liberté de croyance et liberté de conscience

Bonsoir, 

Comment discuter les notions de la liberté de croyance et de la liberté de conscience à l'ère d'une laïcisation de nos débats publics ?

La laïcisation des débats publics souffre-telle du fait d'une communautarisation identitaire de l'espace public ou du fait d'un manque de cohésion sociale dans la décentralisation de nos territoires (politique de dotations publique, petites intercommunalités rurales ou périurbaines etc...) ?

Faudrait-il ouvrir une convention citoyenne autours d'un projet d'une citoyenneté engagée dans la refonte de nos territoires et de nos corps intermédiaires autours d'idées de principes laïques de cohésion sociale face à des mouvements de racialisation et d'identitarisme de bas-instincts ?  

En bref, pouvons-nous faire société au sein d'un régime de présidentialisation ?  

Merci de bien vouloir me répondre rapidement. 

Bonsoir, 

Comment rediscuter les notions de la liberté de croyance et de la liberté de conscience à l'ère d'une laïcisation de nos débats publics ?

La laïcisation des débats publics souffre-telle du fait d'une communautarisme identitaire ou du fait d'un manque de cohésion sociale dans la décentralisation de nos territoires (politique de dotations publique, réorganisation des petites intercommunalités périurbaines et rurales etc...) ?

Faudrait-il ouvrir une convention citoyenne autours d'un projet d'une citoyenneté engagée dans la refonte de nos territoires et de nos corps intermédiaires autours de principes laïques de cohésion sociale afin de faire face à des mouvements de racialisation et d'identitarisme de très bas-instincts ?  

En bref, pouvons-nous faire société au sein d'un régime de présidentialisation ?  

Merci de bien vouloir me répondre rapidement. 

Ah!

Il y a 11 heures, mig72 a dit :

Bonsoir, 

Comment rediscuter les notions de la liberté de croyance et de la liberté de conscience à l'ère d'une laïcisation de nos débats publics ?

La laïcisation des débats publics souffre-telle du fait d'une communautarisme identitaire ou du fait d'un manque de cohésion sociale dans la décentralisation de nos territoires (politique de dotations publique, réorganisation des petites intercommunalités périurbaines et rurales etc...) ?

Faudrait-il ouvrir une convention citoyenne autours d'un projet d'une citoyenneté engagée dans la refonte de nos territoires et de nos corps intermédiaires autours de principes laïques de cohésion sociale afin de faire face à des mouvements de racialisation et d'identitarisme de très bas-instincts ?  

En bref, pouvons-nous faire société au sein d'un régime de présidentialisation ?  

 

Merci de bien vouloir me répondre rapidement. 

Liberté de croyance + liberté de conscience + liberté d'apologie idéologique radicale...

A l'évidence, notre "état de droit" tolère le tout sans ressentir la moindre nécessité de particulariser le dernier point, les chapelles porteuses de ces idéologies radicales ayant notoirement pignon sur rue.

Mais pas d'angoisse, les jours du "régime de présidentialisation" sont comptés... 

Comme d'hab, réponds moi par une nouvelle question, j'adore...

il y a 22 minutes, versys a dit :

Liberté de croyance + liberté de conscience + liberté d'apologie idéologique radicale...

A l'évidence, notre "état de droit" tolère le tout sans ressentir la moindre nécessité de particulariser le dernier point, les chapelles porteuses de ces idéologies radicales ayant notoirement pignon sur rue.

Mais pas d'angoisse, les jours du "régime de présidentialisation" sont comptés... 

Comme d'hab, réponds moi par une nouvelle question, j'adore...

Peut-on basculer d'un régime de semi présidentialisation vers un régime de semi démocratisation parlementaire à l'instar de celui du régime de la Grande-Bretagne? Ne serait pas parachever par là même notre projet de libéralisation de nos mœurs publiques par la représentation de notre volonté populaire dans un légicentrisme ? Nous faut-il pas aussi placer au-dessus de ce régime de démocratisation parlementaire une Cour Supreme pour sauvegarder nos droits et libertés fondamentaux composée notamment d'experts du professorat universitaire ? 

il y a 18 minutes, mig72 a dit :

Peut-on basculer d'un régime de semi présidentialisation vers un régime de semi démocratisation parlementaire à l'instar de celui du régime de la Grande-Bretagne? Ne serait pas parachever par là même notre projet de libéralisation de nos mœurs publiques par la représentation de notre volonté populaire dans un légicentrisme ? Nous faut-il pas aussi placer au-dessus de ce régime de démocratisation parlementaire une Cour Supreme pour sauvegarder nos droits et libertés fondamentaux composée notamment d'experts du professorat universitaire ? 

On a déjà  nos vieux sages déplumés .

Les Juppé,  fabius etc...

Peut-on basculer d'un régime de semi présidentialisation vers un régime de semi démocratisation parlementaire à l'instar du régime de la Grande-Bretagne avec plus de droit de vote d'amendement et de contre-proposition de loi par  l'Assemblée Nationale et le Sénat mais aussi avec des chambres parlementaires inclusives au nom d'une liberté d'association politique du pacte républicain et des conditions de majorité de vote par scrutin majoritaire à échelle régionale constitutionnellement garanties et non pas seulement aux parties de masse avec des conditions de majorité simple(ce qui du reste est l'erreur de la IVème République)? Ne serait pas parachever par là même notre projet de libéralisation de nos mœurs publiques par la représentation de notre volonté populaire par notre légicentrisme ? Nous faut-il pas aussi placer au-dessus de ce régime de démocratisation parlementaire une Cour Supreme composée d'experts du professorat universitaire pour sauvegarder nos droits et libertés fondamentaux comme cela se fait cette fois-ci en Allemagne? 

(Règles de délais de dépôts d'amendement assouplies, demande de fixation de l'ordre du jour du parlement par soixante députés et sénateurs, vote à distance et notamment par procuration d'un mandataire en cas de force majeure Etc...)

Il faut reformer les lits de Justice.

Liberté de conscience, liberté d'expression, liberté de croyance et liberté de fermer ta gueule.

il y a 15 minutes, Droucall a dit :

Liberté de conscience, liberté d'expression, liberté de croyance et liberté de fermer ta gueule.

Une liberté d'expression n'est pas un droit anti-blasphème ?