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Un nouveau crustacé, vivant dans l'obscurité, découvert près de Marseille


Kira

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Animatrice, Fille infréquentable, 83ans Posté(e)
Kira Animatrice 28 154 messages
83ans‚ Fille infréquentable,
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"Tethysbaena ledoyeri" de son petit nom, appartient à une catégorie encore mal connue.

image.png

Une nouvelle espèce de crustacé vivant dans l’obscurité vient d’être identifiée près de Marseille. Semblable à une minuscule crevette, elle n’en est pas une et appartient à une catégorie encore mal connue, selon un des chercheurs qui l’a découverte.

Source et suite de l'article

 

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Membre, Directeur, Administrateur, 41ans Posté(e)
Fuck Them All Membre 12 630 messages
41ans‚ Directeur, Administrateur,
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Hum ça l'air bon avec de la mayo ! 

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Membre, scientifique, Posté(e)
Répy Membre 23 159 messages
scientifique,
Posté(e)
Il y a 3 heures, Misery a dit :

"Tethysbaena ledoyeri" de son petit nom, appartient à une catégorie encore mal connue.

image.png

Une nouvelle espèce de crustacé vivant dans l’obscurité vient d’être identifiée près de Marseille. Semblable à une minuscule crevette, elle n’en est pas une et appartient à une catégorie encore mal connue, selon un des chercheurs qui l’a découverte.

Source et suite de l'article

 

C'est assez fréquent que l'on rencontre dans les grottes et autres cavités souterraines des animaux qui se passent totalement de la lumière naturelle. Déjà les animaux qui vivent toujours au-dessous de 300m de profondeur dans les océans là où il n'y a pas de lumière n'ont pas besoin de lumière pour vivre.

Les cachalots, les thons ou les calamars... qui descendent à 1000m pour chasser ont des yeux mais à ces profondeurs ils leur sont totalement inutiles. Beaucoup d'autres animaux stationnent à plusieurs km de profondeur et n'ont plus d'yeux fonctionnels.

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Invité
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Invité
Invité Invités 0 message
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Bonjour les internautes, on ne connait pas toutes les espèces vivant sur terre ou dans les océans... nous découvrons aussi des insectes... mais attention hein, on ne peut pas dire "émergence" d'une nouvelle espèce dans la mesure où certains endroits sont peu visités (fosse des Marianne par exemple)... en tout cas la vie dans des conditions extrêmes est possible...

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
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Je suis toujours étonnée lorsque des scientifiques découvrent une nouvelle espèce. A notre époque, nous avons paradoxalement l'impression de tout savoir de notre planète. C'est vraiment fascinant ! 👍

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Membre, scientifique, Posté(e)
Répy Membre 23 159 messages
scientifique,
Posté(e)
il y a une heure, - Constance - a dit :

Je suis toujours étonnée lorsque des scientifiques découvrent une nouvelle espèce. A notre époque, nous avons paradoxalement l'impression de tout savoir de notre planète. C'est vraiment fascinant ! 👍

Mais les scientifiques en découvrent non pas une mais des dizaines ou centaines dans le monde entier. Tout ça est centralisé dans les banques de données des grands instituts comme le Muséum d'histoire nNaturelle de Paris et quelques autres.

Pour les cavernes et cavités souterraines c'est pas trop souvent. Mais dans la canopée des forêts équatoriales c'est tous les jours. et tout bon naturaliste peut en découvrir dans des zones peu fréquentées par les hommes.

Cela me rappelle une anecdote. Vous souvenez-vous d'un tronçon d'autoute entre Le Mans et Angers ou Tours dont la construction a été interrompue pour sauver un scarabée : le "pique-prune". Les écolos qui étaient contre l'autoroute ont persuadé le préfet d'arrêter les travaux pour épargner un "site exceptionnel" qui hébergeait le pique-prune.

À cette période j'étais en vacances en Vendée et j'ai reçu Gilles Boeuf alors directeur de recherches à l'Ifremer avant qu'il devienne directeur du Muséum. En se promenant dans le jardin, il découvre un, puis une dizaine de pique-prunes !

 C'était bien la preuve que les écolos avaient menti sur ce site "exceptionnel"et que le préfet était d'une grande naïveté. Il aurait consulté le Muséum, un spécialiste des scarabées l'aurait dissuadé de fermer les travaux.

Donc on connaît beaucoup d'êtres vivants et heureusement l'inventaire s'étoffe de jour en jour.

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Membre, 66ans Posté(e)
Condorcet Membre 10 257 messages
Baby Forumeur‚ 66ans‚
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Je crains que le surcoût du chantier interrompu n'ait pas été défalqué sur les subventions touchées par l'association. :D

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Membre, 38ans Posté(e)
Jean-EB Membre 1 217 messages
Mentor‚ 38ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, Répy a dit :

Mais les scientifiques en découvrent non pas une mais des dizaines ou centaines dans le monde entier. Tout ça est centralisé dans les banques de données des grands instituts comme le Muséum d'histoire nNaturelle de Paris et quelques autres.

Pour les cavernes et cavités souterraines c'est pas trop souvent. Mais dans la canopée des forêts équatoriales c'est tous les jours. et tout bon naturaliste peut en découvrir dans des zones peu fréquentées par les hommes.

Cela me rappelle une anecdote. Vous souvenez-vous d'un tronçon d'autoute entre Le Mans et Angers ou Tours dont la construction a été interrompue pour sauver un scarabée : le "pique-prune". Les écolos qui étaient contre l'autoroute ont persuadé le préfet d'arrêter les travaux pour épargner un "site exceptionnel" qui hébergeait le pique-prune.

À cette période j'étais en vacances en Vendée et j'ai reçu Gilles Boeuf alors directeur de recherches à l'Ifremer avant qu'il devienne directeur du Muséum. En se promenant dans le jardin, il découvre un, puis une dizaine de pique-prunes !

 C'était bien la preuve que les écolos avaient menti sur ce site "exceptionnel"et que le préfet était d'une grande naïveté. Il aurait consulté le Muséum, un spécialiste des scarabées l'aurait dissuadé de fermer les travaux.

Donc on connaît beaucoup d'êtres vivants et heureusement l'inventaire s'étoffe de jour en jour.

Bonjour Répy, bonjour tout le monde,

Je me souviens très bien de l'arrêt, temporaire, des travaux du tronçon autoroutier dont vous parlez. 

Et cette interruption était non seulement nécessaire sur le plan de la conservation de l'espèce, mais aussi obligatoire en l'état sur le plan juridique. 

Cette grande Cétoine (Osmoderma eremita) est en effet :

  • protégée au niveau national
  • inscrite à l'Annexe IV de la Directive Habitats-Faune-Flore

Ces statuts réglementaires nécessitent de réaliser un dossier de dérogation pour destruction directe ou indirecte d'une espèce protégée. Le dossier est instruit par la DREAL (Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement), qui transmet au CNPN (Conseil National de la Protection de la Nature) pour avis motivé et consultatif (le Préfet peut ne pas suivre l'avis). Et encore, je simplifie. Tout cela demande du temps et ce temps est un temps "gelé" pour la poursuite des travaux qui mettent en danger les populations de l'espèce concernée. 

D'autres statuts, réglementaires mais qui ressortent d'un droit non opposable cette fois (en gros qui n’entraînent pas une protection stricte et qu'un citoyen ne pourrait utiliser pour un recours en justice), donnent bien la mesure de la patrimonialité de l'espèce et les enjeux de conservation associés :

  • inscrite à l'Annexe II de la Directive Habitats-Faune-Flore avec un statut d'espèce prioritaire
  • inscrite à l'Annexe II de la Convention de Berne 

D'autres statuts encore, ceux-ci non réglementaires et définis selon des critères scientifiques, renseignent un statut de conservation de l'espèce défavorable :

  • espèce quasi-menacée dans le monde
  • espèce quasi-menacée en Europe
  • espèce en danger d'extinction en France (dernière évaluation en 2009 ? Liste rouge nationale obsolète et non réactualisée) 
  • globalement rare en France (manque de données mais effort d'inventaire important, relativement à beaucoup d'espèces
  • statuts de conservation UICN et dynamique populationnelle défavorables dans de nombreuses régions françaises (pour celles, peu nombreuses, qui ont une évaluation selon la méthode UICN validée, le statut va d'espèce "quasi-menacé d'extinction" à "vulnérable".

On peut ajouter pour finir que l'espèce en France a une aire de répartition morcelée, avec de grandes discontinuités géographiques. Ses habitats (vieilles futaies, bocage aux vieux arbres têtards notamment) sont souvent menacés et dégradés, avec un déficit de vieux arbres (Bensettiti et Gaudillat, 2002). 

Toutes ces données citées sont issues de l'INPN, portail qui collige les données naturalistes et qui dépend du MNHN. On y retrouvera facilement le producteur de chaque statut mentionné. 

On s'est bien éloigné de la bête qui était initialement l'objet de ce topic. Désolé mais je pense que des lecteurs apprendront des choses grâce à ma réponse. Peut-être même, et grâce à vous le premier, Répy, l’existence du Pique-prune. 

Cordialement,

Jean

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Membre, scientifique, Posté(e)
Répy Membre 23 159 messages
scientifique,
Posté(e)
Il y a 2 heures, Jean-EB a dit :

Bonjour Répy, bonjour tout le monde,

Je me souviens très bien de l'arrêt, temporaire, des travaux du tronçon autoroutier dont vous parlez. 

Et cette interruption était non seulement nécessaire sur le plan de la conservation de l'espèce, mais aussi obligatoire en l'état sur le plan juridique. 

Cette grande Cétoine (Osmoderma eremita) est en effet :

  • protégée au niveau national
  • inscrite à l'Annexe IV de la Directive Habitats-Faune-Flore

Ces statuts réglementaires nécessitent de réaliser un dossier de dérogation pour destruction directe ou indirecte d'une espèce protégée......

.....On s'est bien éloigné de la bête qui était initialement l'objet de ce topic. Désolé mais je pense que des lecteurs apprendront des choses grâce à ma réponse. Peut-être même, et grâce à vous le premier, Répy, l’existence du Pique-prune. 

Oui je connais le type de procédure complexe qui est mise en ouvre avant d'exécuter de grands travaux.

Cependant les scientifiques avaient fait leur boulot durant l'enquête mais n'avaient pas placé le pique-prune sur la liste à sauvegerder car il est relativement abondant dans cette région.

Voulant bloquer l'autoroute les écolos avaient fait croire au préfet et à la presse que ce scarabée n'existait que sur le trajet de l'autoroute en cours de construction. Ce qui était absolument faux.

Dans un tout autre environnement végétal, le pique-prune est commun à plus de 200 km dans le sud-Vendée et en Deux-Sèvres dans la zone géologique de transition entre bocage armoricain et plaine aquitaine. On le retrouve aussi sur tout le pourtour du bassin parisien. Donc les clameurs étranglées des écolos étaient du pur cinéma pour journaleux en quête de scoop !

C'est à la suite de la consultation de spécialistes compétents du muséum, que les travaux ont repris.

 

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Membre, 38ans Posté(e)
Jean-EB Membre 1 217 messages
Mentor‚ 38ans‚
Posté(e)
il y a 39 minutes, Répy a dit :

Oui je connais le type de procédure complexe qui est mise en ouvre avant d'exécuter de grands travaux.

Cependant les scientifiques avaient fait leur boulot durant l'enquête mais n'avaient pas placé le pique-prune sur la liste à sauvegerder car il est relativement abondant dans cette région.

Voulant bloquer l'autoroute les écolos avaient fait croire au préfet et à la presse que ce scarabée n'existait que sur le trajet de l'autoroute en cours de construction. Ce qui était absolument faux.

Dans un tout autre environnement végétal, le pique-prune est commun à plus de 200 km dans le sud-Vendée et en Deux-Sèvres dans la zone géologique de transition entre bocage armoricain et plaine aquitaine. On le retrouve aussi sur tout le pourtour du bassin parisien. Donc les clameurs étranglées des écolos étaient du pur cinéma pour journaleux en quête de scoop !

C'est à la suite de la consultation de spécialistes compétents du muséum, que les travaux ont repris.

 

 

Certains  "écolos" usent souvent de mauvais arguments pour atteindre des objectifs louables, en l'occurrence la conservation de l'espèce. Cela ne me semble pas invalider le statut de conservation pour le moins précaire du scarabée qui a tant fait parler. 

Quant aux experts du muséum dont vous parlez, n'ayant pas lu l'étude d'impact et les documents afférents, je fais crédit à vos affirmations. Cependant je doute fortement que ces experts se soient prononcés en faveur du tracé initial sans mesures ERC (Éviter-Réduire-Compenser). Le porteur de projet a certainement dû proposer des mesures d'évitement et de réduction et, en dernier recours, des mesures de compensations validées par ces experts ou d'autres. 

Les "écolos" peuvent bien méconnaître l'écologie du Pique-prune et se tromper, ou bien même mentir sur sa répartition, qu'ils restreignent à dessein, il n'en reste pas moins qu'ils ont attiré l'attention de citoyens sur un enjeu majeur, et scientifiquement documenté, de conservation. 

Et puis je pense que vous aussi faites accroire une répartition inexacte. Ou en tous cas usez d'une sémantique qui prête à l'interprétation rassurante. Il y a un problème de définition d'échelle, par exemple quand vous dites que l'on retrouve l'espèce sur tout le pourtour du Bassin parisien. On peut très bien se dire que c'est une vaste zone géographique donc que l'espèce ne se porte pas si mal. Pourtant cela ne dit rien de ses effectifs réels. En effet doit-on penser que dans chaque maille UTM de 5 x 5 kilomètres il existe au moins une population viable, ou bien doit-on penser qu'une de ces mailles sur vingt accueille une population non viable à moyen terme ou même à long terme ? Le patron de répartition est ainsi fort différent et votre phrase ne permet pas de discriminer entre les deux. 

Et puis la dynamique des populations se fait aussi dans le temps (c'est un pléonasme j'imagine). Et cette dynamique, sur un pas de temps long, est mauvaise (voir la référence citée dans mon message précédent). Jusqu'à mettre l'espèce en péril en France.

Bien à vous,

Jean

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Membre, scientifique, Posté(e)
Répy Membre 23 159 messages
scientifique,
Posté(e)

@Jean-EB  les spécialistes des scrarabées du Muséum qui ont été sollicités tant par le préfet que par la société d'autoroute, on examiné de plus près la situation de cette espèce et ont conclu qu'elle n'était pas menacée par le passage de l'autoroute contrairement à ce qui était "braillé".  Je rappelle que lors des études préliminaires, le pique-prune était cité dans l'inventaire biologique mais sans mesures particulières quant à sa sauvegarde particulière tant il est abondant dans la contrée.

Le préfet a donc annulé sa suspension de travaux.

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Membre, 38ans Posté(e)
Jean-EB Membre 1 217 messages
Mentor‚ 38ans‚
Posté(e)
il y a 1 minute, Répy a dit :

@Jean-EB  les spécialistes des scrarabées du Muséum qui ont été sollicités tant par le préfet que par la société d'autoroute, on examiné de plus près la situation de cette espèce et ont conclu qu'elle n'était pas menacée par le passage de l'autoroute contrairement à ce qui était "braillé".  Je rappelle que lors des études préliminaires, le pique-prune était cité dans l'inventaire biologique mais sans mesures particulières quant à sa sauvegarde particulière tant il est abondant dans la contrée.

Le préfet a donc annulé sa suspension de travaux.

Je vous crois. La menace n'existait pas parce-que l'autoroute ne touchait en fait pas les populations ? Ou bien l'autoroute touchait (je sais qu'on dit "impactait" maintenant mais j'essaie de parler français) les populations mais l'impact a été jugé négligeable sur les populations régionales et nationales ? 

Sinon je crée un sujet sur le Pique-prune ... Mais on sera deux peut-être. 

Jean

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Membre, scientifique, Posté(e)
Répy Membre 23 159 messages
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Posté(e)
il y a 1 minute, Jean-EB a dit :

Je vous crois. La menace n'existait pas parce-que l'autoroute ne touchait en fait pas les populations ? Ou bien l'autoroute touchait (je sais qu'on dit "impactait" maintenant mais j'essaie de parler français) les populations mais l'impact a été jugé négligeable sur les populations régionales et nationales ? 

Sinon je crée un sujet sur le Pique-prune ... Mais on sera deux peut-être. 

Jean

inutile d'ouvrir un sujet. c'est moi qui ai soulevé la question mais je ne suis pas spécialiste de la bestiole. Je sais seulement que j'en ai trouvé aussi dans mon jardin en Anjou tout comme en Vendée il y a 30 ans !

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
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il y a 7 minutes, Jean-EB a dit :

Je vous crois. La menace n'existait pas parce-que l'autoroute ne touchait en fait pas les populations ? Ou bien l'autoroute touchait (je sais qu'on dit "impactait" maintenant mais j'essaie de parler français) les populations mais l'impact a été jugé négligeable sur les populations régionales et nationales ? 

Sinon je crée un sujet sur le Pique-prune ... Mais on sera deux peut-être. 

Jean

Non car je viendrai vous lire tout les deux.... même si ça n'est pas mon sujet de prédilection, j'aime apprendre même à mon âge, de plus je transmets aussi à mes petits-enfants...

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Membre, 38ans Posté(e)
Jean-EB Membre 1 217 messages
Mentor‚ 38ans‚
Posté(e)
il y a 27 minutes, Jean-EB a dit :

Je vous crois. La menace n'existait pas parce-que l'autoroute ne touchait en fait pas les populations ? Ou bien l'autoroute touchait (je sais qu'on dit "impactait" maintenant mais j'essaie de parler français) les populations mais l'impact a été jugé négligeable sur les populations régionales et nationales ? 

Sinon je crée un sujet sur le Pique-prune ... Mais on sera deux peut-être. 

Jean

Vous avez bien de la chance d'avoir l'espèce dans votre jardin. Une chance doublée d'une certaine responsabilité de protection.

Jean

il y a 26 minutes, Répy a dit :

inutile d'ouvrir un sujet. c'est moi qui ai soulevé la question mais je ne suis pas spécialiste de la bestiole. Je sais seulement que j'en ai trouvé aussi dans mon jardin en Anjou tout comme en Vendée il y a 30 ans !

Vous avez bien de la chance d'avoir l'espèce dans votre jardin. Une chance doublée d'une responsabilité de protection.

Jean

il y a 23 minutes, Beltégeuse a dit :

Non car je viendrai vous lire tout les deux.... même si ça n'est pas mon sujet de prédilection, j'aime apprendre même à mon âge, de plus je transmets aussi à mes petits-enfants...

J'en suis très heureux, sincèrement.

Jean

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