

Car en dehors peut-être de la question de la spiritualité ou du salut, du sens de l'existence, je ne vois aucune raison de penser autrement.

Je ne suis pas particulièrement mal, je ne crois pas.

Je me demande si cette vision serait pertinente pour décrire l'existence. Elle décrit à merveille la conception instrumentale de la rationalité préconisée naïvement dans certaines approches scientistes.

Tout problème peut être vu comme un problème technique, avec une solution technique. Cela nous vient de loin, à commencer par Descartes et les Lumières qui voulaient que l'humain se rende Maître et possesseur de la nature.

D'ailleurs si la vie consiste exclusivement à résoudre les problèmes qui se posent à nous, et si intuitivement cette pensée nous emmène vers des sentiments de mélancolie ou de tristesse, pourquoi sinon parce que justement la vie ne s'y résume pas ? Parce que la question du sens est bien vivante ?

Faut il restreindre  la vie a une équation ? 

Même avec une deux ... des millier d'inconnues ?

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Invité Barbara lebol
Invités, Posté(e)
Invité Barbara lebol
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Posté(e)
il y a 6 minutes, Enchantant a dit :

Je ne vous reconnais pas bien là…il faut souffrir pour être belle sous entendez vous ?

Curieusement, cela ne vous ressemble pas ! :D

Je ne fais pas allusion à l'esthétisme !

Je veux simplement dire que le bien-être apparait quand cesse la souffrance;

Cela se vérifie d'une manière remarquable dans la souffrance physique ; par exemple, si je souffre d'une indigestion avec de forts maux de ventre. Quand les maux disparaissent, une douce félicité m'envahit.

De même pour la souffrance morale !

 

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Membre, 51ans Posté(e)
épixès Membre 1 815 messages
Forumeur alchimiste ‚ 51ans‚
Posté(e)
il y a 4 minutes, Quasi-Modo a dit :

Justement j'aimerais bien explorer les limites de cette vision des choses si vous le voulez bien.

Car en dehors peut-être de la question de la spiritualité ou du salut, du sens de l'existence, je ne vois aucune raison de penser autrement.

Je ne conteste pas que la vie soit une succession de problèmes, je conteste que la vie ne soit que cela.

Nous rencontrons en effet également tout un tas de situations qui ne posent pas de problèmes, qui sont soit parfaitement neutres, soit totalement à notre avantage.

il y a 2 minutes, Quasi-Modo a dit :

Objectivement parlant, si la vie ce n'est qu'une succession de problèmes, alors la solution la plus logique et rationnelle est le suicide, exactement comme le scepticisme qui consiste à douter de tout est l'aboutissement ultime du rationalisme poussé dans ses retranchements.

On peut adhérer à une idée sans toutefois l'épouser jusqu'à ses dernières extrémités, tout sceptique ne l'est pas nécessairement à la manière de Pyrrhon comme tout utilitariste ne l'est pas systématiquement comme Jeremy Bentham. Il existe des entre deux qui viennent nuancer la position de tout un chacun, l'être humain n'est après tout que le jouet de valeurs qui s'affrontent en lui et soit créent un équilibre fragile constituant ordinairement l'être normalisé, soit une valeur (ou un petit groupe de valeurs) s'impose à toutes les autres, constituant un déséquilibre résultant sur un individu inadapté en dehors d'un groupe partageant les mêmes valeurs et que l'on qualifie ordinairement d'extrémiste.

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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
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Posté(e)
il y a 44 minutes, Sittelle a dit :

Faut il restreindre  la vie a une équation ? 

Même avec une deux ... des millier d'inconnues ?

Non, la vie n'est peut-être pas réductible à une équation, et puis c'est certainement hors de portée de nos connaissances actuelles.

Mais il est vrai que depuis l'école nous sommes conditionnés à penser comme ça : les mathématiques s'apprennent à l'aide de problèmes, dont il faut trouver la solution, sachant que l'absence de solution est aussi peut-être une solution à un problème.

il y a 32 minutes, Barbara lebol a dit :

Je ne fais pas allusion à l'esthétisme !

Je veux simplement dire que le bien-être apparait quand cesse la souffrance;

Cela se vérifie d'une manière remarquable dans la souffrance physique ; par exemple, si je souffre d'une indigestion avec de forts maux de ventre. Quand les maux disparaissent, une douce félicité m'envahit.

De même pour la souffrance morale !

 

Je comprends ton point de vue. C'est une réponse très fine. A condition d'être en parfaite santé toutefois !

C'est de l'épicurisme je pense, ou une sorte d'embryon d'épicurisme.

Mais l'épicurisme consiste encore une fois à appliquer une solution à des problèmes : se donner des plaisirs à soi et aux autres, pour bénéficier ensuite de l'ataraxie dans les périodes plus sereines.

Dans le fond je ne vois pas en quoi on sort du schéma dont je parlais : la vie est bien une succession de problèmes dont l'objectif est la résolution afin de ressentir ce bien être.

Mais ce bien être ne doit alors pas être confondu avec le plaisir. Et il me semble que nul n'est dans un état de bien être total à un instant donné : si cela semble arriver c'est sur le mode de l'illusion, et un élément tiers perturbateur vient très vite briser cette adéquation entre l'individu et le monde.

Je pense en effet que personne n'est en parfaite santé. La santé est un état idéal et théorique d'une personne en état de bien être total, au point de vue physique, psychologique, et social. C'est un mythe et les souffrances guettant chacun au coin du bois.

Et cela réduit l'action à une posture défensive : on fait juste le nécessaire pour bénéficier de l'ataraxie ou du bien être, de façon à écarter les maux qui se présentent, sans jamais viser un réel bien qui soit au delà de notre propre existence de façon affirmative. C'est très réducteur et on ne voit pas clairement pourquoi formuler des projets au delà de nos besoins immédiats : c'est le fait de personnes à courte vue et sans vision dans l'existence, non ?

Ainsi même dans cette perspective, la vie reste une sorte de fuite. To be or not to be, nous sommes tous des croyants ou des lâches pour paraphraser Shakespeare. La santé étant une illusion, un mythe et un idéal impossible à atteindre, c'est une sacré ombre au tableau pour tout un tas de gens. L'épicurisme est une philosophie du présentisme, dont l'idéal est de coïncider avec la vie à chaque instant. Mais le présentisme reste un point de vue, et il reste à se demander si la notion d'instant présent a réellement un sens physique. Selon les physiciens c'est une question ouverte.

il y a 31 minutes, épixès a dit :

Je ne conteste pas que la vie soit une succession de problèmes, je conteste que la vie ne soit que cela. 

Nous rencontrons en effet également tout un tas de situations qui ne posent pas de problèmes, qui sont soit parfaitement neutres, soit totalement à notre avantage.

Tu m'intéresses : car en effet ces clins d'oeil divin sont significatifs du sens qu'on met dans nos existences, qu'il s'agisse de plaisirs passagers, de bien être, ou de quoi que ce soit d'autre comme du sport, des activités culturelles, etc.

Mais ces actions que nous faisons pour rencontrer ces clins d'oeil divin ne sont-elles pas non plus des actions entreprises pour résoudre un problème ? Par exemple je suis malheureux, dépressif ou anxieux, donc j'ai un problème technique dont la solution est d'aller voir un psychologue.

il y a 31 minutes, épixès a dit :

On peut adhérer à une idée sans toutefois l'épouser jusqu'à ses dernières extrémités, tout sceptique ne l'est pas nécessairement à la manière de Pyrrhon comme tout utilitariste ne l'est pas systématiquement comme Jeremy Bentham. Il existe des entre deux qui viennent nuancer la position de tout un chacun, l'être humain n'est après tout que le jouet de valeurs qui s'affrontent en lui et soit créent un équilibre fragile constituant ordinairement l'être normalisé, soit une valeur (ou un petit groupe de valeurs) s'impose à toutes les autres, constituant un déséquilibre résultant sur un individu inadapté en dehors d'un groupe partageant les mêmes valeurs et que l'on qualifie ordinairement d'extrémiste.

Vivre sa vie sans spiritualité ressemble à lire la Bible en étant empiriste. David Hume qui est le chef de file de cette idée disait qu'il n'y avait pas besoin de la lire mais que sachant par avance qu'elle ne contiendrait que sottises et sophismes il convenait de la mettre d'emblée au feu sans prendre la peine d'en prendre connaissance.

Alors évidemment ce que tu décris @épixès est possible, mais ce serait vivre sans aucun recul et sans se poser aucune question. Ce qui est contraire à notre nature je pense.

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Membre, 52ans Posté(e)
CAL26 Membre 7 855 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
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il y a une heure, Quasi-Modo a dit :

La vie n'est-elle qu'une série de problèmes dont nous formulons les projets d'en trouver des solutions ?

J'ai une panne de voiture et je vais chez le garagiste.

J'ai un rhume et je vais chez le médecin qui me prescrit des médicaments.

J'ai une angoisse existentielle et je vais voir le curé pour qu'ils me transmette sa religion.

Est-ce juste cela l'existence ? Résoudre des problèmes et quand on en a résolu un il y en a 10 autres qui suivent ?

C'est le meilleur résumé de la vie : des problèmes à résoudre.

Je reviens à la source mais j'ai lu toutes les interventions et le suicide peut être une solution à l'absurdité mais le risque de se louper étant important et ainsi source de problèmes insolubles jusqu'à la mort, mieux vaut éviter.

Donc le sens que l'on donnera pour masquer le fait que la vie n'a pas d'autre raison d'être qu'elle même sera lui-même mortel et donc qu'un masque intégral. Tous enchai-nés  au seul projet de continuer l'espèce donc la vie puis le néant. Et alors?

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Invité Quasi-Modo
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Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
Posté(e)
il y a 7 minutes, CAL26 a dit :

C'est le meilleur résumé de la vie : des problèmes à résoudre.

Je reviens à la source mais j'ai lu toutes les interventions et le suicide peut être une solution à l'absurdité mais le risque de se louper étant important et ainsi source de problèmes insolubles jusqu'à la mort, mieux vaut éviter.

Donc le sens que l'on donnera pour masquer le fait que la vie n'a pas d'autre raison d'être qu'elle même sera lui-même mortel et donc qu'un masque intégral. Tous enchai-nés  au seul projet de continuer l'espèce donc la vie puis le néant. Et alors?

Oui, d'autant plus que la mort est inéluctable et inscrite dans chacune de nos cellules.

Une fois que notre corps a atteint l'âge de maturité, celles ci se reproduisent de plus en plus lentement, jusqu'à la dégradation totale, la vieillesse, la déchéance.

Les problèmes de santé sont inéluctable si on attend suffisamment longtemps.

C'est comme si on s'obligeait à mener un combat qu'on sait déjà perdu d'avance, et on cherche à se motiver mais l'équation est délicate à régler : à quoi bon se battre si on a déjà perdu avant la bataille ?

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